Premièrement, (…) nous appelons à l'établissement d'une réelle démocratie alimentaire, un passage à une politique de la demande et non plus à une orientation de la production agricole dictée par les seuls besoins des industriels. La réponse aux attentes sociétales et l'amélioration du bien-être paysan dans l'exercice de son métier doivent être les priorités des plans de filière…
Deuxièmement, la question de la souveraineté alimentaire ne peut être laissée au bon vouloir des intérêts privés sous peine de basculer dans l'absurde. C'est pourquoi nous avons besoin de politiques publiques agricoles et alimentaires fortes…