Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
Le prix du lait sur l’année atteindra 429,16 €/1000 l, soit 5,12 €/1000 l de plus qu’en 2022. L’Unell avait activé la clause de sauvegarde début juillet 2023. L’association d’OP a par la suite saisi fin août le médiateur des relations commerciales agricoles… « Nous avons négocié avec le groupe Lactalis un prix annuel de 429,16 €/1000 l (moyenne pondérée). Sur les quatre derniers mois de l’année 2023, cela se décline de la manière suivante (prix de base 38-32, Unell France) : 425,67 €/1000 l pour septembre (prolongement de la clause de sauvegarde) ; 415 €/1000 l pour octobre, 410 €/1000 l pour novembre, 405 €/1000 l pour décembre. »… « À la suite des négociations commerciales de l’hiver 2023, et la poursuite de la mise en œuvre d’Egalim, la valorisation des PGC France (50 % de la formule de prix) a progressé au cours de l’année 2023 (+ 60 €/1000 l). Pour rappel, la valorisation des PGC France combine un indicateur de prix de revient en élevage (460 €/1000 l) et un indicateur des prix de vente sortie usine (indice PVI Insee). A contrario, la valorisation beurre/poudre (30 % de la formule de prix) a connu une baisse très importante (- 195 €/1000 l). La forte diminution des cotations des produits ingrédients impacte de manière très importante le résultat de la formule de prix. »…
|
Scooped by
Cedric
|
L’Unell réagit à l’interview de Lactalis dans le numéro de septembre de L’éleveur laitier. L’association d’OP et le géant laitier sont en médiation depuis le 9 septembre…
|
Scooped by
Cedric
|
Lactalis affirme que les hausses tarifaires sur les PGC France ne sont pas suffisantes pour couvrir la hausse de ses coûts industriels. Le groupe a activé la clause de sauvegarde du contrat-cadre. L’Unell répond en saisissant le médiateur des relations commerciales agricoles…
« Vu les marchés des PGC export et des produits industriels, vu les hausses tarifaires obtenues sur les PGC France, nous devrions bénéficier d’une dynamique du prix du lait que nous n’avons pas. [Lactalis] a reconduit sans accord avec l’AOP le prix de base de mai et juin sur juillet et août. Ce statut quo imposé par Lactalis ne peut plus durer. »…
|
Scooped by
Cedric
|
L’organisation de producteurs Lactalis AOP de Normandie a annoncé le 9 février dernier la signature de son contrat-cadre avec l’industriel, permettant de « décrire les conditions d’achat et de vente du lait en appellation d’origine protégée Camembert de Normandie, Pont-l’évêque et Livarot des producteurs adhérents »
Désormais, le prix se base à 60 % sur la valorisation en filière AOP, et 40 % sur le mix-produit Lactalis. » L’objectif est de maintenir notre niveau de production, de l’ordre de 90 millions de litres par an. Cet engagement est défini sur une période de cinq ans dans le contrat-cadre. ...
|
Scooped by
Cedric
|
L’Union nationale des éleveurs livreurs Lactalis (Unell) a été reconnue en tant qu’Association d’Organisations de producteurs (AssOP) par un arrêté du 30 juin 2017 paru le 11 juillet au Journal officiel. « Avec cette reconnaissance officielle, nous aurons plus de poids dans nos discussions avec Lactalis, mais aussi avec les producteurs et les pouvoirs publics », se félicite Claude Bonnet, son président.
|
Scooped by
Cedric
|
Dans un communiqué du 19 juin 2017, l’Association des producteurs de lait Pays de la Loire Bretagne Lactalis (APLBL) appelle à la « massification » au sein des organisations de producteurs (OP).
|
Scooped by
Cedric
|
L’association des producteurs de lait Pays de la Loire Bretagne Lactalis (APLBL) a tenu son assemblée générale le 30 mars à Rennes. Les délégués ont pu faire le point sur les dernières discussions concernant le futur accord-cadre OP/entreprise.
|
Scooped by
Cedric
|
Nombre d’éleveurs ne sont toujours pas adhérents d’une organisation de producteurs (OP).
Ce sont près de 70 % des éleveurs livrant à Lactalis qui étaient sous contrat individuel, selon le dernier rapport public sur la contractualisation sorti en décembre 2015. Or, faisant suite à la loi Sapin 2, les contrats entre laiteries et éleveurs sont remis à jour et des avenants arrivent en ce moment dans les fermes.
« Il sera quasi impossible de le négocier individuellement », prévient l’Unell, Union nationale des éleveurs livrant à Lactalis.
|
Scooped by
Cedric
|
À l’occasion de l’assemblée générale de France Milk Board Grand Ouest, le 2 mars à Gosné (Ille-et-Vilaine), le débat autour des contrats laitiers de deuxième génération a mis en avant les désaccords entre producteurs et industriels sur l’intégration de l’indicateur du coût de production prévu dans la loi Sapin II.
|
Scooped by
Cedric
|
Les producteurs de lait, qui s'étaient mobilisés cet été contre Lactalis pour une revalorisation des prix, demandent désormais au numéro un mondial du marché de meilleurs relations commerciales sous peine d'assécher les sites de production.
|
Scooped by
Cedric
|
Le principe d’un contrat cadre est acté entre Lactalis et l’OP Lait bio Seine et Loire. Deuxième avancée, la vision partagée entre l’OP et Lactalis, de "la nécessité d’une gestion partenariale des volumes, pour que l’offre soit cohérente avec la demande ".
Troisième avancée, le prix du lait mentionné sur les factures de paie est, depuis octobre 2016, un prix bio déconnecté du prix du lait conventionnel.
|
Scooped by
Cedric
|
La cessibilité des contrats laitiers reste dépendante de la volonté des industriels. Un producteur de lait AOP du pays d'Auge avait trouvé un acheteur pour son volume de production. Même si l'OPLGO a validé la transaction, Lactalis semble mettre son veto.
|
|
Scooped by
Cedric
|
En juillet, l’Unell (10 organisations de producteurs, 5300 exploitations laitières représentées) a activé la clause de sauvegarde prévue dans l’accord-cadre qu’elle a signé avec Lactalis. Les deux parties ne parvenaient pas à trouver d’accord pour le prix du lait de juillet et d’août…
La formule de prix contractuelle donnait un prix de 401 euros les 1000 litres. Lactalis proposait 15 € de plus. L’Unell demandait 435 €. L'Unell a calculé qu'il faudrait 448 €/1000 l en septembre pour que le prix moyen sur les 9 premiers mois de l'année soit au niveau d'Agrial, Laïta et Savencia…
« Les engagements pris par Lactalis devant l'Unell en début d'année ne sont pas respectés. Lactalis nous garantissait que le prix du lait ne serait pas en-dessous du marché, c'est-à-dire la moyenne des prix du lait de Sodiaal, Agrial, Savencia et Laïta. Même en sortant Sodiaal de ce comparatif - car le prix Sodiaal est atypique et marque une forte hausse ces derniers mois -, cet engagement est loin d'être tenu pour l'heure. »…
|
Scooped by
Cedric
|
Le groupe invoque, entre autres, des hausses tarifaires insuffisantes sur les PGC France. « Nous n’avons pas obtenu les + 18 % demandés en moyenne sur 2022. Nous aurions été en mesure, sinon, de payer un prix du lait plus élevé. En Allemagne, en Italie, en Espagne, les GMS ont accepté des hausses bien supérieures »…
|
Scooped by
Cedric
|
Dans la perspective d’un futur accord cadre, OPLGO a négocié la mise en place d’une mesure de lissage technique applicable dès cette fin de campagne laitière (2017/2018). Ce lissage technique de fin de campagne permet ainsi à tout producteur dépassant de moins de 2% son volume contractuel de ne pas payer de pénalités au titre de la campagne en cours, et ce, dès le 31 mars 2018. En contre partie, ce dépassement sera déduit de la campagne suivante. Nous attirons votre attention sur le fait qu’un dépassement de plus de 2% annule le dispositif. Le producteur concerné sera ainsi redevable d’une pénalité correspondant à la totalité du dépassement dès le premier litre au-delà de son volume contractuel notifié.
|
Scooped by
Cedric
|
Dans une lettre ouverte adressée aux dirigeants de Lactalis ce jeudi 30 novembre 2017, l’Union nationale des éleveurs livreurs Lactalis (Unell) dénonce « un prix du lait non négociable et fixé d’avance ».
|
Scooped by
Cedric
|
L’organisation de producteurs (OP) transversale annonce être en cours de négociation d’un accord-cadre avec le n°1 mondial du lait.
Après l’APLBL la semaine passée, c’est au tour de France Milkboard (FMB) d’appeler les producteurs de Lactalis à les rejoindre. Dans un communiqué daté du 28 juin, l’OP indique que les négociations avancent à un « rythme soutenu » avec ses différents partenaires industriels (Bel, Vaubernier, Savencia, Saint-Père, Sill Malo et Lactalis).
|
Scooped by
Cedric
|
Lactalis se distingue toujours par son attachement aux contrats individuels. La moitié de ses livreurs, ceux qui n’adhèrent pas à une OP, viennent de recevoir un avenant à leurs contrats. Car ceux-ci ont une validité de cinq ans et arrivent à échéance.... Les OP négocient toujours !
|
Scooped by
Cedric
|
De nombreux producteurs non adhérents à une OP ont reçu de leur collecteur Lactalis un avenant à leur contrat de livraison. L’Unell appelle ces producteurs à la prudence quant à leurs possibilités de négocier, et les invitent à rejoindre une organisation de producteurs pour être mieux défendus.
|
Scooped by
Cedric
|
Demain, dans leur boîte aux lettres, les producteurs de lait livrant à Lactalis vont recevoir une proposition de nouveau contrat et d’accord-cadre se substituant au contrat précédent. Quel est votre mot d’ordre ? Clairement de ne pas signer ledit contrat. Il constitue à mes yeux un vrai torchon. Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un copié-collé de l’ancien contrat et absolument pas du fruit d’une négociation tripartite entreprise-OP-pouvoirs publics.
|
Scooped by
Cedric
|
Les producteurs dénoncent la pression exercée par l’industriel du lait, soupçonné de tout faire pour contourner la gestion collective des contrats prévue par la loi Sapin II.
|
Scooped by
Cedric
|
La société Fresh Milk Company (Lactalis) a convenu d'une approche collaborative de la tarification du lait et de la gestion des volumes avec l'association de producteurs Milk Supply Association (MSA) qui comprend un engagement à un prix minimum convenu de 27,5p par litre (ppl) tout au long de l'année 2017. «L'entreprise l’a fait pour sécuriser son approvisionnement en lait et donner la certitude nécessaire à ses agriculteurs. Il s'agit d'un prix minimum et il existe un mécanisme pour l'élever. » Ce prix minimum peut augmenter si un panier de prix lié au marché dépasse les 27,5ppl, dans les tolérances convenues.
|
Scooped by
Cedric
|
Lors de l’assemblée générale de l’Organisation des producteurs Lactalis Grand ouest (OPLGO), à Ploërmel le 9 février, le malaise des producteurs était perceptible face à une entreprise qui ne leur offre aucune lisibilité. Un prix à 270 €/1 000 l en janvier sans possibilité d’augmentation de production, sauf à acheter un contrat laitier. Telle est la situation des producteurs livrant à Lactalis dans l’ouest de la France. À la fin de l’assemblée générale de l’Organisation des producteurs Lactalis Grand ouest (OPLGO), à Ploërmel (Morbihan) le 9 février, plusieurs éleveurs ont crié leur désespoir alors que leur coût de production s’établit le plus souvent au-delà de 300 €/1000 l...
|