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François-Xavier Huard assure que la FNIL "représente tous les acteurs" de la filière, non seulement les leaders mondiaux, mais aussi "80% de PME et d'ETI, d'entreprises familiales, indépendantes, basées dans les territoires"…
Il rappelle que "les laiteries et fromageries ont pris leurs responsabilités" en augmentant "depuis 2 ans le prix du lait de 25%", "un rythme plus rapide que les coûts de production des éleveurs"…
En réponse aux critiques, il souligne que "les marges de l'industrie laitière sont des marges très faibles" et précise que les acteurs de l'industrie ont pris sur leurs marges pour éviter que l'inflation ne se répercute auprès des consommateurs.
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« La marge nette du groupe Lactalis en 2022 est de 1,3%, de 2,3% pour Bel, de 1,2% pour Savencia et de 3,4% pour Danone. Or, l’achat du lait aux producteurs pèse 55% dans les charges des laiteries. Pour augmenter le prix du lait payé aux éleveurs, nous devons revenir sur des marges entre 3 et 4% »…
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« Il est urgent de comprendre qu’il y a des réalités différentes entre les secteurs de l’agro-alimentaire. Et la filière laitière est clairement différente des autres filières. Les renégociations ne sont pas justifiée car nous nous ne voyons pas dans nos comptes et nos coûts de baisses de prix. Tout le monde parle de l’énergie avec la baisse du prix spot de 60% mais nos contrats sont signés sur des niveaux bien plus élevés que les prix spots et sur 2, 3 ou même 4 ans! Quant au carton ou au plastique, ils sont encore à +10% en février 2023 par rapport à février 2022…
Dans la filière laitière, le poids de la matière première, donc le lait, pèse 55% du compte du résultat. Ce qui est énorme par rapport à d’autres filières où ce ratio peut se situer entre 15 et 20%. Et depuis un an, le prix a augmenté de 25% et il ne baisse pas, contrairement à ce que certains disent ou pensent. Le prix ne baisse pas réellement et restera durablement élevé puisque la collecte se raréfie et que la demande reste élevée. Nous pensons donc qu’en 2023, les prix resteront élevés et même peut-être plus élevés que le prix des Allemands…
Les marges habituellement faibles des industriels laitiers privés ont encore baissé en 2022. Les quatre de nos plus grands adhérents affichent une marge nette de 1 à 2%. L’industrie laitière a toujours été une économie de volume et non de fortes marges. Nos comptes d’exploitation sont donc fragiles. Et vous devez noter que dans la transformation laitière, les salaires ont augmenté de 10% et qu’il nous faut financer les coûts de la décarbonation avec des investissements qui sont certes nécessaires mais qui sont très onéreux. On ne pourra pas financer tous les enjeux qui sont les nôtres sans reconstituer les marges, notamment pour aider l’amont, le monde agricole. »
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Dans un communiqué du 11 juillet 2017, la Fédération nationale de l’industrie laitière (Fnil) reproche à la distribution de ne pas impacter la volatilité des marchés laitiers sur le prix de vente des produits en magasin.
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Sur les marchés mondiaux, les prix des produits laitiers repartent à la hausse de manière significative grâce à une baisse généralisée de la production. Mais la Fnil, qui représente les industriels laitiers, estime que la répercussion de la hausse des cours aux producteurs français sera difficile. Le syndicat justifie ces prochaines difficultés par les négociations commerciales qui démarrent et la guerre des prix que se livrent les distributeurs.
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Avec cette phrase, Olivier Picot, le directeur de la Fédération nationale des industriels laitiers (Fnil), a de quoi faire grincer les dents des éleveurs.
« Il n’y a pas eu de crise », a lâché, sans prendre de pincettes, Olivier Picot, le directeur de la Fédération nationale de l’industrie laitière privée (Fnil), lors d’une conférence de presse, le 7 décembre. Il rejette le terme de « crise » au sens strict, et lui préfère celui, moins accessible, de « momentum liés à la volatilité ...
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Deux jours après la hausse de prix concédée par Lactalis, les industriels laitiers privés rappellent qu’il est important « d’opérer en connexion avec le marché » pour rester compétitifs.
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Alors que la crise du lait s’exacerbe, qu’industriels et producteurs rivalisent de communiqués sur les niveaux de prix, Olivier Picot, président de l’industriel laitière, considère que celle-ci traverse elle-même une phase extrêmement délicate.
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Les industriels du lait (Fnil) se sont félicités mercredi que l'Europe ait pris conscience de la crise « sans précédent » que traverse le secteur laitier mais soulignent la nécessité d'une « réelle politique agricole commune »...
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« Il ne sera pas possible de revenir aux prix d’avant crise. Les industriels se trouvent face à une double injonction : assurer l’accessibilité des produits aux consommateurs et en même temps une juste rémunération des producteurs »...
Confrontés à une hausse du prix des matières premières et de leurs propres coûts de transformation qui ne diminuent pas, ils estiment compliqué, à date, de rouvrir des négociations commerciales, compte tenu de leurs taux de marge très faible (1 à 3 %)…
La FNIL est la voix des industriels laitiers privés. Elle compte une centaine d’adhérents : des grandes entreprises (Danone, Bel, Savencia et Lactalis) mais aussi une dizaine d’ETI (Olga, SDH, SILL, Bellevaire…) et 80 % de PME. Au total ce sont 300 sites de fabrication répartis dans toute la France, mais particulièrement dans le grand ouest et en Auvergne-Rhône-Alpes, qui emploient 36 000 personnes et génèrent un chiffre d’affaires en France de 20 milliards d’euros…
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La Fnil se félicite des propos du ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire indiquant qu’il n’y aurait pas de renégociation généralisée…
« Les efforts des acteurs de la transformation laitière pour maintenir un prix du lait qui assure la juste rémunération des producteurs de lait sont ainsi reconnus », soulignent les industriels du lait, alors que les coûts de production restent élevés.
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Face à des négociations commerciales « tardives, peu réactives et insuffisamment efficaces » aux dires de la Fédération des industriels laitiers, les acteurs des produits laitiers demandent des hausses de tarifs « légitimes »…
Selon la Fnil, le prix du lait aurait augmenté de près de 25% en un an. Des négociations commerciales estimées « tardives, peu réactives et insuffisamment efficaces », targuant d’une inflation sur les produits laitiers moindre en rayon que celles des coûts, comme le lait entier (+5%), le lait demi écrémé (+6%) ou les yaourts (+7%)…
De son côté, la FNPL a salué les prises de positions d’Intermarché et de Système U. Elle appelle les autres distributeurs à suivre cet exemple et « à ne plus vendre après le 6 septembre 2022 de lait qui ne permet pas une juste rémunération des éleveurs, déconnecté de ce qui est pratiqué dans les pays européens comparables ».
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Dans leur « plaidoyer », les transformateurs laitiers privés se placent comme défenseurs des producteurs. Ils demandent une augmentation des tarifs au vu de la conjoncture.
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Le marché mondial du lait a redémarré très fortement. Mais les industriels se refusent pour l'instant à revoir les prix payés aux éleveurs.
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Thierry Roquefeuil vient d’être désigné comme nouveau président du CNIEL.
Il remplace Olivier Picot, président de la FNIL, qui devient vice-président, avec Dominique Chargé (président de la Fédération Nationale des Coopératives Laitières).
Thierry Roquefeuil et son équipe porteront le projet d’un CNIEL rénové qui a été décidé lors de l’assemblée générale tenue le 26 octobre.
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L'industrie laitière se dit très inquiète des conséquences que pourrait avoir la loi Sapin II sur la filière, si le texte est voté en l'état en septembre. « Nous demandons des réglementations équivalentes pour tout le monde en Europe, or on impose un carcan réglementaire extraordinaire dans la seule France, (...) et en même temps, on est en train de reconstituer un marché national qui va à l'encontre de l'acte unique européen ». Avec cette loi, qui sera examinée en session extraordinaire du Parlement à partir du 26 septembre, les industriels devront indiquer le prix qu'ils paieront au producteur pendant cinq ans.
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Malgré la rencontre entre les ministres agricoles européens à Bruxelles le 14 mars pour essayer de sortir de la crise laitière, les fédérations françaises (FNIL, FNCL) restent sceptiques. Selon elles, l’effort doit venir de tous les pays européens et pas uniquement de la France...
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