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Le groupe coopératif a levé un financement de 220 M€, indexé à des objectifs de développement durable, pour poursuivre son développement et prolonger son ambitieuse politique d’investissement en matière de responsabilité sociétale…
Quatre engagements forts en matière de RSE : un mécanisme de bonus/malus permettra d’ajuster le taux d’intérêt à la baisse ou à la hausse en fonction de l’atteinte ou non des objectifs sur ces indicateurs.
• Réduire le nombre d’accidents du travail de 20% entre 2019 et 2025
• Rester un acteur majeur du développement des territoires
• Favoriser le renouvellement des exploitations laitières dans la Manche • Réduire l’empreinte carbone
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Le principal partenaire, la société chinoise Biostime (H & H), a participé à hauteur de 10 millions d’euros. L’objectif affiché en octobre 2019 était de répondre à la demande chinoise mais pas seulement : le Moyen-Orient, certains pays d’Afrique, l’Amérique du Nord et latine font déjà partie des clients…
En septembre 2020, les dirigeants de la coopérative Isigny-Ste-Mère espéraient la mise en service de l’unité U3, unité de fabrication de poudre de lait infantile, en mai 2021. Mais c’était sans compter sur de mauvaises surprises. Déjà perturbé par la météo de l’hiver 2019-2020 puis par les confinements dus au Covid, le chantier avait pris trois mois de retard. Cette fois, l’échéance espérée de mise en service est le « deuxième trimestre 2023 ». « C’est dommage parce que les marchés se portent bien. Nos clients attendent. »…
Érigée à l’ouest du site principal, l’unité U3 est dimensionnée pour une capacité maximale de 28 000 tonnes par an qui doit permettre d’atteindre les 70 000 tonnes par an. L’usine U2, mise en service en 2015, avait déjà permis de monter en volumes…
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La coopérative fromagère de Laguiole se modernise et s’agrandit pour dix millions d’euros. Tour d’horizon…
Quatre lignes de production pour l’aligot : Cet aménagement permettra de disposer de trois lignes de production pour l’aligot frais et une ligne pour l’aligot surgelé avec le système de la marche en avant. L’agrandissement du site est devenu aussi nécessaire pour accompagner l’évolution de la production de briques de lait qui passera de 22 à 25 millions…
D’ici 2027, la coopérative passera de 75 à 80 producteurs sur la zone qui s’étend en Cantal et sur la Lozère. "L’intérêt pour ces jeunes qui arrivent est porté sur la démarche plus que la production", confie Yves Soulhol. Un état d’esprit, une philosophie sur le territoire qui fait sens…
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Le site Laïta de Créhen ne cesse de grandir. Une troisième ligne de production va être mise en service à la fin de l’année prochaine. Le laboratoire a obtenu l’accréditation pour le référentiel Iso 17 025, qui va lui permettre d’étendre son activité à d’autres sociétés. Depuis 2017, les effectifs ont augmenté de 50 %, accompagnant deux programmes d’investissement de 100 millions d’euros au total…
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La coopérative Terrafine a été créée le 1er janvier dernier. « Son objectif est de préserver l’entité économique tout en améliorant la transmissibilité.
Nous proposons un mécanisme utilisé dans le secteur industriel.
L’entreprise souhaitant bénéficier d’un apport de trésorerie vend à Terrafine une partie de ses actifs immobiliers (terres agricoles).
Terrafine consent en retour un bail cessible. Le financement est assuré par des investisseurs qui souscrivent des parts. »
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La banque européenne d’investissement épaule cet investissement qui se monte à 400 millions de zlotys (90,6 millions d’euros). L’usine fabriquera notamment des poudres de lait infantile.
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La coopérative laitière irlandaise Tippagral injecte plus de 4 millions d'euros dans son site de transformation de fromages.
A une extension de 1.200 m2 le portant à 6.000 m2 s'ajoute un investissement en matériel de production augmentant de 30 % ses capacités.
L'usine produit 13.000 tonnes de produits râpés, mini-dés, tranchettes livrées à des clients professionnels sur des plates-formes de distribution ou via un réseau de grossistes.
Elle emploie 30 personnes et atteint l48 millions d'euros de chiffre d'affaires. Mozzarella, cheddar, édam, gouda ou mimolette, proviennent de toute l'Europe. Tippagral, implanté à Tipperary (province de Munster), fédère 500 producteurs de lait et réalise 200 millions d'euros de chiffre d'affaires.
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La Malaisie est désormais l’un des 8 plus importants marchés mondiaux de produits laitiers. Deux usines sont actuellement en cours de lancement à 30 km au sud-ouest de Kuala Lumpur. Le groupe a investi près 4,3 millions EUR.
Australie : Le géant laitier investit 2,93 millions EUR afin d’améliorer la capacité de production de fromage et de lactosérum de son site en Tasmanie. L’investissement devrait permettre d’augmenter la production de 8 000 tonnes de fromage par an ; permettant de répondre à la demande locale et aux besoins à l’export.
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Une étude portant sur le top 20 des coopératives agricoles françaises prévoit un recul de leur chiffre d’affaires en 2016, après des baisses en 2014 et 2015.
Pour les auteurs, la course à la taille critique a un coût qui va obliger les coopératives à faire évoluer leurs statuts juridiques pour intégrer les financeurs privés. Les auteurs estiment par ailleurs qu’elles doivent aller chercher la croissance à l’international, notamment par des implantations directes.
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La 1ère coopérative laitière irlandaise innove une nouvelle fois en termes de gestion de la volatilité. Après avoir lancé les contrats à prix fixés et indexés sur l’évolution des prix des charges, Glanbia s’emploie désormais à améliorer le financement des exploitations. Elle propose à ses éleveurs un dispositif de financement novateur. Dénommé MilkFlex Fund, ce fonds sera doté de 100 M€.
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Face à la crise, le premier groupe coopératif breton soutient ses adhérents. Et prépare l'avenir : investissements, innovations et brevets internationaux.
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Mlekpol a investi 93 M EUR dans la construction d’une tour de séchage localisée dans un de ses sites à Mragowo au nord-est de la Pologne. Le site avec la capacité de transformation de 2 millions de litres par jour, servira à la production de lactosérum, lactosérum en poudre et protéines de lait. L’investissement dont l’achèvement est prévu pour l’année 2018 permettra le recrutement de 100 nouveau salariés. Mlekpol est la plus grande coopérative laitière en Pologne. Dans ses 11 sites, elle transforme 1,5 milliards de lait ce qui constitue 14% de la collecte total du pays. Mlekpol emploie 2 300 salariés et collabore avec 14 000 éleveurs.
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La Banque européenne d’investissement doit décider, d’ici à l’été, du financement de sites agricoles et aéronautiques. « Plusieurs projets d’usines devraient être financés sur le territoire français par la Banque européenne d’investissement [BEI, chargée d’opérer et de garantir les projets] dans les mois à venir, avec à la clef de nouveaux emplois », a expliqué M. Francq.
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Sur le site historique de Chef-du-Pont où tout a commencé en 1909, la coopérative Isigny Ste-Mère a engagé en 2022 un important chantier d'extension. « Les travaux n’ont pas pris de retard et il est prévu que le bâtiment soit livré en décembre 2023 »…
Pour l’emblématique entreprise normande à cheval sur le Calvados et la Manche, l’usine capipontaine ne représente que 15 % du volume du lait collecté annuellement. Une coopérative qui réunit 620 producteurs de lait (400 fermes dont 30 en bio)…
« Ce projet est dû au développement de notre activité de pâtes pressées. Nous avions besoin d'une plus grande capacité d'affinage et de conditionnement. L’objectif est d’avoir une capacité de stockage pour 360 000 fromages supplémentaires (sachant qu’Isigny-Ste-Mère en stocke déjà 600 000 dans ses différentes caves), et parallèlement nous avons aussi investi dans une nouvelle ligne de conditionnement plus performante grâce à laquelle nous serons à une portion/seconde de mimolette.»
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Le groupe coopératif Prospérité Fermière Ingredia, spécialiste mondial du "cracking" (fragmentation) du lait et des produits laitiers, inaugure l’extension de son usine dans le Pas-de-Calais. Et s’apprête à décarboner substantiellement sa production au terme d’investissements d’envergure s’inscrivant dans une farouche stratégie d’innovation…
Des exploitations laitières des Hauts-de-France à l’international, il n’y a parfois qu’un pas. Le groupe Prospérité Fermière Ingredia en est le parfait exemple : siège social à Arras (Pas-de-Calais), usine à Saint-Pol-sur-Ternoise (Pas-de-Calais), mais un peu plus de la moitié de ses 373 millions d'euros à l’international...
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Depuis mai 2022, l'usine d'Isigny-Sainte-Mère (Manche) qui existe depuis 1909 est en plein agrandissement. Un projet à 23 millions d'euros qui doit s'achever en fin d'année 2023…
Isigny-Sainte-Mère est le résultat de la fusion de deux coopératives historiques, celle d’Isigny-sur-Mer (Calvados) et celle de Sainte-Mère-Église, en 1980. Aujourd’hui, la société fabrique du beurre, de la crème, du fromage ou encore du lait infantile. Autant de produits qui sont exportés dans plus de 80 pays à travers le monde…
La Coopérative transforme 270 millions de litres de lait chaque année, fournis par 450 exploitations laitières en Normandie. Avec ces 7 000 m² de surfaces bâties supplémentaires, le site va s’agrandir de 50 %...
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Côtes d’Armor : Laïta inaugure sa nouvelle unité de lait infantile et de poudre premium - Laïta, 8e entreprise coopérative laitière d’Europe, filiale du Groupe Even, inaugure, le 1er décembre son unité high-tech de production de lait infantile et de poudre de lait premium à Créhen.
Cette nouvelle usine, qui allie performances techniques et environnementales, regroupe une tour de séchage d’une capacité de production de 30 000 tonnes de poudre et un atelier de boîtage, à destination principalement du grand export. Pour rester parmi les leaders mondiaux, Even investit « massivement ». La filiale Laïta, qui transforme aussi le lait de Triskalia et Terrena, bénéficie d’un investissement annuel de 6% du chiffre d’affaires, contre 2% il y a quelques années...
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Beurre-crème-fromage et poudre de lait infantile. « Aujourd'hui, tous les ateliers tournent à plein régime. En 2017, nous voulons augmenter d'au moins 30 % la production de poudre de lait infantile pour dépasser les 40 000 tonnes ». L'activité de la coopérative Isigny-Sainte-Mère redémarre à plein régime en 2017 et l'entreprise envisage un nouveau plan d'investissement audacieux pour la période 2018-2020. Elle a annoncé un chiffre d'affaires 2016 en hausse de 6 % le 7 avril dernier en assemblée générale.
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Au service de l'industrie canadienne de la transformation des aliments et des boissons depuis 1940, la coopérative Gay Lea Foods de Mississauga dans l’Ontario investit 140 millions de dollars sur quatre ans pour créer un centre innovateur d'ingrédients laitiers pour la nutrition et les nutraceutiques au Canada.
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Le groupe coopératif double la capacité de production de fromage à pizza son usine d’Herbignac en Loire-Atlantique. L’investissement pérennise la production de plus de 3.000 exploitations laitières du Grand Ouest.
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Le plus grand groupe coopératif laitier de l’île a lancé début juin un programme de financement sous forme de prêts très avantageux pour aider ses 4 800 adhérents à faire face à la crise laitière.
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Le groupe coopératif Even ne dévie pas son cap vers l’investissement, l’innovation et l’internationalisation. Tout en soutenant ses producteurs en proie à une crise « longue et violente, mais pas durable », exprime son directeur général, Christian Couilleau.
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Laïta à Créhen. Une tour de 47 mètres sort de terre : Elle permettra de produire 30.000 tonnes de poudre de lait infantile.
La coopérative laitière Laïta investit 60 millions d’euros sur son site créhennais pour produire de la poudre de lait infantile à destination du marché asiatique. Une nouvelle tour de séchage, haute de 47 mètres, est en train de sortir de terre. Elle permettra de valoriser 100 millions de litres de lait supplémentaires. Son démarrage est prévu en janvier 2017, mais le recrutement de 90 personnes a déjà commencé.
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Deux coopératives laitières, Arla et Dairy Farmers of America (DFA), envisagent d'ouvrir une nouvelle usine de fromage aux États-Unis, dans la partie occidentale de l'Etat de New York. Elle se concentrera sur la production de fromage cheddar, qui représente un tiers du fromage consommé aux Etats-Unis. La coopérative danoise va investir 20% du capital requis pour la joint-venture (USD $ 11,6 millions). Arla sera également propriétaire de 20% de l'activité, DFA possédera 70% et les 10% restants appartenant aux huit agriculteurs qui fournissent le lait. Arla et DFA veulent commencer la production à l'automne 2017, après la construction du site. L'année dernière, Arla Foods USA avait un chiffre d'affaires de 123 M € (139.99 USD $), en hausse de 14% par rapport à 2014. Avec 14.000 membres et 9.000 fermes à travers l'Amérique, DFA est l'un des plus divers fabricants de produits laitiers, des composants alimentaires et les ingrédients du pays. Les ventes nettes de DFA en 2015 ont atteint 13,8 milliards $, soit une baisse de 17,9 milliards $ par rapport à l'année précédente - une baisse entraînée par les prix du lait plus faibles.
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"Le développement de nouveaux produits pour les marchés cibles est la clé de notre stratégie», a déclaré Jeanne Kelly, porte-parole du Irish Dairy Board. «Les nouveaux produits représentent désormais 12% de nos ventes totales; qui passera à 20% l'année prochaine.
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