Le démarrage des premiers chantiers de récolte s’annonce plus précoce que l’année dernière.
Après des mois de mai et juin particulièrement chauds et secs, les pluies d’orages de juin ont en partie comblé le déficit hydrique bien que les cumuls soient très variables selon les régions. Résultats : « Les floraisons vont être observées une dizaine de jours plus tôt que la normale, voire 2 à 3 semaines plus tôt que l’année dernière ! », révèle Arvalis.