Les fabricants d’aliment s’adaptent à la demande de plus en plus diversifiée du monde de l’élevage. Plus que jamais, l’innovation est au cœur du métier.
« Notre métier va changer », assure Stéphane Deleau, (Valorex), intervenant à l’assemblée générale de Nutrinoë sur le volet de la nutrition bovine. « La production laitière se concentre ; dans une dizaine d’années, les laiteries collecteront plus d’un million de litres, en moyenne, par exploitation. La productivité par vache va augmenter grâce à des fourrages de qualité qu’il faudra complémenter au plus juste ».
Il mise sur la diversification de la filière végétale locale pour produire différentes graines qui permettront de répondre aux besoins de segmentation du lait (produits santé, nutrition…). « Nous devrons travailler sur la qualité des aliments composés pour répondre aux cahiers des charges des laiteries ».
« Notre métier va changer », assure Stéphane Deleau, (Valorex), intervenant à l’assemblée générale de Nutrinoë sur le volet de la nutrition bovine. « La production laitière se concentre ; dans une dizaine d’années, les laiteries collecteront plus d’un million de litres, en moyenne, par exploitation. La productivité par vache va augmenter grâce à des fourrages de qualité qu’il faudra complémenter au plus juste ».
Il mise sur la diversification de la filière végétale locale pour produire différentes graines qui permettront de répondre aux besoins de segmentation du lait (produits santé, nutrition…). « Nous devrons travailler sur la qualité des aliments composés pour répondre aux cahiers des charges des laiteries ».
La France (3e) diminue légèrement malgré un sursaut en aliments poulets.
Deux pays progressent fortement en volumes d’aliments : la Pologne grâce à sa filière volaille et l’Irlande, tirée par sa production laitière.
Les premières tendances de 2016 (à fin mai) en Bretagne sont à la baisse dans toutes les productions, surtout en aliments bovins (- 9 %)...