Cultiver les surfaces fourragères est rentable à condition d’atteindre certains seuils de rendement. C’est ce que montre une étude de la chambre d’agriculture du Cantal. La culture du méteil engage de faibles coûts, mais son intérêt économique est à relativiser par rapport à sa valeur alimentaire…
Sans surprise, les prairies naturelles pâturées sortent parmi les surfaces fourragères qui permettent de dégager la meilleure marge à l’hectare. Avoir recours au pâturage à chaque fois que c’est possible est toujours une bonne option. « Mais aujourd’hui, diversifier son assolement et son système fourrager renforce la résilience du système face aux aléas »…