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Cedric
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Bilan 2023 mitigé pour Biolait qui annonce un prix de 482 € aux 1.000 l, certes en hausse de 6 % par rapport à 2022, mais jugé insuffisant, notamment face à l’inflation. La coopérative vise toutefois un plan ambitieux pour 2050, réalisable uniquement si « une politique d’amélioration des conditions d’accompagnement de la filière laitière bio, de l’amont à l’aval » est mise en place…
La coopérative Biolait collecte 270 millions de litres de lait auprès de plus de 1.200 fermes implantées dans 74 départements. Soit, indique-t-elle, un quart du lait bio français. Confiants que leur modèle est la réponse à l’urgence climatique et permet viabilité et pérennité de leur activité, les éleveurs de Biolait restent convaincus de leurs pratiques. Ils veulent désormais passer d’« acteur de la filière laitière » à « acteur engagé de la transition alimentaire, environnementale et sociétale »…
Des ambitions 2050 atteignables… sous conditions extérieures :
• Multiplier par 2 le nombre de fermes Biolait d’ici 2050
• Accroître la visibilité de « Il lait là »
• Être un modèle d’agriculture reconnu et rémunéré
Seul bémol pour la concrétisation de cette vision 2050 : « la mise en place d’une politique d’amélioration des conditions d’accompagnement de la filière laitière bio, de l’amont à l’aval. Un plan de mesures que chacun des producteurs Biolait va défendre auprès des autorités compétentes, tant au niveau local et national qu’européen »…
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L'Irish Organic Milk Suppliers Co-op (IOMS) a été reconnue comme organisation de producteurs par le ministère de l'Agriculture…
Le lait bio représente actuellement environ 1% du pool laitier d'Irlande. Il existe actuellement environ 70 à 80 fermes laitières fonctionnant en agriculture biologique. L’IOMS affirme représenter la majorité des producteurs laitiers bios d’Irlande…
L’inflation des coûts et la stagnation des prix du lait ont entraîné une frustration croissante parmi les producteurs. « Il s'agit d'une étape importante vers la résolution du déséquilibre qui existe entre le producteur et le transformateur dans le secteur des produits laitiers biologiques. »…
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L’arrêt de nouvelles conversions bio dès 2020 ne suffit pas. Lactalis veut trouver d’autres leviers pour réduire le taux de déclassement en lait conventionnel. Une réflexion est engagée avec les OP sur un nouveau type de contrat distinguant lait biologique et lait déclassé…
Face à la crise que connaît la filière lait bio, « nous accompagnerons les éleveurs qui décident de retourner vers le conventionnel, indique Lactalis, deuxième collecteur de lait bio français avec 250 millions de litres en 2021. Les pénalités prévues par les contrats ne seront pas appliquées, et les aides précédemment accordées n’auront pas à être remboursées. »…
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OP Seine et Loire : « Sans partage équitable de la valeur, disparition des producteurs ! »
Alors que l’Agriculture Biologique répond pleinement aux enjeux alimentaires, sociaux et environnementaux (alimentation saine et durable, emplois nombreux dans les territoires, ressources naturelles préservées…), la reconnaissance de notre engagement quotidien n’est plus au rendez-vous…
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Cedric
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Les producteurs conventionnels ne sont pas les seuls à déplorer la course aux prix bas que se livrent les distributeurs. Les producteurs de lait bio estiment aussi en faire les frais....
« Ne pas casser une filière en devenir »
L'organisation de producteurs Lait bio Seine et Loire met les pieds dans le plat : le lait bio a un coût, une vraie valeur sociale économique et environnementale. Il ne peut être bradé et devenir une nouvelle victime des promotions commerciales et de la guerre des prix bas que se livrent les distributeurs ».
« le lait bio a tendance à devenir un véritable produit d'appel pour les distributeurs qui souhaitent attirer des nouveaux consommateurs bio dans leurs magasins ».
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Les éleveurs bio de l’Organisation de producteurs (OP) de Seine et Loire se félicitent de l’avancée des discussions avec Lactalis. Cette OP échange également avec les cinq autres laiteries auxquelles ses producteurs livrent : Danone, Montsûrs, Saint-Père, Sill, Triballat.
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Pour les deux trois premiers mois de l'année 2016, le prix de base du lait bio de base augmentera de 5 à 10 euros les mille litres en moyenne pour les producteurs représentés par l'OP bio Seine ...
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"En 2016, nous allons manquer de lait bio en France et cette tendance se confirme dans les autres pays européens. D'où la nécessité d'encourager les conversions », indique Éric Guihéry, producteur laitier bio référent à la Fnab. La régionalisation des aides à la conversion (comme celles du maintien) et les différentes stratégies des collecteurs peuvent conduire à des inégalités de traitement dans ce domaine. ..
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Créé en octobre 1994 par six adhérents, Biolait, aujourd’hui l’un des leaders de la collecte de lait bio en France, rassemble désormais 1 200 fermes sur 74 départements, soit 2 100 producteurs. Le collecteur pionnier du lait bio, Biolait, vit « des années difficiles ». En cause : « un contexte d’arrêt de la croissance, voire de baisse de la consommation ». Biolait veut passer à l’action. L’organisation de producteurs, qui fête ses 30 ans, appelle à un soutien « de la puissance publique ».
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Le prix du lait bio de base pour l'année 2023 sera au minimum de 550 euros les 1000 litres pour les éleveurs engagés avec Les Prés Rient Bio, filiale de Danone en filière bio équitable… « Il aura mis du temps à naître, mais nous sommes satisfaits de cet accord car Les Prés Rient Bio se sont engagés sur une formule de prix intégrant à 100 % un indicateur de prix de revient, calculé sur la moyenne d’un échantillon de producteurs Danone de l’OP, avec une rémunération des exploitants à deux Smic. Le prix minimum garanti par le contrat est ce prix de revient, auquel s’ajoute 10% pour pallier les aléas climatiques et économiques. Au final, cela fera un prix de base moyen de 550 euros les mille litres minimum sur 2023. »… Cet accord concerne 53 exploitations normandes pour 18 millions de litres de lait. Les Prés Rient Bio (LPRB) souligne que ce « contrat équitable est inédit dans la filière laitière bio française » et qu'il assure la position de LPRB « en tête du classement du prix du lait bio ». Il permet en effet de couvrir l'intégralité du prix de revient moyen des fermes laitières…
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Quelques laiteries du Grand Ouest, liées à l’OP transversale Lait bio Seine et Loire, ont annoncé une hausse du prix pour le quatrième trimestre, qui permet à minima d’atteindre un prix de base 2022 au niveau de l’année 2021, mettant fin à la légère érosion du prix du lait bio de ces derniers mois…
L’OP Lait bio Seine et Loire bataille pour obtenir une hausse du prix du lait bio pour les 480 fermes bio du Nord-Ouest qu’elle représente (engagées avec six laiteries : Lactalis, Danone, Sill, Olga, Montsûrs et Saint Père).
« Aujourd’hui, il manque 70 €/1 000 l au prix du lait bio : 30 €/1 000 l pour faire face à la sécheresse et de 40 € pour faire face à l’inflation. Et nous continuons de défendre la prise en compte de l’indicateur Prix de revient moyen du Cniel (529 €/1 000 l pour des clôtures au 31 mars 2021) », précise l’OP lait bio Seine et Loire…
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Un tiers du lait bio bu en France vient des fermes adhérentes à Biolait. Une « utopie » née en Loire-Atlantique. "On a créé une utopie qui s'est réalisée", lance Joachim Perrocheau, l'un des cinq associés du GAEC des Quatre saisons à Héric. "Au départ, en 1994, il y avait sept fermes en Loire-Atlantique et trois dans le Morbihan", note Jacques Chiron, l'un des fondateurs de Biolait, éleveur à Vay. Sans débouché pour leur lait bio, ils mettent en place eux-mêmes une collecte par camions via les laiteries qui acceptent le bio. À présent, Biolait, dont le siège est à Saffré, « est le premier collecteur de lait biologique de vache en France. » L'article complet à lire ce dimanche 12 novembre dans Presse Océan avec une double page sur l'agriculture biologique
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Le principe d’un contrat cadre est acté entre Lactalis et l’OP Lait bio Seine et Loire. Deuxième avancée, la vision partagée entre l’OP et Lactalis, de "la nécessité d’une gestion partenariale des volumes, pour que l’offre soit cohérente avec la demande ".
Troisième avancée, le prix du lait mentionné sur les factures de paie est, depuis octobre 2016, un prix bio déconnecté du prix du lait conventionnel.
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Hier, LBF coorganisait avec la Fnab (Fédération nationale d’agriculture biologique), un débat ouvert au public sur le thème « La production laitière de demain : biologique ? ». Parmi la quarantaine de participants, se trouvaient une grande majorité d’éleveurs, pour la plupar
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La filière à peine sortie des quotas et le lait conventionnel dans la panade, les représentants de l’OP transversale APL Bio Seine et Loire rêvent de réguler, d’une manière ou d’une autre, la collecte de lait bio pour protéger leur créneau porteur. Partout, dans les Gab, les Chambres d’agriculture, les services de Contrôle laitier, les centres comptables… les téléphones sonnent. Des producteurs se renseignent sur la possibilité de passer en bio. Le contexte extrêmement dégradé en lait conventionnel a déjà pour conséquence l’augmentation sensible du nombre de conversions et certains responsables de la filière labellisée s’inquiètent de cet intérêt grandissant redoutant une crise de croissance. « Entre mai 2014 et l’automne 2015, les élevages entrés en conversion représentent 60 millions de litres de lait qui vont arriver progressivement sur le marché dans les mois à venir », rapporte Yvan Sachet, animateur de l’APL Bio Seine et Loire. La tendance s’accentue d’ailleurs : « Pour 2016, on parle de 100 millions de litres entrant en conversion. Autant de volumes qui seront, une fois certifiés, collectés en 2018. » …
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