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L'Inspection générale des finances (IGF) a réactualisé son rapport sur la rentabilité des trois acteurs qui constituent la chaîne de consommation. Résultat : la progression de la rentabilité de l'industrie agro-alimentaire est trois fois plus élevée que celle du commerce : +27% pour l’EBE de l’agriculture, +50% pour l’industrie agro-alimentaire, +9% pour le commerce…
L’EBE de l’agriculture se situe désormais 27% au-dessus de son niveau de 2019. En trois ans, note l’IGF, « les prix de vente du secteur agricole ont progressé de 27,5% contre 20,8% observé mi-2022 »…
Au second semestre 2022, la rentabilité de l’industrie agro-alimentaire a rebondi de 50%, effaçant ainsi les pertes par rapport à 2019. Leurs prix de vente ont progressé de 17,5% en trois ans, entre 2019 et 2022, soit cinq points de plus par rapport à mi-2022. Cet écart s’explique à hauteur de trois points par la hausse du prix des intrants et à hauteur de 2,1 points par la hausse de l’EBE. Pour autant, le secteur n’a pas augmenté sa marge en 2022 : la hausse des prix s’explique à 85% par celle des matières premières…
En comparaison, le secteur du commerce voit sa rentabilité progresser de 9% par rapport à 2019. Son taux de marge serait de 0,7 point au-dessus de son niveau de 2019. Bien évidemment, ces calculs ne prennent pas en compte les retombées des négociations commerciales qui se sont achevées le 1er mars, pas plus que la baisse des prix amorcée sur un certain nombre de matières premières…
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Dans un communiqué du 11 juillet 2017, la Fédération nationale de l’industrie laitière (Fnil) reproche à la distribution de ne pas impacter la volatilité des marchés laitiers sur le prix de vente des produits en magasin.
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Dans un contexte tendu pour la filière laitière, les fabricants de lait de consommation souhaitent rémunérer au juste prix les producteurs. Ainsi, ils s’engagent à répercuter aux producteurs les hausses de tarifs que la distribution accepterait de passer au 1er juillet.
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Volée de bois vert pour les industries agroalimentaires, qui se plaignent de la hausse du coût des matières premières. Les producteurs de lait voient rouges, noyés qu'ils sont dans les pertes pour nombre d’entre eux, après une année noire.
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Dans un contexte de poursuite de la guerre des prix entre enseignes de la grande distribution et de flambée des prix des matières premières agricoles, l’ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) dresse un bilan inquiétant des négociations commerciales 2017 qui auraient dû s’achever au 1er mars. « Malgré de premiers efforts de la part de certaines …
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Les producteurs de lait demandent lundi à "être payés plus" par les industriels et dénoncent le caractère "opaque" des négociations menées entre ces derniers et leurs clients distributeurs. Les traditionnelles négociations commerciales, qui devaient s'achever le 1er mars en plein Salon de l'agriculture, "ne peuvent servir de prétexte aux industriels laitiers pour ne pas revaloriser le prix du lait à hauteur du retournement positif des marchés laitiers qui s'opère depuis quelques mois", estiment les producteurs de la FNPL (Fédération nationale des producteurs laitiers) dans un communiqué.
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Chaque année, le feuilleton des négociations commerciales entre laiteries et distributeurs anime le mois de février. L’enjeu est capital pour le prix du lait à la production en 2017.
La hausse permettra-t-elle de revenir au tarif de 2014, comme le veut la FNPL ?
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Les négociations commerciales s’achèvent cette année encore dans une ambiance délétère. À la veille de la clôture des négociations commerciales pour 2017, Coop de France fait état de relations « extrêmement difficiles » gangrenant encore et toujours la filière agroalimentaire.
La guerre des prix fait encore rage. « Dans un contexte de hausse des prix agricoles, nous recevons des demandes systématiques de déflation de 2 à 4 % en moyenne sur l’ensemble des filières...
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La tension monte entre les distributeurs et leurs fournisseurs à l'approche du terme des négociations. Cinq jours après que Jean-Philippe Girard, président de l'Association des industries alimentaires (Ania), a dénoncé au micro de France Info les demandes de la grande distribution de baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 %, la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) a répliqué vendredi par voie de communiqué.
Au nom des enseignes qu'elle représente - les Auchan, Carrefour, Casino et autres Cora -, la FCD appelle « solennellement les industriels, notamment laitiers, à faire preuve de transparence, en appliquant, comme l'ont demandé les ministres, les dispositions de la loi dite "Sapin II", qui prévoit l'inscription, dans les conditions générales de vente, du prix de référence payé aux producteurs ».
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Jean-Philippe Girard, le président de l’Association des industries alimentaires (Ania), a affirmé le 13 février 2017, que les distributeurs demandent des baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 % dans le cadre des négociations annuelles. « c’est inquiétant. On voit le lait qui a progressé de 30 %, les oranges de 50 % et en face des acheteurs qui disent : “Écoutez, nous, ce n’est pas notre problème, on veut le même prix que l’an passé” »
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Souhaitant s’assurer du bon déroulement des négociations en cours, Michel Sapin et Stéphane Le Foll ont réuni le comité de suivi des relations commerciales ce matin, le 9 février 2017. Le monde agricole, l’industrie agroalimentaire, et la distribution avaient rendez-vous ce matin avec Michel Sapin et Stéphane, pour faire le point sur le déroulement des négociations commerciales annuelles qui s’achèveront le 28 février.
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Les négociations commerciales 2017 en cours entre industriels laitiers et distributeurs, qui doivent aboutir avant fin février, semblent mal engagées entre les deux parties qui se renvoient la balle.
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Les FDSEA de l’Ouest demandent aux laiteries de penser « prix » avant de penser « volume ». Et elles annoncent que dans les actions à venir, elles cibleront les marques et distributeurs qui ne joueront pas le jeu des négociations commerciales.
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A noter, le boom pour le T4 2022 du taux de marge EBE/VA des industries agroalimentaires : +15 points entre le creux de T4 2021 et T4 2022. A 44,7%, il est même au plus haut depuis 2007…
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Après les mouvements de colère des producteurs de lait , la distribution française a quasi-unanimement promis − notamment Leclerc, Intermarché et Système U − de contribuer à améliorer le prix qui leur est payé, notamment via les produits sous MDD.
« Quelle hypocrisie ! » a réagi la Fnil , estimant que le redressement du marché laitier n'a pas été répercuté dans les prix moyens sortie usine, en baisse pour le lait, les fromages ou les yaourts, à l'exception du beurre.
Et de rappeler que « les négociations entre industriels et distributeurs portent sur les produits laitiers transformés et non sur le lait matière première ».
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Les négociations tarifaires qui ont lieu tous les ans entre les enseignes de la grande distribution et leurs fournisseurs sont souvent compliquées.
Cette année, elles sont soldées par une baisse des tarifs de 3% à 8% des tarifs pour 70% de ses adhérents (30% ont obtenu des hausses)., rapporte Le Figaro jeudi 18 mai.
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Faisant suite au douloureux bilan de 2016 de l’Ania, présenté au début de la semaine, la Coordination rurale et la FNPL minimisent l’importance de la flambée du prix des matières premières dénoncée par les industriels.
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Le bras de fer des négociations commerciales annuelles entre les producteurs de l’industrie agroalimentaire et certaines enseignes de supermarché se poursuit au-delà de la date butoir du 28 février.
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Derrière la liesse affichée au Salon de l’Agriculture, les négociations commerciales entre les entreprises de l’agroalimentaire et la grande distribution ont pris fin mercredi 1er mars dans un climat très tendu. Comment en sortir ?
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REPLAY - INVITÉ RTL - Serge Papin en appelle aux pouvoirs publics, et demande la remise en cause de la "loi du plus fort". Serge Papin plaide pour "une loi plus protectrice. Il faudrait qu'il y ait des prix minimums au moment de la signature des accords pour les matières premières agricoles, comme le lait, la viande bovine, le porc...
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Ces tractations ne portent pas que sur les prix, mais aussi sur la disposition des produits en rayon. Etre présent à hauteur d’yeux ou en tête de gondole est crucial. Chaque année, le dernier jour du mois de février sonne la fin des négociations entre la grande distribution et ses fournisseurs, qu’ils soient petits producteurs rassemblés en coopérative ou grands groupes industriels internationaux. Ces tractations, souvent conflictuelles, doivent notamment fixer pour l’année suivante les tarifs des produits achetés par la grande distribution pour garnir ses rayons.
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La FNPL appelle les acteurs de l’aval à la décence et condamne ce jeu de dupes qui n’est pas digne de la situation catastrophique vécue par les éleveurs de lait depuis deux ans.
La FNPL constate que la baisse du prix du lait suite à une mauvaise conjoncture ne fait jamais l’objet de tant d’interrogations dans son application par les entreprises laitières. Les années 2015 et 2016 en sont hélas la preuve ! En France, la baisse du prix du lait est toujours automatique alors que sa hausse est toujours hypothétique !
Au résultat, c’est toujours le producteur, premier maillon de la chaine alimentaire qui trinque.
Pour la FNPL, le prix du lait de 2017 doit tendre vers son niveau de 2014. Les distributeurs doivent prendre en compte ce besoin vital d’oxygène des producteurs de lait après deux ans de crise. La déflation des produits laitiers est inacceptable.
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Avant la fin du mois, les deux parties doivent trouver un compromis. Les distributeurs discutent avec les sociétés agroalimentaires pour revoir les prix auxquels ils achètent leurs produits. Les éleveurs, inquiets, suivent ces négociations avec intérêt.
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Les sociétés françaises se heurtent au refus de hausses tarifaires des distributeurs. Dans les autres pays européens, les prix aux industriels ont été revalorisés.
« Partout en Europe, les distributeurs ont accepté de payer leurs fournisseurs de produits laitiers plus cher depuis la fin de l'année. Sauf en France », souligne Gérard Calbrix, l'économiste de l'Association de la transformation laitière française (Atla).
En Allemagne, le plus gros concurrent de l'Hexagone dans le secteur laitier, les enseignes ont consenti dès octobre une hausse de 30 % sur le prix du beurre aux industriels pour prendre en compte la très vigoureuse reprise du marché mondial. Hausse historique outre-Rhin (la dernière de cette importance remonte à 2007 !) répercutée sur le consommateur.
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Dans leur « plaidoyer », les transformateurs laitiers privés se placent comme défenseurs des producteurs. Ils demandent une augmentation des tarifs au vu de la conjoncture.
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