Lait de Normandie... et d'ailleurs
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Adepale : les PME et ETI de l’alimentaire font face à un mur d’investissements

Adepale : les PME et ETI de l’alimentaire font face à un mur d’investissements | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it


L’Adepale s’alarme de la dégradation des capacités financières et industrielles des PME et ETI, alors que les négociations commerciales 2024 commencent…


Les 3 000 PME et ETI alimentaires pèsent très lourds. Réparties sur l’ensemble du territoire, « ces entreprises génèrent 20% du chiffre d’affaires de l’industrie manufacturière française et 14% de la valeur ajoutée du pays ». Elles réalisent 60% de l’EBE et de la valeur ajoutée du secteur alimentaire…


Elles font pourtant face à un mur d’investissements de 15 milliards d’euros d’ici à 2050, pour notamment répondre aux objectifs de la Stratégie Nationale Bas Carbone gouvernementale.

Cedric's insight:
voir aussi « Si c’était aussi simple de baisser les prix, la baisse s’appliquerait également aux MDD »

Ania : « La transparence des prix doit concerner toute la filière, des agriculteurs aux distributeurs »

4 associations de consommateurs réclament un accord sur la modération des marges dans l'alimentaire
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Les négociations commerciales rouvertes dès septembre pour les plus gros industriels de l'agro

Les négociations commerciales rouvertes dès septembre pour les plus gros industriels de l'agro | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

A l'issue de deux jours de négociations, où industriels et distributeurs auront défilé à Bercy, une réouverture des négociations commerciales est prévue dès le mois de septembre pour les 75 plus gros industriels de l'agroalimentaire du pays, afin que les nouveaux tarifs - à la baisse - s'appliquent dès le mois de janvier…


« Il était nécessaire de conclure un accord global entre industriels et distributeurs », a expliqué le ministre. Premier volet de cet accord : industriels et distributeurs s'engagent à ce que les prix de 5 000 produits ne montent plus. Les prix seront donc au pire stables, au mieux à la baisse...

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Négos : Les PME vulnérables, les ETI sous la menace d’arrêts de production

Négos : Les PME vulnérables, les ETI sous la menace d’arrêts de production | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les PME pourront répercuter auprès de leurs clients distributeurs la hausse insoutenable des prix de l’énergie. La suspension des pénalités logistiques est également accueillie favorablement, même si son caractère temporaire en réduit la portée…


L’Adepale regrette que les engagements pris par les distributeurs en matière de pénalités et de prise en compte des coûts de l’énergie ne s’appliquent pas aux entreprises de taille intermédiaire (ETI). L’Adepale appelle à la mise en place d’un moratoire total sur les pénalités logistiques injustifiées et disproportionnées, de manière permanente et pour toutes les tailles d’entreprises…


De nombreuses ETI n’auront d’autres options que d’arrêter certaines de leurs productions…

Cedric's insight:
Les ETI françaises (entreprises de 250 à 5 000 salariés et dont le chiffre d’affaires est inférieur à 1,5 milliard d’euros) sont elles aussi particulièrement touchées par les hausses de coûts subies : énergie, emballages, transport et on l’oublie souvent, les salaires de leurs milliers de collaborateurs en France. Acteurs majeurs de notre outil de production alimentaire, les ETI représentent plus d’un tiers de l’emploi et du chiffre d’affaires de l’industrie agroalimentaire française…

Voir aussi Cofigeo contraint d’arrêter la production de ses quatre principaux sites industriels

Energie, inflation : que dit la nouvelle charte sur les négociations commerciales 2023 ? https://sco.lt/962zyK
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Inflation : la filière alimentaire dans la spirale de la renégociation permanente

Inflation : la filière alimentaire dans la spirale de la renégociation permanente | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le gouvernement a exigé que les industriels et distributeurs se remettent autour de la table pour tenir compte des hausses de prix des matières premières, de l'énergie et des conséquences de la guerre en Ukraine. Les nouvelles discussions ont été entamées. Elles pourraient se prolonger plusieurs mois, même si de nouveaux contrats ont été signés…


L'inflation pose un problème : personne ne sait quand elle ralentira. En avril, les prix de l'alimentation avaient augmenté de 3,4 %. Les instituts d'études et les professionnels prédisent un taux entre 7 % et 10 % pour la fin de l'année…

Cedric's insight:
voir aussi FNPL : Négociations commerciales, prix du lait : À chacun sa responsabilité ?
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Une surrèglementation qui protège les agriculteurs et les industriels ?!

Une surrèglementation qui protège les agriculteurs et les industriels ?! | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Comment l'Etat a déclenché la machine infernale de l'inflation alimentaire : Les bonnes intentions jalonnent la montée des prix de l'alimentation qui constitue un enfer pour les consommateurs.


L'inflation alimentaire s'élève à 9%sur un an, à 21% sur deux ans. La guerre en Ukraine a mis le feu aux poudres, mais c'est l'Etat qui a rempli les barils. Le gouvernement a convoqué les distributeurs et leur a intimé de déchirer les contrats des négociations 2022 dont l'encre n'était pas encore sèche…

Cedric's insight:
voir aussi France OP lait craint la destruction de valeur par les négociations commerciales https://sco.lt/90DgS8
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Inflation : commerçants et industriels s’accusent mutuellement de faire monter les prix

Inflation : commerçants et industriels s’accusent mutuellement de faire monter les prix | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L’inflation fait monter les prix. Industriels et commerçants s’accusent mutuellement d’en être la source en augmentant leurs marges respectives. Un renvoi de responsabilité qui ne trompe personne…


Chacun cherche à se dédouaner de sa responsabilité dans la hausse des prix. Les commerçants accusent les industriels d’avoir augmenté leurs marges, alors que les industriels de leur côté portent la même accusation. La balle change de camp à chaque passage sur les plateaux ou via les communiqués. Mais à la fin, c’est le consommateur qui paie quoiqu’il arrive…


L’exemple de cette situation est donné par Jacques Creyssel, délégué général de la Fédération du Commerce et de la Distribution, qui émet l’idée d’une responsabilité des industriels dans l’augmentation des marges faites sur les produits. Il dénonce « une attitude irresponsable sur le sujet », soupçonnant le profit des grands industriels qui « veulent profiter de la situation. Ils ont tous augmenté leur marge pour 2023 ». Chacun y va de son intérêt, comme le prouve la réponse de Christophe Piednoël, porte-parole du groupe Lactalis. Il signale des propos « totalement inacceptables »…

Cedric's insight:
voir aussi Négos commerciales : Seul un industriel sur deux a signé tous ses contrats

Négos commerciales : comment sont fixés les prix en supermarché ?
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Pour 2023, les industriels de l’agroalimentaire demandent des hausses à deux chiffres

Pour 2023, les industriels de l’agroalimentaire demandent des hausses à deux chiffres | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

« Les demandes de revalorisation qui nous parviennent des fournisseurs sont à des niveaux extrêmement élevés : entre 15 % et 25 % sur de nombreux produits ». Les industriels avaient jusqu’au 1er décembre pour soumettre leurs propositions de tarifs des produits de grande consommation à marque nationale. Et les deux parties jusqu’au 1er mars 2023 pour parvenir à un accord…


« Il y a un an, les industriels avaient demandé une hausse moyenne de 7 % et obtenu environ 3,5 % », souligne Thierry Dahan, médiateur des relations commerciales agricoles. Mais les coûts de production se sont envolés. Les prix des matières premières agricoles, des emballages, du transport, de l’énergie ont flambé. Résultat, fin novembre, le curseur de l’inflation alimentaire atteignait 12 % dans les supers et hypermarchés. Mais, pour certaines entreprises, les dernières augmentations obtenues sont encore insuffisantes pour conserver leur rentabilité…


Un surcoût certifié par un tiers entre dans le cadre de la loi EGalim 2, promulguée il y a un an. Ayant pour objectif de protéger la rémunération des agriculteurs, elle sanctuarise la part de la matière première agricole dans les tarifs, devenue non négociable, à condition d’apporter la preuve tangible de son coût…

Cedric's insight:
voir aussi Relations commerciales : la tentation Egalim 3

Inflation : Leclerc craint un «tsunami» sur les prix en 2023 https://sco.lt/9I7JFA
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Prix alimentaires : renégociations à couteaux tirés entre distributeurs er fournisseurs

Prix alimentaires : renégociations à couteaux tirés entre distributeurs er fournisseurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Des négociations conclues en février déjà caduques


Frappés par la hausse des prix des matières premières, les transformateurs demandaient aux distributeurs, dès la fin de l'année dernière, des hausses de leurs tarifs de plus de 6%. En moyenne, ils n'ont finalement obtenu qu'environ 3%...


Une "question de survie" pour le maillon industriel de l'agroalimentaire


Les demandes de hausses atteignent des niveaux jamais connus. « Il faudra renégocier tous les mois ou tous les deux mois », estime Christiane Lambert, pour qui on est désormais entré dans une "économie de guerre"…

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La distribution inquiète pour ses volumes de ventes

« Depuis 2 mois, nous constatons une baisse de la consommation de produits alimentaires. Et les ventes de nos premiers prix ont crû de 20%, avec une forte accélération du phénomène. » Un phénomène corroboré par la montée des enseignes discount, qui continuent de grignoter des parts de marché...

Le pire attendu à l'automne

Malgré un ralentissement progressif des hausses, les prix "devraient rester durablement élevés", jusqu'en 2023-2024. "Le plus dur viendra à l'automne" reconnaît un acteur de la grande distribution, évoquant aussi les effets encore difficiles à estimer de la sécheresse, de la grippe aviaire et de la suite de la guerre en Ukraine…
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