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A 2315 €/tonne fin mars, la cotation Atla de la poudre de lait écrémé stagne aux environs de ses niveaux de 2023 et 2021, loin sous les pics de 2022. Un marché somme tout morose, assez différent de celui du beurre…
A l’export, on note que si le tender algérien a été remporté par l’UE, la Nouvelle-Zélande a été très présente sur l’Asie du Sud Est et plusieurs pays, dont les stocks sont pleins, ne sont plus aux achats. C’est d’ailleurs le cas en Chine où les stocks de poudre de lait écrémé atteignaient, en février, des niveaux jamais vus…
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Les cotations européennes de beurre, de poudre de lait écrémé et des fromages d’exportation (edam, gouda…) sont relativement stables depuis novembre 2023. Entre faiblesse de la collecte dans les pays exportateurs et mollesse de la demande chinoise, les marchés laitiers ont trouvé un équilibre qui reste fragile…
Après s’être redressées en début d’automne, les cotations françaises de beurre se sont légèrement effritées début janvier, et celles de poudre de lait écrémé baissent légèrement depuis novembre. Les prix des fromages d’exportation (Edam, gouda…) européens se sont stabilisés après avoir progressé en 2023…
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• -0,2 % : c’est la baisse attendue de la collecte laitière en 2023 dans l’UE • +10 % : c’est la hausse attendue des exportations de poudre de lait écrémé • Quelles perspectives pour les prix des produits laitiers au second semestre ?
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La Chine n'a toujours pas donné son signal d'un retour important aux importations. Pour l'instant, le marché absorbe plutôt bien la hausse de collecte mondiale, modérée…
La Chine va-t-elle de nouveau importer de façon importante des poudres, comme elle l’a fait en 2021 ? Les cinq grands exportateurs mondiaux que sont l’Union européenne, les Etats-Unis, la Nouvelle-Zélande, l’Australie et l’Argentine se posent tous cette question depuis le début de l’année…
Pour l’instant, le géant asiatique semble sous une moindre dépendance aux importations. D’un côté, en plus des stocks de poudres dont il disposerait encore, sa production laitière a fortement augmenté ces trois dernières années (+6,8% à 39,32 milliards de kilos en 2022 selon Idele)…
De l’autre, son économie tarde à retrouver le dynamisme d’avant-Covid. La réponse conditionne les cotations des poudres de ces prochains mois. Depuis la fin janvier, celles de la poudre 0% sont relativement stables (entre 2300 € et 2600 €/t)…
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La hausse de la production de lait et la faiblesse de la demande internationale pèsent sur le marché européen. Les exportations communautaires de poudre de lait maigre sont en recul de 12 % sur un an…
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Entre une demande chinoise perturbée et le rebond de la collecte laitière des principaux exportateurs, le marché des produits laitiers devrait rester sur une tendance négative ces prochaines semaines…
« Difficile d’attendre une amélioration des prix des produits laitiers à court terme », estimait Nate Donnay, Directeur Dairy Market Insights à StoneX lors d’un webinaire la semaine dernière. Plusieurs signaux de marché vont en effet dans le sens d’une poursuite d’une ambiance commerciale maussade…
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La baisse des cotations de la poudre et du beurre est liée à une moindre demande accentuée par l’attentisme des acheteurs…
Les prix des produits industriels ont considérablement baissé cet automne. Depuis le printemps, la poudre 0 % a perdu environ 1000 €/t et le beurre cube 1800 €/t…
Le prix du lait très élevé en Europe du Nord a motivé les éleveurs à produire plus, c’est particulièrement sensible en Allemagne, aux Pays-Bas, en Pologne…
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Les prix de la poudre de lait écrémé et du beurre diminuent. La poudre grasse reste stable… La cotation française de la poudre de lait écrémé, à 2 980 €/t début novembre, fait un plongeon depuis mi-octobre (3 630 €/t), et atteint 2 920 €/t le 13 novembre sur le marché français, un niveau qu’elle n’avait pas connu depuis un an. Le prix du beurre baisse aussi mais la cotation française reste élevée, à 6 290 €/t. La poudre de lactosérum s’est stabilisée à 910 €/t, après une diminution depuis avril. Le prix de la poudre grasse est stable et reste élevé (5 090 €/t)… Les prix évoluent différemment selon les fromages. L’emmental allemand se maintient à un niveau très élevé. L'edam et le gouda allemands reculent légèrement. Le prix de la mozzarella sur le marché à terme EEX baisse depuis août dernier…
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Entre coûts de production élevés et aléas météo, la production de lait est à la baisse sur les premiers mois de 2022 dans les principaux pays exportateurs, malgré des prix historiques. Les prix de la poudre de lait écrémé sont pourtant orientés à la baisse, un paradoxe…
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Produits industriels : Le ralentissement des achats chinois, perturbés par le Covid, a stoppé la hausse des prix, notamment sur les protéines. Le beurre européen est davantage à l’abri...
Après des mois de hausses continues sur les cotations, observons-nous les premiers fléchissements à la baisse ? Autrement dit, avons-nous atteint le point haut à ne pas dépasser pour le prix des ingrédients ?
La première alerte a été un décrochage des enchères de Fonterra mi-avril. Idem pour les prix FOB Océanie...
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Des centaines de milliers de sacs de lait en poudre s'entassent dans un entrepôt de l'est de la Belgique. Ces stocks massifs, constitués par l'Union européenne au plus fort de la crise du lait, inquiètent désormais les producteurs. Les producteurs de l'EMB et de la FNPL demandent à Bruxelles de s'en débarrasser rapidement.
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Pour l’heure, le commerce européen reste calme, certains opérateurs, notamment chez nos voisins, étant encore en congé. À 1385 euros la tonne selon Atla, le marché de la poudre de lait écrémé commence 2018 sur des tarifs historiquement bas. Les disponibilités ne sont pas vraiment supérieures à celles d’il y a un an, mais les prix sont 36 % inférieurs ! Cette morosité persistante semble plus liée à un ressenti qu’aux fondamentaux du marché. Selon les opérateurs, les cours ne peuvent que s’orienter à la hausse cette année, mais quand ?
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Dans un communiqué daté du 14 juillet 2017, le syndicat European Milk Board (EMB) dénonce la vente de poudre maigre de l’intervention européenne à un prix « en deçà de sa valeur ».
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Dans un marché mondial régulier sans être hyperactif, plusieurs sources indiquent une reprise des achats des pays du Sud-Est asiatique, tandis que la demande chinoise reste atone…
On note surtout un retour de la demande de l’Asie du Sud-Est, surtout les Philippines et la Thaïlande, particulièrement en lactosérum et en poudre grasse. A noter un retour aux achats de l’Inde. A l’inverse, la zone Chine + Hong Kong restait en retrait, avec des achats encore en baisse annuelle de près de 17% en décembre pour la poudre grasse…
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Produits laitiers : Les prix mondiaux tombent à leur plus bas niveau depuis 5 ans, en raison de la faiblesse de la demande chinoise et de l'augmentation des volumes mis aux enchères…
L'indice des prix GDT a chuté de 7,4 %, avec un prix de vente moyen de 2 875 dollars par tonne métrique lors de la deuxième vente aux enchères Global Dairy Trade de ce mois. Il est maintenant à son niveau le plus bas depuis novembre 2018.
Les prix du lait entier ont également chuté de 10,9 %, avec un prix de vente moyen de 2 548 dollars la tonne métrique, soit leur plus bas niveau depuis 2016…
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Les disponibilités sont présentes mais la demande communautaire est en retrait. Même ambiance à l’export. Ce manque de dynamisme n’est plus imputable au niveau élevé des cours, puisque les prix mondiaux tournaient autour des 3 000 $/t (2 700 €) en avril, contre 4 500 $/t un an plus tôt, avec des offres spot encore inférieures…
Les achats limités du sud-est asiatique et de l’Afrique sub-saharienne s’expliquent par des mauvaises performances de l’économie locale, poussant les consommateurs à acheter moins et les industriels à incorporer moins de produits laitiers dans leurs formulations…
La demande est aussi mitigée sur le marché des poudres maigres réengraissées (FFMP), avec une baisse de 10% des échanges entre avril 2022 et avril 2023. Ce marché devrait rester chahuté, les consommateurs étant les populations plus pauvres, les plus malmenées en ce moment…
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Les prix des produits laitiers industriels restent sous pression sur le marché européen, la France résiste davantage en beurre…
Alors que la collecte laitière française approche de son pic, une chose est sûre, les volumes produits seront inférieurs à ceux, déjà bas, de l’an dernier et bien au-dessous de leur moyenne quinquennale. Selon les données FranceAgriMer, en semaine 11, la collecte française accusait un retard de 3,2 % sur la même période de 2022, et en semaine 10 de 2,5 %....
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Les prix du beurre sont passé sous un seuil fin janvier, la poudre suit la même tendance, le marché du fromage est très surveillé…
A 4850 €/tonne, la cotations spot Atla du beurre est passée en semaine 4 sous la barre des 5000 € pour la première fois depuis septembre 2021. Même tendance au niveau européen avec une moyenne à 4 960 €/tonne, en baisse de 9,3 % sur un mois. La poudre de lait écrémé subit le même mouvement, à 2 460 €/tonne fin janvier...
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Une collecte mondiale de lait plus dynamique et une demande assez incertaine, voilà de quoi accentuer la baisse des prix des produits laitiers…
Le marché des produits laitiers aborde 2023 comme il a fini 2022, sur une note baissière. Les dernières cotations Atla sont toutes orientées à la baisse. La poudre de lait écrémé rejoint ses niveaux d’octobre 2021, s’éloignant de la barre symbolique des 3 000 € sous laquelle elle est passée début décembre…
La cotation du beurre joue au yo-yo depuis plusieurs semaines. Les affaires sont particulièrement limitées, avec une offre mesurée et une demande prudente qui attend la baisse, entraînant une forte volatilité…
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La reprise de la production laitière, en France mais aussi dans les pays d’Europe du Nord, se confirme. Dans le même temps, les cours de la poudre maigre ont subi un fort correctif cet automne dans l’UE dans le sillage du marché mondial. Face à une demande internationale toujours faible, l’offre semble plus importante notamment dans l’UE-27… Dans le même temps, la production laitière en Nouvelle-Zélande, comme en Australie, reste dégradée en plein pic laitier saisonnier. Pourtant, ces éléments ne suffisent pas à redresser les cours sur les marchés. Les exportateurs océaniens disposent de stocks conséquents accumulés au 1er semestre…
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Une baisse de grande ampleur et très rapide, la principale raison est un rééquilibrage entre l’offre et la demande…
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Les prix des produits laitiers ont atteint des records au premier semestre. Peu de changements sont attendus au second, dans un contexte de disponibilités très limitées…
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La décision est historique : la Commission européenne a pris la décision de ramener à zéro le seuil d’intervention à l’achat de poudre de lait en 2018.
Cela signifie qu’elle n’en achètera pas du tout, puisque ce seuil est le volume maximum qu’elle est tenue d’acheter dès que le prix de la poudre passe en dessous du prix d’intervention - il était de 109 000 tonnes en principe à compter du 1er mars.
Si cette mesure exceptionnelle est prise à titre temporaire, elle s’explique par les quelques 380000 tonnes acquises depuis trois ans et accumulées faute de débouchés.
Depuis quatre mois, le prix de la poudre maigre n’a pas dépassé 1 500 €/tonne.
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Le syndicat dénonce l’inertie de la Commission européenne qui « dans ses analyses, […] explique que les stocks [d’intervention de poudre de lait] pèseront sur le marché pendant encore trois ans car elle n’a aucune visibilité sur la façon d’y mettre fin ». « Une épée de Damoclès »
Car pour la FNPL, ces stocks de poudre de lait font planer un doute sur le niveau du prix du lait en 2018. « Les producteurs français n’ont pas trois ans devant eux pour que leur rémunération soit enfin décente après deux années de crise […] !
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Le Père Noël n'amènera probablement pas ce que souhaitent les producteurs laitiers. La plupart des analystes s'attendent à une baisse des prévisions de prix de Fonterra avant Noël.
En vertu de la Loi sur la restructuration de l'industrie laitière, Fonterra est légalement tenue de fournir une mise à jour sur les paiements prévus en décembre.
Federated Farmers, cependant, reste optimiste que le géant laitier maintiendra son prix actuel de 6,75 $/kgMS fixé en juillet. Westland Milk Products s'est engagée à maintenir sa fourchette initiale de 6,40 $ à 6,80 $ pour cette saison.
Mais les analystes disent que les derniers résultats mondiaux des enchères de produits laitiers et d'autres signaux du marché indiquent un chiffre révisé autour de 6,50 $. L'économiste rural de l'ASB, Nathan Penny, a réduit ses prévisions à 6,50 $. L'ANZ a abaissé ses prévisions de prix du lait à une fourchette de 6,25 $ à 6,50 $.
Pendant ce temps, la Commission européenne a commencé à vendre du lait écrémé en poudre en dessous de son prix d'achat, dans le but de liquider son stock avant que le produit commence à se détériorer. Le prix d'achat à l'intervention est fixé à 1693€/tonne, et signe d'un changement d'attitude de la Commission, une vente récente de 44 tonnes a eu lieu à environ 1450€/t…
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