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C'est la première fois qu'un acteur privé, le Groupe Bel, investit dans la réhabilitation des tourbières du Jura. Pour l'entreprise, financer un projet de captation du carbone est un moyen de compenser les émissions inévitablement induites par la production industrielle de son fromage…
"Pour des acteurs de l'environnement, c'est un cadeau de Noël." Après 4 ans de préparation, un partenariat a été officialisé entre les différents acteurs publics du projet et le producteur de fromage, pour réhabiliter des tourbières dans le Jura, un levier d'action considérable contre le réchauffement climatique…
Les tourbières sont des zones humides. L'accumulation des végétaux morts dans l'eau y forme de la tourbe, une matière organique qui fixe le carbone dans le sol. Les espaces tourbeux emprisonnent 30% du carbone mondial stocké dans le sol alors qu’ils n'occupent que 3% des terres émergées du globe. Résultat : les tourbières asséchées sont responsables de 5% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Leur réhabilitation est donc un levier d'action essentiel contre le réchauffement climatique…
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La fromagerie Laïta d’Ancenis poursuit sa modernisation. Sur le plan économique, la modernisation vise à accroître la capacité de production et à diversifier le mix-produits pour répondre aux exigences accrues des clients de Laïta, tout en créant de la valeur pour les producteurs laitiers du territoire…
Dans ses trois ateliers indépendants, la fromagerie produit 22 000 tonnes de fromages à pâte molle, répartis en plus de 200 références produits. «Nos bries et camemberts sont commercialisés à 60% à l’exportation sur l’Allemagne et l‘Angleterre, essentiellement sous marques de distributeur, et au grand export sous marque Paysan Breton ». Les 40% restants sont vendus en France. Un brie sur cinq fabriqués dans l’hexagone sort de l’outil d’Ancenis. Les clients sont issus de la grande distribution, de la restauration hors domicile ou encore des industries agroalimentaires pour les fromages-ingrédients…
Pour s’adapter à la demande évolutive des marchés, la production s’oriente vers des fromages petits formats pesant moins de 500 grammes. Pour ce faire, une ligne de conditionnement permettant d’emballer des Ovales 300 grammes a été rénovée, et l’atelier a été doté d’une nouvelle ligne de conditionnement pour les camemberts…
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Créée en 1912, la fromagerie Gillot est rachetée en 2005 par la famille Fléchard, spécialisée dans le beurre pâtissier. Gillot est l'une des dernières PME familiales indépendantes à produire du camembert de Normandie au lait cru sous AOP…
« Nous avons imaginé un programme de rénovation pour les vingt ans à venir. Le projet de 6 millions d'euros est devenu un projet de 10 millions, puis de 15 millions pour atteindre au final 25 millions. » Des investissements qui ont porté leurs fruits…
Depuis le début de l'année, alors que le marché est en baisse de 6%, Gillot maintient ses volumes tandis que son CA gagne 4% sur les AOP. « Aujourd'hui, le camembert AOP représente un peu moins de 50 % de nos ventes avec 7 millions de pièces produites par an sur un total de 18 millions. L'export pèse aujourd'hui 15 %. Et sa part devrait croître.»…
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Saputo a annoncé des changements à ses activités aux États-Unis, affirmant qu’il fermerait définitivement trois installations, construirait une nouvelle usine d’emballage et étendrait ses activités de fromage à effilocher.
• Construction d’une nouvelle installation de coupe et d’emballage à la fine pointe à Franklin, au Wisconsin, créant 600 emplois;
• Expansion des activités de fabrication de fromages à effilocher sur la côte Ouest des États-Unis;
• Fermeture permanente des installations de Big Stone, au Dakota du Sud, de Green Bay, au Wisconsin et de South Gate, en Californie
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Saputo annonce aujourd’hui qu’elle entreprend de nouveaux projets de consolidation visant à accroître l’efficacité de ses activités d’exploitation et à renforcer sa compétitivité en Australie…
Ces initiatives comprennent l’intention de procéder à la fermeture permanente de son usine de Maffra (Victoria). De plus, les sites resteront opérationnels, mais la Société rationalisera les activités de ses usines situées à Leongatha (Victoria) et à Mil-Lel (Australie-Méridionale)…
Elles devraient se traduire par des économies annuelles et des avantages graduels, qui commenceront au quatrième trimestre de l’exercice 2023 pour atteindre environ 10 millions de dollars canadiens après impôt d’ici à l’exercice 2025. Les coûts associés aux projets de consolidation s’élèveront à environ 26 millions de dollars canadiens…
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Saputo annonce aujourd’hui des investissements et des initiatives de consolidation visant à rationaliser davantage son empreinte de fabrication dans le Secteur USA…
« Cette nouvelle série d’investissements et d’activités de consolidation renforcera la compétitivité et le rendement à long terme de nos activités de fromage dans le Secteur USA tout en augmentant notre efficacité et notre productivité. Nous avons mis l’accent sur l’accélération des initiatives de notre plan stratégique mondial. »
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Dans le cadre de son plus gros investissement laitier à ce jour, la coopérative européenne augmente la production de lait en poudre sur son site de Pronsfeld, dans l'ouest du pays…
Elle traitera 685 millions de kilogrammes de lait/an et comprendra une tour de séchage de 51 m comme pièce maîtresse. L'installation produira environ 90 000 tonnes de lait en poudre de haute qualité par an. Le site de Pronsfeld, qui s'étend sur 55 ha, est l'une des plus grandes laiteries d'Europe, fournissant des produits laitiers à environ 70 pays. Environ 1 000 personnes sont employées dans l'usine qui a transformé 1,5 milliard de kg de lait en 2021…
Le lait provient d'agriculteurs Arla de la région de la Rhénanie-Palatinat, de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, du Luxembourg et de la Belgique avec la Wallonie et la Flandre…
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Victorien Postel, jeune agriculteur récemment installé sur l’exploitation de ses parents à Songeons dans l’Oise (60), vient de doubler sa référence laitière. Mais passer de 500 000 à 1 000 000 de litres de lait ne se fait pas sans rien.
Et comment limiter les investissements dans une filière qui avance au ralenti ? En ne se basant que sur le court terme, d’après l’éleveur...
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Le groupe chinois Synutra inaugure, aujourd’hui, sa première usine laitière à Carhaix, en Bretagne. Trois autres sont prévues en 2020. Décryptage des grands appétits de ce pays.
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Danone a annoncé mardi prévoir une accélération de sa marge en 2016, préférant y allouer une partie de ses investissements plutôt que soutenir à tout prix sa croissance dans plusieurs pays émergents, notamment en Chine. Le groupe agroalimentaire vise désormais une amélioration de sa marge opérationnelle courante comprise entre 50 et 60 points de base en données comparables, alors qu'il visait jusqu'ici une "progression solide". L'an dernier, le groupe avait affiché une hausse de 17 points de base de sa marge.
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Cathay Capital, une plateforme d'investissement mondiale, a annoncé un partenariat stratégique avec Savencia et a réalisé un investissement stratégique dans la marque chinoise Baijifu de ce dernier, visant à renforcer sa présence sur le marché chinois…
Baijifu, propriété de Savencia, propose désormais plus de 50 fromages et produits laitiers dans plusieurs séries dans le monde. "La confiance entre les deux sociétés a conduit à ce partenariat. Nous serons plus forts dans la croissance de nos activités en Chine"…
Savencia est apparue comme un précurseur sur le marché chinois du fromage il y a trente ans. "Actuellement, le marché chinois du fromage est petit, avec une consommation annuelle moyenne de fromage d'un consommateur chinois d'environ 180 grammes, contre 27 kilogrammes en France et 4 kilogrammes au Japon". Savencia, prévoyant que la consommation augmentera en Chine, espère réinventer et innover sur ce marché…
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FrieslandCampina a annoncé son intention d'investir dans son usine de Borculo aux Pays-Bas, dans le but de doubler la capacité de production de ses isolats de protéines de lactosérum…
Cette expansion permettra à l'entreprise de répondre à la demande croissante d'ingrédients de haute qualité pour les marchés du sport et de la nutrition infantile. L’expansion du produit fait partie de la stratégie commerciale de FrieslandCampina, Expedition 2030…
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Alsace Lait continue à diversifier et à élargir sa gamme de produits. La coopérative de Hoerdt, qui fabrique du fromage frais, de la crème, des yaourts et une gamme complète de lait UHT, va se lancer en 2024 dans les fromages frais tartinables. Pour assurer son développement, elle aura investi 23 millions d’euros en trois ans…
Si Alsace Lait, née en 1979 de la fusion de quatre coopératives régionales, est présente dans les Alpes françaises depuis l’acquisition en 2009 de l’entreprise familiale Savoie Yaourt, mais aussi de l’autre côté de l’Atlantique après le rachat, en 2021 au Québec, de Maison Riviera, ses racines, son cœur de métier, sont en Alsace. C’est-à-dire au milieu des 204 exploitations auprès desquelles sont collectés chaque jour, dans un rayon de 60 km autour de la coopérative, entre 400 000 et 450 000 litres de lait…
Sur les 150 millions de litres collectés en 2022, 45 millions de litres sont du lait de pâturage (36 % de la collecte avec des vaches qui font au minimum 120 jours de pâturage par an) produits par des éleveurs incités financièrement à mettre leur troupeau en prairie. Trois producteurs ont développé une production en bio, collectée en lait de prairie et payée au prix du bio, un concept qui n’entre pas dans la stratégie de développement du groupe...
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Le groupe coopératif Prospérité Fermière Ingredia, spécialiste mondial du "cracking" (fragmentation) du lait et des produits laitiers, inaugure l’extension de son usine dans le Pas-de-Calais. Et s’apprête à décarboner substantiellement sa production au terme d’investissements d’envergure s’inscrivant dans une farouche stratégie d’innovation…
Des exploitations laitières des Hauts-de-France à l’international, il n’y a parfois qu’un pas. Le groupe Prospérité Fermière Ingredia en est le parfait exemple : siège social à Arras (Pas-de-Calais), usine à Saint-Pol-sur-Ternoise (Pas-de-Calais), mais un peu plus de la moitié de ses 373 millions d'euros à l’international...
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La coopérative laitière et transformateur néo-zélandais Fonterra investira 1 milliard de dollars néo-zélandais (582 millions d'euros au taux de change actuel) d'ici 2030 pour réduire ses émissions et améliorer l'efficacité de l'eau… L'entreprise a déclaré que son nouveau cadre de financement durable alignera sa stratégie de financement sur ses ambitions en matière de durabilité et reflétera "l'évolution des préférences des prêteurs et des investisseurs en dette dans ce domaine. Ce faisant, nous franchirons des étapes importantes vers notre aspiration à être net zéro d'ici 2030 et nous prévoyons d'aligner notre financement sur cette approche."…
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Le site Laïta de Créhen ne cesse de grandir. Une troisième ligne de production va être mise en service à la fin de l’année prochaine. Le laboratoire a obtenu l’accréditation pour le référentiel Iso 17 025, qui va lui permettre d’étendre son activité à d’autres sociétés. Depuis 2017, les effectifs ont augmenté de 50 %, accompagnant deux programmes d’investissement de 100 millions d’euros au total…
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Eurial a choisi d’investir 200 M€ dans ses ingrédients
C’est l’année du bilan : Il y a trois ans, Eurial, la branche lait d’Agrial, s’était donné une feuille de route : payer le lait en moyenne 10 € à 15 €/1 000 l de plus, et ainsi se rapprocher des leaders Lactalis, Sodiaal, Savencia et Laïta. Selon l’observatoire de l’Eleveur laitier, pour la première fois en avril, elle est passée devant ses quatre concurrents en prix moyen sur 12 mois, à 387,58 € (de 0,92 € à 5,55 € de plus)…
Prix de base 2022 : au moins 410 € visés
En 2022, Eurial vise un prix de base d’au moins 410 €/1 000 l. Avec seulement 15 % de PGC France dans notre mix-produit (15 % de PGC France, 15 % de PGC export, 25 % d’ingrédients, et 40 % de collecte pour Savencia), le marché français est déjà occupé par les grands opérateurs…
De même, sous la poussée de l’inflation, l’arbitrage d’une partie des consommateurs vers des produits standards confirme sa position prudente vis-à-vis des produits segmentés. Ce qui ne l’empêche pas de travailler à conforter sa place, par exemple avec la gamme Grand Fermage en cours de développement…
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Selon Karim Ganai, responsable du marché de l’agriculture au Crédit mutuel de Bretagne, la situation économique très fragile des exploitations laitières doit amener les éleveurs à définir le plus clairement possible leur « stratégie d’exploitation », pour mieux défendre des projets d’investissement auprès de leur banque.
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Les producteurs laitiers ont besoin de renforcer leurs structures commerciales, de développer des systèmes de production flexibles qui peuvent facilement réduire les coûts lorsque les prix baissent, selon un nouveau rapport de Rabobank.
Les agriculteurs devront prendre des décisions difficiles, prudentes et réfléchies dans le prochain cycle à la hausse, plutôt que d'augmenter les investissements et les dépenses. Le secteur laitier doit prévoir la volatilité future inévitable.
« Les producteurs laitiers néo-zélandais doivent avoir le meilleur coût parmi leurs pairs mondiaux afin d'être en avance sur la courbe des prix dans les bons et les mauvais moments ».
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