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Cedric
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[Diaporama] Observatoire de l’endettement et des trésoreries des élevages bovins
Le revenu disponible s’améliore partout, en moyenne toute zone, à 38 700 €/UTH f/an. Ce qui permet de dégager une marge de sécurité et améliorer les prélèvements privés. La part d’exploitations en situation critique diminue à moins de 25%... L’Observatoire de l’endettement et des trésoreries, instauré en 2015, permet d’avoir un suivi régulier des résultats des exploitations bovines depuis 2013… Le suivi est réalisé annuellement sur la base de deux échantillons, représentant chacun une période de clôture : les clôtures dites « d’hiver » (octobre - décembre) et celles « d’été » (mars - juin). Les élevages sont répartis sur 4 bassins : le « Grand-Ouest », le Cantal (zone « Montagne »), la Saône et Loire (en bovins viande, pour le bassin Charolais ‘’historique’’) et la Dordogne (en bovins lait). Le suivi des exploitations est réalisé grâce aux partenariats durables, entretenus avec 4 centres comptables : Cerfrance Alliance Massif Central, Cerfrance Dordogne, COGEDIS et GIE Entr’AS.
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Situation financière stable pour les exploitations laitières...
La production laitière des exploitations était en hausse sur l’année 2021. Et le prix du lait, qui était sur une tendance de baisse en 2020, a connu une augmentation progressive sur l’année 2021. Ainsi, à la faveur de ces deux effets cumulés, le produit brut s’est amélioré. Et, malgré la hausse des charges alimentaires et énergétiques notamment, l’EBE a connu partout une amélioration…
Le revenu disponible s’est établi en moyenne à environ 21 000 € annuels par UTH familiale, en hausse marquée partout. La trésorerie nette globale moyenne s’est améliorée, et les dettes court-terme des exploitations laitières, sont restées élevées…
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L'Institut de l'élevage a tenté de comparer la durabilité économique des systèmes de ruminants. Entre 2014 et 2019, les systèmes laitiers ont en moyenne permis une meilleure rémunération de l'éleveur, avec une meilleure rentabilité du capital investi qu'en système allaitant…
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La forte hausse des prix des matières premières tout au long de l’année 2021 et début 2022 s’est transformée en véritable flambée au lendemain de l’invasion russe de l’Ukraine. La présente note vise à évaluer l’impact de la hausse des coûts sur 3 postes particuliers : aliments achetés ; carburant et travaux par tiers ; engrais de synthèse sur les différents systèmes d’élevage ruminant…
Face à la volatilité des marchés, nous avons choisi de construire 2 jeux d’hypothèses de prix et d’en calculer l’impact toutes choses égales par ailleurs sur les élevages spécialisés : bovins lait ; bovins viande ; ovins viande ; ovins lait et caprins, au sein de l’échantillon des élevages suivis dans le Réseau INOSYS. Rappelons à ce sujet que cet échantillon est construit pour sélectionner des fermes aux performances technico-économiques bien supérieures à la moyenne des fermes françaises…
Ces impacts sont établis en € par 1000 l de lait ou par kg de viande. Ils sont aussi comparés aux revenus par UMO estimés en 2021. Enfin, pour faciliter les calculs selon les variations ultérieures des cours des matières premières, ils sont exprimés relativement à une variation de 10 cts/l de GNR, ou de 100 € par tonne d’aliment acheté ou d’engrais azoté….
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Ce document présente en 4 pages un condensé de divers travaux et études concernant la situation économique et financière des exploitations bovines laitières : estimations des revenus 2017, marge MILC, observatoire de l'endettement et des trésoreries et indicateurs économiques de l'atelier laitier. Un prix du lait orienté à la hausse en 2017, un produit "cultures" nettement meilleur qu'en 2016 et des conditions de production plus favorables entrainent une amélioration des revenus des producteurs laitiers. Cependant, après deux années de baisse consécutives et de forte amplitude, une grande proportion de producteurs laitiers se trouvent dans une situation financière critique.
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Une analyse de la situation économique et financière des exploitations laitières françaises présentes dans le RICA a été conduite sur la période 2008-2015. Elle met en évidence une augmentation de la productivité physique des élevages, de l’ordre de 30 000 à 70 000 litres de lait par UMO. En revanche, pour une part importante des exploitations les revenus plafonnent. En cause, une baisse de l’efficience et l’augmentation des investissements.
A retrouver sur http://idele.fr/?eID=cmis_download&oID=workspace://SpacesStore/17523f3a-f4bb-4789-a93a-45b8a6836310
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La situation difficile des exploitations laitières, mise en évidence les années passées continue de s’aggraver. En lien avec un prix du lait toujours plus bas, l’EBE déjà insuffisant est encore en baisse en fin d’année 2016 : - 65 € d’EBE/1000 litres en 2 ans (soit -35%) dans le Grand-Ouest et -54 € d’EBE/1000 litres en Montagne (-27%). Les annuités sont toujours élevées et le revenu disponible des exploitations reste faible : moins de 15 000 € annuel par UTH familiale. Les exploitations n’ont aucune marge de sécurité depuis 2 ans. Dans le même temps, les investissements diminuent et les dettes court-terme augmentent. Les éleveurs du Grand-Ouest ont recours aux emprunts pour refinancer leurs investissements passés et leur trésorerie (montant des emprunts à long et moyen terme réalisés dans l’année supérieur aux investissements nets). Les annuités seront donc en hausse les prochaines années, et il faudra de nombreuses années pour que les exploitations retrouvent une situation financière saine. Ainsi, 40% des exploitations de l’échantillon (tous bassins) sont dans une situation critique : endettées à long et moyen terme et avec une trésorerie nette globale négative. Cette proportion s’élève à 51% dans le Grand-Ouest...
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L’année 2022 entrera probablement dans les annales de l’histoire : en raison de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, dont les effets économiques et géopolitiques sont considérables, mais aussi en raison d’un été climatique exceptionnel, révélateur du changement climatique à l’œuvre...
La reprise de la production européenne devrait se prolonger au 1er semestre 2023, même si le prix du lait subit de substantiels correctifs en Europe du Nord dans le sillage du reflux des cours des commodités laitières. Pour autant, l’incertitude demeure entière sur l’évolution de la production et des marchés des produits laitiers. En effet, ils dépendent de nombreux facteurs climatiques, macro-économiques, géopolitiques, de plus en plus imprévisibles…
Plus probable : la consommation de produits laitiers risque de s’effriter sous l’effet d’une inflation encore élevée en 2023, auquel cas les disponibilités en produits laitiers pourraient être plus étoffées pour l’export !
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Sur un an, elle a progressé de +32 €/1 000 l. La hausse du prix du lait (+80 €) est presque intégralement gommée par celle des charges (+72 €), mais le bond des prix du coproduit viande (de +24 €/1 000 l) permet à l’indice d’excéder nettement son niveau de juin 2021.
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Les écarts sont importants entre systèmes d’élevage laitier. Avec au sommet la polyculture élevage de plaine et à la traîne la montagne en lait standard. Le revenu des élevages laitiers bio régresse aussi en 2021…
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Première estimation des revenus lait 2021 :
Les écarts sont importants entre systèmes d’élevage laitier. Avec au sommet la polyculture élevage de plaine et à la traîne la montagne en lait standard. Le revenu des élevages laitiers bio régresse aussi en 2021…
Les systèmes de polyculture élevage (avec plus de 30% de la SAU en cultures de vente) ont gagné +15 600 €/UMO exploitant (+44%) essentiellement grâce au produit des cultures qui a bénéficié de bons rendements et de prix qui se sont envolés…
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Redressement des marchés en 2017, équilibre précaire en 2018
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L'équipe Inosys Réseaux d'élevage a estimé l’évolution des revenus sur 2 systèmes laitiers bien représentés en Normandie, à partir de cas types optimisés. Après une année 2016 chaotique, 2017 se rapproche des résultats 2015, mais on est encore loin de 2014.
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Ni les exploitations de polyculture élevage, ni celles avec des ateliers viande en complément, n’ont pu limiter les dégâts. A la morosité des prix touchant toutes ces filières, sont venues s’ajouter les affres d’une année climatique particulièrement perturbée...
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