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La coopérative laitière belge Milcobel a annoncé son intention de supprimer jusqu'à 130 emplois dans le cadre d'une réorganisation visant à rétablir sa rentabilité et à répondre aux pertes essuyées en 2023…
Milcobel a clôturé l'année 2023 sur une perte nette de 11,6 millions, pour un chiffre d'affaires d'1,315 milliard (-3,7% par rapport à 2022). La réorganisation annoncée passerait par l'intégration des différentes unités laitières de l'entreprise et la réduction des activités liées à la poudre de lait…
"2023 a été une année laitière particulièrement difficile.", se justifie Milcobel dans un communiqué. "Du côté de la demande, un marché laitier de plus en plus mondial entraîne davantage d'incertitudes géopolitiques et économiques. Du côté de l'offre, les réglementations fortement accrues concernant l'agriculture et l'élevage en Europe et en Belgique entraînent une diminution du pool laitier, de sorte que nous devons nous attendre à une baisse de l'offre de lait."…
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Sur le premier trimestre 2024, le groupe a vu ses ventes en volume progresser de 1,2%. Une reprise dans tous ses secteurs et sur ces grands marchés. Son chiffre d'affaires est lui en hausse de 4% à 6,8 milliards d'euros en comparable. Les produits laitiers et d'origine végétale, qui pèsent plus de la moitié du chiffre d'affaires, ont gagné des parts de marché…
Le redressement attendu est au rendez-vous. Danone a confirmé sur le premier trimestre 2024 la reprise des volumes amorcée à la fin de l'an dernier. Son chiffre d'affaires a ainsi progressé de 4,1% en comparable à 6,8 milliards d'euros. Une croissance tirée toujours par une hausse des prix (2,9%), mais aussi des volumes (1,2%). Le groupe fait ainsi mieux que sur le quatrième trimestre 2023, où cet effet était limité à 0,8%...
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Malgré les progrès opérationnels, l'usine de transformation du lait de Hochdorf doit être rénovée. C'est pourquoi des investisseurs potentiels sont désormais recherchés…
Ces dernières années, Hochdorf s'est réorganisé, parfois avec des réductions douloureuses. Les filiales étrangères ont été vendues et les usines déficitaires ont été fermées. L'entreprise a récemment décidé de cesser de produire du lait en poudre conventionnel au siège social de Hochdorf d'ici 2026. "Nous souhaitons à l'avenir nous concentrer sur les aliments pour bébés et les poudres spéciales."…
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Longtemps centrale dans l’activité de Nestlé, la France ne cesse de perdre du terrain dans les débouchés du groupe. En 2023, elle a cédé sa 5ème place au Mexique, tout en étant talonnée de près par le Royaume-Uni. L’Hexagone ne représente qu’à peine 4% de son activité, désormais largement tournée vers les Etats-Unis, de loin son premier débouché, la Chine et l’Amérique latine, désormais la zone en plus forte progression organique (9,3%)…
En 2023, le chiffre d’affaires du géant de Vevey s’est établi à 93 milliards de francs suisses, en recul de 1,5%, plombé par un effet de change très défavorable (-7,8%). Il affiche cependant une croissance organique de 7,2%, largement portée par une hausse des prix de 7,5% (10,6% en Europe), face à une activité en recul de -0,3% en raison d'une faible demande, mais aussi de ruptures dans les approvisionnements de certains ingrédients...
Les aliments pour animaux de compagnie (20% du CA) ont été de loin les plus grands contributeurs à la croissance organique, avec des ventes en progression de plus de 12%. La premiumisation du portefeuille reste stratégique. « Depuis 2013, la part des produits premium, c’est-à-dire commercialisés à un prix d’au moins 20% supérieur à celui des offres cœur de marché, a triplé, passant de 11 à 36% des ventes du groupe ». La nutrition santé est aussi une priorité…
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Pendant une grande partie des 20 dernières années, Synlait a été un acteur entrepreneurial dans l’industrie laitière néo-zélandaise, fortement axé sur la croissance. Pendant longtemps, Synlait a semblé tout faire correctement. C’est le partenariat entre a2Milk et Synlait qui a lancé les deux sociétés dans un incroyable voyage d’interdépendance et de génération de richesse…
Le problème fondamental de Synlait est que, pour la 2ème année consécutive, elle fonctionne à perte. Les récentes prévisions boursières de Synlait prévoient une perte comprise entre 17 et 21 millions de dollars pour le premier semestre de l'année 2023/24. A moins d'un grand revirement inattendu dans les prochains mois, Synlait aura enregistré une perte au cours de trois des quatre dernières années.
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En deux ans, Yoplait s'est arrogé 32% du marché du Skyr dont il est devenu le leader. Le chiffre d'affaires de Yoplait a augmenté de 25% en 2 ans. L'entreprise en a tiré profit pour sortir du rouge. Une performance qui a permis à l'entreprise reprise par Sodiaal de retrouver la rentabilité…
Contrairement à certaines prévisions, le marché des produits laitiers a bien résisté à la crise du pouvoir d'achat. Les consommateurs ont modifié leurs choix au profit de certaines catégories. « Le Skyr est une exception sur le marché du yaourt ». L'année dernière, 27 % des Français ont goûté le Skyr, et cette catégorie est appelée à croître…
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Fait notable, le groupe coopératif laitier MLC (La Mère Richard, Réo, Yo’Gourmand etc.) voit baisser sa collecte de 0,5 % à 469,8 millions de litres de lait, « la première fois dans l’histoire de notre coopérative (642 fermes dans la Manche) »… Maîtres Laitiers du Cotentin annonce un résultat 2022-2023 en légère baisse à 17,6 millions (19,4 millions en 2021-2022) tandis que le chiffre d’affaires du groupe progresse à 2,359 milliards (1,968 milliard sur l’exercice précédent)… D’ici à 2025, le groupe coopératif laitier vise 78% de sa collecte laitière en lait de pâturage non OGM, lait bio et AOP…
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L’année sera maigre pour le géant du lait FrieslandCampina. Les bénéfices ont chuté au cours des six derniers mois en raison de la forte baisse des prix du lait et de la diminution des achats de lait de marque par les consommateurs…
« Les résultats du premier semestre ne sont pas à la hauteur de ce que l’on peut attendre de FrieslandCampina. » Bien que le chiffre d’affaires net ait augmenté de 4,6 % pour atteindre 6,9 milliards d’euros, les résultats sont sous haute pression en raison de la forte baisse des prix des produits laitiers de base et de la diminution des volumes. Le bénéfice net a même diminué de 94,2 % par rapport au premier semestre 2022, pour atteindre 8 millions d’euros. Les branches Food & Beverage et Trading ont enregistré des résultats particulièrement faibles : FrieslandCampina a payé ses membres producteurs laitiers plus cher que la valeur du lait au moment de la vente…
Les prix du marché pour le fromage et le beurre, en particulier, ont chuté rapidement au début de l’année, tandis que les volumes ont également baissé. Pour le second semestre de 2023, FrieslandCampina prévoit un rapprochement des prix, mais les volumes resteront sous la pression de l’inflation et de la perte du pouvoir d’achat des consommateurs…
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Moins dépendante des marchés de commodité, restructurée, la première coopérative laitière de France souligne que le prix du lait 2022 a progressé et qu’il poursuivra sa hausse en 2023… Le plan Value lancé en 2017 se concrétise en 2022 : « Notre travail commence à payer. » Le chiffre d’affaires 2022 augmente de 0,8 milliard d’euros par rapport à 2021, à 5,5 Md€. La moitié de cette hausse est liée à l’apport de Yoplait et l’autre moitié à la hausse des tarifs de vente.Malgré l’inflation de tous les postes de charge, l’EBITA progresse de 20 millions d’euros à 152 M€. Le résultat de la coopérative permet d’en redistribuer les deux-tiers aux adhérents, soit une enveloppe d’un peu plus de 11 millions d’euros. Ce qui correspond à environ 2,5 €/1000 l… Sur 2022, le prix du lait 2022 a augmenté de 68 €/1000 l à 447 €/1000 l, tous types de lait confondus (conventionnel, bio, AOP) et toutes primes comprises. En conventionnel, la hausse a été de 74 € pour un prix moyen de 414 €/1000 l en 38-32 de TB-TP…
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Le chiffre d’affaires de la coopérative laitière normande Isigny Sainte Mère a grimpé de plus de 100 millions d’euros, mais les coûts ont progressé d’autant, aboutissant à un résultat net en légère baisse…
L’année 2022 a été marquée par le retard du chantier de construction de l’unité U3 de fabrication de poudres de lait infantiles. Ce retard a engendré des difficultés sur l’ensemble du site et l’activité commerciale. Se sont aussi ajoutés des ruptures d’approvisionnement et des problèmes de transport maritime…
Un prix du lait parmi les meilleurs en France : Le prix conventionnel 2022 s’est élevé à 513,6€, soit une hausse de 84,8€ par rapport à 2021. Fait notoire, la collecte 2022 est en baisse par rapport à 2021, ce qui s’est rarement vu à Isigny : -1,6 % à 264 millions de litres de lait, avec un repli de -2,33 % en conventionnel à 252 millions de litres. L’export représente toujours 61 % du chiffre d’affaires de la coopérative, avec une diversification du portefeuille clients notamment au Moyen-Orient et en Afrique, et un redémarrage de l’activité au Royaume-Uni après un trou d’air post Brexit…
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Le groupe Lactalis a annoncé une baisse de son résultat net consolidé, malgré un chiffre d'affaires en hausse. Le prix du lait a progressé de 25% en 2022 et il devrait être sur 2023 au moins au niveau de 2022…
Le groupe s'appuie sur ses deux grandes marques mondiales, Président (2,5 Mrds € de CA, +18% vs 2021) et Galbani (1,8 Mrd € de CA), qui soutiennent et consolident l'activité avec des croissances moyennes annuelles de plus de 5% depuis 10 ans, ainsi que 4 marques internationales, Parmalat, Kraft, Lactel et Leerdammer, "dotées de forts potentiels de croissance à l'export". Les deux premières sont milliardaires, Parmalat s'affichant à 1,4 Mrd (+19%) d'euros et Kraft à 1,1 Mrd, quand Lactel et Leerdammer réalisent respectivement 700 et 335 millions de CA…
Malgré la baisse de sa rentabilité, le modèle du groupe reste solide. Les acquisitions se maintiennent à un rythme très soutenu. Une stratégie qui a appuyé la croissance échevelée de Lactalis, passée en 22 ans d'un peu plus de 4 milliards d'euros de chiffres d'affaires à 28,3 milliards. "Depuis la création de Lactalis en 1933, nous sommes convaincus du potentiel des produits laitiers, dont le marché mondial croit de 3 % par an ". Sachant que les perspectives restent immenses. Lactalis, tout géant qu'il paraisse, ne pèse que 4 % du marché mondial des produits laitiers…
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Le régime minceur d’Agropur pour redresser ses finances semble porter ses fruits, mais il y a encore du pain sur la planche. La coopérative tente de garder le cap malgré l’érosion du pouvoir d’achat des ménages et les poussées inflationnistes – des éléments sur lesquels elle a peu de contrôle…
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« L'affaire Synutra, la Covid puis maintenant l'explosion des intrants dans nos fermes et dans nos usines » : les dernières années sont agitées aux Maîtres Laitiers du Cotentin. La coopérative reste toutefois leader européen de la production de fromages frais pour la restauration hors foyer et la grande et moyenne distribution…
Si l’activité beurre et crème « marche à fond » dans l’usine de Méautis, les 70 % restants de cet outil ultramoderne ne tournent qu’à « 20 à 25 % » de leur capacité…
L’exercice 2020-2021 affiche un retour à la normale avec un chiffre d’affaires de 1,968 milliard d’euros et résultat net après impôts de 19,4 millions d’euros. « Ça peut paraître beaucoup mais ce n’est que 1 % du CA du groupe. Ça démontre toujours une fragilité. »…
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Le groupe doit mettre en lumière les causes de son niveau d'endettement actuel et dit n'avoir aucune prévision précise pour le moment, étudiant différents scénarios allant de son maintien à sa dissolution…
Le groupe est "confrontée à un héritage financier difficile à rembourser avec ses propres ressources, malgré un modèle commercial compétitif". Les résultats annuels montraient une perte nette réduite, passant de 15,8 millions à 10,2 millions de francs suisses fin décembre dernier. Le groupe lucernois vise un résultat d'exploitation à l'équilibre…
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Il a réalisé un chiffre d’affaires de 29,5 milliards d’euros en 2023. Soit une progression de + 4,3% par rapport à l’année précédente, principalement portée par la hausse des prix…
Son chiffre d’affaires progresse, porté par la hausse des prix et par ses récentes acquisitions partout dans le monde. De loin le premier dans le monde sur le marché des produits laitiers, Lactalis conserve sa place de numéro 10 des géants de l’agroalimentaire, juste devant Danone…
Après avoir opéré tambour battant de multiples acquisitions, qui ont fait de Lactalis une entreprise multi-milliardaire, le PDG Emmanuel Besnier envisage une pause. Les opportunités sont nettement moins nombreuses. Les emprunts plus coûteux et le groupe de produits laitiers compte poursuivre activement son désendettement…
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Le groupe Bel a doublé son chiffre d'affaires à 1 milliard en 5 ans aux Etats-Unis en surfant sur « le snacking sain ». L'Asie est son autre pôle de développement…
Bel se voit un avenir de plus en plus international. Avec ses fromages en portions, La Vache qui rit, Babybel, ses spécialités végétales… et ses gourdes de compote. « Il y a cinq ans, nous réalisions 20% de notre chiffre d'affaires entre l'Amérique du Nord et l'Asie. En 2023, c'est 33%. D'ici à cinq ans, ce sera 50% »…
L'entreprise française, qui s'est retirée de la Bourse en janvier 2022, a sérieusement infléchi sa stratégie de groupe laitier au profit du snacking sain et du végétal en 2019. Mouvement qu'elle a confirmé plus récemment en vendant les fromages Leerdammer en septembre 2021 au groupe Lactalis, numéro un mondial des produits laitiers…
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Danone renoue avec la croissance de ses volumes en Europe, après 10 ans de baisse. Toujours porté par la hausse des prix, elle affiche un CA en légère progression en 2023, même si le bénéfice net fléchit…
Le géant de l'agroalimentaire a réalisé 27,6 milliards d'euros de ventes, un chiffre quasi identique à celui de 2023, pour un bénéfice net part du groupe de 881 millions d'euros, en baisse de 8% (959 millions d'euros en 2022). Le résultat net courant part du groupe a, lui, progressé de 3,5% sur un an, à 2,28 milliards d'euros. Le bénéfice net, hors éléments exceptionnels, mis en avant par le groupe, progresse de 3,5% à 2,3 milliards d'euros…
Le bénéfice net souffre d'une charge de 1,4 milliard d'euros due à des dépréciations, notamment 700 millions liés aux opérations en Russie, et 400 millions en raison de la vente de deux marques américaines de produits laitiers bio, Horizon Organic et Wallaby. Ces deux marques américaines ont été cédées à Platinum Equity, un fonds d'investissement basé aux États-Unis, dans le cadre de sa stratégie visant à se délester d'activités jugées non essentielles.
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Ça a pris du temps, mais la coopérative laitière Agropur a fini par retrouver l’équilibre financier qu’elle cherchait à atteindre depuis qu’elle a frappé un mur en 2018-2019 à la suite d’un vaste et coûteux programme d’acquisitions…
Une expansion qui l’a propulsée parmi les plus grands acteurs de la transformation laitière en Amérique du Nord, mais au prix d’un trop lourd endettement qui a entravé son développement. Agropur avait réalisé plus d’une dizaine d’acquisitions en l’espace de trois ans, dont une importante aux États-Unis en rachetant le groupe Davisco dans une transaction qui a gonflé la dette du groupe de plus de 500 millions US. …
Le ratio de la dette d’Agropur par rapport à son bénéfice d’exploitation était de 6,3 fois en 2019, un niveau insupportable que la coopérative a commencé à réduire dès l’année suivante avec la vente d’usines aux États-Unis. En 2020, le ratio dette/bénéfice d’exploitation passe de 6,3 fois à 4,5 fois. Le ratio est ramené à 3,3 fois en 2021, après la vente notamment des yogourts IÖGO au groupe français Lactalis, puis il est réduit à 3,1 fois en 2022 et vient enfin d’atteindre le niveau d’équilibre espéré de 2,4 fois pour l’exercice financier 2023 après la vente de l’usine de fabrication d’ingrédients laitiers à La Crosse, au Wisconsin…
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Le groupe laitier a vu son bénéfice net chuter au premier semestre de plus de 94%, pour atteindre 8 millions d’euros. Cette baisse s’explique principalement par un prix du lait payé par FrieslandCampina aux producteurs laitiers beaucoup plus élevé que les prix du marché, qui ont fortement baissé…
La société laitière néerlandaise FrieslandCampina (Cécémel, Campina, Joyvalle, Fristi…) va faire l’objet d’une réorganisation majeure. Le groupe, qui possède plusieurs sites de production en Belgique, prévoit de réduire ses dépenses de 400 à 500 millions d’euros par an, a-t-il annoncé vendredi. Des emplois seront également supprimés…
Avec cette réorganisation, le groupe souhaite améliorer sa rentabilité et se concentrer davantage sur une croissance durable. On ignore encore le nombre d’emplois qui disparaîtront. Les économies prévues seront précisées dans les mois à venir. L’ensemble de l’entreprise doit procéder à des réductions de coûts…
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Saputo reporte l’atteinte d’une cible financière de son plan stratégique tandis que l’industrie des produits laitiers est trop volatile. La société montréalaise ne s’engage plus à faire le bénéfice prévu au cours de l’exercice 2025, clos à la fin mars 2025…
« La cible de 2,1 milliards est toujours la même. Nous avons confiance en notre plan et en notre capacité de réaliser efficacement les projets que nous nous sommes fixés. Ce n’est pas l’enjeu. C’est l’imprévisibilité du marché relativement au prix et à la confiance des consommateurs, qui nous amène à repousser l’échéance. »…
Les revenus de Saputo ont diminué de 2,8% pour s’établir à 4,2 milliards. Le bénéfice net a totalisé 141 millions, en hausse par rapport aux 139 millions enregistrés l’an dernier. Le bénéfice ajusté dilué par action s’établit à 36 cents…
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La saga continue chez Isigny Sainte-Mère. Malgré le contexte inflationniste, elle maintient son résultat net et poursuit ses investissements…
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Sodiaal vise un minimum 480 €/1000 l pour 2023. Sodiaal a réalisé un chiffre d’affaires de 5,5 milliards d’euros, en augmentation de 19,6%, pour une perte nette de 68,2 millions d’euros…
Le prix du lait moyen Sodiaal a ainsi grimpé de 68 €/1 000 l sur un an pour s’élever à 447 €/1 000 1 toutes primes et lait segmenté, la hausse ayant été plus importante sur le lait conventionnel (+ 74 €/1 000 1 pour un prix moyen de 414 €/1 000 1 à 38/32). « Grâce aux hausses de prix des produits, nous avons pu redistribuer 11 millions d’euros aux adhérents. L’équilibre économique de la coopérative a ainsi pu être maintenu sur 2022. » Maintenant, l’objectif sur 2023 est d’attribuer un prix supérieur à 480 €/1 000 l toutes primes et laits segmentés (450 €/1 000 l pour le lait conventionnel 38/32), « et cela sans oublier les exceptions laitières que sont le bio et les AOP »...
Sodiaal cette année c’est : 4,3 milliards de lait collectés sur plus de 9 000 points de collecte (16 055 éleveurs au total avec une moyenne de 445 592 litres par exploitation). La coopérative tient à son modèle « solidaire et durable » et sa feuille de route à long terme est claire : un partage de la valeur pour une rémunération des producteurs, un fort ancrage territorial (avec une collecte sur tout le territoire, notamment en zones de montagne et/ou isolées), et des engagements dans la transition pour plus de durabilité…
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General Mills est un gigantesque portefeuille de marques agroalimentaires. Il fait partie de ces conglomérats dont le nom est moins connu que les marques dont il est propriétaire. Du genre : “sérieux, ça leur appartient ça ?”. Les crèmes glacées Haagen-Dazs, les boissons à base de lait Yoplait ou encore les céréales Cookie Crisp. Sans oublier Géant Vert…
L’Amérique du Nord est le terrain de jeu favori de la société. 61% du chiffre d’affaires et celles à destination des restaurants et des chaînes de restauration, 10%. Les activités alimentaires à l’international comptent pour 17% des revenus. Les 12% restants sont générés par la division de nourriture pour les animaux de compagnie. C'est d'ailleurs cette dernière activité qui a permis au groupe de se relancer : jusqu’en 2018, ses résultats étaient en déclin progressif. Entre 2018 et 2022, le chiffre d’affaires passe de 15,7 Mds$ à 18,9 Mds$...
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Le groupe fromager français a très bien traversé la crise. Ce succès valide sa stratégie d’expansion…
«2022 a été une année pivot dans l’histoire du groupe Bel», assure Cécile Béliot. Pas tant parce que celle-ci en a pris la direction générale en mai ; mais surtout parce que le fromager (La Vache qui rit, Babybel, Kiri) a fait preuve de sa capacité de résistance aux fortes turbulences, de l’explosion du prix du lait à la flamblée de ceux de l’énergie en passant par les difficultés d’approvisionnement en emballages…
« Dans un contexte marqué par l’inflation, la guerre en Ukraine et ses conséquences, l’année a été un “stress test” grandeur nature pour notre stratégie de transformation, résume la dirigeante. Or cette stratégie a tenu, ce qui valide nos choix d’expansion géographique, notre accélération sur le végétal et le fruit, notre politique d’innovation et notre volonté de ne rien céder sur les investissements de long terme sur la RSE. Nous avons piloté le groupe sur ses deux jambes : financière et extra-financière.»…
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Les raisons du succès de l’épicier de Landerneau, aucun doute : il y a dans sa stratégie une constance dont aucun concurrent ne peut se revendiquer. Il y a évidemment son efficacité à l’achat, c’est un euphémisme. Je me souviens d’Édouard Leclerc, devant ses ouailles, leur expliquer que le premier franc gagné l’est par principe à l’achat…
Mais il y a, surtout, les vertus économiques du discount. Leclerc est factuellement l’enseigne la moins chère. Pas sur tous les produits et tous les rayons, non. Mais en moyenne, si. La conséquence c’est une attractivité commerciale supérieure aux autres. Donc des ventes plus élevées pour une même surface. Ce qu’on appelle le rendement…
Sur ce critère, Leclerc affiche 13 000 €/an/m². Tous les autres, sans exception, sont derrière : environ 10 000 € pour Carrefour et Auchan par exemple. Leclerc écrase donc davantage ses charges, peut pratiquer des marges plus faibles, donc vendre moins cher, donc vendre plus…
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