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« Elle nous donne de la visibilité pour plusieurs mois. En moyenne sur 2023, le prix de base a été de 430,5€ ce qui donne 472€ en prix réel payé (avec les primes et les taux réels). Pour janvier et de février, le niveau de prix de base est bon : 438,40 et 445,29€ respectivement. Le prix de base va progresser encore jusqu’au mois d’avril, et après, il baissera peut-être, mais la formule limite les grosses fluctuations. »…
Le prix de Caplait est composé à 80% d’une partie « marché France » qui est fixe pendant 6 mois. Elle combine un indicateur coût de production pour 60% et, pour 40% un indicateur prix de vente industriel (PVI) de l’année précédente, « lui-même finalement dépendant des coûts de production en élevage ». Les 20% restant sont la partie « export », avec un indicateur beurre - poudre. « En attendant un indicateur publié par le Cniel, nous prenons les cotations EEX (marché à terme européen) et déduisons des coûts de transformation de 139€/t….
Open bar sur les volumes : Le contrat, ce sont aussi des volumes libérés, avec la fin des restrictions sur les volumes de lait à livrer depuis 3 ans. « Chaque éleveur qui demande du volume à produire en plus en obtient. Une commission "volume" vérifie juste que les critères de qualité du lait sont bons et que l’éleveur réalise déjà son volume. Et chacun peut dépasser son volume de référence annuel de 5%. »
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Une centaine de producteurs laitiers haut normands et leurs 70 à 75 Ml, jusque-là destinés à Eurial Ultra Frais, se sont engagés à rejoindre l’Association des producteurs de lait du bassin Centre pour approvisionner Novandie, filiale du groupe Andros. Ils vont quitter l’Oplase qui bouge aussi de son côté…
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Les agriculteurs ont finalement accepté le vote d’une hausse du prix du lait de 25 euros/1000 litres. Soit 437 € au 4e trimestre ». A l’issue de négociations jugées « houleuses » par les manifestants, un accord a donc été trouvé. Résultat en demi-teinte, ils demandaient 450€. L’OP CapLait « reprendra de nouvelles négociations début 2023 » conclut le représentant syndical…
De son côté, la société Danone se félicite de cet accord et explique : « nous avons négocié hier soir avec l’Organisation de Producteurs de Haute Normandie une revalorisation du prix du lait avec un effet immédiat. Cela va permettre une progression du prix du lait supérieure à l’augmentation de l’indice des charges (16 % versus quatrième trimestre 2021). Cet effort supplémentaire marque une amélioration des revenus estimée à +30 % sur cette même période »…
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Opération coup de poing : Des éleveurs laitiers ont manifesté leur colère devant Danone à Ferrières-en-Bray pour un prix du lait décent. Un dernier avertissement avant un rassemblement massif…
« être vertueux, c’est commencer par payer ses producteurs »
Un rassemblement qui fait suite à la manifestation du 24 janvier 2022 pour soutenir l’organisation des producteurs Caplait dans ses négociations avec Danone. Depuis, rien n’a bougé. Les éleveurs perdent patience. « Par rapport aux autres laiteries nous avons un différentiel de 60 € /1 000 l depuis des mois »…
Et de se demander si Danone veut encore des éleveurs dans le Pays de Bray…
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En Normandie, c’est fait ! Dans les autres régions, les discussions étaient encore en cours au 16 mars.
Le site Danone du pays de Bray est plus exposé aux marchés export. La nouvelle formule de prix en tiendra compte.
L’OP Caplait et Danone ont trouvé un accord pour une nouvelle formule de prix du lait qui s’appliquera en 2023. Elle collera davantage à la réalité des exploitations, avec une référence au coût de production moyen de 30 élevages représentatifs de l’OP – au lieu du coût de production du quartile supérieur d’une référence de centre de gestion. De plus, la formule reflétera le mix produit de l’usine de Ferrières-en-Bray, plus orientée sur les marchés export et donc le beurre poudre.
« Nous avons aussi introduit des primes pour les exploitations qui auront réalisé leur diagnostic carbone et leur diagnostic bien-être animal », ajoute Laurent Schatz, responsable amont chez Danone…
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Les 180 producteurs normands de lait d’appellation d’origine protégée (AOP) livrant Lactalis ont validé, le 5 février dernier, un accord avec l’industriel à 400 € la tonne de lait...
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Calculer le prix du lait en partant du producteur, c’est ce qu’a proposé Emmanuel Macron aux États généraux de l’alimentation. L’OP Danone de Haute-Normandie fait partie des rares organisations à appliquer ce principe depuis deux ans.
Depuis le 1er janvier 2017, les coûts de production composent 50 % du calcul. En 2016, cela a limité la dégradation des trésoreries. Le prix moyen de base a été de 18 €/1 000 l plus élevé que s’il avait été uniquement basé sur les marchés. Cette année, il n’y aura pas ou peu de différence et l’an prochain, en figeant la valorisation beurre-poudre au niveau actuel, nous estimons que nous percevrons 10 à 12 € de moins. Si l’on veut sécuriser une partie du prix du lait, il faut accepter de ne pas profiter de toute l’envolée des marchés quand elle se présente.
Le groupe Danone a accepté de prendre en compte le coût de revient des exploitations les 25 % plus performantes. Il a épluché chaque poste de charges, y compris la rémunération du travail dont nous avons négocié le montant.
Danone suit en fait un double objectif : limiter l’impact de la volatilité des marchés et être dans la fourchette de prix du lait de ses concurrents.
Fin 2018, nous commencerons avec Danone un état des lieux. Notre accord porte à la fois sur les coûts de production et la réduction de la référence de l’OP qui est de 240 Ml. Nous devions atteindre 215 Ml l’an prochain. Cet objectif est reporté à 2020, voire 2022. En contrepartie, la cessibilité des contrats prend fin le 31 décembre et à partir du 1er janvier, les adhérents voient leur référence baisser de 1 à 5 %, selon le taux de réalisation des deux dernières années…
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L'amertume. C'est le sentiment qui domine chez 450 producteurs de lait de l'organisation Normandie-Centre. Le groupe Lactalis a changé ses références et les prix du lait annoncés par l'entreprise ne correspondent finalement pas à la réalité des prix payés aux producteurs.
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Les membres fondateurs de la toute nouvelle coopérative laitière de la Bresle se réunissaient ce lundi 6 mars, à Martainneville, pour signer les statuts et élire le bureau.
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L'Organisation de Producteurs CLEPS Ouest s'est réunie en assemblée générale, vendredi dernier à Saint-James. L'OP, via Sunlait, mène plusieurs projets en parallèle. Elle renégocie actuellement son contrat-cadre et s'interroge sur la gestion des volumes... Pour les deux ans à venir, ils sont 54 % à vouloir augmenter leur production. Ils sont encore 25 % à le souhaiter d'ici 5 ans. Dans 10 ans, les adhérents de l'OP pourraient produire 15,5 millions de litres de lait supplémentaires. Proposer des volumes à d'autres entreprises est une piste avancée par l'assemblée. Elle est reprise par les représentants de l'OP : « nous n'avons pas de contrat d'exclusivité. Nous pouvons discuter avec d'autres transformateurs. Si on tire les prix vers le haut, peu importe où va notre lait. C'est un chantier qui demande du temps ».
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Carrefour et la fromagerie Gillot, Saint-Hilaire-de-Briouze, ont signé un partenariat pour une filière qualité Carrefour de lait frais entier microfiltré de Normandie.
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Continuer sur la bonne lancée de bonne entente des OP à l’intérieur de toutes les OP Lactalis. Ce qui d’ailleurs a démarré au printemps à l’initiative de la FNSEA et de JA. L’objectif est de rassembler toutes les OP, toutes laiteries confondues, pour créer une AOP (Association d’Organisations de Producteurs) qui négociera, globalement et à terme, le prix de base du lait ... Il faut aboutir à un pool d’OP fort.
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Agriculture. Les producteurs de la coopérative de vente de produits laitiers de Gournay et Neufchâtel s’organisent pour peser dans les négociations avec Danone. Pays de Bray : les producteurs laitiers s’organisent pour peser dans les négociations avec Danone Manuel Beauval et Sébastien Catoir (deuxième et troisième à partir de la gauche) devant leurs adhérents Un climat apaisé... La coopérative de vente de produits laitiers de la région de Gournay et Neufchâtel a réuni ses adhérents, la semaine dernière, dans une ambiance bien différente de l’année précédente, lorsque les banderoles et les tracteurs de producteurs mécontents avaient accueilli les participants. La situation des producteurs laitiers de la coopérative reste cependant particulièrement préoccupante. Mais le rapport avec leur acheteur, la société Danone, semble avoir trouvé un certain équilibre avec la mise en place d’un groupe élargi de producteurs laitiers, ce qui permet de peser plus fortement sur l’industriel. Sébastien Catoir, et de Manuel Beauval, respectivement président et vice-président, sont à la manœuvre... La coopérative associe plus de 300 producteurs. Elle est la pièce maîtresse de l’organisme de producteurs laitiers de Haute-Normandie (OPLDHN) qui se met en place et regroupe l’association des Deux rives, l’association du Pays de Caux, l’association Gallia et la coopérative de Songeons.
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À partir du 1er janvier 2024, une centaine de producteurs laitiers haut normands et leurs 70 à 75 Ml approvisionneront les usines de Novandie. Ces éleveurs rejoignent l’APLBC et LSDH, ouvrant une voie à la concurrence entre OP.
Novandie, filiale du groupe Andros, est spécialisée dans les produits frais aux 2/3 sous MDD. Ses 280 Ml transformés sont assurés aujourd’hui par 90 Ml en collecte propre dans le nord de la France et 190 Ml sous contrats, principalement avec Sodiaal. Un contrat de 70 à 80 Ml avec le groupe coopératif arrive à échéance en fin d’année…
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Malgré la révision par deux fois de la formule de prix cette année en Normandie, les prix de base de Danone restent scotchés autour des 405 € à 415 € en Normandie en septembre…
La semaine dernière a été mouvementée pour les "Danone" normands. L'OP bas-normande des 3 Vallées voulait un prix de base de 460€, elle a obtenu 430€ au T4. Après 24h de manif, les hauts-normands de CapLait qui voulaient 450 ont obtenu 437€…
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Mais en Basse-Normandie, ça chauffe ! L’annonce du prix de base A de juin à 369,70 € ne passe pas…
La nouvelle formule de prix négociée en février pour 2023 par l’OP Caplait et Danone est finalement appliquée dès le 1er juin. Le prix de base A du lait livré en juin à l’usine de Ferrières-en-Bray (Seine-Maritime) est établi à 401,08 €/1000 l…
Il aura fallu cinq mois à Caplait, l’organisation des producteurs Danone de l’ex-Haute-Normandie, pour arriver à un prix de base accroché au marché. Les livraisons de juin seront payées à 401,08 €/1000 l de prix de base A, soit un bond de 30,83 € par rapport au prix de base de mai et de 47,69 € par rapport à celui de janvier...
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Mardi 22 mars, au lycée agricole Giel don Bosco (Orne), l’Organisation de producteurs livrant leur lait à Lactalis a lancé la marque « Les Valeurs normandes » et présenté le premier produit de la gamme : le Camembert AOP de Normandie « Ô lait Ô Pré »… En pratique, 45 des 180 adhérents de l’OP ont souscrit chacun 500 à 2 000 € pour constituer une SAS qui se charge de trouver des marchés. Pour commencer, ce camembert sera distribué dans les magasins des Eleveurs de la Charentonne, par le Super U de Mortagne-au-Perche, les supermarchés Leclerc de Flers et Argences, et l’Intermarché d’Argentan…
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Dans la perspective d’un futur accord cadre, OPLGO a négocié la mise en place d’une mesure de lissage technique applicable dès cette fin de campagne laitière (2017/2018). Ce lissage technique de fin de campagne permet ainsi à tout producteur dépassant de moins de 2% son volume contractuel de ne pas payer de pénalités au titre de la campagne en cours, et ce, dès le 31 mars 2018. En contre partie, ce dépassement sera déduit de la campagne suivante. Nous attirons votre attention sur le fait qu’un dépassement de plus de 2% annule le dispositif. Le producteur concerné sera ainsi redevable d’une pénalité correspondant à la totalité du dépassement dès le premier litre au-delà de son volume contractuel notifié.
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L’organisation de producteurs Lactalis AOP de Normandie a annoncé le 9 février dernier la signature de son contrat-cadre avec l’industriel, permettant de « décrire les conditions d’achat et de vente du lait en appellation d’origine protégée Camembert de Normandie, Pont-l’évêque et Livarot des producteurs adhérents »
Désormais, le prix se base à 60 % sur la valorisation en filière AOP, et 40 % sur le mix-produit Lactalis. » L’objectif est de maintenir notre niveau de production, de l’ordre de 90 millions de litres par an. Cet engagement est défini sur une période de cinq ans dans le contrat-cadre. ...
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Réunie en assemblée générale jeudi dernier, l’OPNC (Organisation de producteurs Normandie Centre) a décidé d’adhérer à l’UNELL. L’Union Nationale des Eleveurs Livreurs Lactalis dispose désormais d’une représentativité nationale.
Unell : 3500 producteurs L’UNELL, avec ses 8 OP regroupant 3500 producteurs Lactalis sur un total de 11 000 pour 1,4 milliard de litres de lait, pèse-t-elle davantage? Sans doute pas assez «mais depuis que nous sommes reconnus par les pouvoirs publics, on a senti de la part de Lactalis une autre écoute»
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Organisations de producteurs : Le bilan de la coopérative des producteurs de lait brayons
Président de la coopérative qui regroupe 500 producteurs, Sébastien Catoir a rappelé jeudi dernier la démarche entreprise depuis fin 2015, poursuivie en 2016, qui permet d’intégrer les coûts de production dans le prix du lait. L’accord trouvé avec la laiterie a été mis en place au milieu de l’année 2016 et entre progressivement en application. Le président a ainsi pu exposer aux adhérents l’évolution de la rémunération de leur production : « Un gain en 2016 de l’ordre de 18 € par 1 000 litres, qui depuis janvier 2017 a encore progressé d’environ 5 €, reflétant la remontée des cours... Il est indéniable que cela nous donne un coup de pouce, mais sans résoudre le problème de fond pour les agriculteurs : dégager du revenu... ».
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Dans un communiqué du 4 avril, l’OPNC s’insurge contre le fait que les producteurs doivent « se contenter d’un prix n’atteignant même pas le seuil psychologique des 300 € ». Net de flexibilité, il sera de 297,75 € (base 38/32) en Normandie, la flexibilité étant de 2,84 €. L’OPNC proteste contre ce prix « justifié par de mauvais arguments et non discuté avec les OP », estimant que Lactalis reprend 11 € en avril sur les ajustements « généreusement » consentis depuis le début de l’année, un « soutien » évalué à hauteur de 53 €.
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Le conseil d’administration de l’Association des laitiers Lactalis de l’Ouest (Allo) a décidé de quitter OPLGO.
Les ambitions de développement des Bretons ne semblent plus en phase avec la ligne de leurs collègues normands. Avec plus de 110 membres pesant 80 Ml de lait, Allo atteint la taille requise pour demander le statut d’OP. C’est la prochaine étape pour l’association qui attend aussi le ralliement d’autres éleveurs.
Allo était à l’origine de la cessibilité marchande des contrats et a déjà fait des propositions pour préparer l’avenir...
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L'offensive des agriculteurs à l'égard des transformateurs de lait continue. Après Lactalis la semaine derrnière, c'est devant le site de Savencia (ex-Bongrain) de Condé-sur-Vire (50) que les producteurs se sont mobilisés pour obtenir là aussi une revalorisation du litre de lait.
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PRIX DU LAIT CALÉ SUR LE MIX-PRODUITS S'inspirer des initiatives des appellations d'origine En plus des indices Cniel, les fromagers normands Gillot et Graindorge intègrent un prix fixe pour les produits AOP dans le calcul du prix de base.
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