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En mars, les agriculteurs n'ont pratiquement pas reçu plus d'argent pour leur lait que le mois précédent. Seules quelques laiteries ont augmenté les primes sur le lait en mars. Il s’agissait pour la plupart d’entreprises d’Allemagne du Nord et de l’Ouest qui paient déjà des prix plus bas…
La valeur des matières premières du lait calculée par l'Institut ife a également diminué de 0,1 ct/kg pour atteindre 42,1 cts/kg de lait en mars. Cette baisse est faible par rapport aux mois précédents et indique déjà une stabilisation…
Entre 36 et 37 centimes/kg, la hausse des prix au comptant du lait au cours de la première semaine d’avril laisse également présager des perspectives plus encourageantes…
La valeur du lait à la bourse ife affiche également des perspectives positives pour l'Allemagne : de 42 cts/kg en avril, elle est passée à 43,4 cts/kg en mai. Rabobank a déjà déclaré que les 50 centimes reviendraient en vue.
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"Sur l’atelier laitier, la hausse du prix du lait a quasiment compensé la hausse des coûts de production en 2023", évalue l'Idele. On assiste à « une bonne tenue du prix du lait », qui pourrait continuer dans les mois qui viennent…
La flambée des cours des commodités laitières (beurre, poudres) en 2022 a moins impacté les prix du lait en France que dans les autres bassins laitiers européens. Idem pour leur repli sur les premiers mois de 2023, et leur regain en fin d’année. Si bien que le prix moyen du lait standard toutes qualités en 2023 a finalement atteint 460€, soit 24€ et 5% de plus qu’en 2022. Il s’établissait à 451€ en janvier dernier. Et « il pourrait se maintenir en 2024 sur les niveaux de 2023 », estime l’Idele…
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C'est un nouveau round de négociations commerciales qui est en cours pour Sodiaal, connu pour Yoplait, Candia ou Entremont. Celui sur ses grandes marques achevées, c'est au tour de ses marques distributeurs (MDD). Car les MDD représentent près de 50% de son activité…
Sodiaal demande entre 2% à 4% de hausse des prix pour garantir une juste rémunération à ses éleveurs. Pour ses marques nationales, Sodiaal dit avoir obtenu des « hausses raisonnables ». Selon la FCD, l'augmentation obtenue par les industriels pour 2024 s'élèverait entre « de 2% à 3% »…
Nouveauté de cette année, la loi Descrozaille (Egalim 3) en application depuis le début mars prévoit que la sacralisation des charges concerne aussi les MDD. Ce qui n'était pas le cas jusque-là. Les entreprises attendent donc de voir sur cette première année, quel sera le résultat des négociations avec les enseignes…
L'objectif est d'atteindre 50 centimes le litre en 2024. « Nous n'avons pas le droit à l'erreur, sinon nous allons manquer de moyens notamment pour financer les enjeux environnementaux. Nous avons monté une marche, il faut aller plus loin pour redonner des perspectives aux jeunes et donner envie de s'installer »…
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Il y a des lueurs d’espoir à l’horizon pour une amélioration des prix mondiaux des produits laitiers. Les prévisions des prix dans la plupart des régions clés indiquent une meilleure année après une année 2023 difficile, avec une amélioration des marges cruellement nécessaire au niveau des producteurs…
Associée à la baisse attendue des coûts de l'alimentation animale, l'amélioration des perspectives de marge finira par stimuler la croissance de la production laitière dans les Big 7 d'ici le 2ème semestre 2024. Ce ne sera probablement pas une année de prix record, à tous égards, mais les agriculteurs du monde entier accueilleront favorablement le retour à la rentabilité…
La croissance de l’offre de lait continue de connaître des difficultés et le retour à l’expansion de la production prendra du temps. Rabobank prévoit une production inférieure d'une année sur l'autre pour les deux premiers trimestres de cette année avant que le volume ne devienne positif au second semestre 2024…
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Selon un nouveau rapport de Rabobank, le marché mondial des produits laitiers semble être en train de passer à la phase suivante de son cycle, avec des prix qui devraient augmenter au cours de l'année prochaine…
« La croissance de l’offre mondiale de lait a été décevante, avec 3 trimestres consécutifs de croissance. Ensuite, la baisse des prix du lait, la hausse des coûts et les perturbations météorologiques ont freiné à nouveau.»…
« La production laitière d’une année sur l’autre des « Big 7 » (UE, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Australie, Brésil, Argentine et Uruguay) devrait diminuer jusqu’au premier trimestre 2024 avant de redevenir positive. Dans l’ensemble, l’offre de lait devrait croître d’un modeste 0,3% pour l’ensemble de l’année »….
La balance laitière de l'UE se resserre, car la baisse de la production et la priorité accordée au fromage réduisent la disponibilité des produits…
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Les trois dernières années ont été extrêmement volatiles et difficiles pour les agriculteurs, les commerçants et les transformateurs de produits alimentaires…
Les principaux bénéficiaires d’une tendance à la baisse des matières premières agricoles devraient être les producteurs de produits de boulangerie, de produits laitiers et de protéines animales…
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Les économistes revoient à la hausse leurs prévisions sur les prix du lait, alors que les prix mondiaux des produits laitiers continuent de remonter. Ils sont désormais environ 17% plus élevés qu’en août. Mais dans le même temps, les prix sont 38% inférieurs au niveau record de l'année dernière…
"Le pire de ce cycle de prix est peut-être derrière nous", a déclaré Nathan Penny, agro-économiste principal de Westpac.« On constate également qu'à ce niveau de prix du lait, de nombreux agriculteurs seront encore dans le rouge. En ce sens, nous ne sommes pas sortis du bois. »…
Le sentiment du marché a changé et trois éléments ont contribué à renverser la tendance des prix :
• les prix ont atteint des niveaux très bas, ce qui a suscité un intérêt accru pour les acheteurs, notamment de la part des acheteurs du Moyen-Orient et d’Europe
• la déclaration d'un phénomène climatique El Niño a accru le risque de sécheresse et de contraction de l'offre plus tard dans la saison • les prix du pétrole ont augmenté ces derniers mois, ce qui pourrait avoir donné un nouvel élan à la demande des acheteurs du Moyen-Orient.
En revanche, nous n’avons pas encore constaté d’amélioration significative de la demande chinoise.
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Après la dégringolade du second semestre 2022, les prix des produits laitiers se sont longtemps cherchés. Mais plusieurs signes sur les marchés français comme mondiaux laissent à penser que l'heure de la baisse pourrait être passée…
Les affaires se traitent plus facilement, les acheteurs profitant des niveaux plutôt intéressants atteints en beurre comme en poudre pour garantir les approvisionnements ces prochains mois. Les prix européens ont progressivement rejoint les prix internationaux sur le marché mondial. Les niveaux de stocks de poudre de lait écrémé sont jugés assez normaux pour la période par les opérateurs, les fabrications ayant reculé autant que la demande. Ceux de beurre, quoi qu’un peu plus élevés que les années passées, restent à des niveaux loin d’être alarmants…
Mais difficile de déterminer la tenue de la demande mondiale ces prochains mois. Les échanges ont été plus dynamiques au deuxième trimestre 2023 qu’au premier, mais il reste beaucoup d’incertitudes vers l’Asie et de barrières non-tarifaires vers l’Algérie. Du côté de la Chine, on note tout de même un regain d’intérêt des acheteurs, ce qui s’est traduit par plusieurs hausses sur la plateforme Global Dairy Trade…
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Le prix du lait, qui a atteint des niveaux records sur les 6 premiers mois de l’année, va continuer à baisser et finira par rattraper le prix allemand. Mais le prix moyen 2023 sera supérieur à celui de 2022…
Une collecte en baisse de 2,5% depuis le début de l’année ; une consommation de produits laitiers en repli de 2% du fait de la flambée des prix en rayon (+ 20,6% sur un an) ; des prix d’intrants (énergie, aliment du bétail, emballages…) toujours élevés bien qu’en recul…
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Chaque mois, le Service de recherche économique du Département américain de l'agriculture publie les Perspectives de l'élevage et des produits laitiers : analyse des impacts économiques des changements d'un mois à l'autre…
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La coopérative Sodiaal envisage d’investir 1 milliard d’euros d’ici à 2030 pour innover et accentuer sa stratégie bas carbone. En 2023, elle vise un prix du lait supérieur à 480 €/1 000 litres…
La collecte de lait de Sodiaal auprès de ses 16 055 éleveurs adhérents s’est tassée de 100 millions de litres en un an pour atteindre 4,3 milliards de litres fin 2022. La baisse s’accentue à un rythme de - 2,6 % sur les cinq premiers mois de 2023. Face au double contexte de contraction des marchés et de réduction du cheptel, la coopérative assure vouloir enrayer la tendance par une meilleure valorisation du lait en fixant à au moins 480 €/1 000 litres (toutes primes) en 2023 le prix du lait payé aux producteurs, après 447 € en 2022. Elle vise 510 €/1 000 litres pour le lait bio, dont 20 % de la production a été déclassée ces derniers mois…
Sodiaal va affiner sa stratégie à moyen terme. Elle sera présentée en 2024, mais son président table déjà sur environ 1 milliard d’investissements d’ici à 2030 dont 250 M€ dans les transitions pour réduire de 30 % l’empreinte carbone des activités de la coopérative par rapport à 2019. Sodiaal aura-t-elle les moyens de ses ambitions de transitions agroécologiques ? Elle a, en tout cas, consolidé son chiffre de d’affaires en 2022, à 5,5 milliards d’euros (4,6 Mds en 2022) et ses bénéfices ont progressé de 20 M€ (Ebita de 152 M€), même si les charges supplémentaires liées aux inflations et à ses restructurations industrielles ont pesé sur ses résultats nets, négatifs de 68,20 M€…
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Les prix du lait continuent de chuter, mais la valeur marchande du lait augmente à nouveau fortement pour la période à venir. Pour le mois d'août, la barre des 40 cents sera à nouveau franchie et d'ici décembre, la valeur marchande du lait passera à 43,5 cents. Et d'autres signaux du marché pointent également vers le haut…
Deutsche Milchkontor (DMK), ne paie aux producteurs laitiers que 37,10 cts/kg en mai, et donc encore 3 cts de moins qu'en avril. Cela signifie que le prix DMK est juste au-dessus de la valeur de la matière première du lait déterminée par l'institut ife. Celui-ci s'est stabilisé à 36,4 cents en mai… Deux indicateurs importants confirment cette évolution : D'une part, la valeur marchande du lait, qui convertit les prix du marché à terme du beurre et du lait écrémé en un prix théorique du lait. D'autre part, les prix de gros des produits laitiers les plus importants d'Europe. Ces deux indicateurs pointent actuellement vers une hausse des prix et donc un possible renversement de tendance sur le marché du lait…
En tout cas, le constat est le suivant : la valeur d'échange du lait calculée par l'institut ife à partir des cours à terme du beurre et de la poudre de lait écrémé va à nouveau fortement augmenter pour les prochaines échéances. Ce prix théorique du lait pour le mois de juin est de 39,1 cents le kg et donc supérieur de 2,7 cents à la valeur de la matière première ife susmentionnée pour le mois de mai. Pour le mois d'août, la barre des 40 cents sera à nouveau franchie et d'ici décembre, la valeur marchande du lait passera à 43,5 cents. Bien entendu, cette évolution doit se poursuivre pour une reprise durable des prix. Mais les marchés à terme l'indiquent au moins pour les prochains mois…
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Les prix sur le marché se sont quelque peu stabilisés au cours des deux dernières semaines. Les livraisons de lait ont également culminé. Cela signifie que le fragile équilibre entre l'offre et la demande pourrait de nouveau basculer en faveur des producteurs de lait…
L'approvisionnement est déjà en baisse, car le pic saisonnier des livraisons semble passé. À la mi-mai, les producteurs de lait ont livré 0,3% de lait en moins à leurs laiteries en une semaine. La différence par rapport à la même semaine l'an dernier n'est que de 1,3%. Certains analystes s’attendent à un retournement des prix du lait au second semestre 2023…
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Le prix du lait a progressé de 5% l'an dernier. Cela n'a pas suffi à compenser le recul des revenus des éleveurs, lié à la baisse des aides de la PAC, et au retournement du cours des céréales pour les exploitations en polyculture- élevage…
Baisse des revenus, baisse de la collecte, effondrement du bio, 2023 a été une année noire pour les éleveurs laitiers français. Mais l'horizon devrait s'éclaircir en 2024, assure l'Institut de l'élevage (Idele)…
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Les clôtures de l’été 2024 (juin à sept.) devraient rester sur la même orientation. Le prix du lait sur 12 mois pourrait ainsi se situer dans une fourchette entre 420 et 440 € / 1 000 litres et varier sur un an entre – 25 et + 15 € par 1 000 litres, selon les laiteries…
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L'offre de lait dans l'UE a continué de diminuer au début de l'année. Dans le même temps, les prix du lait et des produits laitiers augmentent partout dans le monde. Les producteurs laitiers européens peuvent donc s’attendre à une hausse des prix du lait, selon Rabobank. Du moins pour le moment, car les volumes de livraison augmenteront également au second semestre. Et la demande doit suivre…
Rabobank prévoit que la production laitière deviendra plus rentable au premier semestre 2024. Les premières laiteries ont augmenté leurs prix du lait au cours des derniers mois. Et les prix à la production devraient continuer à augmenter dans l’UE. Rabobank s'attend actuellement à un prix moyen du lait de 47,5 cents/kg en Europe…
Au quatrième trimestre 2023, l'offre de lait dans l'UE et au Royaume-Uni a diminué plus que prévu : 1,7% de lait en moins a été livré par les producteurs. Pour 2024, une nouvelle baisse du volume de lait de 0,6 % est attendue au premier trimestre et une baisse de 0,3 % au deuxième trimestre. Rabobank suppose que l'approvisionnement en lait augmentera au cours du second semestre…
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CER France : Lettre de veille économique, lait
Les résultats économiques et financiers sont très bons depuis deux ans. Les excédents de trésorerie dégagés permettent d’affronter l’avenir avec davantage de sérénité. Le prix du lait 2024 pourrait ressembler à 2022…
La production française continue de diminuer malgré des prix de la viande et du lait porteurs. La collecte recule de 2,7 % sur les dix premiers mois 2023. Toutes les régions françaises sont concernées par la baisse de la production laitière, à l’exception de la Normandie (+0,2 % sur 10 mois 2023).
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En septembre 2023, le prix du lait standard toutes qualités a atteint 462 €, en progression de +1€ en un mois. Il reste toujours plus élevé qu’un an auparavant (+7 € /2022), mais devrait baisser de -15 à -20 € d’après nos prévisions sur le dernier trimestre 2023…
La réouverture prochaine des négociations commerciales avec la grande distribution pour contrer l’inflation, exercera une pression à la baisse sur les prix alimentaires…
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Les prix du lait ont atteint un niveau plancher ou presque. « Ce que nous avons vu au cours des trois à quatre dernières semaines pourrait être une tendance haussière à court terme, mais si nous regardons davantage les tendances à moyen terme, nous voyons de la place pour de meilleurs prix pour la fin de 2023 et jusqu'en 2024. »…
« Il faut toujours quelques mois avant que l'évolution des prix des produits laitiers ne se reflète dans les prix du lait »…
En 2024, « la production devrait augmenter de 0,4%, soit bien moins que le gain annuel moyen de 1,6% observé entre 2010 et 2020 »…
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Si l’on en croit les prix spot du lait, tout ira mieux. Là, ça monte fortement. La faible disponibilité des matières premières stimule la tendance à la hausse, selon la Bourse du fromage et du beurre du sud de l'Allemagne…
Cela ne va pas vraiment ensemble. Dans le nord, les prix du lait se situent généralement entre 34 et 38 cents le kg. Dans le sud, les agriculteurs reçoivent en moyenne 41 à 44 centimes le kg. Dans le même temps, le lait spot échangé entre les laiteries coûte actuellement 48 cts dans le sud et 47,50 cts par kg dans le nord – un écart énorme par rapport aux prix de paiement…
L'Institut ife de Kiel a déjà calculé pour le mois d'octobre un prix théorique du lait sur le marché de 39,4 cts. En novembre, les prix du lait sur le marché dépasseront la barre des 40 cts et atteindront 45 cts au printemps prochain. Et ce n’est pas la fin de l’augmentation des prix attendue. Ensuite, les valeurs marchandes du lait montent à 50 cts…
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Les prix du lait, ainsi que de presque tous les produits de base, devraient être volatils pendant le reste de 2023 et jusqu'en 2024, selon Ben Buckner, analyste des produits laitiers et des cultures pour AgResource Co…
Buckner pense que la reprise des prix du lait survenue en juillet est durable, au moins jusqu'en janvier, mais les prix du lait, du fromage, du beurre et des autres produits laitiers connaîtront des hausses et des baisses…
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L'USDA a abaissé ses prévisions : La production de 2023 était estimée à 228,4 milliards de livres en juillet, mais sa mise à jour d'août abaisse cette projection à 227,9 milliards de livres. L'inventaire de vaches projeté pour cette année et 2024 est inférieur, et la production attendue par vache est réduite pour 2023 mais inchangée pour 2024…
Le rapport a relevé les prix attendus du beurre et du fromage pour 2023 en raison de la récente vigueur des prix. Les prévisions de prix du lactosérum de cette année ont été revues à la baisse. Pour 2024, les prévisions de prix du beurre et du fromage sont relevées, les prix du lactosérum sont abaissés et les prévisions de lait écrémé en poudre restent inchangées. Les prix des classes III et IV sont plus élevés en fonction des prix des produits plus élevés. Le prix prévu de tout le lait pour 2024 a été relevé à 19,35 $ le quintal…
L'USDA s'attend à ce que les importations et les exportations de produits laitiers américains soient plus faibles. Les importations à base de matières grasses et de solides écrémés pour 2023 sont réduites en raison de la baisse des importations prévues de fromage et de beurre. Les prévisions d'exportation de base de matière grasse pour 2023 ont été abaissées en raison de la baisse des exportations de fromage, de beurre et de matières grasses butyriques et de lait entier en poudre. Les prévisions d'exportation de solides écrémés sont inférieures, principalement en raison de la baisse des ventes de produits à base de lactosérum…
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En mai 2023, les laiteries ont de nouveau payé moins d'argent du lait. Cependant, il y a des indications précoces que la tendance à la baisse touche à sa fin. Il s'agit peut-être de la dernière baisse majeure des prix du lait. Du moins si l'on en croit les prévisions des experts, qui ne s'attendent qu'à une légère baisse des prix pour les mois à venir et à une légère augmentation des paiements à partir de l'automne…
Après tout, la baisse des prix du lait s'est quelque peu ralentie. Alors que le prix avait chuté de 2,9 cents le mois précédent, la chute de mai a été moins sévère à 1,8 cents. En moyenne nationale, les laiteries ont payé 43,3 cents/kg en mai 2023 (lait de vache produit de manière conventionnelle avec 4,0 % de matières grasses et 3,4 % de protéines). De plus en plus de laiteries ne réduisent pas le prix du lait…
« La proportion de laiteries qui ont laissé leurs performances de paiement inchangées par rapport au mois précédent a augmenté régulièrement. C'est souvent la première indication qu'une tendance à la baisse s'arrête »…
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En avril, les producteurs de lait ont dû faire face à de nouvelles baisses des prix du lait. Les prix du lait conventionnel ont chuté de trois cents à une moyenne de 45 cents/kg. Le prix a baissé de 12 cents depuis janvier. Les producteurs de lait biologique ont également dû accepter des compromis. Le prix a baissé de 1,6 cents à une moyenne de 59 cents/kg…
Cependant, les perspectives sont plus positives - car les prix ne chuteront pas éternellement. Les réductions de prix dans les premières laiteries se sont déjà avérées plus faibles. Ce n'est plus une descente si raide. Une petite partie n'a pas du tout baissé ses prix en avril. Un indicateur provisoire d'un renversement de tendance ?
Les prix spot du lait stagnent. La valeur des matières premières à Kiel, qui est considérée comme un bon indicateur de l'évolution des prix du lait dans les mois à venir, ne baisse plus non plus et prévoit la fin de la baisse des prix à l'automne…
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Le directeur général de Lakeland Dairies en Irlande, Colin Kelly, prévoit que les marchés laitiers mondiaux se renforceront au cours du quatrième trimestre de cette année. Et cet élan devrait se poursuivre au premier trimestre de 2024, a-t-il déclaré.
Les marchés laitiers mondiaux sont très axés sur l'offre et la demande. D'importants stocks de produits se sont constitués au cours de la dernière partie de 2022. Les marges se sont considérablement resserrées dans les fermes laitières du monde entier. La production chutera en réponse à cela. « Et c'est dans ces circonstances que les prix des produits laitiers réagiront de manière positive. »...
La Chine ne s'engage pas de manière significative sur les marchés mondiaux du lait à l'heure actuelle. Cependant, si ce scénario devait changer, cela augmenterait considérablement la demande mondiale de produits laitiers…
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