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L’année 2022 entrera probablement dans les annales de l’histoire : en raison de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, dont les effets économiques et géopolitiques sont considérables, mais aussi en raison d’un été climatique exceptionnel, révélateur du changement climatique à l’œuvre...
La reprise de la production européenne devrait se prolonger au 1er semestre 2023, même si le prix du lait subit de substantiels correctifs en Europe du Nord dans le sillage du reflux des cours des commodités laitières. Pour autant, l’incertitude demeure entière sur l’évolution de la production et des marchés des produits laitiers. En effet, ils dépendent de nombreux facteurs climatiques, macro-économiques, géopolitiques, de plus en plus imprévisibles…
Plus probable : la consommation de produits laitiers risque de s’effriter sous l’effet d’une inflation encore élevée en 2023, auquel cas les disponibilités en produits laitiers pourraient être plus étoffées pour l’export !
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À ce jour, sous couvert que les hypothèses de prix restent les mêmes, l'impact "prix" reste supérieur à l'impact "intrants", mais jusqu'à quand ? Le risque de voir apparaître un « effet ciseaux » en production laitière dès le 4e trimestre 2022 n’est pas à exclure…
Pour des exploitations clôturant entre octobre et décembre 2021, la moyenne des prix perçus s’élevait à 371,9 €/1000 litres avec un point d’équilibre lié au lait de 354,8 €/1000 litres vendu…
Si l’on se réfère aux valeurs IPAMPA publiées par Agreste en mai pour des indices correspondant aux factures d’achats en mars 2022, le point d’équilibre passe de 354,8 à 403,7 €/1000 l soit une augmentation des dépenses de 48,9 €/1000 l. Si la tendance inflationniste se maintenait, le prix moyen annuel passerait de 371,9 € à 408,3€/1000 l au 3e trimestre 2022, soit une augmentation des recettes de 36,4 €/1000 l. Le point d'équilibre prévisionnel est encore couvert par le prix de vente du lait et la trésorerie reste positive de 4,6€/1000 l.
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L'équipe Inosys Réseaux d'élevage a estimé l’évolution des revenus sur 2 systèmes laitiers bien représentés en Normandie, à partir de cas types optimisés. Après une année 2016 chaotique, 2017 se rapproche des résultats 2015, mais on est encore loin de 2014.
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Économie : La ferme normande va mieux
Tendance. La chambre d’agriculture Normandie dresse un premier bilan encourageant de l’année 2017, même si elle n’est pas terminée. Tour d’horizon… Dans le secteur laitier, le prix payé au producteur est remonté (+ 12 % en Normandie) après un point bas atteint en septembre dernier. En 2017, il devrait donc avoir récupéré plus de la moitié de la baisse cumulée subie depuis 2014 (- 20 %). Dans un marché « convalescent », le lait reprend donc des couleurs. Quant au beurre, il affiche des prix qui flambent pour atteindre 6 500 euros la tonne en raison d’une pénurie sur les marchés européens. Cette flambée des prix peut s’expliquer par le retour des acheteurs. Une transformation s’est réalisée dans le commerce international du lait après plusieurs mois de chute des prix. Les plus grands pays producteurs ont su stabiliser leurs productions, ce qui a permis d’assainir le marché. Par conséquent, la demande a commencé à gagner en ampleur. Sur http://www.paris-normandie.fr/actualites/economie/la-ferme-normande-va-mieux-DE11045116
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D’après les retours des premières caisses de la MSA, 30 % des agriculteurs ont déclaré des revenus négatifs en 2016, indique Pascal Cormery, leur président. Les chiffres définitifs seront présentés le 25 septembre 2017.
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La crise impacte fortement les résultats comptables du second semestre. Le revenu moyen s’effondre en fin d’année. Le prix du lait est loin de couvrir le point d’équilibre et les trésoreries se creusent après deux ans de crise. La situation est alarmante car le prix du lait annoncé pour 2017 reste trop bas.
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Les résultats de clôtures de juin 2016 des exploitations laitières des Côtes-d’Armor et la prospective du Cerfrance pour la fin de l’année sont représentatifs des tendances lourdes de cette année 2016. Plus on avance dans le temps, plus les résultats se dégradent, du fait de la baisse du prix du lait payé : 305 €/1000 l pour les clôtures de juin 2016, contre 344 € pour juin 2015... Pour les clôtures du premier semestre, 10 % des exploitations ont un résultat courant négatif, c’est-à-dire avant rémunération des exploitants ! Le taux d’endettement est passé de 50 à 55 % du capital hors foncier, et la part des dettes court terme (emprunt CT bancaire, ouverture de crédit, dette fournisseur ou coopérative) a grimpé de 29 à 36 % du total des dettes.
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Revue hebdomadaire. Actualités agricoles, informations techniques : bases de données des entreprises, petites annonces, liste des salons et informations pour l'abonnement.
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Pour la deuxième année consécutive, les revenus des éleveurs laitiers en 2016 chuteraient à des niveaux très bas, selon une pré-estimation (au 31 août) du département économie l’Institut de l’élevage. Dans les exploitations spécialisées de plaine, le revenu 2016 est estimé en baisse de 12 000 € par UMO1 exploitant, pour se situer bien en deçà du niveau de 2009, précédent point le plus bas. Le revenu serait ainsi quasi nul, à 2 500 €/UMO exploitant.
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En Normandie D’après Inosys Réseaux d’élevage Normandie, la chute de revenu des exploitations laitières en 2015 devrait se chiffrer de 25 à 40% par rapport à 2014. Les systèmes polyculteurs sont moins touchés que les systèmes laitiers spécialisés, en raison de bons rendements céréaliers.
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Sur un an, elle a progressé de +32 €/1 000 l. La hausse du prix du lait (+80 €) est presque intégralement gommée par celle des charges (+72 €), mais le bond des prix du coproduit viande (de +24 €/1 000 l) permet à l’indice d’excéder nettement son niveau de juin 2021.
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L’Insee publie les comptes prévisionnels de l’agriculture pour 2017 ce 14 décembre 2017. Il fait état d’un redressement de la production et donc des revenus par actif non salarié de 22,2 %.
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Les revenus des fermes laitières irlandaises se sont considérablement redressés en 2017, ils atteignent le plus haut niveau jamais atteint cette année. Selon Teagasc, le revenu moyen des fermes laitières irlandaises en 2017 devrait dépasser 90 000 € - le chiffre le plus élevé jamais enregistré - ce qui représente une augmentation d'environ 40 000 € par rapport à 2016.
Les prix du lait à la ferme en 2017 sont en hausse d'environ 30% par rapport au niveau de 2016. Les producteurs laitiers irlandais ont également bénéficié de prix des intrants favorables en 2017, les réductions des prix des engrais et des aliments compensant la hausse des prix du carburant.
En 2018, les perspectives ne sont pas aussi positives, avec un affaiblissement des prix du lait de ferme irlandais de l'ordre de 10%, la croissance mondiale de l'offre de lait dépassant la croissance de la demande de lait. La production de lait en Irlande restera cependant très rentable et une nouvelle expansion des livraisons de lait de 4% est prévue en 2018.
Selon Teagasc, le revenu agricole moyen a augmenté d'environ 30% à 31 900 euros en 2017, contre 23 500 euros en 2016. Il devrait diminuer à un peu plus de 29 800 euros en 2018, mais il restera parmi les plus élevés de ces dernières années.
L'un des sujets de préoccupation pour 2018 est le processus de négociation en cours sur le Brexit. Il est encore trop tôt pour spéculer sur le fait que l'évolution de ces négociations aura ou non un impact significatif…
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Avec un prix du lait qui n’est pas au rendez-vous, le revenu de l’éleveur est à la peine.
Centres comptables, syndicalistes, Institut de l’élevage, etc., tout le monde s’accorde : les résultats économiques des exploitations laitières sont volatils depuis 10 ans et structurellement bas depuis 2 ans. Trop bas. Les trésoreries se tendent et il n’est pas rare aujourd’hui que le capital remboursé soit supérieur aux amortissements.
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Prix bas du litre de lait, consommation de produits laitiers en recul et coûts de production élevés ont engendré l’EBE le plus bas des dix dernières années pour les exploitations laitières. À 130 €/ 1 000 L, l’Excédent brut d’exploitation (EBE) des exploitations laitières a atteint son niveau le plus bas depuis 10 ans sur la campagne 2016-2017….
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La catastrophe de 2016 est confirmée par les comptes provisoires de l’Insee. L’excédent brut d’exploitation (EBE), qui reflète la richesse créée par les exploitations, dégringole de 12 % entre 2015 et 2016. Les bassins céréaliers sont atteints. Les investissements stagnent.
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Chiffres clefs 2016 (et évolution par rapport à 2015) : - Baisse du revenu de la Ferme Normandie de 267 millions d’euros.
- Baisse de 38 % du revenu par actif non salarié professionnel.
- Ventes de produits agricoles : 3,5 milliards d’€ (- 340 millions).
- Achats de Consommations intermédiaires : 2,37 milliards d’€ (- 67 millions).
- Revenu net d’entreprise de la ferme Normande : 410 millions d’euros (- 267 millions).
- Aides directes (couplées et découplées) : 532 millions d’€ (- 25 millions).
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Plongeon pour les éleveurs laitiers : A l’inverse, les éleveurs laitiers enregistrent la plus forte chute, avec un plongeon de 28,4 % des revenus en 2015, à 17 539 euros. Autre forte secousse pour les éleveurs de bovins (–13,9 % à 19 394 euros). Le bas du tableau est occupé pour la deuxième année consécutive par les éleveurs porcins, avec un montant de 12 992 euros.
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La Mutualité sociale agricole s'alarme d'une situation qui s'est considérablement détériorée ces derniers mois. Crise du marché, météo capricieuse ou encore problèmes sanitaires
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