Lait de Normandie... et d'ailleurs
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Inflation : Après “Mars Rouge”, “Septembre Vert” ?!

Inflation : Après “Mars Rouge”, “Septembre Vert” ?! | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

• Première raison à la perspective d’un “septembre vert” : nombre de matières premières sont en recul

• Autre raison qui permet d’espérer une inversion de tendance : l’énergie. Les prix se détendent

• Enfin le sujet qui inquiète : les volumes. La descente en gamme détourne les clients des “grandes” marques pour les MDD voire les premiers prix


La déflation sera-t-elle générale ? Probablement pas. Toutes les matières premières n’ont pas reflué. D’autres sont politiquement sensibles. Le lait notamment. Pour que le camembert baisse en rayon, le prix du lait doit reculer à la ferme…

Cedric's insight:
voir aussi Inflation : l'alimentaire en première ligne

Dé-consommation : Forte chute des ventes en volume pour les PGC
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Lait bio : Impact de la flambée des prix des matières premières

Selon deux niveaux d'hypothèses de prix retenus par l'Institut de l'Elevage, l’impact des achats d'aliments et de carburants sur le coût de production du lait bio de plaine en 2022 pourrait se situer entre +10 €/1000 l et +35 €/1000 l.

Cedric's insight:
voir aussi En conventionnel, la hausse pourrait atteindre entre 15 et 61 €/1 000 litres
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Banque Mondiale : les prix des matières premières agricoles devraient refluer de 5 % en 2023

Banque Mondiale : les prix des matières premières agricoles devraient refluer de 5 % en 2023 | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

« Les prix resteront probablement volatils dans un contexte marqué par les processus de transition énergétique et l’évolution de la demande des combustibles fossiles vers les énergies renouvelables »…


Des prix de l’énergie plus élevés que prévus pourraient avoir des répercussions sur les prix des produits non énergétiques, notamment les denrées alimentaires, prolongeant ainsi les problèmes liés à l’insécurité alimentaire. Un ralentissement plus marqué de la croissance mondiale constitue également un risque majeur, notamment pour les prix du pétrole brut et des métaux…


Les prix des métaux, eux, devraient reculer de 15 % en 2023, en grande partie à cause de la faiblesse de la croissance mondiale et des craintes de ralentissement en Chine…

Cedric's insight:
Des conditions météorologiques défavorables peuvent peser sur les rendements. Le phénomène La Niña pourrait se prolonger en 2023 pour la troisième année consécutive, soutient la Banque mondiale…

Voir aussi Banque mondiale : La plupart des prix des produits de base ont chuté en juillet
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Inflation sur les produits alimentaires : le pire est-il à venir ?

Inflation sur les produits alimentaires : le pire est-il à venir ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Plus le produit est brut, donc en relation directe avec la matière première agricole, et plus l’inflation est marquée. Les négociations commerciales 2022 ont déjà eu lieu, mais elles vont devoir rouvrir, le pire reste donc à venir…


L’offre de matières premières agricoles restera durablement bridée en 2022 voire 2023. Les prix agricoles se sont d’ailleurs envolés de près de 35% en mars et avril 2022 (+70% pour les céréales…) suivi de près par les prix de la production industrielle (+25%). Ces augmentations n’ont pas encore été répercutées dans les prix au détail mais elles vont l’être à partir du mois de juillet…

Cedric's insight:
L’augmentation actuelle est donc le fruit du passé

La vitesse de transmission des prix de productions agricoles et industrielles aux prix de consommation interroge même si la désynchronisation entre l’offre et la demande est bien réelle. Si on se projette sur les récoltes 2022, on ne peut qu’anticiper une baisse sévère de la quantité de blé mise sur le marché…

Que dire des quantités d’huile de tournesol disponibles sachant que 50% des exportations mondiales dépendent directement de l’Ukraine ? Quand on sait également que 75% des exportations de tourteaux de tournesol à destination de l’alimentation animale dépendent également de l’Ukraine ?

On ne peut que conclure qu’en termes d’inflation, le pire reste à venir…

Voir aussi Nette hausse des prix à la consommation en avril https://sco.lt/8JTB1E
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