Lait de Normandie... et d'ailleurs
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Alimentation : Les négociations commerciales n'ont pas encore changé

Alimentation : Les négociations commerciales n'ont pas encore changé | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les discussions entre les distributeurs et leurs fournisseurs ont démarré mercredi. La charte engageant les acteurs à prendre en compte les avancées des Etats généraux de l'alimentation est compliquée à mettre en oeuvre. Les intentions vont-elles se transformer en actes ?

Ce mercredi 1er novembre s'est ouvert la période des négociations entre les distributeurs et leurs fournisseurs. Ce «round » qui s'achèvera début mars 2018 marque en théorie le début d'une nouvelle ère.

Les commerçants et les industriels sortent de la guerre des prix. Ils l'ont promis, en tout cas, lors des Etats généraux de l'alimentation...

« Nous avons besoin d'un engagement fort sur le bon déroulement des négociations commerciales pour 2018. Les premiers retours sont très négatifs » indique l'ANIA. La crise du beurre l'a bien montré: les distributeurs renâclent à acheter plus cher bien que le marché soit de plus en plus tendu.

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Les Etats Généraux de l’alimentation, le défi de Stéphane Travert

Les Etats Généraux de l’alimentation, le défi de Stéphane Travert | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

A peine nommé, le nouveau ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation Stéphane Travert, bien qu’inexpérimenté sur ces dossiers, devra mener à bien la tenue des Etats Généraux de l'Alimentation début juillet.

Réconcilier agriculteurs, industriels et distributeurs :

Objectif, faire travailler ensemble tous les acteurs des filières alimentaires, producteurs, transformateurs, distributeurs et consommateurs, pour créer de la valeur et mieux la répartir entre les différents maillons.

Stéphane Travert aura la lourde tâche de prendre rapidement le relais et de parvenir à réunir autour de la table l’ensemble des acteurs de la chaîne, de la fourche à la fourchette, qui semblent actuellement profondément divisés.

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Chaîne alimentaire : Sur 100 €, moins de 7 servent à l’agriculture

Chaîne alimentaire : Sur 100 €, moins de 7 servent à l’agriculture | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Sur 100 euros de consommation alimentaire des ménages, l’agriculture ne capte que 6,8 euros de valeur ajoutée, constate l’Observatoire des prix et des marges.

Dans sa dernière note de décembre, l’Observatoire calcule ainsi que dans 100 euros de consommation alimentaire – restauration incluse – les produits agricoles domestiques représentent 13,5 euros et les valeurs créées en aval, 67 euros (chiffres 2012).

10 % de la valeur ajoutée induite :

Voilà pour la part agricole, mais quid de la valeur ajoutée pour le secteur ? La prise en compte nouvelle de la restauration fait apparaître des résultats plus serrés qu’auparavant : sur 100 euros de consommation alimentaire des ménages, l’agriculture ne capte que 6,8 euros de valeur ajoutée (contre plus de 8 euros avant). Cela représente 10 % de la valeur ajoutée induite dans toutes les branches de l’économie nationale (qui pèse 65,7 euros sur nos 100 euros).

Les industriels captent de leur côté 11,5 € (soit 17,5 % de valeurs ajoutées induites).

Cedric's insight:
Le partage de l’ euro alimentaire : première estimation incluant la restauration, sur http://www.franceagrimer.fr/content/download/48713/467406/file/2016_12_01_LETTRE_n%C2%B011-v2.pdf
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La formation des prix et des marges du pré à l’assiette

La formation des prix et des marges du pré à l’assiette | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Aide à la lecture : sur 100 € de dépenses alimentaires nationales, 61 € constituent les valeurs ajoutées, c’est-à-dire une rémunération brute du travail et du capital, dont 8 € dans l’agriculture française et 53 € dans les autres branches, principalement le commerce et les services.


Avec l’allègement des interventions de la politique agricole commune et le poids croissant des pays émergents sur les marchés mondiaux, les prix agricoles sont devenus plus volatils. Cette situation nouvelle a ravivé les questions sur les écarts entre prix agricoles et prix alimentaires. C’est dans ce contexte et pour éclairer ces débats que la loi de modernisation de l’agriculture de 2010 a créé l’OFPM.

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La nutrition animale face à de nouvelles demandes

La nutrition animale face à de nouvelles demandes | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Les fabricants d’aliment s’adaptent à la demande de plus en plus diversifiée du monde de l’élevage. Plus que jamais, l’innovation est au cœur du métier.

« Notre métier va changer », assure Stéphane Deleau, (Valorex), intervenant à l’assemblée générale de Nutrinoë sur le volet de la nutrition bovine. « La production laitière se concentre ; dans une dizaine d’années, les laiteries collecteront plus d’un million de litres, en moyenne, par exploitation. La productivité par vache va augmenter grâce à des fourrages de qualité qu’il faudra complémenter au plus juste ».
Il mise sur la diversification de la filière végétale locale pour produire différentes graines qui permettront de répondre aux besoins de segmentation du lait (produits santé, nutrition…). « Nous devrons travailler sur la qualité des aliments composés pour répondre aux cahiers des charges des laiteries ».
Cedric's insight:
L’Allemagne reste le 1er fabricant d’aliments en Europe. Sa production baisse légèrement en 2015 en raison de la crise laitière. Elle est talonnée par l’Espagne, en progression de plus de 3 % grâce aux filières porc et volaille, très dynamiques.
La France (3e) diminue légèrement malgré un sursaut en aliments poulets.
Deux pays progressent fortement en volumes d’aliments : la Pologne grâce à sa filière volaille et l’Irlande, tirée par sa production laitière.
Les premières tendances de 2016 (à fin mai) en Bretagne sont à la baisse dans toutes les productions, surtout en aliments bovins (- 9 %)...
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Quand l’Italie et l’Espagne réussissent le marketing de leur filière alimentaire

Quand l’Italie et l’Espagne réussissent le marketing de leur filière alimentaire | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les spécialités d’outre-Pyrénées et transalpines progressent dans les linéaires français. Pendant ce temps, producteurs et distributeurs français se chicanent sur les marges.

La France vient de lancer ses Etats généraux de l'alimentation. Sous l'égide du gouvernement, toute la filière, de l'agriculteur au distributeur en passant par l'industriel, multiplie les ateliers de travail. Stéphane Travert, le ministre de l'Agriculture, promet « une réforme sans précédent », une révolution en quelque sorte, comme il se doit s'agissant d'états généraux.

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Grande distribution : les sales coups de la guerre des prix

Grande distribution : les sales coups de la guerre des prix | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
La pression des distributeurs sur les industriels pour obtenir les tarifs les plus bas perturbe l’ensemble de la chaîne. Les fournisseurs doivent souvent céder aux injonctions des hypermarchés, via des pratiques abusives. A la fin, les producteurs paient l’addition.
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Open Agrifood 2016 : L’innovation sous toutes ses coutures

Open Agrifood 2016 : L’innovation sous toutes ses coutures | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

«Le problème de la France, c'est qu'on veut deux modèles : celui des grandes exploitations pour rivaliser avec les entreprises étrangères et celui du modèle familial», remarque Emmanuel Vasseneix.

Ce dernier qui soutient, dans un même temps, que la distribution a «besoin de différenciation» dans un contexte marqué par une forte concurrence des plateformes de distribution numérique incarnées par la plus célèbre d'entre elles : le géant américain Amazon. Un chiffre inquiétant, cité lors d’échanges, interpelle. Près de 67 % des produits alimentaires seraient issus de 16 multinationales seulement. Cette concentration de l'offre empêche d'entrevoir pour l'heure l'équilibre tant revendiqué à la fois vis à vis des consommateurs et de ceux en amont de la chaîne.

Cedric's insight:
Marque « C'est qui le patron ?» : des résultats prometteurs Lancée fin octobre dernier en partenariat avec la laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôtel, la marque « c'est qui le patron ? » semble donner des premiers signes encourageants.
Vendue à 99 centimes d'euros la brique, près de 800 000 tonnes de lait sur 2 millions produites ont d'ores et déjà été vendues à Carrefour en l'espace de 15 jours. « On va ouvrir d'autres points de vente», assure Emmanuel Vasseneix.
Relatif à la rémunération des éleveurs, le contrat annoncé a bien été rempli. «La paie de lait du mois d'octobre affiche 388 euros les 1 000 litres pour les producteurs contre 270 euros en moyenne sur l'ensemble du territoire», indique le directeur de la laiterie. Depuis l'annonce de cette campagne de responsabilisation du consommateur, Emmanuel Vasseneix affirme avoir relancé une dynamique positive de consommation du lait en France.
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Le défi alimentaire de la Chine : filières animales

Les défis des filières animales en Chine (porc, volaille, lait) : L’AFJA et l’APCA ont organisé en partenariat avec le DEMETER et ABCIS un débat sur « La Chine et son agriculture » (sept. 2016)

Cedric's insight:
Et aussi : le défi alimentaire de la Chine, quelle place pour la France ? sur https://www.youtube.com/watch?v=yeCZVQTPZCI
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Relations production - industrie - commerce : de la nécessité d’une révision de la loi de modernisation de l’économie

Relations production - industrie - commerce : de la nécessité d’une révision de la loi de modernisation de l’économie | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Un seul constat s’impose pour les filières alimentaires en 2015 : - 2,4 % sur les prix agricoles (après - 5,3 % en 2014), - 2 % sur les produits des industries agroalimentaires (- 2,5 % en 2 ans) et + 0,5 % sur les prix à la consommation (Insee)… L’écart est donc de plus en plus net dans les linéaires entre les prix agricoles et ceux payés par le consommateur !

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