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En Afrique de l’Ouest, la consommation de produits laitiers est promise à un important essor dans les prochaines années avec la croissance de la demande et l’augmentation de la population. Parmi les pays qui tirent déjà la dynamique figure le Sénégal…
Au Sénégal, le développement de la chaîne du froid est l’une des clés pour améliorer l’offre en produits laitiers sur le marché local. C’est ce qu’indique une étude publiée en novembre 2022 par l’éditeur de revues scientifiques en libre accès MDPI…
Rappelant qu’au Sénégal, le lait produit et transformé localement est plébiscité par la population, le rapport explique que la chaîne de froid offre de nombreuses possibilités à l’industrie locale de booster la qualité de ses produits pour satisfaire une demande des consommateurs en pleine augmentation...
Actuellement, on estime que seulement 3 % des producteurs laitiers procèdent à une réfrigération régulière de leur lait après collecte. Ceci en raison du manque d’installations de réfrigération dans les zones de collecte et du coût élevé de l’investissement avec la faible fiabilité de la fourniture électrique notamment…
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Compte tenu des efforts consentis dans le secteur de l’élevage, le Sénégal devrait arrêter d’importer du lait d’ici 3 à 5 ans, selon son président...
Beaucoup d’efforts sont en train d’être consentis pour l’amélioration génétique dans le cadre d’un programme de modernisation spécifique des filières animales visant à renforcer la production de lait et de viande. De 30%, la subvention allouée aux importateurs de génisses au Sénégal a été ainsi portée à 50%. Il compte aussi lancer Le premier Recensement national de l’élevage dont le but est d’avoir une maîtrise des données sur l’élevage. De 2012 à 2023, le budget du ministère de l’Elevage a triplé, en passant de 9,56 milliards à 28,4 milliards de francs CFA…
Il a fait adopter le Projet de loi portant Code pastoral qui, « au terme de son approbation, viendra renforcer les instruments de notre politique en matière d’élevage. Tout comme le Programme national de développement intégré de l’élevage au Sénégal (Pndies), financé à hauteur de 50 milliards de francs CFA, participera à la modernisation du secteur ». Face aux nombreux défis climatiques, sanitaires, économiques et sécuritaires, « ce thème interroge notre capacité à agir positivement sur toute la chaîne de valeur, de l’approvisionnement à la commercialisation, en passant par la production, le développement des ressources humaines et la mise en place d’infrastructures de qualité »…
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Analyse des filières lait dans deux pays (Sénégal et Burkina Faso) – acteurs, produits, circuits, niveaux de production, transformation et consommation. Evaluation des phénomènes de concurrence et des impacts des importations.
Proposition de politiques commerciales et recommandations en faveur des filières lait local.
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Environ 226,5 millions de litres de lait ont été produits au Sénégal, en 2015, révèle le rapport provisoire de la Revue conjointe du secteur agricole (RCSA), en augmentation de 10,3% entre 2011 et 2014. 61% de la production nationale de lait ont été fournis par le système extensif, 39% par les systèmes semi-intensif et 7% par l’intensif. La production locale a contribué, pour 59%, à la couverture de la consommation nationale de lait en 2015. Consommation : 384,6 millions de litres, soit 27 litres par habitant
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Alors que ses concurrents importent massivement, l’entreprise s’approvisionne en lait sénégalais. Un choix qui affecte peu les ventes et lui impose des défis complexes.
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Dans les lignes suivantes, nous allons démontrer quels sont les enjeux de ces accords, graphiques et diagrammes à l’appui. D’une part, nous allons souligner pourquoi les APE comportent des choix importants et bénéfiques pour notre pays. D’autre part, nous allons également parler des effets négatifs, destructeurs, que ces accords pourraient également avoir sur nos économies faibles...
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Sur la période 2015-2018, l’Union européenne va financer pour un montant de plus de 4,5 milliards de FCFA Le programme Project Progres-Lait avec une contrepartie des gouvernements du Sénégal et de la République Islamique de Mauritanie.
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Au Sénégal, le lait en poudre est le deuxième produit agroalimentaire le plus importé après le riz. Si dans le pays, l’industrie locale est encore embryonnaire, les initiatives s’enchaînent pour améliorer l’offre locale…
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La polémique autour de la qualité du lait en poudre commercialisé au Sénégal prend de l’ampleur. Selon Nestlé Sénégal, « Nos produits laitiers qui sont vendus en Europe sont les mêmes que ceux qui sont commercialisés au Sénégal ». Mais cette allégation est totalement fausse…
Les Ong dénoncent une méthode consistant à exporter à bas coût dans des pays, dont le Sénégal des produits de faible qualité dont les consommateurs européens ne veulent pas. Pis, le lait Nido que l’on trouve dans les magasins sénégalais est différent de celui vendu en Europe…
Une étude sur un échantillon de 500 grammes de lait Nido a été réalisée à l’Institut technologique alimentaire. Les résultats révèlent que le Français consomme du lait entier contrairement au consommateur sénégalais. Le lait vendu en Europe et en Amérique, c’est du vrai lait. Mais ce qu’on trouve au Sénégal, c’est un produit de remplacement. Pire, le lait Nido vendu au Sénégal ne figure pas sur la liste officielle des produits laitiers de l’Union européenne. En clair, l’UE ne considère pas le lait NIDO comme du lait. Certains parlent de faux lait car le mélange poudre écrémée – huile végétale n’a plus grand chose à voir avec du lait : c’est un produit ultra transformé aux propriétés nutritionnelles mal connues…
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L’agriculture africaine fournit un emploi à 60% de la main d’œuvre du continent. Mais, ce sont des emplois à faible revenu. L’agriculture est restée à l’écart des progrès du continent africain, au cours des quinze dernières années.
Pour en parler, Nadjirou Sall, agriculteur sénégalais de la région de Thiès, très engagé dans l’action syndicale. Nadjirou Sall est, en effet, le secrétaire général du Réseau des Organisations de Paysans et Producteurs d’Afrique de l’Ouest, le ROPPA. Au niveau national, il préside aussi le cadre national de concertation et de coopération des ruraux du Sénégal (CNCR), première plate-forme paysanne autonome au Sénégal.
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Le marché sénégalais est dominé par les commerçants informels, qui achètent en poudre importée et le mélangent eux-mêmes, la plupart du temps pour faire du lait fermenté très populaire localement.
Mais la Laiterie du Berger vend du lait de vaches sénégalaises, même si elle doit le mélanger avec de la poudre, à défaut de suivre la demande. Pourtant, ce que Bathily appelle «le lait fou du désert » restera au cœur de son entreprise. Il a transformé la vie des familles d'éleveurs et il veut que cela continue.
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Les sénégalais sont de grands consommateurs de lait (30 kg de lait par an et par personne). Le nombre d'industries laitières, dynamiques et prospères, et le soutien fiscal exceptionnel de l’Etat au secteur illustrent aussi la forte demande de cette denrée de première nécessité. Les industries laitières locales utilisent à plus de 99% de la poudre de lait importée comme matière première pour leurs différentes fabrications.
Concentrées dans la région de Dakar, les laiteries ne jouent aucun rôle significatif dans le développement du sous-secteur de l’élevage, excepté la Laiterie du Berger établie à Richard Toll. Cette industrie créée en 2005 utilise le lait local pour la fabrication de ses produits. Le coût de l'importation de la poudre de lait pèse lourdement sur notre balance de paiement. Environ 70 milliards de F CFA sont mobilisés annuellement pour le ravitaillement du marché intérieur en poudre de lait et divers produits laitiers.
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La filiale sénégalaise du danois Arla Foods a démarré, mardi 17 mai à Dakar, les activités de sa nouvelle unité de conditionnement de lait en poudre. Des sachets qui seront distribués via le réseau de la société sénégalaise agro-industrielle Agroline, avec laquelle Arla Foods avait créé une co-entreprise en août.
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