Lait de Normandie... et d'ailleurs

Moins de vaches ont été recensées aux contrôles. L’effectif recule de 2 % par rapport à l’année précédente. À elles seules, la prim’holstein, la montbéliarde et la normande représentent 92,3 % du total des lactations qualifiées. Le pourcentage d’élevages avec plus de 60 lactations qualifiées poursuit sa progression. La production brute par vache gagne 37 kg, pour atteindre 8 518 kg en 337 jours de lactation. Quant aux taux, ils reculent légèrement, de 0,1 g/kg. Le taux butyreux (TB) affiche 39,2 g/kg, et le taux protéique (TP) 32,2 g/kg. La situation cellulaire s’améliore. « La proportion de lactations qui présentent au moins deux contrôles avec une numération cellulaire supérieure à 800 000 cellules baisse significativement (-1 %) et retrouve un niveau jamais atteint depuis 2007, indique le communiqué. Dans le même temps, l’amélioration est encore plus marquée pour la part des lactations avec l’ensemble des contrôles inférieurs à 300 000 cellules (+2,4 % par rapport à 2014). Là encore, il faut remonter à 2005 pour trouver un résultat aussi favorable. »