Les systèmes s’agrandissent et se spécialisent. En 9 ans, le cheptel bovin normand tout âge et type confondu a perdu 230 000 têtes soit plus de 10% de son effectif de 2013. Dans le même temps, le nombre total de détenteurs de bovins est passé de 20 700 en 2013 à 15 500 en 2022 (- 25%)…
Les 5 principaux systèmes concentrent 70% des bovins normands. Le système laitier spécialisé arrive en tête avec 21% des bovins suivi par un système mixte avec des vaches laitières, des vaches allaitantes et de l’engraissement de jeunes bovins (où l’on retrouve 13% des bovins). Le système suivant est le système naisseur allaitant strict avec 12% des bovins. Les 2 autres sont des systèmes laitiers avec engraissement de jeunes bovins d’une part et de bœufs d’autre part, avec respectivement 12% et 11% des bovins…
Cedric's insight:
Sur les 9 années étudiées, la taille moyenne des cheptels détenus par les producteurs de bovins s’est accrue de 20% en moyenne. Les plus grosses progressions de taille de troupeau se trouvent en systèmes laitiers : +35% en moyenne. L’agrandissement est moins rapide en système allaitant (+ 13% en moyenne). La dynamique des systèmes montre une volonté de simplification des éleveurs avec de nombreux arrêts d’ateliers d’engraissement de petite taille chez les laitiers…
Le recours au maïs fourrage est hétérogène selon les régions. Dans les zones de montagne où des AOC sont très fortement présentes (Savoie, massif du Jura), les systèmes herbagers se maintiennent voire se développent. En Auvergne, la proportion des exploitations ayant fortement recours au maïs reste faible ; le maïs progresse néanmoins, la part des herbagers purs diminuant. Dans le reste du croissant laitier, les exploitations ayant recours au maïs gagnent du terrain, en particulier en Bretagne et Normandie.
Le travail reste essentiellement familial, mais le salariat progresse. Au global, le troupeau laitier s’est réduit de 6% en 10 ans, quand l’emploi a diminué de 26%. Ainsi, en 2010, un ETP s’occupait en moyenne de 24 vaches laitières, contre 31 en 2020…
Cedric's insight:
voir aussi Agreste : Les exploitations bovines laitières en France métropolitaine en 2020
Et si la diversification et/ou restructuration des exploitations, dont la transmission est particulièrement difficile, permettait de lever certains freins économiques, sociaux, environnementaux, particulièrement en élevage ?
La Fnab, la FNH et Terre de liens ont voulu en savoir plus à ce sujet, en analysant une douzaine de fermes ayant fait ce choix…
Cedric's insight:
Etude « Un horizon pour les fermes d’élevage : restructurer et diversifier »
La pénurie mondiale actuelle d’énergie entraîne une forte augmentation de son prix et indirectement du prix des aliments pour animaux…
Par conséquent, la grande partie de la production animale qui repose sur les céréales, les légumineuses et les fourrages cultivés connaîtra une forte perte de compétitivité. La faible efficacité énergétique des animaux rend ces systèmes d’élevage sur terres arables très vulnérables à la crise énergétique actuelle…
L’augmentation des coûts de production pourrait entraîner une forte hausse des prix des produits animaux. Si elle se répercutait entièrement sur les prix des produits, cette augmentation des coûts de production entraînerait une baisse significative de la consommation dans un contexte de baisse du pouvoir d'achat. Le risque d’une baisse des revenus des agriculteurs est donc réel…
Pour éviter ce scénario, nous proposons que deux conséquences semblent inévitables pour les systèmes d'élevage :
👉 Réduire les terres arables dédiées à la production d'aliments pour animaux, car d'autres marchés seront plus rentables
👉 passer à des stratégies alimentaires basées sur des terres et des matières premières à faible opportunité dont l’élevage est le plus susceptible de bénéficier, c’est-à-dire des ressources de mauvaise qualité difficiles à récolter
Cedric's insight:
Cela se traduirait par une réduction du nombre d'animaux et une redistribution du cheptel dans les paysages agricoles, une modification des types et des caractéristiques des animaux de ferme, une adaptation des chaînes d'approvisionnement et un rééquilibrage des régimes alimentaires. Une telle évolution de l’élevage devrait également répondre à d’autres défis majeurs, comme le changement climatique et l’alimentation de l’humanité.
Une équipe scientifique du Cirad, d’Inrae et de l’Institut Agro propose un tout nouveau concept pour étudier et accompagner la conception de systèmes de culture associant différentes espèces…
L’ESSU englobe dans les proportions de la parcelle, toutes les espèces qui interagissent entre elles et avec leur environnement (par exemple, cultures, arbres, bétail, végétation spontanée, habitats semi-naturels tels que haies, fossés et îlots forestiers, faune sauvage), pour fournir un ensemble de services écosystémiques…
« Ce concept novateur permet de représenter un agroécosystème biodiversifié par une brique élémentaire que l’on peut répliquer pour représenter la parcelle en entier »…
Cedric's insight:
voir aussi The ESSU concept for designing, modeling and auditing ecosystem service provision in intercropping and agroforestry systems
Sur le fond il n’y a aucune incompatibilité entre méthanisation et agroécologie, aussi bien au niveau théorique que pratique. Les premiers constats sur les impacts environnementaux directs de la filière de méthanisation seraient plutôt encourageants. Mais une vision systémique de la méthanisation agricole montre un tableau plus mitigé…
L’Observatoire technico-économique du Réseau CIVAM, compare chaque année les performances des systèmes herbagers de fermes engagées en agriculture durable, avec celles des exploitations laitières « conventionnelles » du Grand Ouest…
Avec moins de terres, d’animaux et d’investissement, les systèmes herbagers dégagent autant, si ce n’est plus de revenu, font vivre plus de monde sur les fermes et préservent l’environnement…
Cedric's insight:
voir aussi Civam : ” Les bonnes énergies des systèmes pâturants”
Chambres d’agriculture France met à disposition un guide pour le conseil d’entreprise compilant les références systèmes produites dans le cadre d’INOSYS Réseaux d’élevage…
Au sommaire :
• INOSYS Réseaux d'élevage : une plateforme collective pour la connaissance et l'innovation dans les systèmes d'élevage herbivores
• L'observatoire national : références nationales
• Des observatoires régionaux : références régionales
• Les cas-types : modélisation de systèmes cohérents
« Ça ressemble à l'agriculture de conservation tout en intégrant l'élevage. » L'idée reste la même : maximiser l'activité biologique du sol. Mais chez un polyculteur-éleveur, cela passe par la valorisation des effluents d'élevage, la gestion des prairies dans la rotation, l'utilisation des couverts végétaux, etc.
La durabilité économique constitue l’un des trois piliers de la durabilité des exploitations en complément des critères de durabilité sociale et environnementale.
La durabilité économique des exploitations d’élevage est caractérisée par leur viabilité, leur transmissibilité et leur capacité de résilience aux aléas et aux mutations. Evaluer cette durabilité doit permettre de répondre à une attente des consommateurs soucieux d’une production qui rémunère les éleveurs, et initier des stratégies d’élevage viables et pérennisées…
Cedric's insight:
voir aussi Durabilité des systèmes lait et viande : Des écarts plus importants entre exploitations qu'entre filières
Les croisements Jersiaise Prim’Holstein sont les mieux adaptés aux systèmes de pâturage…
Ils ont obtenu le rendement laitier le plus élevé et la teneur absolue en matière sèche du lait la plus élevée par rapport aux Prim’Holstein pures et à un triple croisement Holstein x Jersey et Norwegian Red…
Des scientifiques de l'Institut Teagasc en Irlande ont pu le prouver. Pendant trois ans, ils ont comparé l'influence de ces trois génotypes différents et l'influence du nombre de lactations sur l'apport en matière sèche, la production laitière et la teneur en matières grasses et en protéines, chacune liée à leur poids corporel…
Pour l’instant, la hausse des produits lait, viande et cultures compense l’augmentation des charges pour la ferme bretonne moyenne…
Le service économique Innoval a réalisé des simulations sur la ferme moyenne bretonne, pour un élevage plus intensif et un plus extensif. Avec l’idée de pouvoir adapter sa stratégie…
« Pour un élevage moyen de 80 vaches (640 000 l, 1,65 UGB/ha SFP) sur 100 ha, avec 2 UTH, et un objectif de 121 000 € d’EBE (60 500 €/UTH), les charges opérationnelles augmentent de 20 % avec un surcoût de 46 % sur le coût alimentaire (aliments achetés + engrais SFP). Le prix du GNR est doublé. La marge brute des céréales est améliorée malgré le prix de la fertilisation grâce à l’évolution des prix de vente. En partant sur un prix du lait moyen payé à 390 € (au lieu de 367 € l’an passé), nous sommes sur une marge équivalente. La hausse des produits (lait, réformes, veaux, génisses) compense celles des intrants. »
Cedric's insight:
Dans le cas d’un élevage plus intensif (80 VL, 760 000 l, 1,95 UGB/ha SFP), les simulations permettent de couvrir les hausses des charges en livrant 10 000 l de plus pour garder le même EBE. Selon les calculs, le système plus pâturant (80 VL, 580 000 l, 1,35 UGB/ha SFP) pourrait même produire 10 000 l de moins…
Voir aussi Impact de la hausse des matières premières sur les coûts de production
En Norvège, 47 % des exploitations laitières en étaient équipées en 2018, et 57 % en 2020. Les chercheurs ont voulu estimer les effets de ce choix technologique sur les systèmes de production, et leurs conséquences en matière d’émissions de gaz à effet de serre…
Ces travaux montrent que l’installation de robots entraîne un accroissement des troupeaux, en moyenne de 8,7 vaches laitières (+ 29%) et une légère diminution du volume de travail par animal. La production laitière est intensifiée, avec une augmentation du volume de lait par vache (+ 520 litres/an, soit +7,6%) par un recours accru aux concentrés dans leur alimentation (+ 6 points)…
En moyenne, l’efficience écologique des exploitations en est diminuée, leur score d’efficience (qui vaut 1 à l’optimum) passant de 0,43 à 0,40 à la suite de l’installation du robot…
Cedric's insight:
voir aussi Evaluating environmental effects of adopting automatic milking systems on Norwegian dairy farms
Les gains en émissions de GES économisées grâce à l’augmentation de la production laitière sont marginaux pour les systèmes de production laitière dont la production laitière est supérieure à 5 000 kg de lait/VL/an…
Le point d'inflexion de cette relation est d'environ 1 200 kg de FPCM/VL/an ; c'est le rendement laitier qui devrait être la performance minimale ciblée pour une réduction maximale de l'intensité à l'échelle du secteur à l'échelle mondiale…
Dans le cas extrême d'un animal très hautement productif, où presque toutes les émissions proviennent de la production de lait et où l'entretien de l'animal devient négligeable, une augmentation supplémentaire de la quantité de production par animal n'entraînera que des réductions supplémentaires mineures de l'intensité des émissions…
Cedric's insight:
Source : Climate change and the global dairy cattle sector
Les gains de production enregistrés au cours des deux dernières décennies sont le résultat de stratégies de croissance très différentes selon les régions…
Les États où la taille moyenne du troupeau est inférieure à 500 vaches sont indiqués en bleu, et ceux qui comptent plus de 500 vaches par troupeau sont en orange. Nous distinguons les États laitiers « traditionnels » avec de petits troupeaux et une longue histoire de production laitière et les États laitiers « modernes » avec de grands troupeaux où le secteur laitier n’a atteint que récemment son ampleur actuelle…
L’essentiel de la croissance de la production dans les États « traditionnels » provient de l’augmentation de la production laitière. Les États « modernes » ont augmenté leur production en augmentant à la fois la production laitière et le nombre total de vaches…
La croissance rapide de la production dans les États modernes a conduit leur production à dépasser celle des États traditionnels en 2004. Ils ajoutaient des vaches à un rythme rapide alors même que les États traditionnels en perdaient. Après 2008, la tendance à la croissance du nombre de vaches dans les États modernes a considérablement ralenti. Le nombre de vaches est relativement stable dans les États traditionnels. Le cheptel de vaches laitières y a cessé de décliner en 2004 et n'a depuis lors que légèrement augmenté avant de décliner à nouveau en 2018…
La production dans les États modernes avait un rendement laitier plus élevé. Mais celui des États traditionnels a commencé à les rattraper après 2010. Les États traditionnels ont augmenté leur production laitière d'environ 18% depuis 2010, contre seulement 8% dans les États modernes…
Dans les États traditionnels, la croissance de la taille des troupeaux a été presque entièrement due à la diminution du nombre d’exploitations. De 2014 à 2022, le nombre d’exploitations agricoles a chuté de 37% dans les États traditionnels et de 26% dans les États modernes. Les États traditionnels ont presque triplé la taille de leurs troupeaux en 20 ans, tandis que la taille des troupeaux des États modernes est un peu plus du double de ce qu'elle était en 2003…
Cedric's insight:
Les contraintes liées à l’échelle de la production laitière ont peut-être d’abord frappé les fermes laitières des États traditionnels, les conduisant à se concentrer sur l’augmentation du rendement grâce à l’amélioration de la gestion et de la génétique. Cette tendance pourrait se manifester dans les États modernes dans les années à venir…
🎥 Il est beau, utile, ergonomique ! Chacun peut faire son marché dans une collection de plus de 200 "cas-types" d'élevages de ruminants dans toutes les Régions et toutes les filières.
✔ Pour trouver des modèles d'exploitations, adaptés à chaque territoire, rentables et vivables, dans lesquelles s'installer
✔ Pour disposer de références adaptées à la diversité des façons de produire en France, auxquelles se comparer, pour identifier des marges de progrès
✔ Pour mieux connaitre les façons de produire d'une Région, d'une Filière ...
✔ Pour simuler l'impact de politiques publiques
✔ Pour nourrir vos enseignements et vos travaux de recherche ...
📌 Au fait, un cas-types est une exploitation reconstituée, via un travail collectif de modélisation et d'expertise de terrain. Il décrit le fonctionnement technique et économique d'un système cohérent et reproductible, dans un contexte donné.
Une complémentarité entre élevage et cultures : l’assolement en commun à 3 exploitations est un gros atout. Les trois structures sont complémentaires. Ainsi, les éleveurs sont plus à l’aise avec la production fourragère et le plan d’épandage…
Mais attention à certains aspects notamment administratifs. La SEP, société en participation, sert de cadre juridique pour l’assolement en commun entre plusieurs exploitations. Elle n’a pas de personnalité juridique et donc pas de patrimoine. Elle peut acheter des intrants et vendre les récoltes. C’est à peu près tout…
Malgré la persistance de la représentation traditionnelle de l’élevage laitier, la vache n’est plus toujours au pré pour produire son lait. Entre rentabilité et nouvelles attentes sociétales en termes d’environnement, de bien-être animal et de qualité nutritionnelle, les systèmes laitiers sont appelés à évoluer. Avec une question centrale : le retour à l’herbe est-il possible, souhaitable ?
Trois grands systèmes de production dans le monde :
• Les élevages pastoraux, très localisé, dans les régions de haute montagne en France
• Les élevages mixtes, qui peuvent être considérés comme la norme mondiale
• Les élevages industriels, concentrés en Chine et aux États-Unis
L’agriculture est infiniment plus complexe que n’importe quelle invention humaine. Quand on parle des viandes, on les classe selon leurs émissions moyennes de CO2 (eq)…
Mais ces moyennes cachent de très TRÈS grandes variabilités : les émissions du bœuf varient de 1 à 10 selon le mode de production. Imaginez acheter une voiture sans savoir si elle consomme 5L ou 50L au 100…
Cedric's insight:
La variabilité de ces émissions dépend notamment de la race de vache, la conduite du troupeau, les pratiques alimentaires, la gestion des effluents, etc. Rajoutons un niveau de complexité : les vaches qui profitent des prairies améliorent la séquestration du CO2 des sols. Autrement dit, elles compensent une partie de leurs propres émissions. Les vaches valorisent de l’alimentation non-humaine (de l’herbe) vers des protéines comestibles. Elles valorisent des prairies qui, dans près de la moitié des cas (à l’échelle de la planète) ne peuvent pas être converties en terrain agricoles…
Regard sur 7 années de suivi des fermes bovins lait INOSYS-Réseaux d’élevage
Avec la fin des quotas laitiers, les éleveurs ont adopté des stratégies diverses et variées. L’agrandissement ou la stabilité ? Un système plutôt maïs ou herbe ? Avec 7 ans de recul et d’analyses, chaque stratégie s’est avérée gagnante grâce à une bonne maîtrise technique et à une cohérence globale de projet. Ces réflexions stratégiques se révèlent d’autant plus fondamentales dans les contextes économiques et climatiques tumultueux que nous connaissons aujourd’hui…
2014-2020 est une période charnière pour les exploitations laitières françaises qui ont dû faire face à la fin des quotas laitiers et à des aléas climatiques et économiques. Dans ce contexte, les éleveurs ont adopté différentes stratégies pour préserver ou améliorer la rentabilité de leur exploitation. Elles conduisent à des modifications des structures et des conduites techniques…
Cedric's insight:
voir aussi Évolutions 2010-2019 des systèmes d’élevage bovin en Normandie
Que de transformations en 10 ans, depuis le dernier recensement agricole ! La Normandie a vu la géographie de ses productions évoluer rapidement, dans la Manche avec une vocation laitière réaffirmée, et ailleurs avec un glissement vers les grandes cultures…
L’évolution, de l’élevage à la polyculture-élevage, est présente ailleurs, dans les régions de montagne notamment, mais la Normandie concentre trois départements très concernés – le Calvados, la Seine-Maritime et l’Orne –, ce qui la classe au premier rang des régions françaises par l’intensité de cette transformation. L’évolution de la “polyculture- élevage” vers “les grandes cultures” est particulièrement présente en Seine-Maritime et dans l’Eure…
Le recensement agricole a dénombré 416 054 exploitations agricoles en France en 2020. C’est encore une baisse rapport à 2010 (514 694), mais le rythme s’est ralenti par rapport aux décennies précédentes. Même constat d’un ralentissement de la baisse de la population active agricole de la SAU valorisée par les exploitations agricoles depuis 10 ans…
L’agriculture française a changé de visage : les productions végétales mobilisent plus d’exploitations (216 949) que les productions animales (149 789 exploitations), c’était l’inverse il y a encore vingt ans…
Mieux vaut viser l'autonomie protéique, ou vendre des cultures pour acheter du tourteau ? Avec la hausse des prix des céréales, les arbitrages entre alimentation du bétail et culture de vente tendent à se modifier, et dans certains cas, l'autonomie n'est plus la voie la plus rentable…
Cedric's insight:
voir aussi Comment l’Inde a poussé les prix du blé à de nouveaux records
Cours du blé : des variations amplifiées par les spéculations financières
En dépit des incertitudes liées à la guerre en Ukraine, la FAO table sur une production mondiale de blé de 770 millions de tonnes pour 2022-2023, contre 776 millions de tonnes pour la campagne précédente…
L'Institut de l'élevage a tenté de comparer la durabilité économique des systèmes de ruminants. Entre 2014 et 2019, les systèmes laitiers ont en moyenne permis une meilleure rémunération de l'éleveur, avec une meilleure rentabilité du capital investi qu'en système allaitant…
Cedric's insight:
Les écarts de résultats entre les filières lait et viande sont cependant moins importants que les écarts entre exploitations d'une même filière…
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