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L’Indice FAO des prix des produits laitiers affiche une baisse de 1,4% en janvier, atteignant ainsi son niveau le plus bas en 12 mois. Le recul de janvier est le résultat d’une baisse des prix internationaux du beurre et du lait en poudre…
Les prix mondiaux du beurre ont enregistré leur septième mois consécutif de baisse, ce qui s’explique par une faible demande à l’importation pour des approvisionnements à long terme aux prix pratiqués actuellement, les acteurs du marché s’attendant à une poursuite de la chute des prix et à une hausse de l’offre en provenance d’Océanie…
Dans le même temps, les prix internationaux du lait entier en poudre ont cédé du terrain en raison d’un ralentissement de la demande des principaux importateurs et d’un accroissement de l’offre en provenance de la Nouvelle-Zélande, malgré la baisse saisonnière de la production laitière. Les prix du lait écrémé en poudre ont eux aussi accusé un recul, principalement imputable à une demande mondiale peu soutenue…
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L’Indice FAO des prix des produits laitiers a enregistré une valeur moyenne de 140,1 points en octobre, soit 1,7% de moins qu’en septembre. Il s’agit de la quatrième baisse mensuelle d’affilée de l’indice, dont la valeur demeure toutefois supérieure de 15,4% à celle de l’année dernière…
En octobre, les prix internationaux de tous les produits laitiers figurant à l’indice ont reculé. Cette baisse s’explique par des achats moins importants que prévu de la part de la Chine et par une demande atone sur le marché au comptant, car les besoins immédiats de la plupart des pays importateurs étaient bien couverts, ainsi que par les effets de l’affaiblissement de l’euro par rapport au dollar des États-Unis…
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L’indice des prix des produits laitiers s’affiche en baisse de 3,5% en mai par rapport au mois d’avril. Il s’agit de la première baisse enregistrée après huit hausses mensuelles consécutives, mais l’indice dépasse encore de 16,9% son niveau de mai 2021…
Tous les produits laitiers ont vu leurs prix diminuer sur les marchés mondiaux, les laits en poudre ayant subi la plus forte baisse, sous l’effet d’un amoindrissement de la demande qui s’explique par les incertitudes qui règnent sur le marché du fait de la poursuite du confinement en Chine, et ce malgré un resserrement persistant de l’offre mondiale…
Les prix du beurre ont également chuté fortement dans le sillage d’une baisse de la demande à l’importation, qui s’est accompagnée d’une certaine amélioration des approvisionnements en provenance d’Océanie et d’une contraction des ventes intérieures en Europe…
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L’Indice FAO des prix des produits laitiers a enregistré une valeur moyenne de 147,1 points en avril, soit 1,3 point (0,9 pour cent) de plus qu’en mars, ce qui marque la huitième hausse mensuelle consécutive de l’Indice, qui s’établit à 28,0 points (23,5 pour cent) de plus que sa valeur enregistrée il y a un an…
En avril, la tendance haussière des prix des produits laitiers s’est poursuivie, sous l’effet d’un resserrement persistant des disponibilités mondiales, car la production laitière en Europe de l’Ouest et en Océanie a continué d’afficher des résultats en dessous de ses niveaux saisonniers…
Les cours internationaux du beurre ont enregistré la plus forte hausse, car les disponibilités sont faibles, y compris les stocks, en particulier en Europe de l’Ouest, en raison de l’envolée de la demande de livraisons à court terme qui est due en partie à la pénurie actuelle d’huile de tournesol et de margarine…
Malgré la baisse des achats extérieurs, la demande interne soutenue et le faible niveau des stocks en Europe ont contribué à soutenir les prix mondiaux du lait écrémé en poudre et du fromage. En revanche, les prix du lait entier ont légèrement reculé, principalement en raison d’un ralentissement de la demande en Chine…
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Les prix avaient augmenté au deuxième trimestre en raison de la forte demande mondiale et de la baisse de la production, mais ils connaissent une période difficile depuis que l'offre s'est redressée. Les prix mondiaux des produits laitiers ont baissé pour la quatrième fois consécutive et ont atteint leur plus bas niveau depuis huit mois, ce qui pourrait impacter les prix du lait à la ferme. L'indice des prix du GDT a baissé de 3,4%, avec un prix de vente moyen de 2 970 $ la tonne, lors des enchères bimensuelles qui ont eu lieu aux premières heures de mercredi matin.
Le plus gros exportateur de produits laitiers au monde paie actuellement 6,75 dollars néo-zélandais par kilogramme de solides de lait aux agriculteurs néo-zélandais. La baisse soutenue des prix pourrait conduire Fonterra à réduire ses paiements de lait aux agriculteurs d'ici la fin de l'année, selon les analystes.
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Lactalis bon dernier au mois d'août 2017, Sodiaal et Lactalis bien en dessous de la moyenne UE sur 12 mois
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L’Indice FAO des prix des produits laitiers était en moyenne de 209 points en juin, ce qui représente une augmentation de 15,9 points (8,3 pour cent) par rapport à mai. Ce niveau est proche des valeurs les plus élevées de ces trois dernières années, mais reste inférieur de 24 pour cent au pic atteint en février 2014. Les prix de l’ensemble des produits laitiers qui composent l’indice ont augmenté, surtout ceux du beurre : ces derniers ont progressé de 51,2 points (14,1 pour cent) depuis mai pour atteindre un niveau record. Compte tenu du faible volume de produits laitiers disponibles à l’exportation dans l’ensemble des grands pays producteurs, les prix du beurre, du fromage, du lait écrémé en poudre et aussi du lait entier en poudre ont augmenté.
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L’OCDE et la FAO prévoient la fin de la période des prix alimentaires élevés. Cette prévision ne concerne pas les productions animales, dont les cours devraient continuer d’augmenter... La stabilité ne concerne pas les productions animales : Si le scénario de la stabilité des prix était respecté, l’OCDE et la FAO prévoient quand même une hausse des prix des productions animales. « À la faveur de la hausse des revenus, notamment dans les économies émergentes, la demande de viande et de produits halieutiques et aquacoles s’élèvera sensiblement », explique le rapport. La hausse devrait également s’appliquer aux productions végétales destinées à l’alimentation animale.
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L’Indice FAO des prix des produits laitiers a enregistré une baisse de 1,2% par rapport à octobre. Il s’agit de la 5ème baisse mensuelle d’affilée, dont la valeur demeure toutefois supérieure de 9,2% à celle de l’année dernière…
En novembre, les cours internationaux du lait écrémé en poudre ont accusé la plus forte baisse, du fait d’un recul de la demande à l’importation, car les besoins à court terme des acheteurs étaient bien couverts et les disponibilités exportables avaient augmenté en Europe…
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Baisse de l’Indice FAO des prix des produits alimentaires pour le troisième mois consécutif en juin…
L’Indice FAO des prix des produits laitiers a augmenté de 4,1% en juin, et de 24,9% par rapport à la valeur enregistrée en juin 2021…
En juin, tous les produits laitiers ont vu leurs prix internationaux progresser. Ce sont les cours du fromage qui ont le plus augmenté, sous l’impulsion d’une envolée de la demande mondiale à l’importation sur le marché au comptant en corrélation avec l’inquiétude des marchés quant aux disponibilités plus tard dans l’année, la vague de chaleur en ce début d’été ayant pesé sur une production déjà faible de lait en Europe…
Les prix mondiaux du lait en poudre ont augmenté sous l’effet d’une forte demande à l’importation, du resserrement persistant de l’offre mondiale et du faible niveau des stocks. Les prix internationaux du beurre ont remonté, l’incertitude des marchés au regard des livraisons de lait dans les mois à venir ayant stimulé les importations ainsi que la demande intérieure en Europe…
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Spéculation, le début de la faim : « Le prix du blé a doublé. Pour les plus modestes, ça va être dramatique. Pendant ce temps, les profits fuient les fermes et s’en vont remplir les poches des traders cachés derrière ces tours de verre. »…
L’État a délégué la sécurité alimentaire au secteur privé, qui n’est là que pour les bénéfices. « Ce sont nos paysans qui doivent nous nourrir, pas l’agrobusiness. Se servir de la guerre en Ukraine comme une aubaine pour faire grimper les prix est criminel. Des céréales, ce n’est pas ce qui manque. Il y en a des stocks pour les deux ans à venir. Si des famines ou des émeutes éclatent, notamment dans les pays du Maghreb, ce sera à cause des prix et non de la disponibilité. »
« Sous couvert de solidarité internationale, on nous demande de produire plus pour soi-disant nourrir les populations du monde. Personne n’a donc la décence de s’attaquer à ce qui empêche réellement ces gens d’avoir accès à l’alimentation ? »
Notre système agroalimentaire tue trois fois : le paysan, la planète et les consommateurs
« Transformer des céréales en carburant dans le contexte actuel est insensé. Nourrissons d’abord les populations affamées. Et puis, nous devons réfléchir à des façons de produire de manière moins dépendante, plus résiliente et plus durable. La souveraineté alimentaire est fondamentale.»
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L’Indice FAO des prix des produits laitiers a enregistré une valeur moyenne de 145,2 points en mars, soit 3,7 points (2,6 pour cent) de plus qu’en février, ce qui marque la septième hausse mensuelle consécutive de l’indice, qui s’établit à 27,7 points (23,6 pour cent) de plus que sa valeur d’il y a un an…
Les cours du beurre et du lait en poudre ont bondi, sous l’effet d’une flambée de la demande à l’importation en vue de livraisons à court et long termes, en particulier sur les marchés asiatiques, et d’une demande interne solide en Europe de l’Ouest…
Par ailleurs, l’offre a également été limitée sur les marchés du fromage, car la demande interne a été forte en Europe de l’Ouest. La valeur de l’indice a toutefois légèrement fléchi, sous l’effet des fluctuations des taux de change…
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Si vous êtes producteur laitier et que vous regardez les commentaires d'économistes sur les perspectives 2018, il y a un thème récurrent commun : trop de lait et pas assez de demande. En un mot, c'est ce qui explique la baisse des prix du lait. «La production de lait est trop forte et il y a trop de produits laitiers en stock, en particulier les protéines de lait».
La production et les stocks ne sont pas seulement un problème ici aux États-Unis - ce sont des problèmes mondiaux. Alors que le beurre peut manquer en France et dans d'autres parties de l'Union européenne, il y a plus de poudre et d'autres produits entreposés que nous ne savons littéralement quoi en faire. Et comme la production continue de croître, à un rythme plus lent, ces stocks ne disparaîtront pas tant que les prix n'entraîneront pas une vente massive.
La plupart des économistes considèrent 2018 comme une année à 2 vitesses. Les prix du lait devraient atteindre leur plus bas niveau dans la première moitié, à 13 $ ou 14 $ par quintal. Mais les prix devraient augmenter au second semestre, la production et les stocks atteignant un équilibre plus équitable. Les prix pourraient atteindre plus de 16 $ par quintal en 2018, pour une moyenne d'environ 15,20 $.
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Le Père Noël n'amènera probablement pas ce que souhaitent les producteurs laitiers. La plupart des analystes s'attendent à une baisse des prévisions de prix de Fonterra avant Noël.
En vertu de la Loi sur la restructuration de l'industrie laitière, Fonterra est légalement tenue de fournir une mise à jour sur les paiements prévus en décembre.
Federated Farmers, cependant, reste optimiste que le géant laitier maintiendra son prix actuel de 6,75 $/kgMS fixé en juillet. Westland Milk Products s'est engagée à maintenir sa fourchette initiale de 6,40 $ à 6,80 $ pour cette saison.
Mais les analystes disent que les derniers résultats mondiaux des enchères de produits laitiers et d'autres signaux du marché indiquent un chiffre révisé autour de 6,50 $. L'économiste rural de l'ASB, Nathan Penny, a réduit ses prévisions à 6,50 $. L'ANZ a abaissé ses prévisions de prix du lait à une fourchette de 6,25 $ à 6,50 $.
Pendant ce temps, la Commission européenne a commencé à vendre du lait écrémé en poudre en dessous de son prix d'achat, dans le but de liquider son stock avant que le produit commence à se détériorer. Le prix d'achat à l'intervention est fixé à 1693€/tonne, et signe d'un changement d'attitude de la Commission, une vente récente de 44 tonnes a eu lieu à environ 1450€/t…
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Après avoir atteint un sommet de près de 7 000 euros la tonne en septembre, les contrats à terme sur le beurre négociés avec l'EEX allemand ont perdu environ un quart de leur valeur. Les analystes citent un simple adage des produits de base pour la baisse: "Le remède aux prix élevés est des prix élevés." Kevin Bellamy, stratège laitier mondial chez Rabobank, explique : "Ce que nous voyons, ce sont les prix élevés qui étouffent la demande".
Dans la plupart des marchés, les hausses de prix ont été répercutées sur les consommateurs. Au Royaume-Uni, par exemple, l'indice des prix de détail du beurre de septembre a enregistré l'une des augmentations mensuelles les plus élevées des dernières années, en hausse de 6,5% par rapport au mois précédent et en hausse d'un cinquième par rapport à l'année précédente.
Selon Rabobank, les prix du beurre sont estimés à 6 000 $ la tonne ce trimestre et à 5 800 $ la tonne au premier trimestre de l'année prochaine. Bien que la hausse des prix du beurre ait freiné la demande, il y a encore beaucoup de vent arrière pour la consommation. La demande de beurre a augmenté après la mise en cause du lien entre le beurre et les maladies cardiovasculaires. Aux États-Unis, par exemple, la consommation de beurre par personne a augmenté de 16% depuis 2010, selon les données de l'USDA.
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Les signes de croissance soutenue de l'offre des principaux exportateurs suggèrent que les prix mondiaux des produits laitiers ont atteint un sommet dans le cycle actuel, selon la dernière publication trimestrielle mondiale de Rabobank.
La Chine devrait absorber une grande partie de cette augmentation en tant qu'acheteur actif, au moins à court terme, évitant que le marché ne soit submergé au cours des prochains mois.
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L'Indice FAO des prix des produits laitiers s'est établi en moyenne à 224,2 points en septembre, soit 4,5 points (2,1 pour cent) de plus que le mois précédent. L’indice se trouve donc à 27,4 pour cent au‑dessus de son niveau d’il y a un an, mais 18,6 pour cent en dessous du record de février 2014. La hausse enregistrée en septembre s’explique par une offre qui continue d’être peu abondante en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans l’Union européenne, l’accroissement de l’offre aux États-Unis demeurant par ailleurs modeste. Le beurre et le fromage restent les deux produits laitiers qui font l’objet de la demande la plus forte, en particulier en Asie. Dans le même temps, les prix internationaux du lait en poudre écrémé et du lait en poudre entier ont reculé en raison d’un intérêt limité de la part des acheteurs.
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