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La baisse du prix du lait observée en Europe depuis le début d’année se confirme pour les producteurs de Lactalis. Ils seront payés 308,80 €/1000 litres de lait standard (TB 38, TP 32) en mars 2018, « suite à un accord avec les principales organisations de producteurs ». C’est un recul de 11,20 €/1 000 litres, soit 3,5 %, par rapport aux mois de janvier et février...
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L’organisation de producteurs France Milk Board (FMB) Grand-Ouest constate que la construction du prix du lait nouvelle formule donne lieu à des bricolages qui n'aboutissent pas à mieux le valoriser. L'OP réunit ses troupes en Manche et en Ille-et-Vilaine... FMB propose deux solutions : une facturation du lait basée sur les coûts de production (indicateur de marge publié par le Cniel et calculé par l’Institut de l’élevage) et le "mix produit" de l’entreprise, ainsi qu’un rééquilibrage des marges dans la filière au profit des producteurs...
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La baisse du prix du lait pressentie ces dernières semaines se matérialise pour les producteurs de Lactalis. Ils seront payés en moyenne 320 €/1000 litres de lait standard (TB 38, TB 32) en janvier et février 2018, « suite à un accord avec les principales organisations de producteurs ».
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Dans un communiqué daté du 6 novembre 2017, l’Union nationale des éleveurs livreurs Lactalis (Unell) déclare qu’« aucun accord n’a pu être trouvé sur le prix moyen du dernier trimestre, ni même pour le mois de novembre »... En parallèle, se négocie l’accord-cadre entre l’Unell et Lactalis. « Il nous reste à discuter du point le plus important : la formule du prix ».
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D’année en année, la plus-value dégagée par les AOP d’Auvergne devient de plus en plus significative. En 2016, le retour global aux producteurs s’élève à 14 millions d’euros, ce qui représente une plus-value de 60 euros par 1000 litres en moyenne par rapport au prix du lait standard. L’association des producteurs de lait AOP d’Auvergne regrette néanmoins que l’envolée des prix de la poudre de lactosérum n’ait pas été intégralement répercutée. Les prix moyens versés en 2016 aux producteurs varient, selon les entreprises, de 322 €/1000 l à 346,3 € en saint-nectaire laitier et de 319,8 € à 339,9 € en cantal et fourme d’Ambert, pour un prix indicateur de 347,7 €.
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L'Union nationale des éleveurs livreurs Lactalis (UNELL) et Lactalis se sont rencontrés le 13 juillet dernier afin de déterminer un prix du lait pour le 3e trimestre.
Faute d'accord, les discussions ont repris hier matin. Un compromis a été finalement trouvé sur un prix moyen garanti du 3e trimestre à 330 € les 1.000 litres (Prix moyen Lactalis France - base 38-32 - flexibilité déduite), selon la répartition suivante :
- juillet 2017 : 320 €/1 000 l.
- août 2017 : 330 €/1 000 l.
- septembre 2017 : 340 €/1 000 l.
« Pour autant, des augmentations de tarifs auprès de la grande distribution doivent nécessairement accompagner l'évolution positive des marchés. Ces dernières permettront de pérenniser l'augmentation du prix du litre de lait payé aux producteurs sur le 4e trimestre », souligne Claude Bonnet, président de l'UNELL.
L'UNELL souhaite par ailleurs que cet accord participe à la bonne poursuite des négociations en cours avec Lactalis sur les évolutions contractuelles.
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L’actualité de ces derniers jours montre l’impatience et l’urgence bien légitime des producteurs de lait au vu du renversement des marchés ! On ne peut que se réjouir de l’annonce des prix du lait qui vont être pratiqués à partir de cet été et qui sont amenés à perdurer sur le second semestre 2017.
Le constat est bien là : les méthodes de calcul du prix imaginées par l’interprofession en 2009 ont vécu . Une nouvelle ère commence, la loi Sapin 2 nous invitants à mener avec nos différents clients l’élaboration d’une nouvelle formule intégrants notamment les coûts de productions.
Nous devons tous acteurs de la filière, saisir l’opportunité d’être novateur pour intégrer de nouveaux indicateurs la liste n’étant pas exhaustive !
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La loi Sapin II oblige les collecteurs privés à signer un contrat-cadre avec leurs OP partenaires. Pour France Milkboard Grand Ouest, c’est l’occasion de rééquilibrer le rapport de force. « Sept ans après la mise en place de la contractualisation laitière écrite, le rapport de force reste déséquilibré entre producteurs…
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Contrats et prix, le flou persiste pour les éleveurs : « Le coût de production est-il obligatoire dans le calcul ? Pouvons-nous intégrer deux OP ? Est-il possible de quitter une OP ? Y a-t-il une durée de préavis ? » Les questions dans la salle laissent percevoir l’opacité de la contractualisation pour les éleveurs.
À l’heure où les OP négocient les formules de prix avec les transformateurs, des précisions ont été apportées par les intervenants.
Les éleveurs présents au colloque savent maintenant que le prix du lait devra incorporer la notion de coût de production, du fait de la loi Sapin 2. Mais attention, « il s’agit d’un indice de variation et non pas d’une somme en euros »
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Les négociations sur le prix du lait pour le 1er trimestre 2017 entre le groupe Savencia et Sunlait ont abouti le 20 décembre 2016. Les représentants de Sunlait et de Savencia ont validé les prix suivants (prix de base moyens Sunlait à 38/32, flexibilité additionnelle comprise) : Janvier 2017 à 320€, Février 2017 à 320€ et Mars 2017 à 310€… Une rencontre est prévue fin mars pour ajuster les prix du 2ème trimestre en fonction des évolutions du marché. En tout état de cause, l’accord stipule un prix moyen plancher sur le premier semestre 2017 de 311,4€/1000l.
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La société Fresh Milk Company (Lactalis) a convenu d'une approche collaborative de la tarification du lait et de la gestion des volumes avec l'association de producteurs Milk Supply Association (MSA) qui comprend un engagement à un prix minimum convenu de 27,5p par litre (ppl) tout au long de l'année 2017. «L'entreprise l’a fait pour sécuriser son approvisionnement en lait et donner la certitude nécessaire à ses agriculteurs. Il s'agit d'un prix minimum et il existe un mécanisme pour l'élever. » Ce prix minimum peut augmenter si un panier de prix lié au marché dépasse les 27,5ppl, dans les tolérances convenues.
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Les douze organisations de producteurs (OP) livrant Savencia, veulent négocier avec l’industriel un prix de base annuel de 305 €/1 000 l. Elles lui proposent de le rencontrer le 7 ou le 9 septembre 2016.
C’est ce qu’elles ont défendu fin juin lors de leur rencontre trimestrielle, sans obtenir gain de cause. C’est ce qu’elles défendront encore en septembre pour le prix de base du quatrième trimestre. Dans cette perspective, l’association Sunlait qui fédère les OP livrant Savencia, active la clause de rencontre prévue dans le contrat.
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Savencia (ex Bongrain) va proposer une prime de 20 €/1 000 L aux producteurs, si chacune des 12 OP du groupe parvient à réduire sa production de lait de 6 % sur les mois d’avril, mai et juin.
Le challenge est important pour les producteurs de l’association Cle-P&S Ouest, qui tenaient leur assemblée générale le 1er avril à Saint-James. « Nous devons freiner notre production sur ces trois mois sur lesquels, en 2015, nous étions largement au-dessus des volumes de 2014 et 2013. Si les producteurs ne jouent pas le jeu, tout le monde sera pénalisé au niveau national », a précisé Denis Berranger, président de l’OP Cle-P&S Ouest.
En chiffres : Créée en 2011, l’OP Cle-P&S Ouest rassemble 740 exploitations d’Ille-et-Vilaine, Manche, Orne, Calvados et Mayenne, produisant 318 millions de L de lait. La majorité des sites de production se trouvent en Ille-et-Vilaine (420) et Manche (260)....
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Au terme d’une médiation, Savencia et Sunlait se sont accordés pour lisser, sur le premier semestre, l’impact de l’ancienne formule de calcul du prix du lait (F1, prix allemand). Résultat : des prix définis pour six mois (318 € de moyenne). Le groupe s’est aussi engagé à finaliser avant la fin juin une nouvelle formule indexée sur son mix-produit PGC France/PGC export/ingrédients (41/26/33 %). Au-delà, il s’agira de voir si les prix annoncés constitueront une avance ou un retard à compenser… Un nouveau sujet de débat.
Si Savencia n’a annoncé son prix du lait que le 22 janvier, c’est qu’il a fait appel au médiateur. Et pour cause, à défaut d’avoir entériné une nouvelle formule de prix liée à son mix-produit, c’est l’ancienne qui s’appliquait. Résultat, sur janvier, un effet du tunnel allemand très positif portant le prix à 370 €… niveau bien trop élevé pour Savencia. Ironie du sort, il y a trois mois, il plaidait contre l’AOP Sunlait pour cette formule qui l’avantageait encore.
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A huit jours de l’ultimatum d’Agrial qui pourrait les priver de collecte après le 31 janvier, les 105 producteurs de l’OP Guilloteau publient une lettre ouverte reproduite ci-après. Au-delà de leurs revendications, elle pose la problématique de la prise en compte très concrète des coûts de production dans le prix du lait pour un groupe, de surcroît coopératif, travaillant du lait collecté en zone de plaine et de montagne.
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L’avis de la Cour de justice de l’UE « sur le cartel de l’endive » vient de tomber. Si la PAC est bien dérogatoire au droit européen de la concurrence et peut autoriser une concertation sur les prix, c’est seulement à la condition que l’entente s’effectue au sein d’une même OP ou au sein d’une même AOP. « La PAC prime sur les objectifs de concurrence » rappelle la Cour. Mais elle ajoute immédiatement que « les OCM des produits agricoles ne constituent pas un espace sans concurrence ». En conséquence, « la Cour conclut que des pratiques intervenant entre plusieurs OP ou AOP et, a fortiori, des pratiques impliquant, outre de telles OP ou AOP, des entités non reconnues par un État membre dans le cadre de la mise en œuvre de la PAC dans le secteur concerné ne peuvent pas échapper à l’interdiction des ententes ». Et pour être légale, l’entente au sein d’une OP ou au sein d’une AOP doit faire partie « des objectifs assignés à l’OP ou à l’AOP concernée »…
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Producteur de lait à Carnet dans le sud Manche, Landry Rivière est membre de la commission «Communication» de Sunlait. Acteur des débats dans le cadre des EGA, il veut voir la co-construction de la filière laitière aboutir...
Une nouvelle formule de prix stoppée :
«Contrairement à ce que l’on peut observer dans de très grands groupes laitiers, Sunlait est reconnu par Savencia avec de réelles avancées acquises dans le passé. Le climat est constructif. Nous nous retrouvons tous les trimestres dans le cadre de réelles négociations pour parler contractualisation, prix, qualité, volume (...)», admet Landry Rivière.
En juin dernier, un protocole sur une nouvelle formule de calcul du prix du lait a même été signé. Il devait entrer en application sur le second semestre pour expertise et vérifier qu’il aboutissait à du «gagnant-gagnant». Une formule plus réactive, qui tenait compte de l’évolution du mixte produit, qui tenait compte de la marge des producteurs...
Pas encore sans doute un aboutissement mais ce qui aurait presque pu se faire de mieux.
Mais «patatras» le 27 septembre. Cinq jours avant les EGA lait, le protocole est dénoncé pas Savencia. «Nous n’arrivons pas à faire passer les hausses auprès des GMS (Grandes et Moyennes Surfaces» en guise de justification.
«Alors quand Daniel Chevreul dit à Caen qu’il faut discuter avec des OP fortes et fédérées, il a raison et c’est ce qu’il fait. Nous avons de vraies discussions. Ce n’est pas le copinage que nous pratiquons mais un vrai travail de fond depuis 5 ans. On passe du temps à co-construire une nouvelle formule qui correspond à la valorisation de l’entreprise mais le marché fait qu’on ne peut pas l’appliquer».
320 € eu lieu de 340 € : Voilà ce que voulait dénoncer publiquement Landry Rivière. «A quoi bon se battre sur une nouvelle formule si c’est pour s’aligner sur les moins-disants derrière?», s’interroge-t-il.
Tout n’est pas perdu pour autant. Le 11 octobre dernier, Sunlait a saisi le médiateur. Cela a permis de revenir à meilleure fortune sans faire pour autant affoler les compteurs : 332 € en novembre et 342 € en décembre.
«Mais il nous manque toujours les 20 € d’octobre». Les 1 000 litres ont été payés 320 € alors que la nouvelle formule affichait 340 €. Et de conclure: «il faut que la GMS et la transformation acceptent une meilleure répartition de la valeur ajoutée. Ce serait la meilleure façon de sortir par le haut des EGA».
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L'amertume. C'est le sentiment qui domine chez 450 producteurs de lait de l'organisation Normandie-Centre. Le groupe Lactalis a changé ses références et les prix du lait annoncés par l'entreprise ne correspondent finalement pas à la réalité des prix payés aux producteurs.
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Le Groupe Lactalis a annoncé ce lundi qu'il allait augmenter son prix d'achat du lait aux producteurs et a demandé à la grande distribution "un hausse des prix de vente de (ses) produits" en magasin. "Le Groupe Lactalis, suite à des échanges avec les principales organisations de producteurs, a annoncé que le prix du lait qui sera payé aux producteurs sera à nouveau en forte augmentation sur les trois prochains mois", pour atteindre "plus de 350 euros/1.000 litres dès le mois d'août 2017", indique-t-il dans un communiqué. Le numéro un français du lait s'attend à "un engagement similaire de la part des distributeurs", ajoute-t-il.
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Après plusieurs années d’incompréhension et de colère des producteurs Lactalis face à un prix du lait AOP en-dessous de ses concurrents et une valorisation insuffisante du produit, le géant laitier a accepté de revoir sa stratégie. Suite aux rencontres de mars et mai avec l’OP, un accord a été trouvé pour le maintien à 50 €/1 000 l de la prime AOP 2017 sur le lait transformé en AOP cantal, fourme d’Ambert et saint-nectaire, dans un contexte d’augmentation du prix de base. Le cumul des primes AOP en fonction de l’engagement des producteurs est conservé. Un point d’étape entre l’entreprise et l’OP est prévu au mois de septembre 2017. Le maintien de la prime AOP à 50 €/1 000 l permet par ailleurs de positionner Lactalis à un niveau plus en cohérence avec la valorisation du lait AOP.
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Producteurs de lait réunis au sein de l'Association d'Organisation de Producteurs (AOP) SUNLAIT ( www.sunlait.fr ), nous lançons cette campagne de soutien pour la reconnaissance de notre travail.
Aujourd'hui notre travail n'est pas reconnu à sa juste valeur, c'est pourquoi nous appelons les consommateurs à nous soutenir en achetant les marques du Groupe et, en contrepartie de cet achat responsable à demander au groupe Savencia que nous soyons payés à un prix décent pour la reconnaissance de notre travail. 35 centimes par litre de lait (prix de base), nous permettraient aujourd'hui de couvrir nos coûts de production et de percevoir un salaire minimum chaque mois.
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JA Auvergne Rhône-Alpes annonce ce 3 janvier 2017 avoir réuni les représentants d’organisations de producteurs et de coopératives pour leur présenter leur prix plancher, accordé les cinq premières années après l’installation.
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En cette période de négociations entre organisations de producteurs (OP) et transformateurs, JA encourage « les OP à ne céder ni devant des prix indécents, ni face à la pression des industriels ».
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L'AOP Sunlait veut négocier le maintien du prix du lait à 305€ la tonne Dans ce contexte de mondialisation et d'industrialisation de la production laitière, la filière française...
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PRIX DU LAIT CALÉ SUR LE MIX-PRODUITS S'inspirer des initiatives des appellations d'origine En plus des indices Cniel, les fromagers normands Gillot et Graindorge intègrent un prix fixe pour les produits AOP dans le calcul du prix de base.
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« Depuis janvier 2018, nous avons abandonné l’ancienne formule. Le prix se base désormais à 50 % sur les PGC France, 20 % sur les exportations (prix allemand), et 30 % sur les produits industriels, indique Claude Bonnet.
C’est sur ce dernier volet que nous sommes en difficulté pour le mois de mars. La valorisation beurre-poudre est passée de 290 €/1000 litres en janvier à 254,80 € en février ».
Cette nouvelle formule pourrait préfigurer celle prévue dans le futur accord-cadre entre l’Unell et Lactalis.
« Les indicateurs du marché intérieur promis dans le plan de filière lait pourraient la renforcer, précise Claude Bonnet. Une intégration du coût de production sur tout ou partie du prix du lait est également envisagée, a minima sur les volumes valorisés en France ».