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« Nous sommes au point aujourd'hui où la production de lait est bien supérieure à notre capacité à la traiter pendant les mois de pointe. » L'augmentation de la production de lait et l'incapacité des acheteurs à continuer de déplacer l'excès de lait hors de l'État devraient réduire le cheptel laitier de l'Idaho de 10 000 vaches au cours des prochains mois...
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La filière laitière allemande va-t-elle changer de méthode et s’engager dans une stratégie de gestion des volumes de nature à atténuer les futures crises ? Rien n’est encore écrit. Mais le sujet n’est plus tabou.
Vingt mois de crise ont fait des dégâts parmi les quelque 71 000 élevages laitiers du pays. Ils se résument en un chiffre : 4 000. Selon le syndicat DBV, c’est environ le nombre d’exploitations laitières de toutes tailles de troupeau qui a mis la clé sous la porte en 2016, presque deux fois plus que durant une année « normale »…
« L’enjeu des négociations entre laiteries et groupements n’est pas de discuter seulement du prix, mais aussi de sujets comme l’alimentation non OGM ou le bien-être animal qui influencent également le prix payé »
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Les premiers résultats du programme européen de réduction de la production laitière révèlent que près de 44 000 agriculteurs à travers toute l'Union européenne ont réduit de manière volontaire leur production de lait de presque 852 000 tonnes d'octobre à décembre 2016.
La part restante non utilisée des €150 million prévus pour financer le programme sera bien sûr mise à disposition du budget agricole européen et sera employée pour les mesures de marché qui se montreraient nécessaires dans le secteur agricole.
Les chiffres de la deuxième et dernière période de réduction (novembre 2016- janvier 2017) ne seront connus que début avril. Nous aurons alors l'aperçu complet des résultats de ce programme unique et sans précédent lancé par la Commission européenne.
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I l ne manque plus qu’un instrument de crise pour un anniversaire parfait" lance le 10 novembre le European Milk Board, qui célèbre ses dix ans d'existence, avec un certain sentiment de satisfaction sur le chemin parcouru.
Plusieurs des idées de politiques laitières défendues par le mouvement ont été entendues, voire appliquées. Dernière en date, cette année, la réduction volontaire de la production, qui est un "élément essentiel du Programme de responsabilisation face au marché (PRM) de l’EMB", a été appliquée au niveau européen. Cette mesure "doit désormais mener à l’établissement d’un instrument de crise permanent" estime l'EMB.
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Alors que la suppression des quotas laitiers met à mal les producteurs européens, les éleveurs canadiens sont protégés par un système de gestion de l’offre. Mais la cherté des quotas pénalise la transmission des exploitations, don
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La seconde période d’inscription pour la réduction volontaire de collecte européenne s’est clôturée par 97 880 t demandées pour seulement 12 198 t disponibles. La France en tête au deuxième tour
Avec 23,5 millions de litres demandés, la France est le pays le plus demandeur d’Europe àpour cette deuxième vague. Mais pour les 1 823 demandeurs, seulement 2, 9 millions de tonnes seront acceptés. Au premier tour, les 13 000 candidats s’étaient entièrement vus accepter leurs demandes. Ces derniers ne pouvaient s’inscrire une seconde fois.
Bilan des deux périodes
L’Allemagne et la France sont les deux grands bénéficiaires du plan de réduction de collecte. Elles cumulent respectivement 288 263 et 184 320 tonnes engagées pour les deux périodes. Le Royaume-Uni prend la troisième place avec 113 128 t, suivi par les Pays Bas (80 000 t), l’Irlande (75 000 t), et la Pologne (54 000 t) puis la Belgique, l’Espagne et le Danemark tous trois près de 30 000 t.
La France est le pays où les demandeurs sont les plus nombreux, mais les volumes engagés par exploitation (12 t en moyenne) restent faibles par rapport à la Hongrie (103 t), la Slovaquie (102 t) et l’Allemagne (71 t). Le bilan sur les effets en termes de collecte globale et de remontée des prix est attendu de pied ferme.
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Les premières demandes d’indemnisation pour chaque kilo de lait non produit faites dans le cadre du plan de réduction de la production laitière vont consommer la quasi-totalité des 150 M€ dédiés au niveau européen. Pays par pays, retrouvez le bilan chiffré de la première vague de demandes qui s’est clôturée le 21 septembre à midi.
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Selon les premières indications de sources professionnelles, les demandes déposées par les producteurs du lait de l’UE, à l’échéance du 21 septembre auprès des administrations nationales, ont déjà épuisé l’enveloppe de 150 millions € prévue par Bruxelles destinée à la réduction de la production laitière. En France, environ 12 800 éleveurs auraient fait une demande, soit près de 20 % des producteurs, pour une quantité globale non encore précisée.
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La première phase de dépôt des demandes d’aides à la réduction de la production laitière s’est clôturée mercredi 21 septembre à midi. FranceAgriMer a comptabilisé 12 823 demandes, dont 8 338 demandes individuelles 4 485 demandes collectives.
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Kerry Co-op : Un peu plus d'un tiers des fournisseurs de lait de ont choisi de présenter des demandes de réduction de la collecte. Aurivo a confirmé que environ 20% des producteurs de la coopérative ont fait une demande. Glanbia rapporte que 13% ont opté pour le régime ; Arrabawn Co-op a également confirmé que près de 20% de ses fournisseurs de produits laitiers ont opté pour le régime de réduction.
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Bien plus cher qu’en Europe, le lait canadien est encadré par un système de quotas… qui commence à se fissurer. La faute aux accords de libre-échange mais aussi aux importations en provenance des États-Unis.
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Alors que la mise en place des aides pour la régulation de la production se précise en Europe et en France, un sondage révèle que 55 % des éleveurs laitiers seraient prêts à diminuer leur production pour agir sur les prix.
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Cet objectif est pris dans le cadre du plan demandé par Bruxelles pour faire remonter les prix. Les éleveurs qui s'engageront à réduire leur production recevront des aides financières.... Bruxelles prévoit de payer aux éleveurs 14 centimes par litre de lait non produit. La France rajoutera un bonus de 10 cts/l pour ses éleveurs, dans la limite de 5% de la production, a expliqué Stéphane Le Foll. Paris utilisera pour cela l'enveloppe de près de 50 millions d'euros allouée par Bruxelles en juillet, que le gouvernement va doubler avec des crédits nationaux pour atteindre un total d'environ 100 millions, a-t-il précisé.
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Les producteurs de lait ont de la « broue dans le toupet ». Pour satisfaire une demande effrénée en matières grasses, du beurre principalement, ils viennent de voir leur quota négociable augmenter de 1 %.
Cela s’ajoute à une hausse de 5 % attribuée en juillet dernier. En l’espace de trois ans, leur droit de produire a ainsi enregistré un bond spectaculaire de 21,5 %.…
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Constatant les effets positifs de la régulation laitière fin 2016 et début 2017 au niveau européen, l’European MilkBoard appelle de ses vœux la ratification par les trois instances de l’autorité européenne d’un « système de réduction volontaire de la production ». Le Parlement européen a proposé ce dispositif dans le cadre du règlement « omnibus » pour faire évoluer la Pac.
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Quelque 11.300 producteurs français de lait de vache qui ont réduit volontairement leur production fin 2016 viennent de percevoir une indemnisation, conformément à une décision prise au niveau européen, a indiqué jeudi le ministère de l'Agriculture. Ces 11.300 producteurs ont été indemnisés "pour la non production de 146.000 tonnes de lait" au cours des trois derniers mois de l'année 2016
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La deuxième vague de demande de réduction de la production laitière, qui s’est achevée le 12 octobre à midi, s’est soldée par un niveau de demandes de la part des producteurs huit fois supérieur à ce que Bruxelles envisage de soutenir financièrement. Retrouvez tous les chiffres du bilan de cette seconde phase.
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FrieslandCampina versera autour de 10 centimes d'euro par kg à ses membres pour réduire la production de lait entre Octobre 2016 et Mars 2017. A rajouter au programme de réduction volontaire de l'UE.
Dans le même temps, Friesland Campina a également augmenté son prix du lait de 17% au cours des deux derniers mois, soit un prix de 29,25 centimes d'euro par kg à partir du 1er Octobre.
Friesland Campina affirme que son programme vise à aider les exploitations agricoles à réduire la production de phosphate en prévision de la réglementation en cours d'introduction aux Pays-Bas. Mais les membres de la coopérative en Allemagne et en Belgique peuvent également participer.
Friesland vise à réduire la production globale de 146m litres entre Octobre et Mars. Ce qui équivaudrait à une réduction de 0,2% de la production de lait dans l'UE-28, par rapport à la même période en 2015/16.
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Sur les 150 M€ alloués à raison de 140 €/1.000 kg de lait non produit, la totalité sera potentiellement mangés sur la période d'octobre à décembre avec les engagements de réduction souscrits portant sur 1.071.428 t. Il ne restera donc rien pour la seconde période...
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Réagissant au bilan de la première phase de dépôt des demandes d’aides à la réduction de la production laitière, l’OP France Milk Board Grand Ouest estime qu’il s’agit d’un signe fort vers davantage de régulation et d’organisation.
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Plus de 1 050 agriculteurs wallons sont prêts à réduire leur production laitière tout en obtenant une compensation.
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Avec votre prévisionnel de production et un budget partiel, évaluez l’intérêt de demander les 240 euros/t de lait jusqu’à 5% de réduction et 140 euros/t au delà.
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Les trois-quarts des internautes qui ont répondu à notre sondage en ligne estiment que l’aide de 240 €/1 000 l de lait, annoncée par Stéphane Le Foll pour réduire la production, n’est pas suffisante. Ils sont 25 % à penser que cette aide devrait leur permettre de réduire leur production de lait.
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. La France se voit attribuer 49,9 M€, qu’elle a décidé de doubler pour la porter à 99,8 M€ et la consacrer au lait et à la viande bovine – le lait restant la priorité absolue. L’objectif est de renforcer l’aide européenne, pour la porter à 240 €/1 000 kg non produits. Elle sera ainsi plus attractive, avec un effet rapide attendu sur le marché. Ce bonus national s’appliquera sur les volumes qui bénéficieront de l’aide européenne, avec un plafonnement aux premiers 5 % de réduction. Au-delà, l’aide ne sera que de 140 €/1 000 kg non produits.
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