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Ces dernières semaines, l’inquiétude face au véganisme s’est amplifiée. L’industrie laitière britannique craint d'être engloutie par le phénomène.
Les messages anti-laitiers liés à des modes de vie «saine» doivent être vigoureusement contrés si l'industrie voulait un avenir viable. Dairy UK, l’association des producteurs de lait britannique se dit prête à se battre. Elle lancera une campagne de promotion laitière de 1,2 million de livres ( 1,7 million de dollars canadiens) dans les stations de métro dès cette année et elle incite les producteurs laitiers eux-mêmes à se tourner vers les médias sociaux et Twitter pour défendre leur cause.
On estime chez Dairy U.K que chaque information négative qui est diffusée, doit être contrée par cinq informations positives.
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Après les mouvements de colère des producteurs de lait , la distribution française a quasi-unanimement promis − notamment Leclerc, Intermarché et Système U − de contribuer à améliorer le prix qui leur est payé, notamment via les produits sous MDD.
« Quelle hypocrisie ! » a réagi la Fnil , estimant que le redressement du marché laitier n'a pas été répercuté dans les prix moyens sortie usine, en baisse pour le lait, les fromages ou les yaourts, à l'exception du beurre.
Et de rappeler que « les négociations entre industriels et distributeurs portent sur les produits laitiers transformés et non sur le lait matière première ».
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Les producteurs de lait français peinent à obtenir une revalorisation des prix pendant que les cours mondiaux du beurre flambent et que l'Europe ploie sous d'importants stocks de poudre de lait. Pourquoi un tel grand écart ?
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Suivant l’exemple autrichien, des producteurs français s’organisent en association. Leur but est de valoriser un lait produit sans ensilage et reconnu par un signe officiel de qualité. Le cahier des charges "Lait de foin" exige au moins 75% de la ration en herbe et foin, et zéro ensilage
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Depuis la crise cet été, liée à la chute des prix du lait, les bouteilles dites « équitables » se multiplient dans les rayons. Nous avons voulu savoir lesquelles bénéficient le plus aux éleveurs.
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Cet ouvrage retrace un périple de 80 000 km en Asie à la rencontre des gens qui vivent du lait de leurs animaux. « Du Mont-Blanc à la Grande Muraille », les auteurs ont voulu partager leurs rencontres et leurs découvertes laitières.
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A la fin des années 1960, les importations totales en lait couvraient 40% des disponibilités, pour une consommation qui atteignait les 50 litres équivalent lait /habitant. Aujourd’hui, elles en couvrent plus de 50 % pour une consommation par habitant qui a presque triplé à 147 litres équivalent lait/habitant.
«Nous produisons environ trois milliards de litres pour des besoins estimés à 6 milliards».
Près de 30% des disponibilités laitières sont destinés à l’autoconsommation ou se retrouvent dans le circuit informel, selon les chiffres du ministère de l’Agriculture. On estime que le taux d’intégration du lait cru est autour de 15% en moyenne, entre laiteries privées et publiques.
Les investisseurs «n’investissent pas car ils ne peuvent pas concurrencer un prix administré de 25 dinars le litre. Ils ne veulent pas investir dans des vaches laitières puisqu’il y a la poudre et qu’elle est subventionnée».
En 2013, les subventions à la poudre de lait ont atteint 30 milliards de dinars. Mais, c’est loin d’être la seule contrainte.
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Les éleveurs laitiers du Wisconsin rejettent le cadre de l'accord commercial sur le Partenariat transpacifique sous sa forme actuelle (PPT).
Dans une enquête auprès de plus de 1 000 producteurs laitiers menée par le Wisconsin Farmers Union, près de 80% des répondants ont convenu que le TPP devrait être rejeté. L'ouverture des frontières américaines pour les importations à faible coût de concentrés de protéines de lait est la préoccupation la plus courante.
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Souvent traditionnels, les mécanismes de production laitière en Afrique ne permettent pas de couvrir les besoins d'une population, en constante croissance démographique et estimée à plus de 1,2 milliard
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Présent depuis une semaine dans une centaine de supermarchés de la façade atlantique, le lait produit, conditionné et vendu par des éleveurs locaux qui maitrisent toute la chaine, connait un joli succès en Charente. Reportage à Roumazières.
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Sur la brique blanche et bleue de Cant’Avey’Lot, une vache pose fièrement au milieu d’une prairie verdoyante. L’image vaut bien plus qu’un logo, elle illustre les valeurs de la coopérative du lait de la Vallée du Lot...
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La crise du lait reflète d’abord les difficultés des producteurs à s’organiser et à investir pour obtenir une meilleure place dans un secteur en plein bouleversement, selon les économistes Xavier Hollandts et Bertrand Valiorgue.
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La filière laitière agrège la production de 400.000 producteurs autour de 82 industriels et contribue à employer 450.000 personnes. Cinq entreprises (Centrale Danone, Jaouda, Jibal, Les Domaines Agricoles (marque Chergui), Colinor) génèrent 75% du chiffre d’affaires total du secteur.
Or la consommation marocaine reste inférieure de 36% à la moyenne mondiale, malgré une croissance importante au cours des 40 dernières années. Cette tendance baissière est attribuée à plusieurs facteurs et représente un manque à gagner pour la filière.
L’élevage laitier au Maroc représente 1,2 million de têtes pour 2,45 milliards de litres produits/an. 90% des exploitations disposent de moins de 10 vaches laitières. Valeur aujourd’hui, 60% de la production est destinée au lait industrialisé contre 20% pour l’autoconsommation locale ou encore 20% pour le lait de colportage.
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in Panorama de l'agriculture et de l'agroalimentaire - Edition 2017 La Normandie possède un troupeau de près de 580 000 vaches laitières, soit 16 % du troupeau laitier français. La Manche est d'ailleurs le 1er département français par la taille de son troupeau de vaches laitières, devant l'Ille et Vilaine. Le troupeau normand moyen s’élève à 66 vaches laitières (contre 59 en France métropolitaine). Autrefois majoritaire, la race normande est maintenant devancée par la Prim’holstein dans le troupeau laitier normand. En 2015, le lait bovin représente 33 % du produit agricole régional (services exclus, hors aides), soit près de 1,3 milliard d’euros pour la Normandie. En Normandie, près de 40 % des exploitations agricoles détiennent un troupeau de vaches laitières (22 % en France métropolitaine).
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Jeudi 15 juin, la Fédération nationale des coopératives laitières (FNCL) s’est engagée à répercuter aux producteurs, sous conditions, les hausses de tarifs pratiquées par la distribution sur les produits laitiers premiers prix et discount, au 1er juillet. Fixé entre 300 et 310 euros les 1000 litres, le prix payé aux éleveurs pourrait passer à 320 et 330 euros ces prochaines semaines. Suite au "choc de l’après-quotas" , la coopérative Sodiaal s’est notamment engagée à rediriger 25 millions d’euros vers ses producteurs. "Le seul engagement des coopératives ne suffit pas, nous attendons les mêmes efforts de la part des industriels et de la grande distribution, afin qu’il y ait enfin une répartition équilibrée de la valeur ajoutée tout au long de la chaîne alimentaire" , a réagi la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA). Pour sa part, la Coordination rurale milite pour un prix fixé à 450 euros par tranche de 1000 litres. Adrien Pierre, consultant spécialisé sur le marché laitier au sein du cabinet de conseil en gestion de risque de prix Agritel, rappelle les enjeux des discussions actuelles dans la filière.
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En mai et juin 1972, la guerre du lait éclate. Jean Charles JACOBIN, agriculteur et leader de ce mouvement, revient sur leurs revendications. Après dix années, il fait le bilan du conflit. Suite à la grève, le paysage syndical agricole s'est transformé, le syndicat des Travailleurs paysans s'est notamment organisé. En outre, d'un point de vue économique, les disparités se sont accentuées.
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La transparence que demandent les consommateurs sur les pratiques d’élevage conduit à mettre en avant la ferme France. La confiance accordée aux producteurs de lait est porteuse de valorisation pour l’ensemble de la filière.
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Pour répondre à la demande des consommateurs, les Producteurs de lait du Québec (PLQ) ont émis l’équivalent de 1,5 G$ de quotas depuis deux ans. Ces kilos de quotas ne sont pas prêtés, ils sont bel et bien octroyés à tous les producteurs qui peuvent les vendre à un coût de 24 000 $ chacun. …
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La Nouvelle-Zélande a connu une vague de croissance de la production laitière au cours des deux dernières décennies : + 4,1% par an de volume et +2,7% du troupeau.
Plus récemment, cependant, En réponse à une baisse soutenue des prix du lait, les producteurs ont dû réduire les coûts et reporter l'investissement afin de faire baisser les prix du seuil d'équilibre. Pour la saison terminée le 31 mai 2016, la production a baissé de 1,5% et la saison actuelle (au 31 mai 2017) devrait très probablement suivre une tendance à la baisse.
La Rabobank s'attend à ce que les cinq prochaines années produisent des taux beaucoup plus lents de croissance jusqu'à 2022, en comparaison à la flambée au cours des deux dernières décennies. Les réglementations environnementales se resserrent et la production laitière sera limitée par la simple disponibilité des ressources: terres, eau et main-d'œuvre.
Nous assistons au début d'une ère nouvelle : La croissance future viendra de l'augmentation de la productivité à la ferme, plutôt que de l'accroissement du nombre de vaches dans le troupeau national, au fur et à mesure que l'industrie continuera d'évoluer.
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Pour le groupement des producteurs laitiers du Canada (PLC), le Ceta va réduire « jusqu’à 2 % de la production laitière canadienne » et ce sont « 17 700 tonnes de fromages qui ne seront plus produites au Canada », avec une perte de revenus de 116 millions de dollars par an pour les agriculteurs.
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Après avoir remporté un "grand succès" avec son lait, la "marque du consommateur" va être prochainement étendue à d'autres enseignes et à de nouveaux produits, a annoncé mardi à l'AFP le président des Gueules Cassées, à l'origine de l'initiative.
Il ne nous restait qu'une seule interrogation: est-ce que cela allait se vendre ? Et moins d'un mois après le lancement, nous avons déjà la réponse: le test sur le lait rencontre un grand succès, avec 1.000 magasins qui sont déjà en rupture de stocks", a indiqué à l'AFP Nicolas Chabanne.
Selon Martial Darbon, le président du groupement de producteurs fournisseurs de la marque, quelque 1,3 million de litres de lait ont été vendus aux magasins.
Carrefour indique de son côté avoir écoulé 500.000 briques de lait de la marque. Le groupe a décidé depuis le 1er novembre d'étendre la diffusion à l'ensemble de son réseau, soit 5.600 magasins.
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À l'échelle nationale, les producteurs laitiers de Nouvelle-Zélande ont produit 1.862 milliards de kilogrammes de solides de lait, pour une valeur de 8 milliards $ en 2015/16, année la plus difficile jamais connue, selon les derniers chiffres de DairyNZ.
Le prix du lait a été le plus bas depuis plus d'une décennie, avec un prix moyen à 3.90 $ / kgMS (contre 8,40 en 2013/14) pour des agriculteurs qui avaient un coût de production de 5,25 $ / kgMS. Mais en dépit du manque à gagner évident, les agriculteurs ont pris des mesures pour réduire leurs coûts. « Nos données montrent que les agriculteurs sont devenus plus efficaces et ont affiné leur gestion, si bien que le coût a diminué à 5,05 $ / kgMS pour 2016/17. (…) Les agriculteurs devraient être fiers, c’est essentiel au maintien de la compétitivité internationale de notre industrie. »
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Les éleveurs ne possèdent plus l’effectif bovin qui était dans un passé récent assez important. La filière lait n’arrive pas à décoller, et ce, en dépit d’une batterie de mesures incitatives élaborées par l’Etat.
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On prévoit une croissance mondiale de la demande de lait de plus de 20 millions de tonnes par an d’ici 2025 soit 2,3% par an (25% en 10 ans), selon les Perspectives laitières à long terme de l’IFCN.
Le principal moteur de cette croissance de la demande est la population mondiale croissante, ainsi que l'augmentation de la consommation de lait par habitant. «À l'échelle mondiale, chaque personne consomme 13 kg de plus en équivalent lait sur dix ans (à savoir 127 kg par personne en 2025). Le niveau de l'offre mondiale de lait devrait donc continuer de croître, à condition que les consommateurs conservent leurs préférences positives pour le lait et que la situation économique et politique globale reste stable. »
Un facteur clé pour l'avenir de l'approvisionnement en lait est sans doute le prix moyen du lait pour que les agriculteurs soient en capacité de le produire. L’IFCN estime que ce niveau de prix du lait est à 41 USD / 100 kg de lait (Energy Milk corrigée à 4%MG, 3,3%MP), soit un niveau de prix sensiblement plus élevé que les prix observés en 2015 et 2016. Avec ce prix, il est prévu la production de lait devrait augmenter de 208 millions de tonnes, ce qui représente 8,5 fois la production laitière actuelle de la Nouvelle-Zélande.
Au cours des dix prochaines années, il y aura aussi des changements importants dans le nombre de fermes et leur taille. La principale conclusion est que, en 2025, il y aura 103 millions de fermes laitières dans le monde, soit une baisse de 17,5 millions d'exploitations sur dix ans à partir de maintenant. En revanche, le nombre de vaches et la production de lait vont augmenter. Numériquement, cela représente une augmentation de la production mondiale de lait par exploitation de 47% jusqu'en 2025.
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