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« 30% des industriels jouent le jeu de la transparence. » Environ 30 % seulement des industriels jouent réellement le jeu de la transparence sur leurs tarifs. Les autres se contentent de fournir des certificats émis par des commissaires aux comptes, en se gardant bien de les détailler…
Le législateur doit fixer de nouvelles règles, en particulier pour les industriels. Nous proposons qu'elles s'inspirent des contrats tripartites signés pour nos produits sous marque de distributeur. Dans ce cas, les trois parties - agriculteurs, transformateurs et distributeurs - s'engagent ensemble, et le résultat est bien plus satisfaisant pour tous. Le processus est plus vertueux et son résultat s'en ressent…
La durée des négociations pose également problème. Il faudrait casser ce rythme, pour nous permettre de négocier toute l'année et avoir des discussions apaisées qui s'adapteraient à la conjoncture, économique ou climatique. Là encore, pour nos marques de distributeur, nous ne sommes pas confrontés à une date butoir : nous nous mettons d'accord en confiance sur un juste partage de la valeur entre producteurs, transformateurs et distributeurs…
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Dominique Schelcher, directeur général de Système U : "Jusqu'à présent, le chiffre est de 14 à 15 % d'inflation alimentaire : mon pronostic ce matin, c'est une inflation malheureusement supplémentaire, dans les semaines et les mois qui viennent, d'environ 10 %"…
"Il y a une recherche d'effet d'aubaine" des industriels. Des négociations avec les grandes marques qui sont "difficiles", selon lui. "Parce que le sujet, c'est qu'on manque cette année de transparence dans les négociations : quand il y a un certain nombre de matières premières qui, depuis plusieurs mois, sont à la baisse, pourquoi continue-t-on à nous demander des hausses de prix ? Aujourd'hui, c'est 15 % de hausse qui nous sont demandés par les industriels."…
"Le blé est en baisse de 23 %, l'huile de 40 % sur ces derniers mois. Le beurre, le maïs, l'acier, l'aluminium, les emballages, les transports sont à la baisse. D'ailleurs les PME, avec qui nous avons plus facilement conclu nos accords, demandent moins de hausse avec les mêmes matières, les mêmes emballages que les grandes marques."…
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A travers une convention cadre, la Coopération agricole et Système U veulent s’engager à « renforcer leurs liens avec pour ambition d’établir des relations saines, pérennes et créatrices de valeurs pour participer à co-construire l’alimentation française de demain »…
« Ce partenariat entre l’organisation représentant les 2 200 coopératives agricoles qui font 40 % de l’agroalimentaire français et un acteur majeur de la distribution très ancré dans les territoires est une grande fierté. D’abord unis par notre appartenance au modèle coopératif, nous avons décidé avec Système U, de nous associer en faveur d’une chaîne alimentaire française pérenne, durable et résiliente : il en va de notre souveraineté », selon Dominique Chargé, président de La Coopération agricole…
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Le président de Système U ne craint pas tant les coupures cet hiver que les tarifs de l’électricité et du gaz qui, selon lui, vont mettre les PME face à un « mur ». Il craint une catastrophe économique si l’on ne trouve pas de solution pour les PME prises au piège de l’inflation de l’énergie… Au cours du jour, l’électricité pour 2023 peut être 5, 6 ou 7 fois plus chère qu’en 2022. Chez Système U, les magasins achètent leur électricité et leur gaz ensemble. Ceux qui sont dans ces contrats groupés sont donc bien couverts. Mais même pour eux, la facture va doubler en 2023…
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La centrale d'achat Envergure créée entre Carrefour et Système U cessera ses activités d'un commun accord à l'issue de la campagne de négociations 2023. Ce qui va permettre à Système U de "reprendre en main le destin de la totalité" de ses négociations…
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À partir de 2019, Schreiber Foods, le numéro trois du lait aux États-Unis, fournira en exclusivité les magasins U en yaourts et fromages blancs sous la marque du distributeur... Le groupe de distribution a signé avec le numéro trois américain du lait un contrat d’approvisionnement exclusif, pour une durée de six ans renouvelable. Schreiber foods livrera chaque année 50 000 tonnes de produits laitiers fabriqués dans son usine de Cléry-le-Petit (Meuse), rachetée en juillet 2017 au groupe fromager Bel. "Ces produits seront fabriqués avec le lait des producteurs français collectés par l’usine", souligne Serge Papin. Le groupe U était jusque-là livré par plusieurs fournisseurs dont Eurial, la branche lait du groupe coopérarif normand Agrial et Novandie (marque Mamie Nova), filiale du groupe Andros.
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La chaîne de supermarchés Système U a annoncé, mardi, de nouvelles négociations sur les tarifs du lait, ouvertes dès mercredi avec les producteurs…
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En 2011 le collecteur de lait bio, la laiterie du Loiret et le distributeur avaient inauguré le premier contrat tripartite portant sur un volume de 6 millions de litres de lait de lait bio de consommation. Les trois partenaires ont signé un nouvel accord pour une durée de 5 ans, de 2017 à 2021 inclus. Il porte sur un volume de 30 millions de litres par an, et prévoit un prix fixe payé aux producteurs de 450 € au cours des trois premières années.
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Schreiber, issu du Wisconsin, rachète une usine au groupe Bel pour fabriquer les yaourts de marque U. Il s'engage à se fournir uniquement en lait tricolore. Selon nos informations, le groupe américain Schreiber Foods vient en effet secouer le secteur en signant un accord avec le groupement coopératif Système U (Hyper U, Super U…).
Celui-ci porte sur la fourniture exclusive de ses yaourts, fromages blancs et desserts ultrafrais de marque U, soit environ 47.000 tonnes de produits par an. Le partenariat entrera en vigueur en 2019, pour une durée minimum de six ans, reconductible. À terme, il pourrait être étendu à d'autres catégories de produits, comme les fromages.
L'accord est loin d'être anodin, il signe l'arrivée d'un nouvel acteur sur le marché français des produits laitiers. ...
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Face aux difficultés que connait la filière lait, Système U, la Laiterie Saint-Denis-de-l ‘Hôtel et l’Association des Producteurs Laitiers du Bassin Centre (APLBC), signent un partenariat tripartite pour une juste rémunération des éleveurs et pérenniser la filière avec des contrats pluriannuels.
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REPLAY / INVITÉ RTL - Au cœur des négociations commerciales de 2016, Serge Papin s'engage auprès des éleveurs à augmenter le coût minimum du litre de lait.
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Une relation de confiance et de coopération depuis 13 ans : Renouvellement du contrat tripartite pour la fourniture du lait biologique vendu à la marque U avec Biolait, qui regroupe 1 300 fermes adhérentes, et la société LSDH…
Un marqueur fort du soutien des Magasins U envers la filière bio affectée par l’inflation. Les Magasins U ont décidé, en effet, de maintenir leur assortiment de produits bio malgré la baisse des ventes en volume et multiplient les initiatives avec les différentes filières pour soutenir le modèle agricole français…
L’engagement des Magasins U aux côtés de Biolait pour assurer leur approvisionnement en lait bio et français à la marque U remonte à 2011. Ce premier contrat prévoyait notamment le soutien à la conversion d’exploitations agricoles vers le bio en finançant la prime à la conversion pendant 3 ans, sur l’intégralité du volume contractualisé. 13 ans plus tard, 280 millions de litres de lait bio à la marque U ont été commercialisés…
Par la signature de ce nouveau contrat sur 5 ans, les Magasins U renforcent leur relation pérenne avec l’ensemble de la filière d'approvisionnement. Cela représente environ 22 millions de litres de lait bio par an, soit l’équivalent de la production annuelle de 90 fermes…
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Le patron de Système U s’inquiète des risques de faillite dans le secteur agro-alimentaire. Près de 12 % des produits manquent déjà en rayon, aggravant la dépendance aux importations.
Des producteurs aux distributeurs, les inquiétudes se multiplient à tous les niveaux de la chaîne alimentaire face à l’envolée des coûts de l’énergie. Les tensions ont engendré une recrudescence des ruptures de certains produits. Pour de multiples raisons, y compris celles liées à un manque de personnel, comme dans les entrepôts ou chez les transporteurs, où manquent encore aujourd’hui 40 000 chauffeurs routiers…
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« La situation des éleveurs est critique, on échange beaucoup avec eux. Dans notre tarif de septembre, on fait un pas vers eux pour arriver à terme à 1 euro le litre de lait premier prix. On va d’abord passer en septembre la barre des 80 centimes dans notre enseigne et par conséquent beaucoup d’autres laits sont déjà à 1 euro. Donc on réduit l’écart vis-à-vis de l’objectif des agriculteurs »… Le rôle de la grande distribution est-il de défendre le pouvoir d’achat des consommateurs ou les revenus des agriculteurs ? « Ma conviction, c’est qu’il faut faire les deux. La chaîne alimentaire est composée de maillons. D’un côté de la chaîne, le maillon c’est le consommateur. De l’autre, c’est le producteur initial, l’agriculteur. Une chaîne, par définition, a la force de son maillon le plus faible. Aujourd’hui il y a des maillons faibles, c’est le monde agricole. Il faut l’aider. Je dis que l’on ne peut pas privilégier un des maillons au détriment d’un autre. Sinon dans la durée ça craque. C’est ce qui est un peu en train de se passer. Donc il faut refaire le lien entre alimentation et production »…
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"Le mouvement chez nous est enclenché, on a signé un contrat avec tous les producteurs de lait", a expliqué Dominique Schelcher. "Au mois de septembre, tous les laits de la marque U vont augmenter. La décision est prise, on va se rapprocher de 1 euro le litre. On aura encore un lait premier prix qui sera un peu moins cher pour l'instant, mais la discussion continue. A terme, (le litre de lait à moins d'un euro) ce n'est pas tenable, c'est l'appel (que les producteurs) nous font."
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Le distributeur Système U est favorable à la détermination de « prix référents » pour les principales matières premières agricoles (lait, porc, boeuf) vendues en grande surface, a dit mercredi son patron, Serge Papin devant des agriculteurs.
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Présent en Europe depuis 1992, l'américain Schreiber arrive en France en rachetant au groupe Bel le site de Cléry, dans l'Est. Ce spécialiste des MDD reprend l'activité fromage qu'il compte développer et investit dans l'ultrafrais en partenariat avec Système U.
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Les producteurs de lait et le patron de la chaîne de supermarchés Système U se sont efforcés d'afficher une union indéfectible, ce mardi à Paris, dans une opération bien rodée lors de laquelle ils ont demandé une meilleure "répartition de la valeur" du lait.
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La Laiterie Saint Denis l’Hôtel (LSDH) favorise des initiatives visant à rééquilibrer les relations avec les producteurs pour que le lait livré soit mieux payé.... La nouvelle marque doit en fait sa rentabilité à la mise à disposition d’un outil industriel performant réservé au conditionnement des produits de marques de distributeur. Le lait « C’est qui le patron ! » bénéficie ainsi des gains de productivité qui en découlent. La construction d’une ligne de conditionnement spécifique pour cette marque décuplerait les frais de transformation, renchérirait le prix de vente et détournerait au final le consommateur.... En 2014, les centrales d’achat des grands groupes de distribution ont accepté, sous l’impulsion de Faire France (marque visant une rémunération décente pour les producteurs), de vendre à 0,99 € la brique d’un litre de lait demi écrémé pour que le lait soit acheté 10 centimes au-dessus du prix du marché. Et c’est LSDH qui conditionne en briques le lait ainsi vendu.... En 2009 déjà, face à des producteurs locaux en difficultés et à des consommateurs soucieux de privilégier l’achat local, LSDH avait lancé le lait Centre Val de Loire. Quelques mois plus tard, Système U rejoignait la laiterie dans sa démarche en référençant le lait Centre Val de Loire dans ses hypermarchés et supermarchés de la région. La laiterie était à l'époque la première entreprise à avoir passé et imaginé des accords tripartites producteurs-transformateurs-distributeurs (avec Super U, Auchan, ou Lidl, entre autres)
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REPLAY - INVITÉ RTL - Serge Papin en appelle aux pouvoirs publics, et demande la remise en cause de la "loi du plus fort". Serge Papin plaide pour "une loi plus protectrice. Il faudrait qu'il y ait des prix minimums au moment de la signature des accords pour les matières premières agricoles, comme le lait, la viande bovine, le porc...
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La première coopérative laitière française et Système U ont signé hier un partenariat permettant de soutenir la filière lait en France. Il s'inscrit dans une démarche plus globale qui vise à permettre une juste rémunération des producteurs et à pérenniser la filière par la signature de contrats à moyen terme.
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