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Dans une démarche stratégique, le géant laitier français Lactalis a finalisé l'achat de Sequeira & Sequeira, propriétaire de la célèbre marque de fromage Paiva…
Sequeira & Sequeira, initialement établie comme grossiste, a fait son entrée dans la production alimentaire en 1992 avec l'acquisition de Lacticínios do Paiva, un éminent fromager dont les origines remontent à 1933…
Avec cette récente acquisition, Lactalis, réputée pour ses marques President, Galbani et Parmalat, prend le contrôle des opérations de production laitière de Lacticínios do Paiva. De plus, elle hérite des opérations de vente en gros de Sequeira & Sequeira au Portugal, au Mozambique et au Cap-Vert…
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L'antitrust brésilien recommande aux autorités de la concurrence de bloquer l'acquisition de DPA, un producteur majeur de yaourts du pays, par le géant Lactalis…
Le numéro un mondial des produits laitiers, avait annoncé mi-décembre la signature d'un accord avec Nestlé et le néo-zélandais Fonterra qui avaient créé cette co-entreprise de 1.300 salariés en 2003. DPA Brasil, propriétaire des marques Chambinho, Molico et Chandelle, se décrit comme le plus grand fabricant de yaourts, de desserts laitiers et de fromages à la crème du Brésil. Elle possède deux usines dans ce pays d'Amérique du Sud….
L'opération devait se faire pour 125 millions d'euros. Lactalis est déjà très présent au Brésil, devenu son cinquième marché. Le leader mondial serait passé à 10.000 salariés dans ce pays avec DPA. Le groupe français Lactalis, premier producteur mondial de produits laitiers, possède déjà 13 marques au Brésil, dont Parmalat, Batavo, Itambe et Pocos de Caldas…
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Déterminé à racheter le fromager Bel depuis de longues années, Emmanuel Besnier, le patron du géant Lactalis (22 milliards d’euros de CA), tente de profiter des dissensions entre les héritiers pour rafler la mise. Alors que les difficultés de Bel pourraient accélérer les choses, le groupe va-t-il s’allier avec Danone pour résister à Lactalis et devenir le leader du snacking sain ?
Fin 2020, le géant mayennais Lactalis (Lactel, Président, Le Petit…) fait le forcing pour s’emparer de Bel (Babybel, Kiri, La Vache qui rit). Le propriétaire de la Vache qui rit résiste à l’assaut et rejette l’offre de son ennemi juré. Mieux : en janvier 2022, il chasse Lactalis, qui détenait 24% des actions, de son capital en lui cédant en échange l’enseigne néerlandaise Leerdammer…
Si cet épisode a permis aux familles héritières de l’empire Bel de contrôler 100 % de l’entreprise à travers leur holding Unibel, il a une nouvelle fois confirmé les intentions d’Emmanuel Besnier, le PDG de Lactalis, dont les marques sont en concurrence avec Bel sur les étals des supermarchés…
Mais cet énième échec — le géant du lait a tenté de s’offrir Bel une dizaine de fois — n’a, semble-t-il, pas amenuisé l’appétit du milliardaire. Besnier a proposé une nouvelle offre juste avant que Bel ne sorte de la Bourse en janvier 2022. Une offre qui était, selon certaines sources, plus élevée que le montant payé pour retirer Bel de la cote. Un an plus tard, Emmanuel Besnier n’aurait toujours pas renoncé à mettre la main son concurrent…
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Le groupe suisse Emmi a annoncé vendre sa participation de 25 % du spécialiste italien du fromage Ambrosi SpA au groupe agroalimentaire français Lactalis. Le reste du capital (75 %) sera conservé par le groupe familial Ambrosi…
Ambrosi (400 millions d’euros de chiffre d’affaires) est spécialisée dans la production et la vente de Grana Padano et de Parmesan, deux AOP dans lesquelles le groupe Lactalis était peu investi. Cette acquisition, permettra donc au leader mondial du fromage de poursuivre sa stratégie d’investissement sur les produits d’appellation et de développer ces marques sur les marchés européens et nord-américain. Le montant de l’acquisition n’a pas été communiqué et l’accord doit être validé par les autorités compétentes…
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La société affirme que l'acquisition contribuera à élargir son portefeuille de yaourts et sa position sur le marché laitier australien. L'acquisition comprend les marques de Jalna, ses installations de production à Melbourne et à Victoria, ainsi qu'une ferme laitière biodynamique, avec un fort accent sur le grec, yaourts bio et 100% naturels dans le nord de Victoria…
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Des rumeurs persistantes sur un éventuel rachat d’activités de Danone par Lactalis font grimper le cours de Bourse du géant français. Pour autant, le directeur général de Danone a coupé court aux spéculations...
Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas entendu des rumeurs de rachat sur Danone. Le groupe français fait l’objet régulier de rumeurs d’OPA, majoritairement de groupes étrangers. Depuis peu, ce sont des spéculations autour de Lactalis et de sa volonté d’acquérir des activités du groupe Danone qui agitent la sphère financière, selon une information révélée par la Lettre A. « Conseil de Lactalis, Perella Weinberg Partners envisage des scénarios de rachat partiel ou total de Danone », assure le journal…
Des rumeurs démenties
A l’occasion de son discours devant les actionnaires réunis en assemblée générale le 26 avril, Antoine de Saint-Affrique, directeur général de Danone depuis septembre, a coupé court à ses spéculations, sans citer clairement le groupe Lactalis…
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Lactalis cherche à reprendre les activités de la coopérative Bayerische Milchindustrie (BMI) dans le lait, le yaourt, la crème et le fromage blanc, dans le Land allemand de Bavière et trois marques laitières locales...
Lactalis a annoncé avoir signé un accord pour acheter les "activités fraîches" de BMI et son usine laitière dans la ville de Würzburg. L'accord comprend le lait frais, le yaourt, le fromage blanc, la crème et l'ayran - une boisson à base de yaourt - de BMI ainsi que les marques régionales allemandes Frankenland, Thüringer Land et Haydi.
Les actifs génèrent un chiffre d'affaires annuel d'environ 200 millions d'euros (219,6 millions de dollars).
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Un tribunal brésilien a suspendu la vente du producteur brésilien de produits laitiers Itambé Alimentos au français Lactalis, apprend-on lundi de source ayant connaissance du dossier.
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La Commission européenne approuve ce 1er septembre 2017 « l’acquisition indirecte de la société Omira, basée en Allemagne, par le groupe Lactalis ».
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Le montant d’achat n’a pas encore été révélé mais ce projet sera discuté le 22 juin par les partis prenants du groupe. Ce rachat permettrait de sécuriser les producteurs de lait et d’assurer le développement des deux sites, à Ravensburg pour la poudre de lait et les ingrédients et Neuburg pour les produits laitiers dans le sud de l’Allemagne.
A l’heure actuelle, Omira regroupe 2 600 producteurs de lait et génère 835 00 kg de lait de manière annuelle sur ces deux sites. Les produits laitiers sont à destination du marché international, du secteur de la confiserie et du Baby food, compétence clés du groupe. Une gamme de produits sans lactose est également commercialisée sous la marque MinusL.
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L'entreprise italienne de produits laitiers Parmalat, par l'intermédiaire de sa filiale LAG Holding Inc., a acquis deux sociétés opérant dans le secteur laitier aux États-Unis.
Avec cette transaction, le Groupe Parmalat a augmenté son portefeuille actuel de fromages gastronomiques et est entré dans le marché des yaourts. L'acquisition comprenait une installation de production à Turlock, en Californie, et deux entreprises avec environ 140 employés combinés. Le portefeuille de la marque comprend les marques «Karoun», «Gopi» et «Blue Isle».
Dans un communiqué, Parmalat a signalé qu'en 2016, les deux sociétés avaient un chiffre d'affaires net d'environ 55 millions de dollars et la valeur de l'entreprise des entreprises acquises était d'environ 130 millions de dollars.
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L’OPA du géant laitier français sur le groupe italien, annoncée le 27 décembre, a débuté ce jeudi à un prix jugé insuffisant par certains actionnaires minoritaires.
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L'autorité des marchés financiers italienne demande des éclaircissements au géant du lait français.
Plus de transparence. C'est ce que réclament les actionnaires minoritaires de Parmalat au groupe Lactalis et ce qu'exige maintenant la Consob, l'autorité des marchés financiers italienne. Elle a suspendu l'OPA que le groupe français, qui contrôle l'entreprise italienne depuis 2011, a lancée pour s'emparer des 12,26 % du capital qu'il ne possède pas encore.
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L'acquisition permettra à Lactalis Canada d'entrer sur le marché nord-américain des desserts pour le commerce de détail et la restauration. La gamme de produits du fabriquant québécois comprend des mousses et des gâteaux au fromage de première qualité…
La transaction comprendra l'usine de production de Marie Morin et l'ajout de 52 employés qui se joindront aux plus de 4 000 employés et 30 sites d'exploitation de Lactalis Canada, dont 19 usines de fabrication au Québec, en Ontario, Manitoba, Alberta et Colombie-Britannique…
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La Commission européenne a approuvé, en vertu du règlement européen sur les concentrations, l'acquisition d'Ambrosi, basée en Italie, par Lactalis, basée en France...
Ambrosi produit et commercialise des fromages de type italien sous marques de fabricants et de distributeurs, en particulier des fromages à pâte dure tels que le Parmigiano Reggiano AOP et le Grana Padano AOP…
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Le géant alimentaire Nestlé et son partenaire néo-zélandais Fonterra vendent leurs parts dans la coentreprise brésilienne Dairy Partners Americas (DPA) au groupe français Lactalis…
Selon le communiqué, Lactalis paie cette acquisition 700 millions de réals, soit environ 125 millions de francs suisses. Sous réserve du feu vert des autorités concernées, la transaction sera finalisée mi-2023…
Nestlé et Fonterra étudiaient les "options stratégiques" pour la coentreprise depuis 2019. La vente a été retardée à cause de la pandémie. Fonterra détient 51% et Nestlé 49% de la coentreprise brésilienne…
Celle-ci exploite deux fabriques et emploie quelque 1300 collaborateurs. Elle a été fondée en 2003 avec pour objectif d'approvisionner l'ensemble de l'Amérique latine en produits laitiers. Depuis 2014, elle se concentre sur le Brésil et la commercialisation de produits laitiers réfrigérés…
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Le PDG de Lactalis, Emmanuel Besnier, est d'autant plus obstiné à racheter Bel que le patron du groupe, Antoine Fiévet, l'a chassé l'an dernier de son capital en faisant mine de vendre sa pépite Leerdammer à un concurrent canadien. La guerre sans merci entre Laval et Suresnes est relancée par les difficultés de Bel, contraint de se chercher un nouvel allié…
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Un indice supplémentaire de l'appétit croissant d'Emmanuel Besnier : Le patron de Lactalis a tenté fin 2020 de racheter l'intégralité du fromager Bel, ce groupe familial aux marques iconiques (Babybel, La Vache qui rit, Boursin, Pom'Potes...), qui a refusé l'offre et fait sortir Lactalis de son capital, car le groupe de Laval s'y était déjà invité par surprise trente ans plus tôt…
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Lactalis lorgnerait la multinationale française, même si Danone a indiqué pour le moment qu'elle n'avait aucun plan de cession de ses trois catégories d'actifs. La banque Perella Weinberg Partners, conseil de Lactalis, aurait envisagé des rachats partiels ou un rachat total de Danone…
Lactalis, groupe familial et non coté en Bourse, a toujours eu pour stratégie de s'appuyer sur des opérations de croissance externe. Une multiplication des acquisitions qui lui ont permis d'atteindre un chiffre d'affaires de 21,1 milliards en 2020. A plus de 50 milliards d'euros (38,4 milliards de valeur en bourse avant prime de contrôle, et 10,5 milliards de dette), la pilule Danone serait grosse à avaler mais néanmoins pas impossible à financer pour un leader mondial des produits laitiers qui pourraient trouver des partenaires susceptibles de reprendre certains actifs comme l'eau minérale…
Le double éteignoir du démenti de Danone sur une cession d'une de ses trois branches et du scepticisme des analystes financiers sur la capacité de l'acheteur supposé par la rumeur, Lactalis, à défier la fable du boeuf et de la grenouille n'a pas joué les rabat-joie (+5,8 % pour le titre mercredi)…
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L'agence antitrust brésilienne a approuvé lundi la vente de la société laitière Itambé Alimentos SA à la société française Groupe Lactalis SA, selon l'édition de mardi du journal officiel du gouvernement fédéral. La décision est susceptible d'appel pendant 15 jours.
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Le Groupe Lactalis va acquérir le producteur brésilien de produits laitiers Itambé Alimentos dans le courant du premier semestre 2018, a annoncé mardi la coopérative qui contrôle Itambé.
CCPR, coopérative de producteurs laitiers basée dans l'Etat brésilien de Minas Gerais, n'a pas précisé le montant de la transaction dans son communiqué.
Marcelo Candiotto, son directeur général, y indique que les producteurs s'attendent à signer des contrats de vente de long terme avec le géant français des produits laitiers.
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Le 22 juin, l’assemblée générale de la coopérative Omira a approuvé à 97,8 % le protocole d’accord qui doit faire entrer leur entreprise dans le giron de Lactalis, une fois obtenue l’autorisation de l’Office allemand des cartels.
Le géant français, qui continue de tisser sa toile mondiale, a emporté le vote avec une recette qui a fait ses preuves, notamment en 1994 avec Unicoolait, en Moselle. Elle se décline en trois points : confier la collecte à la coopérative de base qui survit dans l’opération, racheter les parts de la société qui vient d’hériter de tous les actifs de la coop en difficulté, et garantir un prix du lait sur dix ans.
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La coopérative laitière argentine Sancor, 2è groupe laitier national, confirme à @agraalim être en pourparlers avec d'éventuels repreneurs, parmi lesquels Lactalis & Coca-Cola
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Le groupe laitier français Lactalis a annoncé jeudi avoir relevé de 7,1%, à trois euros par action, son offre publique d'achat (OPA) sur les actions de Parmalat qu'il ne détient pas encore, tenant ainsi compte des récriminations des investisseurs qui avaient jugé le prix initial trop bas.
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Le gendarme boursier italien, la Consob, a donné lundi soir son feu vert à l'offre publique d'achat (OPA) du français Lactalis sur la part qu'il ne détient pas encore dans Parmalat. La période d'adhésion à l'OPA débutera le 9 février 2017 et s'achèvera le 10 mars 2017", indique un communiqué du gendarme boursier. Le géant laitier français, qui contrôle déjà 87,74% du capital de Parmalat, avait précisé qu'il comptait retirer sa filiale italienne de la Bourse de Milan quand il en détiendrait 90%.
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