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Malgré un prix du lait au sommet, les résultats des exploitations laitières reculent pour les clôtures comptables du 3e trimestre 2023. La hausse du coût alimentaire, des charges de structure, ainsi que le recul des marges de grandes cultures se cumulent…
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Le prix moyen du lait irlandais pour 2023 devrait désormais être inférieur de 25 % à la moyenne de l'année dernière, selon l'évaluation de mi-année de Teagasc…
Le rapport montre que le revenu moyen des exploitations laitières devrait être de 70 000 € en 2023, contre plus de 150 000 € l'année dernière. Le coût total moyen de production de lait par litre en 2023 devrait être similaire à celui de l'année dernière à 36c/L…
En 2023, Teagasc a déclaré que la ferme laitière irlandaise moyenne devrait voir une marge nette de près de 9c/L, soit une baisse de plus de 60 % par rapport au niveau de 2022…
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Milc, coût de production, prix de revient… Yannick Pechuzal, de l’Institut de l’élevage, met les points sur les i en réaction à certains raccourcis souvent lus et entendus…
• Pourquoi ne pas estimer le coût de production à partir seulement de l’Ipampa ?
• Pourquoi ne peut-on pas faire de lien direct entre Milc et revenu ?
• Pourquoi le prix du lait ne doit pas être comparé au coût de production ?
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En un an, les cours du lait ont grimpé de 30 %. Une hausse compensant une partie l’augmentation des coûts des producteurs laitiers. Une hausse qui fragilise les transformateurs laitiers, surtout ceux de taille moyenne… Si les éleveurs ont pu voir les prix du lait compenser la hausse des coûts de production, il n’en va pas de même pour les transformateurs, dont les marges fondent. Egalim 2 a redonné un peu de pouvoir aux producteurs qui, depuis la fin des quotas laitiers subissaient la déréglementation du marché. Malheureusement, elle affaiblit aussi la position de certains transformateurs, ceux qui n’ont pas le pouvoir de négocier avec la grande distribution. Ils sont pris dans un effet ciseaux… « Dans une étude européenne, concernant la filière laitière, nous avons montré que les entreprises de moins de 300 millions de chiffres d’affaires sont les plus fragilisées et peinent à rentabiliser leurs investissements, notamment s’ils ne sont pas positionnés sur des marchés différenciants et à plus haute valeur ajoutée comme le fromage et les yaourts »…
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Pendant ces douze mois, l’inflation des charges commençait à être très sensible avec un prix du lait qui a, lui aussi, progressé, sauf en bio…
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Avec un prix du lait qui grimpe et des charges qui en font tout autant : comment s'y retrouver ? Connaissez-vous le coût exact de votre ration ? Et votre marge sur coût alimentaire ? Quels objectifs vous fixez-vous ?
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Le coproduit viande contribue davantage que le prix du lait à ce résultat…
« Sur le mois d’avril 2022, la MILC s’est établie à 111 €/1000 l, son plus haut niveau depuis octobre 2019, et ce malgré un niveau de charges qui continue de battre des records », constate l’Institut de l’élevage. « Sur un mois, elle a gagné 10 €/1000 l grâce à une hausse du prix du lait (+ 13 €/1000 l) et du produit viande (+ 3 €/1000 l) qui ont surcompensé la hausse des charges (+ 3 €/1000 l). »…
Sur un an, la MILC « a progressé de 26 €/1000 l. La hausse du prix du lait (+ 71 €/1000 l) est presque intégralement gommée par celle des charges (+ 67 €/1000 l), mais le bond des prix du coproduit viande (+ 22 €/1000 l) permet à l’indice d’excéder nettement son niveau d’avril 2021 (85 €/1000 l). »…
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Les coûts de production sont dans une bonne période : les prix des aliments, des engrais et du carburant étant bien inférieurs aux niveaux observés au cours de la décennie. Mis à part les prix du carburant, qui sont probablement supérieurs à ceux de 2016, il n'y a aucun signe d'inflation imminente des coûts de production dans le secteur de l'agriculture en Irlande. Les prix irlandais du lait de ferme ont fortement rebondi au cours des 12 derniers mois, ils pourraient augmenter de 7% en 2017 par rapport à l'année dernière.
Avec la récupération des prix du lait, une production laitière plus élevée et un environnement de coûts statiques, les marges moyennes de la production laitière pourraient doubler en 2017. Les revenus moyens des produits laitiers devraient augmenter autour de 75 000 € à 80 000 euros en 2017, ce qui constituerait une année record pour les revenus agricoles issus des produits laitiers.
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Selon les prévisions de production, les prix à la production et les coûts des intrants, les marges des produits laitiers devraient s'améliorer en 2017 par rapport à cette année.
Le rapport de Teagasc prévoit une marge nette moyenne sur les fermes laitières irlandaises de 10.5c / l ou 1.198 € / ha en 2017.
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Face à la crise qui a fait plonger le prix des matières premières agricoles, les exploitants sont de plus en plus nombreux à se lancer dans le bio.
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Les marges laitières au Royaume-Uni continuent de baisser et le pire reste encore à venir, selon Ian Powell, directeur de Dairy Group. La marge sur aliments achetés, un indicateur de performance clé de la rentabilité des troupeaux laitiers, continue de baisser. « Après 16 mois consécutifs de baisse depuis le pic de mai 2014 à 1992 £ (€ 2.510), les derniers résultats de Janvier 2016 montrent une marge moyenne sur aliments achetés de 1507 £ (€ 1.899) par vache. C’est une réduction de £ 485 (€ 611) par vache, ce qui équivaut à 103.000 £ (€ 129.774) sur une année complète pour un troupeau moyen du Royaume-Uni de 212 vaches», a déclaré Powell.
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L’estimation des coûts de production 2015 est établie à partir d’un panel de 846 exploitations bovines, ovines ou caprines, viande ou lait, suivies en 2014. Cet échantillon est issu des exploitations des réseaux d’élevage avec des dates de clôtures comprises entre le 30 septembre 2014 et le 31 mars 2015. Des indices de prix et de volumes sont appliqués sur les postes de charges et de produits de l’année 2014 (données observées). Les indices retenus s’appuient sur l’expertise des ingénieurs du dispositif Inosys - Réseaux d’élevage, les tendances nationales issues de l’Ipampa, des cotations et des données d’enquêtes.
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L'assurance marge proposée aux producteurs de lait américains dans le cadre du Farm Bill est un dispositif à première vue intéressant pour adoucir les chocs liés à la volatilité des prix. Pourtant en 2015, les producteurs ne se sont pas massivement inscrits au programme. " 45% des producteurs n'ont pas payé les 100 dollars/ferme/an pour pouvoir bénéficier de l'assurance minimale automatique à 4 dollars ", constate Philippe Chotteau de l'Institut de l'élevage. 31% des producteurs ont souscrit une assurance payante en 2015 Au final en 2015, 24% des producteurs se sont inscrits pour l'assurance minimale gratuite à 4 dollars pour 42% de la production. Seuls 31% ont souscrit une assurance payante: 3% une assurance entre 4,5 et 5,5 dollars pour 4% de de la production, 23% une assurance entre 6 et 6,5 dollars pour 16% de la production, 5% une assurance de 7 à 8 dollars pour 1,5% de la production. En comptant les références non couvertes des producteurs inscrits, 41% du lait américain est non couvert par l'assurance marge.
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La hausse des prix, visible dès le printemps 2022, a porté le chiffre d'affaires des enseignes en France. Toutes les enseignes alimentaires voient leur chiffre d'affaires progresser, sauf Géant Casino et Monoprix. Tous les formats progressent, mais l’alimentaire progresse plus vite que la moyenne (+6,9%)…
Autre symbole de ce retour à la normalité, c’est le retour vers les magasins physiques et l'e-commerce qui boit le bouillon. La dégringolade attendue a bien eu lieu : les ventes e-commerce de produits déclinent de 7% sur un an en 2022, avec un volume de transactions en baisse de 3%...
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En 2022, « l’augmentation des prix agricoles a profité aux producteurs qui ont retrouvé des marges positives par rapport à leurs coûts de production, que ce soit pour le lait, les céréales et dans une moindre mesure le porc et les volailles. La principale exception demeure l’élevage bovin qui, malgré la hausse des prix, demeure assez loin de deux smic par UTH. Ces chiffres sont bien entendu des moyennes et ne peuvent cacher la grande hétérogénéité des exploitations agricoles françaises (…) » selon Philippe Chalmin… « Mais une chose est claire par contre : l’amélioration de la situation agricole n’est en aucune manière liée à un « partage plus favorable de la valeur ajoutée », comme le célèbrent nombre de discours depuis les Égalim. Les hausses de prix sont celles de marchés mondiaux et européens que subissent l’ensemble des acteurs des filières… Certes, l’approche de l’OFPM reste principalement limitée aux canaux de la GMS et ne tient compte ni de la restauration, ni des circuits courts et directs. Mais la crise que connaissent les produits de l’agriculture bio (notamment pour les produits laitiers) montre bien les limites de ces créneaux lorsqu’ils ne restent pas des niches. »
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La marge laitière est jugée « plutôt stimulante » et « les exploitations laitières françaises ont dans leur ensemble amélioré leur revenu courant en 2022 » : sur un an, la Milc a augmenté de 66 €/1 000 l, la hausse du produit lait (+ 98 € sur un an) et celle des autres produits (+ 15 €) compensant l’augmentation des charges (+ 47 €). Elle atteignait 170 €/1 000 l en janvier, contre une moyenne de 99 €/1 000 l sur la période 2007-2019…
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L'Inspection générale des finances (IGF) a réactualisé son rapport sur la rentabilité des trois acteurs qui constituent la chaîne de consommation. Résultat : la progression de la rentabilité de l'industrie agro-alimentaire est trois fois plus élevée que celle du commerce : +27% pour l’EBE de l’agriculture, +50% pour l’industrie agro-alimentaire, +9% pour le commerce…
L’EBE de l’agriculture se situe désormais 27% au-dessus de son niveau de 2019. En trois ans, note l’IGF, « les prix de vente du secteur agricole ont progressé de 27,5% contre 20,8% observé mi-2022 »…
Au second semestre 2022, la rentabilité de l’industrie agro-alimentaire a rebondi de 50%, effaçant ainsi les pertes par rapport à 2019. Leurs prix de vente ont progressé de 17,5% en trois ans, entre 2019 et 2022, soit cinq points de plus par rapport à mi-2022. Cet écart s’explique à hauteur de trois points par la hausse du prix des intrants et à hauteur de 2,1 points par la hausse de l’EBE. Pour autant, le secteur n’a pas augmenté sa marge en 2022 : la hausse des prix s’explique à 85% par celle des matières premières…
En comparaison, le secteur du commerce voit sa rentabilité progresser de 9% par rapport à 2019. Son taux de marge serait de 0,7 point au-dessus de son niveau de 2019. Bien évidemment, ces calculs ne prennent pas en compte les retombées des négociations commerciales qui se sont achevées le 1er mars, pas plus que la baisse des prix amorcée sur un certain nombre de matières premières…
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La MILC a atteint 140€, en hausse de +15€ d’un mois sur l’autre par la progression du produit, les charges étant stables. Sur un an, la MILC est en hausse de +38€, le produit lait de +82€, les autres produits de +22€, ce qui compense largement l’augmentation des charges (+66 €). En octobre et dans les prochains mois, la MILC devrait encore croître…
« Les conditions chaudes et humides de l’automne ont favorisé la reprise de la collecte. Mais c’est surtout le prix du lait payé aux éleveurs qui est devenu plus incitatif. La distribution de concentrés a progressé dans les élevages. En témoigne la demande nationale d’aliments pour vaches laitières qui a fortement augmenté en août 2022 : +12% par rapport à 2021 » analyse l’Institut de l’élevage.
Au 4ème trimestre, la collecte devrait poursuivre son redressement. Des signaux favorables sur les prix communiqués par des laiteries pour la fin d’année voire début 2023 donnent de la visibilité aux éleveurs, ce qui les encourage à produire davantage…
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L’indice de marge Milc progresse en juin. Mais la situation sur le terrain se tend un peu plus chaque mois qui passe. Les opérateurs sont inquiets pour cet hiver et début 2023…
L’indice de marge Milc, qui est un indicateur de marge partielle de l’atelier lait, était encore en progression en juin, à 120 €/1 000 l et le sera encore certainement en juillet, assure l’Institut de l’élevage. Elle atteint « son plus haut niveau depuis décembre 2017 ». Ceci est dû à une progression des produits lait et viande issus de l’atelier lait qui est supérieure à celle des charges (hors évolution des frais de personnel, travaux par tiers, fermages, impôts fonciers, frais financiers)…
Mais attention, l’image est trompeuse. « La Milc demeure à un niveau relativement peu stimulant », décrit l’Idele…
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Volée de bois vert pour les industries agroalimentaires, qui se plaignent de la hausse du coût des matières premières. Les producteurs de lait voient rouges, noyés qu'ils sont dans les pertes pour nombre d’entre eux, après une année noire.
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Pour son rapport d’orientation 2016, Jeunes agriculteurs a choisi de débattre de la structuration des filières pour qu’elles soient davantage « perspectives d’avenir ». Selon eux, les filières ne seront davantage rémunératrices que si les interprofessions et les OP en sont les maillons forts.
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Le point d’équilibre est un outil simple et efficace pour piloter la trésorerie de l’exploitation laitière. Calculer un point d’équilibre …
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A moins de 30 centimes le litre de lait, les éleveurs peuvent être confrontés à la question de produire ou pas l’intégralité des volumes contractualisés. Différents leviers techniques existent pour honorer son contrat, mais leur mise en œuvre peut coûter du simple au double.
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Le prix des produits laitiers au Canada n’est pas déterminé par le marché et au Québec, le prix du lait est fixé dans le but de couvrir les coûts de production de 50 % des producteurs.... Je vous soumets cette infographie produite par L’actualité, qui démontrait que l’écart de prix de détail entre le Canada et les États-Unis s’expliquait en bonne partie par la marge du produit au détail, et non par le prix aux producteurs...
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