Lait de Normandie... et d'ailleurs
209.2K views | +39 today
Follow
Lait de Normandie... et d'ailleurs
Your new post is loading...
Your new post is loading...

Des Tags pour vos recherches

Current selected tags: 'prévision', 'export'. Clear
Scooped by Cedric
Scoop.it!

USA : réduction de moitié des projections de croissance des exportations de produits laitiers

USA : réduction de moitié des projections de croissance des exportations de produits laitiers | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

A cause de la production agressive de l’UE, les États-Unis ont réduit de 50% leurs prévisions de croissance à l'export pour leur industrie laitière, passant de 6,5% à 3,7% selon les dernières projections. L'analyse de marché de l'US Dairy Export Council pour 2020, prévoit que le commerce mondial du lait va passer de 9,4 millions de tonnes de produits finis produit en 2014 à 11,7 millions de tonnes en 2020. « Les exportations de produits laitiers vont encore croître, mais pas aussi rapidement qu'avant. » La Nouvelle-Zélande et, en particulier, l'Union européenne ont investi massivement...

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

USDEC : 6 facteurs susceptibles d'influencer les exportations laitières en 2016

USDEC : 6 facteurs susceptibles d'influencer les exportations laitières en 2016 | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Prédire l'avenir est pas une science, mais à l'US Dairy Export Council Nos experts ont identifié six facteurs sous-jacents qui façonneront l'offre, la demande et la capacité de l'industrie laitière américaine de rivaliser sur le marché international dans l'année à venir. Les voici:

1. Un monde inondé par le lait

Les flux de lait ralentissent, mais pas assez rapidement pour tenir compte de la baisse de la demande. Pour 2016, les grandes questions sur l'offre comprennent:

    Quel sera l'impact d'El Niño sur la production, en particulier en Océanie?

    Est-ce que les  transformateurs européens payeront suffisamment leurs agriculteurs?

    La production de lait en Chine continue de grimper, malgré un recul de l'investissement dans le secteur, pour quel niveau d’importations?

2. Modification de la gamme de produits

Cette année, les deux géants de l'exportation (la Nouvelle-Zélande et l’UE) ont modifié leur stratégie de gammes de produits à l’export, en raison des changements en Chine et Russie. Ils ont renforcé leur présence sur les marchés américains clés, y compris l'Asie du Sud, la Corée du Sud, le Japon, le Moyen-Orient et même au Mexique.

En supposant qu’il n’y aura aucun changement à l'embargo russe ou aux habitudes d'achat de la Chine en 2016, où l'Union européenne et la Nouvelle-Zélande vont diriger leur production de lait ainsi que leurs investissements?

3. La croissance économique de la Chine

    La croissance du PIB de la Chine est toujours en expansion à un rythme supérieur à 6%, et 6 à 7% de croissance sur une économie de la taille de la Chine, ça fait du bruit.

    Malgré certains signes de danger dans le secteur bancaire, la fabrication et d'autres secteurs, les dépenses de consommation chinoise restent fortes.

    La Chine fait des efforts pour soutenir la croissance de la consommation, comme la suppression de sa politique de l'enfant…

4. Des lois et règlements en évolution rapide

5. Un labyrinthe croissant d'accords internationaux de libre-échange (ALE)

L'Australie, la Nouvelle-Zélande et l'UE combinées négocient actuellement des ALE avec plus de 40 pays, y compris d'autres grands acheteurs américains. Non seulement l'accès au marché des produits laitiers est une priorité pour tous les trois, mais l'UE utilise des accords commerciaux pour transférer son régime d'indication géographique restrictive au plus grand nombre possible de pays…

Bien-négocié, les ALE apportent des gains à l'exportation. Il y a tellement à gagner à négocier des ALE et beaucoup à perdre en se tenant debout sur le banc de touche alors que nos concurrents forgent leurs propres offres.

6. Le dollar américain en hausse

Le dollar américain a gagné 11 à 15% par rapport aux monnaies de nos trois principaux concurrents (Australie, UE et Nouvelle-Zélande) au cours de 2015. Un coup de pouce imminent des taux d'intérêt américains pourrait entraîner la hausse du dollar dans les prochains mois. Pour les exportations de produits laitiers des États-Unis, ce n’est pas exactement de bonnes nouvelles. Mais un dollar fort pourrait entraîner une baisse de la consommation dans les pays importateurs.

 

No comment yet.