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Les données analysées par le Crédit Agricole sont issues des bilans 2021 jusqu'au 31/03/2022…
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L'Inspection générale des finances (IGF) a réactualisé son rapport sur la rentabilité des trois acteurs qui constituent la chaîne de consommation. Résultat : la progression de la rentabilité de l'industrie agro-alimentaire est trois fois plus élevée que celle du commerce : +27% pour l’EBE de l’agriculture, +50% pour l’industrie agro-alimentaire, +9% pour le commerce…
L’EBE de l’agriculture se situe désormais 27% au-dessus de son niveau de 2019. En trois ans, note l’IGF, « les prix de vente du secteur agricole ont progressé de 27,5% contre 20,8% observé mi-2022 »…
Au second semestre 2022, la rentabilité de l’industrie agro-alimentaire a rebondi de 50%, effaçant ainsi les pertes par rapport à 2019. Leurs prix de vente ont progressé de 17,5% en trois ans, entre 2019 et 2022, soit cinq points de plus par rapport à mi-2022. Cet écart s’explique à hauteur de trois points par la hausse du prix des intrants et à hauteur de 2,1 points par la hausse de l’EBE. Pour autant, le secteur n’a pas augmenté sa marge en 2022 : la hausse des prix s’explique à 85% par celle des matières premières…
En comparaison, le secteur du commerce voit sa rentabilité progresser de 9% par rapport à 2019. Son taux de marge serait de 0,7 point au-dessus de son niveau de 2019. Bien évidemment, ces calculs ne prennent pas en compte les retombées des négociations commerciales qui se sont achevées le 1er mars, pas plus que la baisse des prix amorcée sur un certain nombre de matières premières…
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Selon l'Ania, le chiffre d'affaires des industries agroalimentaires françaises a progressé de 1,1 % en 2016, pour atteindre 172 milliards d'euros. En outre, le secteur est créateur d'emploi pour la troisième année de suite : + 4 333, à 427 213 au total. « Nous avons créé plus de 9 000 emplois en trois ans, pendant que le reste de l'industrie en a perdu près de 90 000 », remarque Jean-Philippe Girard, son président. Toutefois, les bonnes nouvelles s'arrêtent là pour le secteur.
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Nestlé a dégagé un bénéfice net en baisse de 5,9% en 2016 à 8,53 milliards de francs.
Le chiffre d'affaires du groupe alimentaire vaudois a lui augmenté de 0,8% sur un an à 89,47 milliards.
Le numéro un mondial du secteur a réalisé un taux de croissance organique de ses ventes de 3,2% et une croissance interne réelle de 2,4%. Les taux de change ont eu un impact négatif de 1,6% sur le développement du chiffre d'affaires, a indiqué jeudi Nestlé avant sa conférence de presse de bilan à Vevey (VD).
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Les Fromageries Bel continuent à faire le dos rond dans un marché compliqué, en particulier en Europe. Le groupe a stabilisé ses revenus sur neuf mois et compte sur la prochaine acquisition de MOM pour se diversifier. Bel a dégagé 2,18 milliards d'euros de chiffre d'affaires après neuf mois d'activité en 2016, un niveau quasiment identique à celui de l'année précédente, après une légère contraction des ventes (-0,2% à 731 ME) au troisième trimestre.
Si les zones Moyen-Orient / Afrique et Asie / Amériques progressent, l'Europe reste en berne à cause de la guerre des prix acharnée. Les volumes y sont légèrement haussiers mais cela a nécessité des efforts promotionnels accrus. Le propriétaire de La Vache Qui Rit explique être toujours confronté à des conditions de marché difficiles...
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Parmi les points : TRANSPARENCE DANS L'AGRO-ALIMENTAIRE : - Interdiction pour sept ans de la vente des contrats laitiers entre producteurs et industriels. Certains éleveurs en difficulté préfèrent revendre à d'autres leur droit à produire plutôt que de produire à perte, ce qui favorise les grandes exploitations.
- Les entreprises ne publiant pas leurs résultats risqueront une astreinte financière de 2% du chiffre d'affaires journalier.
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General Mills est un gigantesque portefeuille de marques agroalimentaires. Il fait partie de ces conglomérats dont le nom est moins connu que les marques dont il est propriétaire. Du genre : “sérieux, ça leur appartient ça ?”. Les crèmes glacées Haagen-Dazs, les boissons à base de lait Yoplait ou encore les céréales Cookie Crisp. Sans oublier Géant Vert…
L’Amérique du Nord est le terrain de jeu favori de la société. 61% du chiffre d’affaires et celles à destination des restaurants et des chaînes de restauration, 10%. Les activités alimentaires à l’international comptent pour 17% des revenus. Les 12% restants sont générés par la division de nourriture pour les animaux de compagnie. C'est d'ailleurs cette dernière activité qui a permis au groupe de se relancer : jusqu’en 2018, ses résultats étaient en déclin progressif. Entre 2018 et 2022, le chiffre d’affaires passe de 15,7 Mds$ à 18,9 Mds$...
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Pour Nestlé, Danone, Coca-Cola ou Unilever, tout l’enjeu est de ne pas décourager le consommateur, tenté d’opter pour des produits de marque distributeur plus accessibles…
Dans les rayons des supermarchés, c’est la valse des étiquettes. Les prix s’échauffent au fil des mois. Une tendance qui touche peu ou prou l’ensemble de la planète. Cette inflation dope le chiffre d’affaires des entreprises agroalimentaires. Que ce soit Nestlé, Danone, Coca-Cola ou Unilever, toutes affichent un net bond de leur activité, depuis le début de 2022. Toutefois, les marges sont sous pression. Une facture qui inclut le renchérissement des matières premières, des emballages, des transports et de l’énergie …
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Volée de bois vert pour les industries agroalimentaires, qui se plaignent de la hausse du coût des matières premières. Les producteurs de lait voient rouges, noyés qu'ils sont dans les pertes pour nombre d’entre eux, après une année noire.
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L'Observatoire financier des entreprises agroalimentaires du Crédit Agricole a passé au crible les bilans 2015 des IAA. Il en retire un redressement du taux moyen de leur rentabilité (Ebitda) à 7,1 % du chiffre d'affaires. Mais le phénomène « ne concerne qu'une minorité ». Les grandes entreprises du lait et des spiritueux engendrent cette hausse grâce à leurs activités internationales, de plus soutenues par l'euro, tandis que « pour la majorité des entreprises (chiffre d'affaires inférieur à un milliard d'euros), le ratio moyen reste stable pour la troisième année consécutive autour de 5 % ».
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Glanbia détient maintenant 12-13% du marché de la nutrition sportive mondiale, qui est estimé à 10 milliards €. Le bénéfice avant impôts de la division de la nutrition sportive de Glanbia augmenté de 35% à 81,7 millions €, tandis que le bénéfice de sa division des ingrédients traditionnels a baissé de 4% à 58 millions €. Glanbia a réitéré ses prévisions de croissance du bénéfice par action entre 8 et 10% pour l’année.
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