Lait de Normandie... et d'ailleurs
209.2K views | +48 today
Follow
Lait de Normandie... et d'ailleurs
Your new post is loading...
Your new post is loading...

Des Tags pour vos recherches

Current selected tags: 'industriels', 'filière'. Clear
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Radioscopie des profits et des marges de la grande distribution et de l’industrie agroalimentaire française

Radioscopie des profits et des marges de la grande distribution et de l’industrie agroalimentaire française | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Une interview d’Olivier Mevel sur Atlantico, extraits


La restauration progresse tandis que la grande distribution décroît en volume…


L'assortiment alimentaire dans la grande distribution représente environ 80% des produits en magasin. Sur ces 80%, 60% proviennent de PME-PMI et petites coopératives françaises pour 40% de produits issus des multinationales. Et ce sont les produits issus des multinationales qui font l’image prix du distributeur, c’est elle qui construit la part de marché du distributeur…


Le distributeur vend ces produits au prix facturé par les industriels + 10%. Ce n’est pas une grosse marge, qui concerne environ 1500 produits sur les 30 000 que l’on retrouve en moyenne dans ces magasins. C’est là sa façon de garantir son image prix. Ce qui le contraint en revanche à se rattraper ailleurs. Ce rattrapage se fait évidemment sur les 60% des produits restants, issus des 18 000 PME-PMI de l’agroalimentaire français. Là, les marges sont beaucoup plus élevées…


La matière première, dans les chaînes alimentaires, ne représente plus qu’une part assez faible (et en déclin) de la valeur finale du produit. Le reste vient rémunérer le service. Sur un panier de 100 euros on en a environ 33 qui reviennent à la grande distribution. Seulement 6 reviennent à l’agriculture…


Qui des embouteilleurs ou des distributeurs ont profité de l’augmentation des prix ? Pour le savoir, il suffit de regarder l’évolution des prix des produits MDD ainsi que des prix des produits de marques. Certains produits MDD sont quasiment aux prix des produits de marques et il apparaît du coup que les industriels ont été raisonnables. Pas le distributeur…


Lactalis a réussi ses négociations commerciales et a vu une augmentation des tarifs de la poudre de lait de 25% depuis le mois d’août 2023. Celui du beurre a grimpé de 15%. C’est la preuve que certains industriels se refont effectivement une santé financière au détriment des producteurs…


La responsabilité du groupe Leclerc est grande. Nous pouvons toutefois apprécier que Lidl ait signé plus de 200 contrats tripartites avec des éleveurs. C’est une solution intéressante pour donner davantage de visibilité aux éleveurs…


Pour calmer la situation, il faudrait prévoir des plans stratégiques différenciés selon les filières.


No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

[Podcast] Industriels et grandes enseignes : le bras de fer

[Podcast] Industriels et grandes enseignes : le bras de fer | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le marché agro-alimentaire en France est un secteur particulièrement divers et conflictuel : les géants côtoient les entreprises familiales…


"En France, il y a environ 17 000 industries agro-alimentaires, 90% de ces industries sont des PME/PMI, donc des entreprises de moins de 250 salariés et de moins de 50 millions d'euros de chiffre d'affaires, cela montre bien la fragilité de ce tissu. Par ailleurs, 496 000 agriculteurs vendent leur production aux 17 000 industriels, qui vendent eux-mêmes leur produit à huit distributeurs. Le distributeur est donc dans une position favorable : tout le monde veut lui vendre, tout le monde veut lui acheter."…


No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Distribution : « Chaque loi de protection des producteurs face aux grandes enseignes fait ressurgir les mêmes ambiguïtés »

Distribution : « Chaque loi de protection des producteurs face aux grandes enseignes fait ressurgir les mêmes ambiguïtés » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Alors que les députés entendent protéger petits agriculteurs et industriels, les chaînes comme Leclerc ou Intermarché, proclamés garants des petits prix pour les consommateurs, assurent que la législation engraisse plutôt les mastodontes de la production…


Les députés entendent protéger les producteurs de lait, quand les supermarchés assurent que le texte va surtout engraisser Nestlé et Coca-Cola. Des rapports de force puissants que la loi n’empêchera pas d’exister. D’autant plus que les élus qui chantent les louanges des petits producteurs, des boulangers et des PME s’empressent dans leurs circonscriptions de favoriser l’implantation d’Intermarché et de E.Leclerc aux abords des villes, apportant emplois et prix bas…


C’est ce que le politologue Jérôme Fourquet appelle la société du supermarché. Une France où, en cinquante ans, les enseignes de grande distribution ont remplacé les usines et les églises comme lieu de socialisation et d’aménagement du territoire. Une société où le consommateur prend le pas sur le producteur. Il ne sera pas facile de revenir en arrière…

Cedric's insight:
voir aussi "Le détricotage de la loi Egalim serait un très mauvais signal"

Cette proposition de loi pourrait bouleverser les négociations commerciales

Les distributeurs interpellent les députés contre la proposition de loi Descrozaille
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Evolution de l'industrie laitière russe suite à l'embargo vis à vis de l'UE

Evolution de l'industrie laitière russe suite à l'embargo vis à vis de l'UE | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les professionnels de l’industrie laitière russe estiment la production russe de lait brut à 17 millions de tonnes en 2016, loin des chiffres officiels diffusés par les autorités russes (31 millions de tonnes).

La production laitière a certes baissé mais la consommation également, dans des proportions importantes puisque la consommation de produits laitiers par habitant a été de 234 kg en 2016, à comparer avec 387 kg en 1991.

En réaction aux sanctions en provenance de l’Union Européenne en 2014, la Russie a institué un système d’embargo de produits alimentaires qui touche plus particulièrement le secteur laitier. C’est ainsi que la Russie importe 7,5 millions de tonnes de lait, soit le quart des niveaux nécessaires...

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Négociations commerciales
: Où est la vérité ?

Chaque année, le feuilleton des négociations commerciales entre laiteries et distributeurs anime le mois de février.

L’enjeu est capital pour le prix du lait à la production en 2017.

La hausse permettra-t-elle de revenir au tarif de 2014, comme le veut la FNPL ?

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Négociations commerciales : Les distributeurs demandent 2 à 8 % de baisse de tarifs

Négociations commerciales : Les distributeurs demandent 2 à 8 % de baisse de tarifs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Jean-Philippe Girard, le président de l’Association des industries alimentaires (Ania), a affirmé le 13 février 2017, que les distributeurs demandent des baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 % dans le cadre des négociations annuelles.

« c’est inquiétant. On voit le lait qui a progressé de 30 %, les oranges de 50 % et en face des acheteurs qui disent : “Écoutez, nous, ce n’est pas notre problème, on veut le même prix que l’an passé” »

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Dernière ligne droite pour les négociations entre industriels laitiers et grande distribution

Dernière ligne droite pour les négociations entre industriels laitiers et grande distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Avant la fin du mois, les deux parties doivent trouver un compromis. Les distributeurs discutent avec les sociétés agroalimentaires pour revoir les prix auxquels ils achètent leurs produits. Les éleveurs, inquiets, suivent ces négociations avec intérêt.

Cedric's insight:
C'est devenu une tradition en plein hiver. Ces tractations se transforment en bras de fer. Mais c'est vrai que cette année les enjeux sont encore plus lourds, plus cruciaux car ça fait maintenant 2 ans que les éleveurs de vaches laitières traversent une grave crise. Il y a de plus en plus d'exploitations au bord du gouffre. Avec une conséquence dramatique : beaucoup d'agriculteurs, qui n'y arrivent plus, se suicident. Les enjeux, en fait, ils sont assez simples.
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Lait : les industriels dénoncent l'exception française

Lait : les industriels dénoncent l'exception française | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les sociétés françaises se heurtent au refus de hausses tarifaires des distributeurs. Dans les autres pays européens, les prix aux industriels ont été revalorisés.

« Partout en Europe, les distributeurs ont accepté de payer leurs fournisseurs de produits laitiers plus cher depuis la fin de l'année. Sauf en France », souligne Gérard Calbrix, l'économiste de l'Association de la transformation laitière française (Atla).

En Allemagne, le plus gros concurrent de l'Hexagone dans le secteur laitier, les enseignes ont consenti dès octobre une hausse de 30 % sur le prix du beurre aux industriels pour prendre en compte la très vigoureuse reprise du marché mondial. Hausse historique outre-Rhin (la dernière de cette importance remonte à 2007 !) répercutée sur le consommateur.

Cedric's insight:
Du côté des distributeurs, on reconnaît que les produits laitiers sont un point de friction. Pour les grandes enseignes, la question est d'abord celle de la transparence. Elles reprochent aux industriels laitiers de ne pas appliquer la loi Sapin 2, qui leur fait obligation d'indiquer sur les contrats les prix payés à la production...
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

FNIL Lait : « Les négociations avec la grande distribution se passent mal »

FNIL Lait : « Les négociations avec la grande distribution se passent mal » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans leur « plaidoyer », les transformateurs laitiers privés se placent comme défenseurs des producteurs. Ils demandent une augmentation des tarifs au vu de la conjoncture.

Cedric's insight:
« En France, ce déséquilibre global du marché laitier s’est traduit en 2016 par une baisse moyenne de 1,5 % des prix de vente des produits laitiers aux consommateurs, selon l’indice Insee PVC lait, fromages et œufs », indique la Fnil.
C’est un recul plus faible que celui dont a bénéficié la distribution car « les prix de vente sortie usine des produits laitiers vendus à la grande distribution en France ont chuté en moyenne de 3,1 % (indice Insee) », d’après le communiqué.
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Négociations commerciales : L’industrie agroalimentaire coincée entre le marteau et l’enclume

Négociations commerciales : L’industrie agroalimentaire coincée entre le marteau et l’enclume | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L’Ania, Association nationale des industries alimentaires, tire la sonnette d’alarme ce 31 janvier 2017.

Pourquoi ?

À cause des pressions que subissent ses adhérents pris « en tenaille » entre « la montée significative des prix des matières premières agricoles et la poursuite de la guerre des prix de la grande distribution ».

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Greenpeace accuse l'industrie laitière de la pollution des rivières néo-zélandaises

Greenpeace accuse l'industrie laitière de la pollution des rivières néo-zélandaises | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
 
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Les filières qualité au secours d'une industrie agro-alimentaire devenue suspecte…

Les filières qualité au secours d'une industrie agro-alimentaire devenue suspecte… | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans l'agro-alimentaire bien sûr, mais aussi dans d'autres secteurs comme l'industrie ou la santé, certains acteurs s'associent au sein de leur filière pour définir et mettre en œuvre des objectifs communs de qualité. Une démarche qui connaît un succès grandissant.


« les leviers de la confiance doivent désormais être au centre de la réflexion stratégique des marques car, dans un contexte de défiance massive, ils sont bel et bien créateurs de valeur ». Les filières qualité jouent assurément ce rôle de leviers de confiance.


La qualité au cœur du modèle de consommation de demain :

Toutes les études vont dans le même sens : la qualité des produits et des services, et plus largement la consommation responsable, sont de plus en plus déterminantes dans les actes d'achats. C'est ce que confirme encore la dernière étude de l'observatoire de la consommation responsable, qui souligne que ce marché poursuit sa hausse. Il n'est pas étonnant que les filières qualité connaissent dans ce contexte un succès croissant, simplement parce qu'elles offrent de vraies garanties en la matière.

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

FNCL : « Les producteurs laitiers doivent sortir de l’asservissement aux entreprises »

FNCL : « Les producteurs laitiers doivent sortir de l’asservissement aux entreprises » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dominique Chargé, le président des coopératives laitières, estime que les producteurs doivent prendre en charge la collecte du lait, fixer les prix et choisir eux-mêmes leurs clients.

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

L’attractivité des industries de la grande consommation en France « affaiblie »

L’attractivité des industries de la grande consommation en France « affaiblie » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La filière de la grande consommation pèse lourd dans l’économie française. Avec 254 Mds de CA et plus de 50 Mds de valeur ajoutée en 2022, les 25 000 entreprises (98% de TPE et PME) dont 21 000 dans l’agroalimentaire génèrent 1,8 million d’emplois directs, indirects et induits (dont 60% dans les ETI ou grands groupes) sur l’ensemble du territoire…


L’industrie des produits de grande consommation forme aussi l’un des secteurs ayant un effet d’entraînement les plus importants en termes d’emplois (à hauteur de 40% dans l’amont agricole). Elle génère 2% du PIB, deux fois plus que l’automobile et 3 fois plus que l’industrie pharmaceutique…


Pour les dépenses liées à l’innovation, l’industrie agroalimentaire française figure à la 2ème place du classement européen (plus d’1 Md après l’Allemagne), mais reste en retrait sur l’innovation de produits. RSE : 83% des répondants à l’enquête ont mis en place une trajectoire de décarbonation…


Cependant, l’attractivité de la France auprès des maisons mères s’est nettement affaiblie, ce qui génère de véritables risques de fermetures de sites et empêche la France d’attirer davantage d’usines et de centres de R&D. Quatre sur dix déclarent que leur maison mère a refusé un projet d’investissement en France, en raison du niveau des marges, du climat social et politique et du coût du travail…

Cedric's insight:
voir aussi Le climat des négociations commerciales fait peur aux investisseurs étrangers
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

IGF : Rentabilité de l'industrie agro-alimentaire, de l'agriculture et de la grande distribution

IGF : Rentabilité de l'industrie agro-alimentaire, de l'agriculture et de la grande distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L'Inspection générale des finances (IGF) a réactualisé son rapport sur la rentabilité des trois acteurs qui constituent la chaîne de consommation. Résultat : la progression de la rentabilité de l'industrie agro-alimentaire est trois fois plus élevée que celle du commerce : +27% pour l’EBE de l’agriculture, +50% pour l’industrie agro-alimentaire, +9% pour le commerce…


L’EBE de l’agriculture se situe désormais 27% au-dessus de son niveau de 2019. En trois ans, note l’IGF, « les prix de vente du secteur agricole ont progressé de 27,5% contre 20,8% observé mi-2022 »…


Au second semestre 2022, la rentabilité de l’industrie agro-alimentaire a rebondi de 50%, effaçant ainsi les pertes par rapport à 2019. Leurs prix de vente ont progressé de 17,5% en trois ans, entre 2019 et 2022, soit cinq points de plus par rapport à mi-2022. Cet écart s’explique à hauteur de trois points par la hausse du prix des intrants et à hauteur de 2,1 points par la hausse de l’EBE. Pour autant, le secteur n’a pas augmenté sa marge en 2022 : la hausse des prix s’explique à 85% par celle des matières premières…


En comparaison, le secteur du commerce voit sa rentabilité progresser de 9% par rapport à 2019. Son taux de marge serait de 0,7 point au-dessus de son niveau de 2019. Bien évidemment, ces calculs ne prennent pas en compte les retombées des négociations commerciales qui se sont achevées le 1er mars, pas plus que la baisse des prix amorcée sur un certain nombre de matières premières…

Cedric's insight:
voir aussi Insee : Taux de marge EBE/VA des IAA vs Manufacture & Commerce
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Une nouvelle étude montre comment l’industrie agro-alimentaire asphyxie le monde agricole

Une nouvelle étude montre comment l’industrie agro-alimentaire asphyxie le monde agricole | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Pourquoi nombre des 462 000 agriculteurs, dont un quart vit sous le seuil de pauvreté, n’arrive pas à vivre décemment de leurs productions destinées aux 67 millions de consommateurs français et à l’exportation ? Du champs jusqu’à l’assiette, comment se répartit la valeur économique créée par les filières agro-alimentaires ?

Les agriculteurs ne captent que 6% de la valeur de l’alimentation...

6 enseignes se partagent 90% du marché ...

Cedric's insight:
Mais aussi : Point de vue : « En France, le modèle de l'agriculture à visage humain n'a plus d'avenir »
Sur https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/0301383876560-en-france-le-modele-de-lagriculture-a-visage-humain-na-plus-davenir-2159082.php
Le modèle de production agricole français ne parvient pas à suivre le rythme de ses concurrents étrangers. Miser sur une logique de différenciation avec le bio, comme souhaite le faire le gouvernement, ne semble pas convaincant.
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

La production laitière est loin de subvenir aux besoins des Malgaches

La production laitière est loin de subvenir aux besoins des Malgaches | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

«Les industriels laitiers n’arrivent pas encore à subvenir aux besoins des Malgaches. Il vaut mieux rester sur le marché local».

Il y a de la place pour tout le monde. La quantité de lait produite est loin de satisfaire les besoins malgaches. Le marché est encore très vaste pour les industries de transformation des produits laitiers.

Tout n’est pas rose pour la filière lait et les industriels. «À part le problème de quantité, la qualité pose aussi d’énormes soucis.»

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Grande distribution : Système U plaide pour une loi qui garantisse des "prix dignes"

Grande distribution : Système U plaide pour une loi qui garantisse des "prix dignes" | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

REPLAY - INVITÉ RTL - Serge Papin en appelle aux pouvoirs publics, et demande la remise en cause de la "loi du plus fort".

Serge Papin plaide pour "une loi plus protectrice. Il faudrait qu'il y ait des prix minimums au moment de la signature des accords pour les matières premières agricoles, comme le lait, la viande bovine, le porc...

Cedric's insight:
Et aussi : Les négociations, l'impossible "équation" entre grande distribution et fournisseur
http://www.rtl.fr/actu/conso/les-negociations-commercialesl-impossible-equation-entre-grande-distribution-et-fournisseur-7787442673
Tous les ans, le dernier jour de février sonne la fin des négociations entre la grande distribution et ses fournisseurs.
Mardi 28 février, à minuit, il ne sera plus possible de négocier. Chaque année, c'est la course entre les grandes enseignes et les industriels afin de déterminer les prix. Une course qui vire même au véritable bras de fer entre les quatre grandes centrales d'achats : Auchan-System U, Intermarché-Casino, Carrefour-Cora, et Leclerc. Face à eux : 10.000 fournisseurs priés de rogner au maximum leurs marges.
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

La flambée des matières premières met les négociations commerciales sous tension

La flambée des matières premières met les négociations commerciales sous tension | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le 9 février dernier, les ministres Michel Sapin, ministre de l’Économie et des Finances, et Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, ont réuni les représentants de la filière alimentaire pour un nouveau comité de suivi des relations commerciales, sachant que les négociations annuelles s'achèvent le 28 février. Ils ont rappelé la nécessité que « les négociations tiennent compte, pour l’ensemble des maillons de la filière, du contexte de remontée des cours de plusieurs produits agricoles, en particulier dans les filières laitière, porcine et des produits de la mer ».

Représentant les industriels de l'agroalimentaire, l'Ania a pointé la déflation des prix des produits alimentaires. Elle a atteint -1,1 % en 2016 en moyenne et se poursuit en 2017, avec une baisse de -1,16 % en janvier. Une dynamique négative portée par les centrales d'achat de la grande distribution, qui mettent toujours autant l'accent sur les prix. La question de fond étant la déconnexion de cette pression sur les prix avec la réalité économique rencontrée par les entreprises, en particulier la forte hausse des matières premières agricoles....

Cedric's insight:
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Prix : Les ministres surveillent les négociations commerciales

Prix : Les ministres surveillent les négociations commerciales | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Souhaitant s’assurer du bon déroulement des négociations en cours, Michel Sapin et Stéphane Le Foll ont réuni le comité de suivi des relations commerciales ce matin, le 9 février 2017.

Le monde agricole, l’industrie agroalimentaire, et la distribution avaient rendez-vous ce matin avec Michel Sapin et Stéphane, pour faire le point sur le déroulement des négociations commerciales annuelles qui s’achèveront le 28 février.

Cedric's insight:
Ces hausses, très attendues et importantes pour les producteurs concernés, doivent être pleinement prises en compte dans les négociations en cours afin d’assurer un juste équilibre entre les intérêts des producteurs, des industriels et des consommateurs », précisent les deux ministères dans leur communiqué de presse.
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Lait : les négociations commerciales mal engagées

Lait : les négociations commerciales mal engagées | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les négociations commerciales 2017 en cours entre industriels laitiers et distributeurs, qui doivent aboutir avant fin février, semblent mal engagées entre les deux parties qui se renvoient la balle.

Cedric's insight:
De son côté, le distributeur Système U demande dans un communiqué "à ses fournisseurs/industriels de faire figurer dès maintenant dans leurs conditions générales de vente (CGV) le prix de référence du lait payé aux producteurs", comme le demande la loi Sapin 2. "La gravité de la situation et le risque à terme de voir une grande part des exploitations cesser leur activité, nécessitent aujourd'hui un engagement et des actions fortes de la part des acteurs de la filière", assure le distributeur en expliquant que "pour des raisons de calendrier d'application et de non-rétroactivité de la loi, les industriels n'ont pas mis en oeuvre cette disposition" pour les tarifs qui s'appliqueront cette année.
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Prix du lait : Les éleveurs ne sont pas « les fantassins des industriels »

Prix du lait : Les éleveurs ne sont pas « les fantassins des industriels » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les FDSEA de l’Ouest demandent aux laiteries de penser « prix » avant de penser « volume ». Et elles annoncent que dans les actions à venir, elles cibleront les marques et distributeurs qui ne joueront pas le jeu des négociations commerciales.

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

L’entente entre l’amont agricole et l’agroalimentaire est un enjeu important

L’entente entre l’amont agricole et l’agroalimentaire est un enjeu important | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans le secteur agroalimentaire, la formation des prix entre l’amont agricole, l’industrie alimentaire et la grande distribution, constitue un facteur de rentabilité très important : la part des achats amont représente près de 55 % du chiffre d’affaires dans l’alimentaire contre environ 40% dans le reste de l’industrie manufacturière. Extrait de la note de conjoncture de janvier de l’Ania.

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

La Fnil acte déjà une difficile remontée des prix aux producteurs

La Fnil acte déjà une difficile remontée des prix aux producteurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Sur les marchés mondiaux, les prix des produits laitiers repartent à la hausse de manière significative grâce à une baisse généralisée de la production. Mais la Fnil, qui représente les industriels laitiers, estime que la répercussion de la hausse des cours aux producteurs français sera difficile. Le syndicat justifie ces prochaines difficultés par les négociations commerciales qui démarrent et la guerre des prix que se livrent les distributeurs.
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Grande distribution : comment elle ruine les petits producteurs

Grande distribution : comment elle ruine les petits producteurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Crise du lait, crise de la viande, disparition des exploitations ... Vidéo extraite du journal de 20 h d'Antenne 2 datée du 6 octobre 2014 : Voici comment la guerre des prix entre grands distributeurs ruine les petits producteurs.
No comment yet.