Lait de Normandie... et d'ailleurs
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A qui profite la filière du lait ?

A qui profite la filière du lait ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Analyse de la création et de la répartition de la valeur dans la filière bovin lait française...


Alors que les prix des produits laitiers achetés en magasins ont connu une inflation de 27% depuis fin 2021 – en comparaison de 20% pour le reste des produits alimentaires – le nombre d’exploitations et de vaches laitières ne cesse de diminuer, avec sur l’année écoulée une baisse inégalée depuis plus de 20 ans…


Comment expliquer qu’au moment où la filière laitière crée une valeur sans précédent, le métier d’éleveur soit en pleine désaffection ?

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Prix du lait : Quels risques encourent les transformateurs ?

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En un an, les cours du lait ont grimpé de 30 %. Une hausse compensant une partie l’augmentation des coûts des producteurs laitiers. Une hausse qui fragilise les transformateurs laitiers, surtout ceux de taille moyenne…

Si les éleveurs ont pu voir les prix du lait compenser la hausse des coûts de production, il n’en va pas de même pour les transformateurs, dont les marges fondent. Egalim 2 a redonné un peu de pouvoir aux producteurs qui, depuis la fin des quotas laitiers subissaient la déréglementation du marché. Malheureusement, elle affaiblit aussi la position de certains transformateurs, ceux qui n’ont pas le pouvoir de négocier avec la grande distribution. Ils sont pris dans un effet ciseaux…

« Dans une étude européenne, concernant la filière laitière, nous avons montré que les entreprises de moins de 300 millions de chiffres d’affaires sont les plus fragilisées et peinent à rentabiliser leurs investissements, notamment s’ils ne sont pas positionnés sur des marchés différenciants et à plus haute valeur ajoutée comme le fromage et les yaourts »…
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voir aussi Négociations commerciales : « Les PME n’ont obtenu que 70% de leur demande »

Les PME vulnérables, les ETI sous la menace d’arrêts de production
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Insee : Taux de marge EBE/VA des IAA vs Manufacture & Commerce

Insee : Taux de marge EBE/VA des IAA vs Manufacture & Commerce | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

A noter, le boom pour le T4 2022 du taux de marge EBE/VA des industries agroalimentaires : +15 points entre le creux de T4 2021 et T4 2022. A 44,7%, il est même au plus haut depuis 2007…

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Voir aussi Ania : "Entre 2021 et 2022, les marges" des industriels "ont baissé de 16 %"

Commerçants et industriels s’accusent mutuellement de faire monter les prix
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Produits alimentaires : tout le monde joue le jeu pour absorber l’inflation

Produits alimentaires : tout le monde joue le jeu pour absorber l’inflation | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Un rapport de Bercy estime que les prix des produits alimentaires ne sont pas artificiellement gonflés. Aucune des trois parties qui composent un prix de vente, agriculteurs, industriels et distributeurs, n’a augmenté sa marge au passage. Au contraire, l’enquête montre qu’une partie de l’inflation a été absorbée par l’industrie agroalimentaire et la grande distribution.

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« L’agroalimentaire peut traverser la crise mais il y aura des morts ! » https://sco.lt/4hbW52

L’inflation bat un record en octobre pour les produits de grande consommation
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Inflation : Intermarché dénonce l’attitude des industriels laitiers

Inflation : Intermarché dénonce l’attitude des industriels laitiers | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le président du groupement Les Mousquetaires, se plaint des hausses déraisonnables de tarifs demandées par certains grands industriels, et du manque de transparence des industriels laitiers…


Didier Duhaupand se dit « fier de vendre le lait plus cher qu’ailleurs. (…) Il faut s’occuper du monde agricole, les producteurs de lait en font partie ». Il rappelle avoir commencé avec sa laiterie de Saint-Père. « On a dit aux autres industriels qu’on allait vendre le litre de lait à 95 centimes dans nos rayons. On s’attendait à des rencontres tripartites mais les industriels ne sont pas venus », a-t-il déploré, reprochant aux industriels laitiers de ne pas se montrer transparents sur le prix payé au producteur laitier…


« Il faut dire au consommateur et au monde agricole ce qu’il se passe. C’est facile d’aller déverser du lait, du fumier dans nos parkings, et le monde agricole a raison de se mobiliser mais les produits agricoles sont majoritairement transformés, et les transformateurs ne veulent pas faire preuve de transparence, ne veulent pas dire le prix qu’ils payent aux producteurs.»

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voir aussi Prix du lait : l’OP Saint-Père exaspérée par Les Mousquetaires

Les entreprises de l’agroalimentaire dans la tourmente de la crise https://www.lsa-conso.fr/les-entreprises-de-l-agroalimentaire-dans-la-tourmente-de-la-crise,420651
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Prix du lait : Le nouveau sujet de discorde entre agriculteurs, industriels et supermarchés

Prix du lait : Le nouveau sujet de discorde entre agriculteurs, industriels et supermarchés | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La guerre en Ukraine conjuguée à l'inflation des coûts de production et à la canicule de cet été, qui s'est traduite par une sécheresse historique, désespère un peu plus encore les éleveurs…


De leur côté, les agro-industriels reprochent aux distributeurs de ne pas prendre en compte la flambée des coûts de production et de transformation (emballage, transport, énergie nécessaires...)….


Leclerc a relevé en substance que le prix de vente du lait en grandes surfaces n'avait pas nécessairement de lien avec la rémunération des producteurs. Leur revenu dépendrait davantage du prix auquel les industriels leur achètent le lait pour le conditionner...

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Voir aussi Quel est le juste prix ?

En moyenne, la brique de lait est vendue 89 centimes. Sur ce prix, qui touche quoi ? L'agriculteur touche 45 centimes, l'industriel qui met le lait en bouteille reçoit 20 centimes, le distributeur touche 16 centimes et les restes sont des taxes…


Inflation alimentaire : où se situe la France par rapport aux pays de l’OCDE ?

L’inflation des prix alimentaires était à 14,5% en moyenne dans les pays de l’OCDE en juillet dernier sur un an et à 12,8% dans l’Union Européenne. La France est en bas du tableau à 7,2%...

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Ce que la pénurie de beurre raconte en vrai

Ce que la pénurie de beurre raconte en vrai | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Pénurie de production: non ! Pénurie de marché : à n'en pas douter ! La pénurie de beurre est la partie visible de la guerre des prix made in France...

Dans un contexte de marché des matières grasses et matières protéiques inédit, les transformateurs laitiers, en organisant la pénurie de beurre, croyaient avoir trouvé le moyen de chahuter l'oligopole des GMS françaises tout en faisant leur beurre sur le marché mondial: puisque les distributeurs français ne veulent pas payer, ils vendront leur beurre ailleurs. C'était sans compter sur le cynisme des distributeurs français....

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Prix du lait : L’industrie laitière prise en étau entre la production et la distribution

Prix du lait : L’industrie laitière prise en étau entre la production et la distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Après les mouvements de colère des producteurs de lait , la distribution française a quasi-unanimement promis − notamment Leclerc, Intermarché et Système U − de contribuer à améliorer le prix qui leur est payé, notamment via les produits sous MDD.

« Quelle hypocrisie ! » a réagi la Fnil , estimant que le redressement du marché laitier n'a pas été répercuté dans les prix moyens sortie usine, en baisse pour le lait, les fromages ou les yaourts, à l'exception du beurre.

Et de rappeler que « les négociations entre industriels et distributeurs portent sur les produits laitiers transformés et non sur le lait matière première ».

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Lait de consommation : Les transformateurs demandent de « meilleurs prix »

Lait de consommation : Les transformateurs demandent de « meilleurs prix » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Après la grande distribution la semaine passée, au tour des transformateurs d’afficher leur soutien aux éleveurs. Dans un communiqué, le Syndilait s’engage à « répercuter aux producteurs les hausses tarifaires que les distributeurs voudront bien passer au 1er juillet 2017 ».

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Syndilait : Les transformateurs laitiers demandent une hausse de prix à la distribution

Syndilait : Les transformateurs laitiers demandent une hausse de prix à la distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans un contexte tendu pour la filière laitière, les fabricants de lait de consommation souhaitent rémunérer au juste prix les producteurs. Ainsi, ils s’engagent à répercuter aux producteurs les hausses de tarifs que la distribution accepterait de passer au 1er juillet.

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«Seules les marges des agriculteurs sont affectées quand les prix baissent»

«Seules les marges des agriculteurs sont affectées quand les prix baissent» | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Seules les marges des agriculteurs sont anéanties par un ralentissement des prix, selon le président du Comité des produits laitiers de la Irish Creamery and Milk Supplier Association, Gerald Quain, après la publication des résultats d'Ornua.

Les marges d'Ornua ont augmenté tout au long de l'effondrement des prix 2015/2016, a ajouté Quain. L'année dernière, Ornua a enregistré une augmentation de 18% du BAIIA; Ses bénéfices d'exploitation ont également grimpé de 46% par rapport à l'année précédente.

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La « flambée des prix » fait bouillir les producteurs de lait

La « flambée des prix » fait bouillir les producteurs de lait | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Volée de bois vert pour les industries agroalimentaires, qui se plaignent de la hausse du coût des matières premières. Les producteurs de lait voient rouges, noyés qu'ils sont dans les pertes pour nombre d’entre eux, après une année noire.

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Lidl : « il faut partager la valeur sinon on va tous dans le mur ! »

Lidl : « il faut partager la valeur sinon on va tous dans le mur ! » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La stratégie mise en place par Lidl France pour mieux partager la valeur entre éleveurs, industriels et distributeurs : les contrats tripartites.

Pour le lait, Lidl a contractualisé avec l’Association des Producteurs de Lait de la région Centre, l’APLBC, et la Laiterie de Saint Denis de l’Hôtel, LSDH. Avec cette dernière, afin de palier la volatilité du prix mondial, Lidl a « mis en place un tunnel de prix à hauteur de 320€/1.000L » mais pas de prix fixe. Michel Biéro précise « ça a été évoqué avec LSDH, mais la laiterie a préféré rester sur un tunnel d’achat » avec une variation maitrisée de plus ou moins 30 euros. Les négociations ont lieu en deux temps. L’éleveur, distributeur et le transformateur, fixent le prix d’achat et dans un second temps l’industriel et le distributeur négocient la répartition des marges. Et pour le consommateur ? Le prix de vente reste inchangé : 70 centimes d’euros le litre de lait en rayon.

A ce jour, les contrats tripartites étant mis en place depuis plus longtemps en porc, permettent une meilleure rémunération de l’éleveur car ils prennent en compte les coûts de production. Pour la partie lait, la contractualisation ne remontant qu’à juillet 2016, des ajustements restent à mettre en place. Notamment sur fixation du prix. Si en porc, il s’agit d’une « démarche équitable », en lait, les contrats tripartites ont pour premier objectif d’atténuer la volatilité sans prise en compte des coûts de production.

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FNH : Les éleveurs sont les grands perdants de la hausse des prix du lait

FNH : Les éleveurs sont les grands perdants de la hausse des prix du lait | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La Fondation pour la nature et l'homme s’est penchée sur la répartition de la valeur dans le secteur laitier conventionnel. Les prix des produits laitiers ont augmenté de 50% en 20 ans et ce n'est pas au profit des agriculteurs…


Selon ce rapport la bouteille de lait demi-écrémé d’un litre ne coûtait que 55 centimes d’euros hors taxes il y a 20 ans, et à l’époque près de la moitié de ce prix retombait dans la poche de l’éleveur, soit 25 centimes. Aujourd’hui elle coûte bien plus cher : 83 centimes d’euros mais elle ne rapporte plus à l’éleveur que 24 centimes…


En clair son prix a augmenté de plus de 50% mais les agriculteurs n’en ont pas vu la couleur. Et il n’en va absolument pas de même pour les distributeurs et l’industrie agroalimentaire qui sur la même période enregistrent respectivement des hausses de + 188% et + 64% de leurs marges. Les fromages plaquettes de beurre et autres produits laitiers ont subi à peu près le même sort selon la FNH…

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Voir aussi FNH : Éleveurs et consommateurs, grands perdants de la hausse des prix des produits laitiers
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IGF : Rentabilité de l'industrie agro-alimentaire, de l'agriculture et de la grande distribution

IGF : Rentabilité de l'industrie agro-alimentaire, de l'agriculture et de la grande distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L'Inspection générale des finances (IGF) a réactualisé son rapport sur la rentabilité des trois acteurs qui constituent la chaîne de consommation. Résultat : la progression de la rentabilité de l'industrie agro-alimentaire est trois fois plus élevée que celle du commerce : +27% pour l’EBE de l’agriculture, +50% pour l’industrie agro-alimentaire, +9% pour le commerce…


L’EBE de l’agriculture se situe désormais 27% au-dessus de son niveau de 2019. En trois ans, note l’IGF, « les prix de vente du secteur agricole ont progressé de 27,5% contre 20,8% observé mi-2022 »…


Au second semestre 2022, la rentabilité de l’industrie agro-alimentaire a rebondi de 50%, effaçant ainsi les pertes par rapport à 2019. Leurs prix de vente ont progressé de 17,5% en trois ans, entre 2019 et 2022, soit cinq points de plus par rapport à mi-2022. Cet écart s’explique à hauteur de trois points par la hausse du prix des intrants et à hauteur de 2,1 points par la hausse de l’EBE. Pour autant, le secteur n’a pas augmenté sa marge en 2022 : la hausse des prix s’explique à 85% par celle des matières premières…


En comparaison, le secteur du commerce voit sa rentabilité progresser de 9% par rapport à 2019. Son taux de marge serait de 0,7 point au-dessus de son niveau de 2019. Bien évidemment, ces calculs ne prennent pas en compte les retombées des négociations commerciales qui se sont achevées le 1er mars, pas plus que la baisse des prix amorcée sur un certain nombre de matières premières…

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voir aussi Insee : Taux de marge EBE/VA des IAA vs Manufacture & Commerce
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L’agroalimentaire se serre la ceinture

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L’inflation des produits alimentaires ne s’explique pas, ces derniers temps, par un accroissement des marges de la transformation ou de la distribution.


La contraction de l’EBE de l’industrie agroalimentaire contribuerait, à elle seule, à réduire la hausse des prix finaux à la consommation des biens alimentaires de 1,3%. L’EBE de la grande distribution connaît une légère baisse ou une stagnation. »…


Les cours des matières premières agricoles devraient rester à des niveaux élevés en 2023. La flambée actuelle des coûts de l’énergie va très probablement perdurer et pourrait s’amplifier en 2023, conduisant l’industrie agroalimentaire à augmenter ses demandes tarifaires…


Les contraintes sur l’offre liées à l’approvisionnement, à la pénurie de main d’œuvre et au financement pourraient limiter les volumes de production de produits alimentaires, créant ainsi un ajustement supplémentaire à la hausse des prix de vente à la grande distribution. »

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voir aussi Produits alimentaires : tout le monde joue le jeu pour absorber l’inflation

Inflation : Leclerc craint un «tsunami» sur les prix en 2023 https://sco.lt/9I7JFA
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La grande distribution et l’agroalimentaire se livrent à une intense bataille des prix

La grande distribution et l’agroalimentaire se livrent à une intense bataille des prix | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Face à l’inflation des coûts, l’industrie agroalimentaire et la grande distribution sont engagées dans un bras de fer. Les enseignes commerciales appliqueraient des « pénalités logistiques » indues…

« Les pénalités logistiques ? Une spécificité française dont on se passerait bien… » Les pénalités logistiques, prévues pour sanctionner des retards de fournisseurs dans la livraison de biens alimentaires, seraient utilisées par certains distributeurs « pour se refaire une santé financière »…

Depuis la guerre en Ukraine, les coûts de production des industriels ont flambé : +29 % pour les matières premières agricoles, +26 % pour les emballages, +57 % pour l’énergie, selon l’Ania. Mais « les hausses accordées (8 % selon la FCD) sont en deçà des demandes. Le gouvernement évoque une « démarche d’étouffement des industriels par la grande distribution ». Seule la moitié des entreprises seraient parvenues à obtenir des hausses, à environ 6%, au lieu des 8 à 9% qu’elles espéraient. Si la loi Alimentation (Egalim 2) oblige les distributeurs à répercuter le coût des matières premières agricoles, elle ne « sanctuarise » pas le coût énergétique des industriels…
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voir aussi Pénalités logistiques : le rappel à l’ordre des distributeurs par le gouvernement

Energie : Toute la filière alimentaire, de la production à la distribution, appelle au secours
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Observatoire des prix et des marges : Les transformateurs ont conforté leur marge en 2021

Observatoire des prix et des marges : Les transformateurs ont conforté leur marge en 2021 | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Pour les produits laitiers, l’observatoire fait le constat que le prix du lait a progressé de 4,1 % en 2020-2021 avec une moyenne annuelle de 388,20 €/1 000 l, en lien avec la hausse des produits industriels.


Cependant, le coût de la matière première nécessaire pour fabriquer les PGC a diminué et la marge brute des transformateurs s’est améliorée. En effet, la fabrication de PGC génère des coproduits très bien valorisés en produits industriels et l’observatoire déduit logiquement cette valeur du coût d’achat du lait.

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Prix du lait : Le nouveau sujet de discorde entre agriculteurs, industriels et supermarchés

Rapport Observatoire des prix et des marges
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Prix du lait : ou comment l'industrie et le commerce font (un peu) tampon...

Prix du lait : ou comment l'industrie et le commerce font (un peu) tampon... | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le lait : Produit symbolique, consommation régulière, tout est réuni pour que le prix du lait soit un marqueur. A surveiller comme le lait sur le feu ! C’est probablement la raison de l’écart actuel entre l’évolution du prix à la ferme et du prix en rayon…


Que le prix payé aux producteurs soit insuffisant est entendable, que les commerçants et les laiteries en profitent est… faux. C’est même l’inverse…



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De janvier à juin en effet, le prix moyen du lait payé au producteur est en hausse de 13 %. En rayon, sur la même période stricto sensu, la hausse atteint 7 %. En élargissant aux prix pratiqués au 12 août, la hausse n’atteint toujours pas 10 %. Ce qui revient à démontrer que le maillon intermédiaire de la filière fait plutôt tampon que l’inverse…
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Prix du lait : « Les distributeurs doivent intégrer la volatilité »

Prix du lait : « Les distributeurs doivent intégrer la volatilité » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans un communiqué du 11 juillet 2017, la Fédération nationale de l’industrie laitière (Fnil) reproche à la distribution de ne pas impacter la volatilité des marchés laitiers sur le prix de vente des produits en magasin.

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Inquiétudes à propos des Etats généraux de l’alimentation

Inquiétudes à propos des Etats généraux de l’alimentation | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Quand nous mangeons pour 100€, le paysan perçoit 6,20€...

Un des axes prioritaires pourrait être le revenu paysan pour lequel on tenterait de trouver un consensus entre les syndicats agricoles, les industriels de l’agroalimentaire et les enseignes de la grande distribution. Depuis la mise en place de la Loi de modernisation économique (LME) les distributeurs disposent de gros moyens de pression pour piller leurs fournisseurs et la loi Sapin 2 n’a corrigé qu’à la marge cette situation déséquilibrée et injuste.

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FCD : « Le produit intégral des efforts faits par les distributeurs doit être reversé aux éleveurs »

FCD : « Le produit intégral des efforts faits par les distributeurs doit être reversé aux éleveurs » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Les enseignes de la FCD souhaitent réaffirmer, après leur rencontre avec les dirigeants de la FNPL, leur totale solidarité avec les éleveurs laitiers.…
Elles constatent néanmoins que malgré les efforts faits individuellement depuis le début 2017, elles n'ont aucune vision de ce qui est réellement reversé aux producteurs. Cette situation n'est plus supportable. Le produit intégral des efforts faits par les distributeurs doit être reversé aux éleveurs.
Les enseignes de la FCD demandent donc aux transformateurs de prendre un engagement solennel de transparence, en appliquant notamment la loi Sapin 2...
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Grande distribution : les industriels de l'agroalimentaire contraints à une baisse des tarifs de 3 à 8%

Grande distribution : les industriels de l'agroalimentaire contraints à une baisse des tarifs de 3 à 8% | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les négociations tarifaires qui ont lieu tous les ans entre les enseignes de la grande distribution et leurs fournisseurs sont souvent compliquées.

Cette année, elles sont soldées par une baisse des tarifs de 3% à 8% des tarifs pour 70% de ses adhérents (30% ont obtenu des hausses)., rapporte Le Figaro jeudi 18 mai.

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Quand les laiteries s’offrent le beurre et l’argent du beurre

Quand les laiteries s’offrent le beurre et l’argent du beurre | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Deux ans après une chute du prix du lait de 20 à 30% provoquée au début de l’année 2015 avec l’abandon de la régulation de la production par les pays de l’UE, les cours de ce printemps 2017 autour de 330€ les 1 000 litres en moyenne sont encore beaucoup trop bas pour donner une rémunération décente au travail des hommes et des femmes qui assurent la production. Pourtant, les choses vont de mieux en mieux pour les laiteries grâce notamment au doublement du prix du beurre en douze mois.
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Et aussi Produits laitiers : Les boulangers ne font plus leur beurre Sur http://www.lafranceagricole.fr/actualites/produits-laitiers-les-boulangers-ne-font-plus-leur-beurre-1,1,2644924143.html La « hausse massive » du prix du beurre ces derniers mois (+90 % en plus d’un an) « fragilise les entreprises du secteur » de la boulangerie-viennoiserie-pâtisserie, s’inquiète la Fédération des entreprises de boulangerie (FEB).
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Prix des matières premières : Les larmes des industriels n’émeuvent pas les producteurs

Prix des matières premières : Les larmes des industriels n’émeuvent pas les producteurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Faisant suite au douloureux bilan de 2016 de l’Ania, présenté au début de la semaine, la Coordination rurale et la FNPL minimisent l’importance de la flambée du prix des matières premières dénoncée par les industriels.

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