Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
C’est le fruit de son association avec les coopératives Terra Lacta, Océalia, Pamplie, Sèvre & Belle Céréales Appro, Cap Faye, ainsi que la société japonaise Kataoka… Cette co-entreprise assure la pérennité de la production laitière, préserve les emplois de ses sites et valorise la rémunération des producteurs. La nouvelle entreprise assurera le développement des marques Échiré, Sèvre & Belle et Atelier de la Sèvre. Ce projet de filière et de territoire, préserve 160 emplois sur les sites de Celles-sur-Belle et Échiré (Deux-Sèvres).
|
Scooped by
Cedric
|
Le groupe spécialisé dans le beurre a fait évoluer son actionnariat pour poursuivre son développement. Une nouvelle entité dénommée Abondia a été créée. Loyez Woessen veut se diversifier vers les fromages râpés et en tranches…
Le groupe Loyez Woessen, spécialisé dans le conditionnement du beurre pour la grande distribution, se donne les moyens de ses ambitions. Une opération financière a donné lieu à la création d'Abondia, la nouvelle entité qui va porter l’ensemble des sociétés du groupe…
|
Scooped by
Cedric
|
La marque phare de la coopérative Laïta croit dans la poursuite d'une forte demande.
La coopérative Laïta a décidé de multiplier par 3,5 ses investissements dans la production de beurre sous la marque Paysan Breton pour 2018, afin de répondre à une demande en forte hausse.
|
Scooped by
Cedric
|
Alors que la production de beurre a baissé de 3 % en France en 2017, il manque la moitié des mottes dans les rayons des supermarchés. La guerre des prix est en cause. Les cours du beurre ont explosé en un an passant de 2 500 euros par tonne à 6 800 euros, mais la grande distribution n'a pas souhaité revaloriser les prix. Les transformateurs ont donc préféré se tourner vers les pays étrangers pour plus de rentabilité...
|
Scooped by
Cedric
|
Christian Hascoët, porte-parole de l'Apli (Association des producteurs de lait indépendants), dénonce les erreurs successives et le manque d'anticipation des industriels de la filière. Le libéralisme actuel aboutit à une course sans fin dans laquelle les producteurs sont toujours perdants... Cette situation est d'autant plus paradoxale que, pendant longtemps, les producteurs ont eu des pénalités quand les taux de matière grasse étaient trop élevés. « C'est-à-dire que l'on a augmenté les volumes tout en diminuant la richesse du lait ». « Tout est toujours fait à contretemps, s'énerve-t-il. Les industriels se sont largement trompés dans leurs prévisions, leurs stratégies ». Et, à chaque fois, ce sont les producteurs qui ont été les premiers touchés...
|
Scooped by
Cedric
|
Isigny et Maîtres Laitiers créent des primes pour booster les AOP beurre et crème d’Isigny, ce qui ne laisse pas indifférents les éleveurs que les deux coopératives ne collectent pas.
|
Scooped by
Cedric
|
En février 2016, la production laitière s’est élevée à 284 590 tonnes, soit une hausse de 17 110 tonnes (+ 6,3%) par rapport à février 2015. Les chiffres publiés par les acteurs de la branche laitière dans le rapport mensuel sur la situation du marché du lait et des produits laitiers montrent que l’augmentation de production cumulée de janvier à mars 2016 est encore plus importante, puisqu’elle se monte à 591 258 tonnes, ce qui représente une hausse de 23 362 tonnes ou de 4,1% par rapport à la même période de l’année passée. Cheptel laitier en baisse : La hausse constante de la production de lait peut étonner au premier abord, puisque le cheptel total de vaches laitières se situait en mars 2016 à 570 906 têtes, toujours en-dessous de son niveau de 2015 (- 10 061 têtes ou – 1,7%). Moins de lait transformé en A* L’achat de premier échelon concerne l’ensemble du lait produit en Suisse. En février 2016, 82,5% du lait acheté a été écoulé dans le segment A, une proportion inférieure à celle de l’année précédente (85% en 2015). Les parts de lait B et C étaient d’autant plus élevées. La part de lait B atteignait 14,2% en février et celle de lait C 3,5% (10 002 t). Cette proportion relativement élevée s’explique par les mesures saisonnières de stabilisation du marché durant le mois de février. Comme le précise l’IP Lait (interprofession du lait), le lait du segment C est destiné à des produits servant à réguler ou à désengorger le marché. Il est exclusivement commercialisé dans les situations d’excédents. * la segmentation est appliquée de manière stricte, le producteur doit faire ses calculs avec les trois prix pratiques pour savoir s'il est intéressant pour lui d'augmenter sa production laitière. Stocks de beurre inquiétants A la fin mars 2016, les stocks de beurre étaient de 6 755 tonnes (+2 249 t ou + 49,9% par rapport à mars 2015) ; à fin avril, ils dépassaient 7 800 tonnes. Alors que la production a augmenté en mars de 1,8% (+ 82 t) par rapport à mars 2015, les ventes dans le pays ont reculé de 3% (- 112 t). Cumulée sur les trois premiers mois de l’année, la production a atteint 14 211 tonnes (+ 1 007 t ou +7,6%) et les ventes dans le pays sont montées à 9 680 tonnes (- 285 t ou + 2,9%).
|
Scooped by
Cedric
|
Le nombre croissant d'Américains qui optent pour le beurre à la place de la margarine et autres huiles a donné un coup de pouce bien nécessaire à l'industrie laitière des États-Unis. « Voilà une des raisons pour lesquelles le prix du lait n'a pas plus baissé pour les producteurs laitiers en 2015», a déclaré l’économiste Scott Brown de l'Université de Missouri. Plusieurs grandes sociétés et chaînes de restaurants, y compris McDonald, ont également adopté le beurre. McDonald aura besoin d'environ 600 millions de livres supplémentaires de lait par an. Ce qui va booster vraiment l'industrie laitière, a déclaré M. Brown. La consommation annuelle de beurre par habitant aux États-Unis a augmenté d'environ 4 livres il y a 10 ou 15 ans à environ 5,5 livres aujourd'hui.
|
|
Scooped by
Cedric
|
Au cours d’une vaste enquête conduite en 2019 auprès de 129 établissements de la filière laitière, la DGCCRF a révélé un taux d’anomalie préoccupant de 29,5%, mettant en lumière les pratiques douteuses de certains professionnels dans le secteur du beurre…
Parmi les principales anomalies constatées, on trouve la présence/anomalies des additifs alimentaires, d’emballages ou bien encore d’étiquettes non conformes. Aussi, certaines marques véhiculent des informations inexactes sur la teneur en sel de leurs produits, pouvant constituer des pratiques commerciales trompeuses. Enfin, dans certains cas plus rares mais tout aussi préoccupants, la DGCCRF a également relevé des problèmes de traçabilité liés aux origines géographiques et qualités des matières grasses utilisées…
L’enquête pointe également quelques lacunes concernant les processus de fabrication du beurre. Ainsi, certaines entreprises ne respectent pas les exigences réglementaires, notamment en ce qui concerne l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), tandis que d’autres présentent des problèmes de traçabilité et de contrôle liés à l’utilisation de lait cru et/ou de produits pasteurisés...
|
Scooped by
Cedric
|
France OP Lait conteste la valorisation B/P des industriels
« (…) Du jour au lendemain, il semblerait qu’une majorité de transformateurs souhaitent apporter de manière unilatérale une correction de l’Indicateur Beurre-Poudre : un correctif de -47.7 € correspondant à la réactualisation évaluée par ATLA des coûts de transformation supportés par la fabrication du beurre poudre. Ces derniers passeraient de 71.70€/1000L à 119.50€/1000L. La part du beurre poudre variant de 10% à 50% dans certains mix industriels, l’impact sur le prix du lait (de 5 à 10%) en cette période de hausse de nos coûts de productions (énergies, aliments,… etc.) est inacceptable. (…) »
|
Scooped by
Cedric
|
Pénurie de production: non ! Pénurie de marché : à n'en pas douter ! La pénurie de beurre est la partie visible de la guerre des prix made in France... Dans un contexte de marché des matières grasses et matières protéiques inédit, les transformateurs laitiers, en organisant la pénurie de beurre, croyaient avoir trouvé le moyen de chahuter l'oligopole des GMS françaises tout en faisant leur beurre sur le marché mondial: puisque les distributeurs français ne veulent pas payer, ils vendront leur beurre ailleurs. C'était sans compter sur le cynisme des distributeurs français....
|
Scooped by
Cedric
|
Les journaux et médias audiovisuel ont trouvé un nouveau feuilleton pour alimenter les heures creuses de l’actualité. Il s’agit de repérer quelques rayons vidés de leurs plaquettes de beurre en grande surface pour agiter le spectre de la pénurie en faisant remonter les souvenirs des plus anciens à l’occupation allemande durant la seconde guerre mondiale. Toutefois, il n’y aurait pas de pénurie de beurre si la grande distribution n’avait pas tant tiré sur les prix en février 2017, au moment du bouclage de la négociation annuelle avec ses fournisseurs.
|
Scooped by
Cedric
|
Une partie des industriels du beurre ne livrent plus les enseignes, en raison de la flambée des prix, ce qui augmente de fait la pénurie.
|
Scooped by
Cedric
|
Nouvelle opération coup de poing de la FDSEA 53 pour dénoncer les entrepôts laitiers pas aux normes, cette fois à Saint-Aignan-de-Couptrain. Une action qui entraînera sûrement des sanctions. Le beurre était destiné à la consommation.
|
Scooped by
Cedric
|
Emmailloté dans son costume vichy avec une tonalité mauve, le beurre moulé La Pointe de Sel de la marque Paysan Breton a fait son apparition dans les rayons de plusieurs enseignes de la grande distribution.
|
Scooped by
Cedric
|
Quelques acteurs clés : AMUL (Inde), Arla Foods, Dean Foods Company, Farmers Cooperative Creamery, FrieslandCampina, Kraft Foods et OJSC creative group.
|