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Cedric
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Le label « La Normande, naturellement bien élevée » a vu le jour. Porté par l’organisme de sélection de la race, il offre aussi une garantie du mode d’élevage aux clients…
D’abord mis en place pour les produits carnés, le label pourra être déployé pour les produits laitiers. « Pour prétendre à la signature de la race, les éleveurs doivent être certifiés haute valeur environnementale (HVE) de niveau 2 ou 3. Cette certification nous permet de travailler avec la restauration collective qui cherche à se conformer aux contraintes d’approvisionnement de la loi Egalim.»…
Outre la certification HVE, la cinquantaine d’éleveurs déjà inscrits dans la démarche s’engagent sur une durée de pâturage de 6 mois et une autonomie fourragère de 80 % minimum…
La filière a été conçue initialement pour apporter une plus-value aux éleveurs d’environ 0,30 € à 0,40 € par kg de carcasse. Cependant, du fait de la hausse des cours des prix des produits « standard », cette prime est descendue aujourd’hui à environ 0,15 €…
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Cedric
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La FDSEA de la Manche est à l'origine de ce projet et de la SAS qui détient la marque; elle gère la commercialisation des produits qui l'arborent.
L'aventure commence avec une brique de lait de consommation demi-écrémé, vendue dans des Carrefour et Intermarché de Normandie. "Nous avons voulu faire une démarche collective, qui profite à un grand nombre de producteurs et pas qu'à quelques-uns", indique Ludovic Blin, vice-président de la FDSEA de la Manche.
Si les ventes se développent, le nombre de distributeurs augmentera. "Nous voulons aussi lancer d'autres produits, laitiers et autres (viande, légumes...)."...
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Cedric
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Un lait produit, transformé et conditionné en Normandie, tel est le contenu de la nouvelle brique Cœur de Normandy. Cette marque collective d’éleveurs de la Manche sera lancée le 8 septembre dans le cadre de la foire de Lessay. Un partenariat gagnant/gagnant : Cette nouvelle brique ne passera pas inaperçue dans les linéaires des grandes surfaces (Carrefour et Intermarché pour commencer). Sur un emballage blanc, le Mont-Saint-Michel et les léopards de la Normandy sont ancrés dans un cœur à moitié bleu, à moitié rouge. Quelques bruns d’herbe font référence à l’alimentation des vaches de Normandie, avec comme slogan
« Choisir nos produits, c’est soutenir notre revenu ». Clairement, l’achat des briques se veut être un acte « solidaire des éleveurs ». Avec le consommateur, les producteurs veulent créer un partenariat gagnant/gagnant, un contrat de commerce équitable.
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Les consommateurs font confiance aux producteurs. La coopérative y répond en lançant Campagne de France en GMS.
CESER : Marque Normandie, une bonne idée ?
Le Conseil économique social et environnemental régional (Ceser) de Normandie se montre prudent sur la création de la nouvelle marque Normandie. La création d’une marque Normandie pour valoriser les produits régionaux, avancée par Hervé Morin, a quant à elle fait l’objet d’un avis pour le moins prudent. Si le président du Ceser, Jean-Luc Léger, estime qu’il « serait absurde de ne pas tenter » de créer cette marque, en remplacement de Gourmandie dont la connotation régionale est quasi nulle, les auteurs du rapport s’interrogent sur le risque de « banalisation » des produits, en particulier ceux déjà valorisés sous le vocable Normandie, et pointent la nécessité de réfléchir à l’existence d’un cahier des charges, à l’exigence de son contenu, à sa variabilité éventuelle d’une filière à l’autre, etc.
Via Chambre régionale d'agriculture de Normandie - Cellule intelligence économique et territoriale
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Cedric
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Les produits agroalimentaires régionaux pourront porter la marque « saveurs de Normandie » à partir de janvier 2018. C’est la déclinaison agroalimentaire de la marque territoriale « Normandie ». En Normandie, il n’y a pas que l’appellation d’origine protégée (AOP) pour valoriser le beurre, la crème, le fromage, le cidre, etc. Les produits agroalimentaires qui répondent à une typicité régionale (goût, savoir-faire, origine des matières premières) et favorisent l’emploi local, disposent aussi de leur marque. Depuis 2003, elle avait pour nom « Gourmandie ». À partir du 1er janvier 2018, il faudra parler de « Saveurs de Normandie ». Moins contraignante qu’une AOP, c’est la déclinaison agroalimentaire de la marque territoriale « Normandie », portée par l’agence Normandie attractivité. Elle en reprend la charte graphique, avec des lettres vertes comme les prairies normandes, foncées, bleues ciel et marine comme la mer, et rouge passion.
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Cedric
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Afin de gagner en visibilité et en proximité, vendredi 27 octobre 2017, à Caen, les cinq chambres d’agriculture départementales de Normandie ont annoncé leur mutualisation sous la marque ProAgri. Elles déploient une offre commune pour accompagner les agriculteurs dans leurs projets.
« Aujourd’hui, face à la grande diversité des demandes des agriculteurs, on a besoin d’une plus grande expertise ». En revanche, mutualisation ne veut pas dire perte de proximité. « C’est important pour nous de conserver l’échelon départemental pour rester aux plus près des demandes. La plupart des conseillers seront des forces vives dans les antennes locales. »
La Normandie, région de France mondialement connue mais souffrant d'un déficit d'attractivité économique et démographique, a lancé sa propre marque, comme l'ont déjà fait d'autres régions et villes en France et dans le monde. Avec sa notoriété internationale - la plus élevée derrière la Californie - la Normandie a choisi de se présenter sous son propre nom, en le déclinant seulement en anglais avec un y à la fin (Normandy).
Via Chambre régionale d'agriculture de Normandie - Cellule intelligence économique et territoriale
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La Ferme des peupliers, qui produit le lait de ses yaourts, monte en puissance ... La marque normande, qui produit 11 millions de pots de yaourt, et desserts lactés, a 180 vaches laitières et a enregistré un chiffre d'affaires supérieur à 5 millions d'euros en 2016, monte en puissance. François Chedru, un vétérinaire qui a repris La Ferme des Peupliers en 2007 et la développe avec ses fils, l'a dynamisée en diversifiant produits et circuits de distribution.
Les yaourts haut de gamme de la société familiale sont récemment arrivés chez Monoprix après avoir investi Franprix depuis juillet. Ils sont présents aussi bien dans l'hôtellerie de luxe, comme le Georges V, que chez les crémiers-fromagers, sur les marchés, que dans les magasins Grand Frais.
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La filiale bio de Danone, Stonyfield France, qui produit des desserts lactés au Molay-Littry (Calvados), affiche une croissance de 25 % cette année. Entretien
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