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Des produits 100% durables d’ici à 2027 et venant d’un rayon de 250 km autour de la capitale. La Ville de Paris, toujours à la recherche de producteurs pour atteindre ses objectifs, a rejoint l’association AgriParis Seine créée en juillet…
Pour accompagner cette transition, la Mairie de Paris fait partie de l’association AgriParis Seine, lancée en juillet 2023. Cette dernière regroupe six collectivités en plus de Paris (Communauté urbaine Le Havre Seine Métropole, Département de Seine-Saint-Denis, Métropole de Rouen Normandie, Métropole du Grand Paris, PETR du nord de l’Yonne et Eau de Paris)…
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Le débouché de la restauration collective n’est pas forcément la panacée. Les collectivités territoriales développant des approvisionnements locaux pour leurs cantines savent bien que leurs achats ne représentent au mieux que quelques hectares d’une exploitation. Elles ne peuvent prétendre avoir, au regard de leurs seuls volumes d’achat, un impact sur la production agricole de leur territoire…
L’étude réalisée pour FranceAgriMer en 2018 évalue le montant total des achats alimentaires de la restauration collective à 7 milliards, soit environ l’équivalent de 4% des 180 milliards de consommation alimentaire des ménages français…
La Fédération des fruits et légumes du Languedoc-Roussillon avait estimé en 2016 que l’ensemble des repas en restauration collective de la région ne représentait que 2% des salades et 1% des tomates ou des melons qui y étaient produits…
Des agriculteurs témoignent de leurs difficultés et de leurs échecs. Ils mettent en avant les faibles volumes vendus, l’importance des frais logistiques, la baisse des commandes pendant l’été, l’absence d’engagements sur le long terme et le manque d’efforts des acheteurs pour s’adapter aux contraintes du monde agricole…
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Si, déjà en 2022, on pensait que les prix (+6,3%) avaient crevé tous les plafonds dans la grande distribution française, que dire de l’inflation record qui a sévit en 2023 à près de 13% ? Du jamais vu !
En deux ans, les prix alimentaires en GMS ont donc augmenté de plus de 20% pour les consommateurs sans aucun espoir de déflation ! Il n’est donc pas étonnant de voir les consommateurs commencer à sérieusement réduire leur volume d’achat. En 3 ans, les volumes d’achats alimentaires (PGC-FLS) en GMS se sont donc contractés de près de 6,5% ! Du jamais vu non plus en 50 ans !
Les ménages consomment-ils moins pour autant en volume ? Non mais ils achètent beaucoup moins en GMS tout en privilégiant clairement la restauration hors foyer par nécessité (le midi) et/ou par commodité le soir. Cette fragmentation des achats en faveur de la restauration commerciale rapide, principalement en soirée, et surtout en faveur du snacking et des sandwicheries au moment du déjeuner, ne va pas sans inquiéter la grande distribution qui voit ses volumes de ventes fondre comme neige au soleil depuis ! En effet, en réaction aux 20% d’inflation, la demande de produits alimentaires en GMS s’est normalement compressée…
Depuis 3 ans, la baisse continue des volumes achetés par les ménages vient donc normalement sanctionner la politique de « greedflation » menée à leur encontre, à la fois, par les distributeurs et certaines multinationales de l’agro-business. Le cycle de « greedflation » touchera à sa fin quand la baisse continue des volumes détruira mécaniquement les sur-profits et que le jeu concurrentiel mettra en orbite la préférence des consommateurs pour de nouveaux canaux de distribution telle que la livraison de solutions de repas à domicile par Uber, Deliveroo et Just Eat France…
Dans la grande distribution, la loi de la gravité tourne toujours autour des volumes achetés et l’inquiétude commence à gagner face à leur érosion…
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Des prix qui respectent le coût de production, c’est l’engagement de Métro auprès des éleveurs bovins qui inscrivent leur production dans la démarche « Eleveur & Engagé»…
En contrepartie d’un prix plus juste (80% du prix payé au producteur tient compte du coût de production des éleveurs et 20% est calé sur le prix du marché), la démarche “Éleveur & Engagé” se fonde sur un élevage herbager et à taille humaine…
Des critères sont fixés comme l’âge (8 ans maximum), l’état d’engraissement de l’animal, ou encore la maturation de la viande qui doit durer 10 jours minimum. Le projet qui s’inscrit dans une démarche locale est actuellement en place dans 15 halles Métro et a vocation à se développer. Dans le cadre de ce partenariat, deux abattoirs sont mandatés par Metro France. Il s’agit de Puigrenier et d’Eva. L’organisation de producteurs Elvea s’assure quant à elle du transfert du complément de prix auprès des éleveurs mobilisés dans la démarche...
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Bien qu’indispensable pour relancer la demande de produits biologiques, la restauration collective ne suffira pas. La restauration commerciale et la grande distribution doivent également être mobilisées…
Pour sauver la filière et respecter notre objectif de 21 % des surfaces agricoles en bio d'ici 2030, la FNH propose :
🥗 20% de produits bio dans la restauration collective (respect de la loi EGAlim)
☕️ 20% de produits bio dans la restauration commerciale
🛒 7,8% de produits bio dans la consommation à domicile
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La mise en œuvre de trois mesures préconisées par EGAlim (augmentation des quantités de produits biologiques et de repas végétariens servis, réduction du gaspillage alimentaire) accroit les coûts comptables moyens de 4%, tandis que les externalités monétarisables diminuent de 18%. Ainsi, le coût complet de la pause méridienne n’augmente que de 3% (passant de 8,72 € à 9 €)…
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Alors que la filière laitière bio est en crise, les achats de produits laitiers bio par la restauration collective progressent, et pourraient grandement soulager la filière…
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A la tête de l’activité OOH du groupe Bel à l’international, Nicolas Abadie table sur trois piliers, les hommes, l’innovation et la collaboration avec les acteurs clés de la filière pour atteindre un objectif ambitieux : doubler le volume d’affaires de l’activité dans les prochaines années…
Nous nous développons depuis 5 à 6 ans avec des solutions culinaires autour de Boursin, Kiri, Nurishh qui répondent aux besoins des professionnels sur quatre applications, les burgers, la pizza, la salade et le sandwich. Le fromage peut être utilisé dans différentes applications, en salé mais aussi en sucré ; des blocs de Kiri sont utilisés dans la pâtisserie haut de gamme au Japon ou en Corée, puisque c’est un cream cheese naturel…
Et dans le reste du monde ? aux États-Unis, dans le snacking avec GoGo Squeez, en lunchbox pour les enfants, en convenience store dans les collèges et universités pour Mini Babybel ; en Asie, plutôt autour de Kiri et de GoGo Squeez –une gourde Materne locale - ; en Europe, nous avons à peu près les mêmes gammes qu’en France…
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Les deux moments phare de la restauration hors domicile sont le déjeuner en semaine et le dîner du week-end qui obéissent à des logiques différentes : le déjeuner en semaine plus contraint et plus pragmatique, et le dîner le week-end plus décontracté et très axé sur la recherche du plaisir, valeur centrale pour la consommation hors domicile…
Concernant les améliorations attendues de la part des établissements qu’ils fréquentent, les consommateurs demandent avant tout « plus de produits locaux ou d’origine France » (54 %) et du « fait-maison » à partir de produits frais (53 %). Si les attentes concernant la qualité des plats ou la qualité du service sont variables selon l’âge des consommateurs, la demande de tarifs avantageux ou de prix plus accessibles est partagée par tous…
La restauration rapide et nomade est en plein essor et a attiré la plus grande part de la clientèle au cours de la période enquêtée, loin devant les restaurants traditionnels. L’hégémonie des fast food et de leurs hamburgers se confirme, devant les pizzerias, sandwicheries, vendeurs de kebabs/tacos ou de spécialités asiatiques….
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Pour la première fois en huit ans, les ventes de produits alimentaires biologiques ont marqué le pas en 2021. Plus que jamais la restauration collective a son rôle à jouer…
+30% en restauration collective en 2021
Alors qu’en 2021, les ventes de produits alimentaires biologiques tous circuits confondus ont reculé de 0,5% sur un an à 13,27 milliards d’euros, c’est en grande distribution que la baisse est la plus importante (-3,9%). A l’inverse, la restauration hors domicile a repris de la vigueur avec une hausse de 30% en restauration collective à 377 millions d’euros et de 7,9% en restauration commerciale à 232 millions d’euros…
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L’approvisionnement local : que des avantages pour les producteurs, les cantines et les consommateurs ! Témoignages. La jeune femme a 50 laitières pour une production de 450.000 litres de lait par an. Les 3\4 de la production sont transformés dans sa fromagerie. « On vend un tiers sur les marchés, un à la maison et un tiers aux collectivités »
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Situés à Rambouillet, ces nouveaux ateliers produiront toute une gamme de produits laitiers à destination de la restauration collective scolaire et d’entreprise, des chefs restaurateurs locaux, et plus largement de tous les consommateurs franciliens.
Ils sont le fruit d’un partenariat monté par le Groupement des Agriculteurs Biologique d’Île-de-France (GAB IdF) entre la Bergerie Nationale, productrice de lait bio, et deux entreprises de transformation existantes, la Ferme de Sigy (77) et Ottenta, à la recherche de lait bio francilien afin de répondre aux pics de demande complémentaire enregistrés au cours de l'année. Les 55 vaches laitières de la Bergerie Nationale produisent 350 000 litres de lait bio supplémentaires, soit un équivalent de 2 millions de yaourts, sans compter les fromages.
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Un nouveau service pour les 435 territoires porteurs de politiques alimentaires. Cette plateforme s’adresse à tous les acteurs des politiques agricoles et alimentaires locales et à tous les partenaires, observateurs et chercheurs intéressés pour collecter des données sur les politiques alimentaires…
Elle est conçue comme un espace collaboratif où les acteurs des PAT peuvent :
- partager leurs expériences
- trouver des réponses à leurs questions
- découvrir de nouvelles idées pour développer des systèmes alimentaires plus durables et résilients
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Souhaitant amplifier son appui auprès des dynamiques territoriales en faveur de la transition agricole et alimentaire, l'ADEME a engagé une démarche de diagnostic du système alimentaire en région Normandie…
Cette étude pourra constituer une ressource précieuse pour les démarches territoriales (PAT ou autres) engagées au sein de la région, afin de leur permettre de s'inscrire dans une analyse plus globale et régionale des enjeux et potentialités du système alimentaire…
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Recensement des achats effectués par la restauration collective publique en produits durables et de qualité - Bilan de l’année 2022, collecte des données 2023 bientôt clôturée…
Les gestionnaires de restaurants collectifs ont consacré 27,5% de leurs achats à des produits durables et de qualité en 2022, dont 13% en bio…
Tous les restaurants collectifs, publics et désormais privés, sont invités à déclarer leurs achats pour l’année 2023sur la plateforme ma cantine avant la fin mars…
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La capitale veut porter à 100% la part de produits durables dans les assiettes des convives, dont 75% de bio et 50% de local d’ici 2027. Un défi de taille au regard des 30 millions de repas servis chaque année dans les 1 300 restaurants collectifs municipaux…
Pour augmenter la part de produits durables et locaux, la ville peut compter sur les 660 agriculteurs bio d’Île-de-France. Pour aller plus loin, elle a créé, avec Le Havre, Rouen et des communes de l’Yonne, un opérateur pour structurer des filières : AgriParis Seine…
Le projet alimentaire territorial (PAT) de Paris est certainement l’un des plus ambitieux. Ce colossal pôle de consommation compte très peu de terres agricoles. Même en élargissant la focale à la métropole de Grand Paris, les terres agricoles ne représentent que 2,5% de la surface totale des 131 communes et 0,5% des produits agricoles consommés sont produits sur le territoire.
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AgriParis Seine, lancée en juillet 2023, regroupe six collectivités en plus de Paris : Communauté urbaine Le Havre Seine Métropole, Département de Seine-Saint-Denis, Métropole de Rouen Normandie, Métropole du Grand Paris, PETR du nord de l’Yonne et Eau de Paris...
Ses missions principales sont de réduire l'impact de la production alimentaire sur l'environnement, soutenir les filières bio et durables par la demande, et donc d'assurer aux à ces producteurs des débouchés pour les restaurations collectives. Les producteurs en bio et en circuit courts, intéressés et présents sur ces territoires, peuvent se faire connaître…
«La restauration collective permet des choix politiques. Notre plan 2022-2027 a fixé des objectifs précis. D’ici à 2027, il faudra que la nourriture soit 100% durable, 100% produits de saison, 75% issue de produits bio et 50% de ces denrées devront être produites à moins de 250 km de Paris. Nous avons fait le choix de soutenir les filières locales afin de permettre à tous l'accès à une nourriture saine », rappelle Audrey Pulvar…
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Le bio ne constitue que 7% de l’alimentation en restauration collective, loin des 20% fixés par la loi Egalim…
Derrière l’augmentation de la part du bio dans les menus des cantines, il y a l’objectif d’assurer des débouchés pour les producteurs et sécuriser les filières…
Historiquement, chaque année 4% des agriculteurs quittent la bio, dont la moitié pour des départs en retraite. Un chiffre qui est passé l’an dernier à 5,8%. Autre signal préoccupant, le taux de conversion a chuté de 13% à 8% l’an dernier, et la tendance est la même cette année…
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Des signaux de sortie de crise pour le lait bio ? La restauration hors domicile achète davantage de produits laitiers bio et il reste du potentiel de croissance. C’est un des signes positifs que décèle la filière laitière bio. Il reste encore à reconquérir le consommateur…
« Le consentement à payer plus cher pour du bio se réduit. » L’offre de produits conventionnels différenciés (lait de pâturage, local…) a réduit l’écart d’image entre le conventionnel et le bio. C’est pour réassurer un consommateur perdu face à de nombreux labels, que trois campagnes de communication collectives ont été lancées à partir de 2022…
Le Cniel constate que la baisse des ventes en volume ralentit dans les magasins spécialisés bio. Elle passe de -12% en 2022 par rapport à 2021 à -2% à mi-2023 comparé à mi-2022. Le niveau de consommation est à présent proche de celui de 2019. La vente de fromages bio repart même à la hausse dans ces magasins. »…
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Le foodservice a affiché chez Bel une croissance de 4,5% en volume entre 2021 et 2022. Conséquence directe du rachat l’année dernière de l’intégralité du capital de Mont Blanc-Materne, le Groupe Bel propose désormais à la restauration une offre élargie autour du fruit…
La Vache qui rit, Mini Babybel, Kiri ou encore Boursin sont désormais proposés au secteur RHF aux côtés de l’offre du groupe Mont Blanc-Materne signée Materne, Pom’Potes et Mont-Blanc. Cette nouvelle proposition construite autour du laitier et du végétal entend répondre aux attentes de la restauration soucieuse de privilégier « des produits sains, des sites de production français et un savoir-faire industriel unique au service de l’innovation »…
Le groupe français, tout juste cinquantenaire, décline, par ailleurs, les portions de fromage en produits bio compatibles Egalim, tout en travaillant sur son empreinte carbone et l’optimisation des emballages. « L’ambition de Bel d’ici 2030 est d’équilibrer le portefeuille de produits pour proposer aux professionnels 50% de produits laitiers et 50% de produits végétaux et fruitiers »…
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Le Syndicat national de la restauration collective (SNRC) indique que les fournisseurs de la restauration collective ont obtenu des hausses de tarifs de +4 % en moyenne, pour des demandes de revalorisation des prestations autour de +7 %...
Une hausse des tarifs de +7 % est nécessaire. « Les contrats ne suffisaient plus pour prendre en compte l’augmentation du coût des matières premières, des salaires et de l’énergie ». Les obligations de la loi Egalim 2 aux collectivités, à savoir 50 % des produits servis sous signes officiels de qualité, entraînaient déjà une hausse du prix du repas.
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Modification des modes de consommation, transition alimentaire et fragmentation de l’offre sont les maîtres mots de l’année 2022…
« La France, qui était le pays aux trois repas quotidiens, voit ses 18/35 ans adapter des comportements plus américains. Le repas du midi peut être zappé ou mangé sur le pouce. La transition alimentaire constate cette profonde modification de notre façon de consommer qui touche aux repas, à l’heure des repas, au contenu de l’assiette…
Cela a un impact très important sur l’agriculture. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a intitulé le nouveau pacte vert, “Farm to fork” (de la ferme à l’assiette) mais c’est totalement faux : c’est “Fork to farm”, c’est l’assiette qui commande. »…
« Le consommateur ne veut plus mettre le couteau dans le légume, la viande ou le fruit… et les nouvelles générations privilégient la “junk food”, des produits de faible qualité nutritionnelle qui sont livrés à plus de 100 euros le kilo. Une folie douce !... Les distributeurs voient ainsi arriver des nouveaux concurrents comme ils n’en ont jamais vu. Michel-Edouard Leclerc pour Leclerc, Dominique Schelcher pour System U et Alexandre Bompard pour Carrefour se faisaient peur avec Amazon mais c’est le triopole tourné autour de JustEat, Uber Eats et Deliveroo qui les taille en pièces. Aujourd’hui, la livraison à domicile de plats préparés représente 8,7 milliards d’euros alors que la grande distribution ne pèse que 500 millions d’euros. »…
« La fragmentation de la demande des consommateurs amène une fragmentation de l’offre. On voit des circuits de distribution différents se mettre en place. L’association industriels – distributeurs est en train de mourir doucement au profit d’une association plus directe entre les agriculteurs et les consommateurs. Mais cette nouvelle association est contrariée par les canaux de distribution. Il faut qu’il y ait des innovations, que le digital fasse sa place pour que l’on puisse simplifier les flux. »…
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Depuis 2009, l’observatoire national des produits biologiques en restauration collective suit l’évolution des produits biologiques dans le secteur de la restauration collective à caractère social, les différentes voies d’introduction retenues ainsi que les perspectives de développement. 15 millions de Français prennent chaque jour au moins un repas hors de leur domicile, dont plus de la moitié …
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