Lait de Normandie... et d'ailleurs
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[Podcast] Industriels et grandes enseignes : le bras de fer

[Podcast] Industriels et grandes enseignes : le bras de fer | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le marché agro-alimentaire en France est un secteur particulièrement divers et conflictuel : les géants côtoient les entreprises familiales…


"En France, il y a environ 17 000 industries agro-alimentaires, 90% de ces industries sont des PME/PMI, donc des entreprises de moins de 250 salariés et de moins de 50 millions d'euros de chiffre d'affaires, cela montre bien la fragilité de ce tissu. Par ailleurs, 496 000 agriculteurs vendent leur production aux 17 000 industriels, qui vendent eux-mêmes leur produit à huit distributeurs. Le distributeur est donc dans une position favorable : tout le monde veut lui vendre, tout le monde veut lui acheter."…


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Renégociations commerciales : le ton monte entre agriculteurs et distributeurs

Renégociations commerciales : le ton monte entre agriculteurs et distributeurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La FNSEA alerte sur « l’urgence » de conclure ces négociations avant la fin du mois de mai, « date butoir non négociable » au risque de mettre en danger toute la filière…


Distributeurs et représentants des agriculteurs ne parviennent pas à s’entendre sur les prix de l’alimentaire, en pleine inflation et guerre en Ukraine…


« Sur 60 % de notre chiffre d’affaires, on nous redemande des hausses de 8 % qu’on ne va pas accepter, je vous le dis tout de suite », a affirmé de son côté Michel-Édouard Leclerc… .

Cedric's insight:
Les hausses affichées en supermarché correspondant à ces 3 % négociés en mars, alors que l’impact du conflit se fera plutôt ressentir en rayons « à partir de l’automne ».

Voir aussi Les industriels accusent les supermarchés de ne pas jouer le jeu

La Coopération laitière demande des hausses de tarifs de 15 à 20 % https://sco.lt/7JxOWe
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Distribution : pourquoi la guerre des prix va continuer

Distribution : pourquoi la guerre des prix va continuer | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Présenté ce mercredi en Conseil des ministres, le projet de loi censé rééquilibrer les relations commerciales entre agriculteurs, industriels et distributeurs ne suffira pas à éteindre la bataille des promotions. Car l'argument prix reste décisif pour la majorité des consommateurs, et les distributeurs disposent toujours d'un puissant pouvoir de négociation.

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Agroalimentaire : consensus sur les prix

Agroalimentaire : consensus sur les prix | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Tous les acteurs de la filière se sont donnés rendez-vous, mardi, pour signer une charte d’engagement qui doit encadrer les négociations commerciales entre industriels et distribution...

Le feu vert a été donné par Michel Edouard Leclerc qui a annoncé dimanche son intention d’apposer sa signature...

Les signataires se disent prêts à « promouvoir une contractualisation fondée sur la construction des prix à partir de l’amont ». Une construction qui doit prendre en compte « les coûts de production des produits agricoles », mais aussi « la volatilité des marchés agricoles » tout en « assurant la répercussion à chaque maillon de la filière de la fluctuation dûment constatée des prix des produits bruts ».

Sur le sujet du seuil de revente à perte, rien n’est précisé. La charte se contente de demander de « respecter strictement le cadre législatif et réglementaire en vigueur et à venir, notamment en matière de seuil de revente à perte et de promotions ».

La charte incite les acteurs à travailler plus activement au sein des interprofessions et demande aux producteurs de se regrouper au sein d’organisations structurées. Elle prévoit également la mise en place de comités de liaison entre les interprofessions et les associations de consommateurs pour favoriser les échanges.

Les signataires s’engagent enfin à veiller « à la loyauté des relations, via notamment une meilleure transparence, un climat de respect mutuel entre les négociateurs ». L’avenir très proche dira si cet engagement restera au niveau des bonnes intentions. La récente crise du beurre a prouvé que les tensions dans la filière laitière étaient toujours aussi fortes et que la transparence n’était guère au rendez-vous.

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Distribution : « Chaque loi de protection des producteurs face aux grandes enseignes fait ressurgir les mêmes ambiguïtés »

Distribution : « Chaque loi de protection des producteurs face aux grandes enseignes fait ressurgir les mêmes ambiguïtés » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Alors que les députés entendent protéger petits agriculteurs et industriels, les chaînes comme Leclerc ou Intermarché, proclamés garants des petits prix pour les consommateurs, assurent que la législation engraisse plutôt les mastodontes de la production…


Les députés entendent protéger les producteurs de lait, quand les supermarchés assurent que le texte va surtout engraisser Nestlé et Coca-Cola. Des rapports de force puissants que la loi n’empêchera pas d’exister. D’autant plus que les élus qui chantent les louanges des petits producteurs, des boulangers et des PME s’empressent dans leurs circonscriptions de favoriser l’implantation d’Intermarché et de E.Leclerc aux abords des villes, apportant emplois et prix bas…


C’est ce que le politologue Jérôme Fourquet appelle la société du supermarché. Une France où, en cinquante ans, les enseignes de grande distribution ont remplacé les usines et les églises comme lieu de socialisation et d’aménagement du territoire. Une société où le consommateur prend le pas sur le producteur. Il ne sera pas facile de revenir en arrière…

Cedric's insight:
voir aussi "Le détricotage de la loi Egalim serait un très mauvais signal"

Cette proposition de loi pourrait bouleverser les négociations commerciales

Les distributeurs interpellent les députés contre la proposition de loi Descrozaille
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Comprendre le seuil de revente à perte et l'encadrement des promotions

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Infographie - Mieux rémunérer les agriculteurs pour une alimentation saine et durable
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Négociations commerciales : 17 000 entreprises de l'agro-alimentaire font face à 4 centrales d'achat qui représentent 92% de leur marché

Négociations commerciales : 17 000 entreprises de l'agro-alimentaire font face à 4 centrales d'achat qui représentent 92% de leur marché | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le mois de décembre marque le coup d'envoi des négociations commerciales annuelles entre distributeurs et industriels. Au 1er mars, ils doivent avoir trouvé un accord sur des prix d'achat qui resteront en vigueur pour un an.

Qu'en sera-t-il pour le beurre, dont les cours ont flambé au long de l'année 2017 ? Les fabricants de beurre veulent obtenir une hausse du prix d'achat. Mais « les distributeurs exigent qu'on leur verse des pénalités pour rupture de service. Dans les contrats annuels, les fournisseurs s'étaient en effet engagés sur un certain volume. »

Les nouvelles négociations commencent donc plutôt mal pour les industriels, avec un rapport de force qu'ils estiment être en leur défaveur. « 17 000 entreprises de l'agro-alimentaire font face à quatre centrales d'achat qui représentent 92% de leur marché ».

D'après les calculs de l'ANIA, la guerre des prix engagée depuis 2013 leur a coûté trois milliards et met en danger leur avenir, tout cela pour que le consommateur bénéficie en bout de chaîne d'un modeste gain de 30 centimes d'euros par semaine.

Dans l'esprit de la charte de novembre, tous les acteurs doivent s'entendre pour qu'aucun des maillons de la chaîne d'approvisionnement ne se trouve perdant, depuis l'agriculteur jusqu'au consommateur. Le tout en engageant une montée en gamme des produits, pour répondre aux nouvelles demandes. Ce qui signifie donc que les prix n'ont pas vocation à rester au niveau actuel. Les distributeurs se sont engagés à "pratiquer des prix responsables."

"La charte, on s'assoit dessus", auraient déjà déclaré certains acheteurs. "Ils ont fait du prix l'alpha et l'oméga. Cela leur réussit d'ailleurs en termes de parts de marché. Pourquoi changeraient-ils ?" Le consommateur peut s'en réjouir, la guerre des prix ne semble pas terminée. Pas plus que ses effets délétères sur la chaîne des fournisseurs.

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Alimentation : Les négociations commerciales n'ont pas encore changé

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Les discussions entre les distributeurs et leurs fournisseurs ont démarré mercredi. La charte engageant les acteurs à prendre en compte les avancées des Etats généraux de l'alimentation est compliquée à mettre en oeuvre. Les intentions vont-elles se transformer en actes ?

Ce mercredi 1er novembre s'est ouvert la période des négociations entre les distributeurs et leurs fournisseurs. Ce «round » qui s'achèvera début mars 2018 marque en théorie le début d'une nouvelle ère.

Les commerçants et les industriels sortent de la guerre des prix. Ils l'ont promis, en tout cas, lors des Etats généraux de l'alimentation...

« Nous avons besoin d'un engagement fort sur le bon déroulement des négociations commerciales pour 2018. Les premiers retours sont très négatifs » indique l'ANIA. La crise du beurre l'a bien montré: les distributeurs renâclent à acheter plus cher bien que le marché soit de plus en plus tendu.

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