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Après contrôle, il semble que, dans la très grande majorité des cas des 2100 élevages bloqués en février dernier pour enregistrement erroné dans le système d’identification, ces enregistrements incorrects ne concernent que peu voire très peu d’animaux par ferme : 1, 2 vache en moyenne dans 1500 fermes, 4,6 vaches dans 500 fermes, et plus d’une dizaine dans 50 fermes seulement.
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Le 19 décembre, la Commission européenne a donné son aval pour la mise en place d’un système d’échange de droits de production de phosphate concernant l’élevage laitier aux Pays-Bas. « La mesure vise à améliorer la qualité des eaux, et à favoriser la transition vers l’élevage lié à la terre », souligne Bruxelles. Les droits négociables à production de phosphate pour les élevages laitiers entreront en vigueur le 1er janvier 2018 aux Pays-Bas, par « l’attribution gratuite de droits de production de phosphate aux exploitations laitières ».
« Les exploitations laitières, y compris les nouveaux entrants, pourront acquérir des droits de production de phosphate sur le marché puisque ces droits feront l’objet d’échanges » Par ailleurs, lors de chaque transaction, 10 % des droits échangés seront prélevés et déposés dans une « banque de phosphate » pour encourager l’évolution vers un élevage laitier davantage lié à la terre...
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La fraude porterait sur 25 % à 40 % de la production totale de lisier du royaume et concernerait deux tiers des filières d'élevage.
Après avoir été à l'origine de la crise européenne des oeufs contaminés au fipronil l'été dernier, les Pays-Bas sont désormais aux prises avec une fraude au lisier sans précédent. Exploitants agricoles, entreprises de transport, de traitement et de recyclage de lisier, laboratoires sanitaires, tous les échelons de la filière de l'élevage sont impliqués.
Leur objectif : échapper aux coûts de transport de ces déchets ou de leur transformation, mais aussi aux contrôles des autorités sur les quantités de lisier produites... Outre l'affaire des oeufs contaminés, la filière laitière néerlandaise a en effet dépassé trois ans d'affilée les plafonds de production de phosphates autorisés. Un système de quotas de lisier doit être instauré en janvier afin de faire rentrer dans le rang les producteurs de lait...
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Sous l’injonction de Bruxelles, les Pays-Bas doivent sortir de la filière 160 000 vaches cette année. À partir de l’an prochain, la production sera encadrée par des quotas phosphates....
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Les Pays-Bas n'ont pas le choix. Depuis deux ans, ils dépassent le plafond européen de 172,9 millions de kg de phosphate qui leur est imparti.
S'ils veulent conserver leur dérogation à la directive nitrates, ils doivent rentrer dans les clous d'ici le 1er janvier 2018.
Cela veut dire réduire leurs rejets de phosphate de 8,2 millions de kg (en théorie les rejets de 120 000 à 170 000 vaches)...
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Le secteur laitier néerlandais a mis au point un ensemble important de mesures visant à réduire sensiblement la production de phosphate par le secteur laitier en 2017. Pour respecter les limites de phosphates en 2017 et préserver le renouvellement des dérogations de phosphates l'année prochaine, le troupeau laitier néerlandais devra être diminué de plus de 170 000 têtes. Les entreprises d'alimentation animale se sont engagées à diminuer davantage la teneur brute de phosphore dans les aliments composés en 2017. En attendant, plusieurs régimes seront introduits pour réduire le nombre de bétail et réduire la production de lait.
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La Rabobank s’alerte de la menace qui plane sur la dérogation à la directive nitrates des Pays-Bas. Elle pourrait mettre à mal près d’un tiers de leur production laitière. Selon la Rabobank, Martijn van Dam, le ministre néerlandais de l’agriculture, annonçait le 13 octobre dernier l’abandon de l’accord sur les permis phosphates, visant leur réduction. « Après des années d’argumentation et de négociation », l’échec s’explique par une incompatibilité avec la réglementation européenne sur les aides d’État. Cet abandon sur les phosphates remet en cause une dérogation chère aux Pays-Bas : celle qui les autorise à un seuil de nitrates supérieur au reste de l’Europe. En fonction de la variation de productivité par vache, la restriction pourrait correspondre à une réduction de 500 000 têtes, soit 30 % du troupeau national. L’équivalent de 3,5 millions de tonnes de lait seraient perdues. Les conséquences toucheraient les exploitants agricoles, mais également l’industrie de transformation.
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De nouvelles règles environnementales de l'UE pourraient voir les producteurs laitiers en Hollande réduire le nombre de vaches dans leurs exploitations de manière significative. Les nouvelles règles sont applicables à partir du 1er Janvier 2017. On estime que les producteurs laitiers néerlandais devront abattre entre 60.000 et 100.000 vaches afin de se conformer aux limites de phosphates de l'UE. Il y a 18.000 producteurs laitiers en Hollande avec 1.6 M ds vaches laitières, produisant 12,5 millions de tonnes. L'année dernière, la production de lait néerlandais a augmenté de 6,8%, ce qui équivaut à 850,000t supplémentaire de lait. Selon Farrell en 2016, il est prévu que la Hollande va continuer à augmenter la production (+ 520,000t) mais à un niveau inférieur à 2015, en raison des préoccupations environnementales sur les phosphates.
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Un nouveau scandale agricole vient d'éclater aux Pays-Bas. Cette fois-ci, les éleveurs ont réalisé de fausses déclarations de naissance en attribuant successivement plusieurs veaux de souches différentes à une même vache. L'objectif est double : les génisses conservent alors leur statut plus longtemps permettant à l'exploitation de ne pas dépasser son quota d'animaux tout en produisant plus de lait.
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Les Pays-Bas plafonnent leur production. Le 1er janvier, chaque éleveur aura un droit phosphates marchand. Quatre ou cinq vaches en moins par élevage...
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Pour conserver sa dérogation à la directive Nitrates, ce pays doit impérativement réduire ses rejets de phosphate liés à l’élevage laitier de 8,2 millions de kilos d’ici le 1er janvier 2018...
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Les Pays-Bas ont décidé d'accepter tous les candidats au programme de réduction des troupeaux laitiers, en éliminant plus de 30 000 vaches dans les semaines à venir.
Le gouvernement prévoit une prime d'abattage de 300 € / vache et envisageait de supprimer 40 000 vaches par le biais de séries successives de demandes de fin février à mai. Le ministre a décidé d'accepter toutes les demandes, 497 exploitations demandant déjà que 31 500 vaches soient abattues. Van Dam a déclaré que les demandes représentent jusqu'à présent 52% de la cible de réduction du phosphate du troupeau laitier, avec l'objectif global du plan restant d’éliminer 60.000 vaches au fil du temps.
D'autres réductions seront imposées aux producteurs laitiers néerlandais à travers un système de quotas et une teneur en phosphore plus faible dans les rations alimentaires.
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Le pays, qui dépasse les plafonds d'émission de phosphates, incite à la réduction des cheptels.
Au global, cette remise en ordre du secteur va se traduire par la disparition d'un millier d'exploitations et une réduction à terme de 4 % à 8 % du cheptel, anticipe Rabobank. Comprenant plusieurs volets, la mesure phare de cet arsenal concerne les sanctions pécuniaires guettant les exploitants ayant grossi leur cheptel depuis 2015. Ceux qui ne le réduiront pas comme prévu, percevront 90 % de moins du prix garanti du lait pour chaque vache surnuméraire.
En revanche, une prime annuelle de 1.200 euros sera accordée pour chaque tête de bétail supprimée du cheptel.
Quant à la production de lait, la coopérative FrieslandCampina (70 % des volumes produits aux Pays-Bas) entend la brider avec l'application prévue de règles similaires aussi pénalisantes pour ses 14.000 membres affiliés.
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Près de 200 000 vaches seront abattues au cours des prochains mois aux Pays-Bas dans une tentative désespérée des autorités néerlandaises pour éviter de perdre leurs dérogations aux nitrates.
À l'instar de nombreuses fermes laitières irlandaises intensives, la majorité des éleveurs hollandais bénéficient de dérogations pour appliquer jusqu'à 250 kg / ha d'azote par an, en hausse par rapport à la limite annuelle standard de 170 kg / ha. Toutefois, cette dérogation a été compromise par le fait que les Pays-Bas ont violé leurs limites de phosphates chaque année au cours des trois dernières années.
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Le système de quotas pour les allocations de phosphate du gouvernement néerlandais a été rejeté par la Commission européenne comme illégal. Le troupeau laitier néerlandais devra être réduit de 100.000 vaches, soit 8% du cheptel total, pour respecter les limites environnementales européennes sur la production de phosphate.
En 2015, la production de lait néerlandais a fait un bond de près de 7% à un nouveau record de 13.1 milliards de litres, tandis que dans les huit premiers mois de 2016 la production de lait dans les fermes néerlandaises est en hausse de 11% par rapport à l'année dernière. Dans le cadre des préparatifs de la fin des quotas, le gouvernement néerlandais a demandé et obtenu une dérogation de 30% plus élevée pour la production de phosphate que la moyenne de l'UE. Cependant, malgré la dérogation, la production de phosphate en 2015 était au-dessus des nouvelles limites fixées par la Commission européenne.
Pour y remédier, le gouvernement néerlandais a travaillé sur la législation pour mettre en œuvre des quotas de phosphate en Janvier 2017, sur la base du nombre de vaches qu’un agriculteur avait en Juillet 2015. Cependant, cette proposition a été refusée par la Commission européenne, parce qu'elle ne respecte pas le droit européen. Le gouvernement néerlandais a reporté l'introduction du système de quotas de phosphate jusqu'en 2018…
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