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PepsiCo a ajouté une nouvelle ligne pour fabriquer du yogourt pour enfants à son usine de production laitière à Nizhny Novgorod en Russie. L'usine, qui fabrique également des préparations pour nourrissons, produira maintenant du yogourt sous les marques Agusha et Miracle Babies. La nouvelle ligne porte la capacité totale de l'usine à plus de 400 tonnes de produits finis par jour, a révélé PepsiCo. 
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La société Mazoon Dairy Company (MDC) basée à Oman va mettre en place un projet laitier d'un montant de 306,4 millions de dollars, dans le cadre de l'initiative nationale de sécurité alimentaire du pays, à Al Sunaynah à Buraimi. Le projet fournira 2 300 emplois au cours des 10 prochaines années. La production de lait sera d’environ 202 millions de litres d'ici 2026 et 985 millions de litres d'ici 2040, afin de réduire le volume des importations de 69% en 2014 à 13% en 2026, soit au moins 87% d'autosuffisance du sultanat.
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Après avoir connu une surproduction et des scandales sanitaires dans sa filière laitière, la Chine repasse à l'achat sur les marchés internationaux pour répondre à sa demande intérieure. L'ex-Empire du milieu cherche des produits de qualités, comme par exemple ceux de la filière française.
Cedric's insight:
La filière française en profite :
Selon Agritel, depuis le début 2016 la Chine "montre un regain d'intérêt pour les produits étrangers jouissant d'une bonne réputation auprès du consommateur". En conséquence, les parts de marché de l'Hexagone en Chine ne cessent de croître pour afficher des progressions allant jusqu'à trois chiffres. Par exemple, sur la période janvier-août les exportations de lait et de crème enregistrent une hausse record de 323%, de même pour le fromage et le beurre qui ont respectivement augmenté de 115% et 46%. Les Chinois investissent localement : Les entreprises chinoises ont passé des accords ces dernières années pour investir directement dans la production en France, qui "commencent à porter leurs fruits". A l'image de Sodiaal et Synutra, qui ont inauguré ce mercredi une vaste usine de lait en poudre à Carhaix, en Centre-Bretagne. "Le problème des Chinois est qu'ils ont des difficultés à produire des produits laitiers sans reproche au niveau sanitaire. C'est pour cela que Synutra, qui a une part de marché importante en Chine, est venu implanter son usine en Bretagne pour avoir un lait garanti de bonne qualité", confirme Gérard Calbrix. "Cette tendance devrait se maintenir à long terme, car les investissements chinois s'intensifient dans la filière française", selon Agritel.
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Trois études : - La transformation laitière et ses évolutions depuis 2008 (FranceAgriMer) - Investissement et productivité du travail en élevage laitier (Idele) - La dynamique des AOP laitières
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Le secteur laitier indien est un segment à potentiel pour des investisseurs : en forte croissance (CAGR2014-2022 : +5%), le marché est également en transition (les consommateurs se tournent petit à petit vers des produits packagés, à plus longue conservation). En parallèle, les infrastructures industrielles sont très peu développées, avec 35% du lait qui est transformé et un secteur peu organisé (30%).
Ainsi, Tata Opportunites Fund serait intéressé par Dodl Dairy Ldt. Milk Mantra Dairy Pvt. Ldt aurait également levé des fonds (montant non connu, géré par Neev Fund) le mois dernier. En 2016, Parag Milk Food’s était rentré en bourse en levant environ 7,5 millions INR (106,4 millions EUR).
Cedric's insight:
Tata Group, une future entrée dans le secteur laitier ? http://export.businessfrance.fr/produits-laitiers/001B1701311A+inde-tata-group-une-future-entree-dans-le-secteur-laitier-.html?SourceSiteMap=1022
Schreiber Dynamix, 500 millions USD en 2021 http://export.businessfrance.fr/produits-laitiers/001B1701310A+inde-schreiber-dynamix-500-millions-usd-en-2021.html?SourceSiteMap=1022
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La consommation de lait en Afrique est parmi les plus basses dans le monde, mais, elle est à la hausse… comme le rendement des vaches. Des multinationales comme Arla Foods et Danone parient sur l'expansion du secteur des produits laitiers africains et elles se tournent vers le continent africain pour en stimuler la croissance. Pierre-André Térisse, vice-président exécutif de Danone pour l'Afrique, prévoit que ses revenus sur le continent augmenteront jusqu'à 10% par an jusqu'en 2020, et doubleront en Afrique de l'Ouest. Voilà plus de deux fois ses perspectives de croissance mondiale. Il a fait 1,4 milliard € de revenus en Afrique l'an dernier. Danone a investi 1 Md € en Afrique au cours des deux dernières années. Arla Foods, la coopérative laitière danoise, a également de grands espoirs pour le continent. Elle s’est fixé l’objectif de quintupler ses revenus annuels en cinq ans en Afrique subsaharienne - de 90 M € l'an dernier à € 460M en 2020. L'an dernier, Arla a créé des coentreprises au Sénégal et au Nigeria pour améliorer son réseau de distribution en Afrique de l'Ouest.
Cedric's insight:
La consommation annuelle de lait par habitant en Afrique est de 37 litres, par rapport à la moyenne mondiale de 104 litres. La population de l'Afrique subsaharienne devrait doubler d'ici 2050 et devenir beaucoup plus prospère.
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« Entre la production en Amont (élevage) et en Aval (laiteries), l’idée est d’installer un créneau de transformation du lait en poudre » a expliqué le ministre, qui ne désespère pas de voir des investisseurs nationaux, voire même étrangers dans le cadre du partenariat, prendre le créneau et participer du coup, «à la valorisation du lait national et la réduction de la note des importations ».
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Depuis 2012 4,4 milliards € ont été dépensés à travers l'Europe sur les produits de séchage des produits laitiers, selon Véronique Pilet (CNIEL). L'Europe est le leader mondial des investissements de transformation de produits laitiers au cours de ces trois dernières années. 25% ont été consacrés à des installations de traitement de lactosérum. Dans le même temps, la Nouvelle-Zélande avait investi 1,7 Md € dans les équipements de transformation des produits laitiers.
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