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"Nous observons une baisse de la production dans plusieurs régions productrices clés", notent les analystes de l'IFCN. En mars, une diminution du rythme de croissance de la production laitière est observée dans un nombre croissant de régions. Aux États-Unis, le cheptel laitier continue de diminuer, ce qui soulève des questions quant à l'expansion du secteur laitier…
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Le plus bas des marchés des produits laitiers a été franchi et la tendance générale est à une hausse des prix en 2024. La croissance de l’offre de lait sera lente en 2024 dans la plupart des régions exportatrices. L’évolution de la demande reste essentielle à surveiller…. L’appétit de la Chine pour les importations de produits laitiers devrait toujours être à l’origine de toute hausse des prix des matières premières en Océanie en 2024. Rabobank s’attend à ce que le volume des importations chinoises stagne en 2024, ce qui serait un résultat positif, compte tenu des deux années précédentes de retrait des marchés mondiaux… La faiblesse de la demande laitière sous-jacente et les changements dans les achats des consommateurs ont un impact sur les volumes dans certaines économies et certains canaux. La demande s’améliore, mais l’incertitude sur les marchés demeure en raison de la hausse du chômage dans certaines économies. Son impact continu sur le pouvoir d’achat des consommateurs sera à surveiller en 2024…
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Le top 10 est responsable de la transformation de 16,28% de la production mondiale de lait.
L'industrie laitière est l'un des secteurs les plus importants de l'économie mondiale, responsable de la génération de milliards d'euros de revenus et d'emplois, avec environ 600 millions de personnes vivant dans des fermes et 400 millions d'autres travaillant dans cette industrie partout dans le monde…
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La collecte laitière dans tous les principaux bassins de production a reculé au mois de septembre, hormis en Australie…
Sur l’ensemble de l’année et l’ensemble des pays du monde, la production de lait devrait toutefois progresser, selon la FAO qui prévoit une hausse de 1,3%, tirée par la dynamique en Asie, en Amérique Centrale et dans les Caraïbes…
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L’année 2022 a été marquée par une croissance de l’offre de lait extrêmement faible, de 0,8 %, contrairement à la moyenne à long terme (2001-2021) de 2,3%...
Cette situation s'explique principalement par la baisse de l'offre dans les régions exportatrices comme l'UE-27 et la Nouvelle-Zélande, mais également par une croissance relativement modérée du secteur laitier indien. En 2022, l’Inde restait le plus gros producteur. Cependant, malgré un taux de croissance moyen de 5,2 % sur 10 ans, le pays n’a affiché qu’une croissance de 2% en 2022…
La demande de produits laitiers a également connu une évolution modérée de +0,8%, la demande de lait par habitant ayant même diminué de –0,2% au niveau mondial. Le commerce mondial a diminué pour la première fois depuis 2006 en raison des perturbations persistantes de la chaîne d'approvisionnement et de la baisse de la demande d'importations en provenance de Chine…
La rentabilité des exploitations agricoles a été globalement très bonne, car les augmentations des coûts ont été inférieures à la hausse du prix mondial du lait, qui a augmenté de 18% pour atteindre un record de 53 USD/100 kg de lait standardisé en 2022…
La croissance de l’offre en 2023 semble positive, mais pas encore suffisamment abondante pour compenser le déclin de l’année dernière. Une reprise du prix du lait est donc attendue d’ici fin 2023…
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Des chercheurs ont évalué la facture engendrée par les événements climatiques extrêmes dus au réchauffement climatique de 2000 à 2019. Deux tiers des coûts dus aux pertes en vies humaines, le reste en pertes de biens matériels… Les événements catastrophiques (inondations, sécheresses, tempêtes, insectes ravageurs, crises sanitaires, guerres...) ont causé, en 30 ans, 3 800 milliards de dollars de pertes en récoltes et productions animales. Cela correspond à environ 123 milliards de dollars par an, ou 5 % des richesses produites par les agriculteurs entre 1991 et 2021…
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Cette publication propose un éclairage sur le cadre conceptuel des neuf limites planétaires tel qu’il a été défini en 2015. Dans cette optique, elle s’attache à répondre aux questions suivantes : qu’est-ce que les limites planétaires ? comment ce concept est-il né ? quelles problématiques environnementales recouvre-t-il ?
Parmi ces neuf limites, lesquelles sont d’ores et déjà franchies ou risquent de l’être à défaut d’actions au niveau mondial ? quelles politiques sont mises en œuvre en France pour éviter le franchissement de ces limites ? que peuvent apporter les limites planétaires aux États, aux territoires et aux entreprises, face aux enjeux écologiques mondiaux ? comment peut-on les utiliser en France ?
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Le Top 50 mondial des PGC en 2022
Parmi les géants des PGC, 11 d’entre eux au moins commercialisent des produits laitiers, dont Danone en France. Lactalis & DFA n’apparaissent pas dans ce classement, faute d’informations… Friesland Campina réalise la plus forte hausse de CA (+21,5%). Nestlé et Unilever font partie du top 10 de la R&D (respectivement 1,8 et 1,5% du CA) ; Danone et Nestlé du top 10 du marketing (22,8 et 17,8% CA)…
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Le chiffre d’affaires combiné des 20 plus grandes entreprises laitières mondiales a bondi de 7,4% en dollars américains, après le gain de 9,3% de l’année précédente. En euros, le chiffre d'affaires combiné a augmenté de manière significative de 21%. Dans l'ensemble, seules cinq entreprises occupaient la même position que l'année dernière, ce qui indique un remaniement sur l'ensemble de la liste.
La coop américaine DFA s’empare de la 2ème place, devant Nestlé et Danone qui reculent d’une place. Arla devance Friesland, mais toutes 2 grimpent légèrement. Le chinois Yili assure sa position face à Mengniu qui décroche un peu et Fonterra passe derrière eux. L’indien Amul devance Savencia et Sodiaal décroche plus fortement. La coop irlandaise entre dans le Top 20…
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Produits laitiers : Les prix mondiaux tombent à leur plus bas niveau depuis 5 ans, en raison de la faiblesse de la demande chinoise et de l'augmentation des volumes mis aux enchères…
L'indice des prix GDT a chuté de 7,4 %, avec un prix de vente moyen de 2 875 dollars par tonne métrique lors de la deuxième vente aux enchères Global Dairy Trade de ce mois. Il est maintenant à son niveau le plus bas depuis novembre 2018.
Les prix du lait entier ont également chuté de 10,9 %, avec un prix de vente moyen de 2 548 dollars la tonne métrique, soit leur plus bas niveau depuis 2016…
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Lors de la dernière vente aux enchères de la plateforme d'échange Global Dairy Trade, on a assisté à un véritable effondrement des prix du lait entier en poudre. Les observateurs du marché ne constatent aucun changement rapide et prévoient des prix bas persistants pour les produits laitiers commercialisés à l'échelle internationale…
Depuis le pic de prix de 4 757 $/t (4 334 €) en mars 2022, il y a eu une baisse de prix quasi ininterrompue. Le lait entier en poudre est maintenant moins cher qu'il ne l'a été pendant trois bonnes années…
Le premier exportateur mondial, la coopérative laitière néo-zélandaise Fonterra, a été particulièrement touchée par la chute des prix du lait entier en poudre. Le problème actuel de la coopérative n'est pas l'offre excessive, mais la faible demande de son principal client, la Chine…
En Allemagne, le discounter Aldi a réduit le prix du beurre au début du mois de 4% à 1,39 euro le paquet de 250 grammes de sa propre marque. En décembre, le prix d'un paquet de beurre au rayon discount était de 2,29 euros…
L'Institut d'économie alimentaire de Kiel (ife) a réduit la valeur de la matière première du lait pour juillet 2023 à 35,3 cents/kg de lait avec 4% de matières grasses et 3,4% de protéines. En juin, la valeur des matières premières était encore de 37 cents. Le sommet a été atteint en avril 2022 à 67,5 cents/kg de lait…
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Un tour d’horizon d’un secteur confronté à de nombreuses mutations depuis ces vingt dernières années…
Le repli du commerce mondial des produits laitiers souligne sa forte sensibilité au prix, autant du côté de la production que de la consommation. La libéralisation croissante des marchés laitiers, qui a atteint une nouvelle ampleur au cours des années 2000, a rendu de nombreux marchés domestiques plus perméables à la volatilité des prix internationaux. Cette instabilité des marchés fragilise les systèmes de production…
Au cours des vingt dernières années, le commerce mondial des produits laitiers s’est développé en réponse à cette évolution quantitative et qualitative de la consommation. Deux phénomènes majeurs caractérisent cette évolution :
• Une croissance des échanges d’ingrédients à plus haute valeur ajoutée, dont les échanges ont plus que doublé sur les vingt dernières années, ou les poudres de lactosérum
• Une croissance des échanges de poudres de lait (grasses, écrémées ou réengraissées), qui ont elles aussi plus que doublé depuis le milieu des années 2000
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Malgré la persistance de la représentation traditionnelle de l’élevage laitier, la vache n’est plus toujours au pré pour produire son lait. Entre rentabilité et nouvelles attentes sociétales en termes d’environnement, de bien-être animal et de qualité nutritionnelle, les systèmes laitiers sont appelés à évoluer. Avec une question centrale : le retour à l’herbe est-il possible, souhaitable ?
Trois grands systèmes de production dans le monde :
• Les élevages pastoraux, très localisé, dans les régions de haute montagne en France
• Les élevages mixtes, qui peuvent être considérés comme la norme mondiale • Les élevages industriels, concentrés en Chine et aux États-Unis
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Prix de décembre 2023 en €/100 kg base 42-34 et moyenne 2023…
Au niveau européen, les prix sont stables par rapport à novembre 2023.
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L’IFCN prévoit un déficit mondial de lait de 6 millions de tonnes d’ici 2030. Cette prévision repose sur l’hypothèse que la production mondiale de lait augmentera de 21,5% ou 126 millions de tonnes, tandis que la demande mondiale augmentera de 22% ou 140 millions de tonnes en raison d’une classe moyenne croissante dans les pays en développement…
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Principaux flux laitiers mondiaux en 2020
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Le rapport World Dairy Map 2023 de Rabobank souligne que le Brexit a été l’un des principaux événements mondiaux ayant eu un impact sur la forme et la taille des flux commerciaux de produits laitiers entre 2017 et 2022…
Tout changement subtil dans le volume des flux commerciaux sur les principaux marchés, tels que les exportations de l'UE vers le Royaume-Uni, le volume des échanges de la Nouvelle-Zélande vers la Chine et le flux de lait de la Biélorussie vers la Russie, « peut avoir un profond impact sur les fondamentaux du marché laitier mondial »…
Le dernier rapport de Rabobank montre également que l'UE détient la plus grande part de marché à l'export – 27,7 % – mais note que l'industrie laitière américaine souhaite accroître sa part de marché à l'export. Des changements subtils pourraient potentiellement remodeler l’arène commerciale mondiale…
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La production mondiale de lait a augmenté l'année dernière, mais au rythme le plus lent des deux dernières décennies, et le commerce international des produits laitiers s'est contracté après deux décennies de croissance annuelle…
Des baisses de production ont été constatées en Europe, en Océanie et en Afrique, avec des ralentissements similaires des taux de croissance de la production laitière en Asie. Les deux seules régions à enregistrer une croissance annuelle de leur production sont l’Amérique centrale et les Caraïbes.
Selon la FAO, la production laitière était estimée à « 232,6 millions de tonnes » en 2022 dans l’ensemble de l’Europe. Cela représente une légère baisse de 0,6 % sur un an, principalement due à la baisse de la production en Ukraine, dans l'UE, au Royaume-Uni et en Norvège. Le dernier bilan montre que la production laitière en Ukraine a chuté de 16 % par rapport aux chiffres de 2021.
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Évolution de la collecte dans l’UE
Belgique >> Pays-bas > Allemagne > Pologne > … > Espagne >> Irlande >Italie >> France En août, la collecte chez les principaux producteurs mondiaux est en baisse : -0,2 % aux États-Unis, -2,1 % en Nouvelle-Zélande. En Europe, la collecte reste légèrement positive avec +0,2 % mais la France est toujours en baisse avec -1,8 %.
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Le prix du lait moyen en août dans l’UE selon ZuivelNL est de 41,64€/100 kg (base 42-34), il baisse de 55 cts par rapport à juillet et de 11,22€ par rapport à août 2022…
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Au mois de juin 2023, la production laitière mondiale freine d'après la note de conjoncture publiée par FranceAgriMer le 31 août 2023…
Dans l’UE 27, les volumes allemands et néerlandais ne suffisent plus à tirer la collecte totale. Au niveau mondial, la collecte aussi ne progresse plus, elle a également stagné en juin. Sur 6 mois, sa progression n’est plus que de 0,6%...
En plein creux saisonnier, la collecte néozélandaise a fini par repasser sous son niveau de 2022 (- 1,7%). Les volumes américains et européens ont stagné en juin, tandis que les litrages ont diminué en Argentine (- 0,9%) et en Australie (- 8,8%)…
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Le secteur laitier s'inquiète de la baisse de la valeur internationale du lait en poudre, qui n'a pas trouvé de plancher, et les entreprises argentines commencent à exporter à perte…
« Il existe un marché différent en raison de la crise économique chinoise. Cela change le marché. Les principaux clients chinois de Fonterra n’ont rien acheté lors de l’appel d’offres de 100 000 tonnes du mois d’août », explique Alejandro Maurino, PDG de Dairy Corp. Le géant asiatique ne demande pas et la Nouvelle-Zélande, qui en est le principal producteur (et exporte 90 % de sa production vers la Chine), se retrouve avec un surstock. Cette offre excédentaire, sur un marché relativement restreint, a un impact significatif sur les prix…
Global Dairy Trade (GDT), la plateforme mondiale de suivi du commerce des produits laitiers, a marqué une nouvelle baisse des prix à 2 548 $ US/t, la moyenne la plus basse depuis juin 2020, et 1 185 $ US en dessous du pic de septembre 2022. Ainsi, les perspectives pour les six prochains mois sur les marchés mondiaux ne montrent pas de signes positifs pour les produits laitiers…
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Selon les dernières estimations, la production mondiale de lait devrait se stabiliser en 2023 dans les principales régions productrices, n'augmentant que de 0,1% en glissement annuel. Il s'agit d'une légère révision à la baisse par rapport aux attentes du début de l'année qui s'établissaient à une croissance de seulement 0,2%...
Ces estimations pourraient être un peu pessimistes pour le moment, car la production depuis le début de l'année dans les régions clés est en hausse de 0,8 % en glissement annuel, bien qu'il soit probable que la baisse des prix et les conditions météorologiques difficiles dans de nombreuses régions réduiront les performances. au second semestre de l'année, reflétées dans les estimations finales…
Les États-Unis (0,8%), le Royaume-Uni (0,3%) et la Nouvelle-Zélande (2,0%) devraient enregistrer une certaine croissance. Malgré la croissance des livraisons de lait de l'UE au printemps, les prévisions indiquent une baisse au second semestre de l'année en raison de l'augmentation des abattages en raison de la baisse des prix du lait et des coûts élevés des intrants avec une réduction de -0,2%. L'Australie et l'Argentine estiment toutes deux une baisse de la production laitière de 3,0%...
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Moyenne européenne : 43,73 €/100 kg (base 42-34), en baisse de 1,1€ par rapport à mai 2023, en baisse de 7€ par rapport à juin 2022…
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Le marché mondial du fromage s’est montré terne ces derniers mois, en cause une offre trop large en Europe…
Les exportations américaines de fromages ont chuté de 18 % en mai comparé à l’an dernier, c’est le plus fort recul depuis l’embargo russe de 2015. Leurs envois ont notamment reculé de 59 % vers la Corée du Sud, de 44 % vers le Japon et de 40 % vers l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Pour les exportateurs américains, ce retournement du marché est certes à mettre sur le compte d’une baisse de la demande dans un contexte inflationniste mais surtout d’une hausse de l’offre…
Les Néo-Zélandais se sont tournés davantage vers les fabrications de fromage dans leur mix produit, faute de demande chinoise en poudre de lait entier. Mais ce sont surtout les Européens qui ont proposé à bas prix du gouda (3 696 $/t vendu au Chili en avril) et de la mozzarella (3 475 $/t vendu à la Corée du Sud le même mois). L’écart était net avec les prix américains, bien moins compétitifs…
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