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ou les travers de la pub comparative intra-enseigne !
Depuis quelques mois, plusieurs enseignes sont passées en mode publicité comparative au sein même de leur assortiment. Des marques nationales et, en réponse, leur MDD, sensiblement moins chère évidemment. Ce qui s’appelle la publicité comparative intra-enseigne par opposition à la plus classique publicité comparative inter-enseignes…
Exemple chez Casino : Sur l’unité de besoin camembert portion, la MDD est 32 % moins chère que la marque nationale de référence (Président). Problème : les deux prix sont… hors-marché…
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Les raisons du succès de l’épicier de Landerneau, aucun doute : il y a dans sa stratégie une constance dont aucun concurrent ne peut se revendiquer. Il y a évidemment son efficacité à l’achat, c’est un euphémisme. Je me souviens d’Édouard Leclerc, devant ses ouailles, leur expliquer que le premier franc gagné l’est par principe à l’achat…
Mais il y a, surtout, les vertus économiques du discount. Leclerc est factuellement l’enseigne la moins chère. Pas sur tous les produits et tous les rayons, non. Mais en moyenne, si. La conséquence c’est une attractivité commerciale supérieure aux autres. Donc des ventes plus élevées pour une même surface. Ce qu’on appelle le rendement…
Sur ce critère, Leclerc affiche 13 000 €/an/m². Tous les autres, sans exception, sont derrière : environ 10 000 € pour Carrefour et Auchan par exemple. Leclerc écrase donc davantage ses charges, peut pratiquer des marges plus faibles, donc vendre moins cher, donc vendre plus…
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"Le mouvement chez nous est enclenché, on a signé un contrat avec tous les producteurs de lait", a expliqué Dominique Schelcher. "Au mois de septembre, tous les laits de la marque U vont augmenter. La décision est prise, on va se rapprocher de 1 euro le litre. On aura encore un lait premier prix qui sera un peu moins cher pour l'instant, mais la discussion continue. A terme, (le litre de lait à moins d'un euro) ce n'est pas tenable, c'est l'appel (que les producteurs) nous font."
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L'indice des prix de vente de sortie usine (PVI) évoluent bien plus vite et fort quand les acheteurs de produits laitiers sont l'industrie agro-alimentaire, la restauration hors foyer, et les clients à l'export…
La grande distribution reste le débouché où il est le plus compliqué pour les laiteries de faire passer des hausses de tarif. L'indice des prix de vente sortie usine (PVI) a progressé de 5 % en avril par rapport à avril 2021. Cet indice va continuer de croître dans les prochains mois…
Les PVI s'apprécient bien plus auprès de l'industrie de seconde transformation (+45 %/avril 2021). La restauration hors domicile (RHD) a également revalorisé les tarifs de façon conséquente (+14 %), de même que l'export (+15 %). « Les produits d'export seraient constitués pour moitié d'ingrédients laitiers d'après nos estimations »…
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Les enseignes bataillent auprès des géants de l’agroalimentaire pour ne pas suivre la hausse des prix, mais il serait naïf d’y voir une défense des consommateurs…
Faut-il remercier les Carrefour, Leclerc, Auchan et consorts ? Sur les douze derniers mois, les tarifs alimentaires ont progressé de 3,2 % dans les supermarchés, notamment à la suite des hausses négociées début mars avec les industriels, producteurs de pâtes, de conserves ou de yaourts. Une progression certes notable, mais bien inférieure à celle des coûts que supportent les agriculteurs : + 23,3 % sur la même période, selon l’Insee…
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Familles rurales a présenté les résultats de son observatoire 2017 des prix de grande consommation. « La pénurie de matière première sur le beurre a entraîné une véritable flambée des prix », constate Familles rurales dans son observatoire des prix de grande consommation 2017, publié le 24 janvier. « + 15,30 % en moyenne sur l’année », ont constaté les enquêteurs de l’association de consommateurs.
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Le beurre manque en France dans certaines enseignes et non dans d'autres. Le résultat de stratégies divergentes, selon qu'elles acceptent ou non de répercuter la hausse des cours sur le consommateur . Dans une majorité d'Etats européens, les prix de détail ont augmenté plus qu'en France. Le blocage décidé par les distributeurs concernés suscite l'indignation de la FNSEA, alors que les actions des agriculteurs se multiplient dans les magasins adeptes du boycott.
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Et si la dernière sortie du PDG de l'enseigne Leclerc révélait surtout sa peur panique de l'arrivée d'Amazon sur le marché français? ce que l'on sait avec Amazon, c'est que les prix seront bas, car facilement comparables sur le Net, que le service sera au meilleur niveau (livraison rapide, éventuellement en une heure et pas chère voire gratuite pour les abonnés). Et si Michel-Edouard Leclerc était tout simplement en train de nous montrer qu'il a une peur panique de l'arrivée d'Amazon sur le marché français?
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Depuis 2009 l’expansion du Bio a été fulgurante. Le mangé sain devenant une des préoccupations majeures des consommateurs. Bien que le lien entre bonne santé et Bio n’ai jamais pu être constaté scientifiquement, il en va de même aujourd’hui pour le Véganisme.
En 2010 la situation commence à se dégrader avec, souvenez vous, le Bio à 1€ chez Auchan Les autres distributeurs ne pouvaient rester sans réponse et ont tous engagé la bataille du prix. Nos amis Leclerc y ont même vu une opportunité en sur-communiquant sur le Bio moins cher en allant jusqu’à créer un comparateur.
Alors comment produire Bio tout en cassant les prix ?
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Dans une tribune publiée le 12 septembre 2017, Olivier Dauvers, spécialiste de la grande distribution, met en garde les participants aux États-généraux de l’alimentation contre la tentation de « prix politiques ».
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A quelques jours du lancement des Etats généraux de l’alimentation, Carrefour exhorte ses producteurs à aller plus loin dans la création de valeur. Lors du forum des solutions de l’agroécologie organisé ce jeudi 29 juin à Paris, le distributeur a annoncé le lancement de deux nouvelles filières de production
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Toutes les enseignes de la distribution réunies au sein de la FCD ainsi que Leclerc et Intermarché se sont engagées à rouvrir des négociations tarifaires avec les entreprises laitières dans le respect de la loi Sapin 2. Mais pour négocier il faut être deux ! Les entreprises qu’elles soient coopératives ou privées ont la responsabilité d’aboutir dans ces négociations avec la revalorisation du prix du lait payé au producteur dès juillet, a minima à hauteur de 340 euros/1000 litres, comme « unique » objectif.
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Les deux laiteries d’Intermarché se sont engagées sur un prix du lait de 340 €/1 000 l de lait à partir de juillet. Le distributeur invite les autres acteurs de la filière à plus de transparence.
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Lidl a annoncé qu’il déployait une réduction d’environ 5 % sur bon nombre de ses produits laitiers. Cette décision verra le prix d’un carton de lait de deux litres vendu sous la marque propre Lidl passer de 2,19 € à 2,09 €, tandis que le prix d’un litre de lait passera de 1,15 € à 1,09 €…
Le directeur général de Lidl Irlande et Irlande du Nord, a déclaré qu’il y avait eu récemment “une certaine réduction du coût de la production laitière”, ce qui a également aidé la décision. En moins de trois heures, Aldi avait réagi avec sa propre baisse de prix, suivie peu après par Tesco…
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Face à l’inflation des coûts, l’industrie agroalimentaire et la grande distribution sont engagées dans un bras de fer. Les enseignes commerciales appliqueraient des « pénalités logistiques » indues… « Les pénalités logistiques ? Une spécificité française dont on se passerait bien… » Les pénalités logistiques, prévues pour sanctionner des retards de fournisseurs dans la livraison de biens alimentaires, seraient utilisées par certains distributeurs « pour se refaire une santé financière »… Depuis la guerre en Ukraine, les coûts de production des industriels ont flambé : +29 % pour les matières premières agricoles, +26 % pour les emballages, +57 % pour l’énergie, selon l’Ania. Mais « les hausses accordées (8 % selon la FCD) sont en deçà des demandes. Le gouvernement évoque une « démarche d’étouffement des industriels par la grande distribution ». Seule la moitié des entreprises seraient parvenues à obtenir des hausses, à environ 6%, au lieu des 8 à 9% qu’elles espéraient. Si la loi Alimentation (Egalim 2) oblige les distributeurs à répercuter le coût des matières premières agricoles, elle ne « sanctuarise » pas le coût énergétique des industriels…
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Le lait : Produit symbolique, consommation régulière, tout est réuni pour que le prix du lait soit un marqueur. A surveiller comme le lait sur le feu ! C’est probablement la raison de l’écart actuel entre l’évolution du prix à la ferme et du prix en rayon…
Que le prix payé aux producteurs soit insuffisant est entendable, que les commerçants et les laiteries en profitent est… faux. C’est même l’inverse…
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Une enquête apporte des éléments précis sur les marges réalisées par les grands distributeurs sur certains produits laitiers. De quoi relancer très sérieusement le débat à propos de la concurrence et de l’opacité de ce marché…
Les marges brutes de Migros et Coop sont élevées, très élevées même, en fonction du produit et de la référence : 66% pour une tomme vaudoise, 92% pour un yogourt !
Les paysans vendent leur lait à perte, les prix payés étant inférieurs à leurs coûts de production. Et, il faut le savoir, le lait leur est rétribué en fonction de son utilisation par les transformateurs, et non de sa qualité. Résultat : les producteurs doivent multiplier les activités à côté de l’élevage de vaches laitières pour toucher des paiements directs et d’autres sources de revenus.
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Au rayon produits laitiers, l’écart se réduit entre le bio et le conventionnel selon les données Kantar du premier trimestre. Mais les ventes restent décevantes pour le label AB…
Si les achats des ménages pour leur consommation à domicile ont sans surprise reculé entre 2021 et 2022 puisque la restauration hors domicile avait rouvert et le télétravail était moins fréquent, la chute est bien plus rude pour le bio que le conventionnel…
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Le gouvernement va imposer aux distributeurs un seuil de revente à perte de 10% sur les produits alimentaires dans un projet de loi destiné à soutenir les producteurs agricoles. • Un seuil de revente à perte de 10%, ça veut dire quoi?
• À quoi sert ce seuil?
• Doit-on craindre une hausse des prix pour les consommateurs?
• Cette mesure convainc-t-elle les syndicats agricoles?
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Tnuva devrait signer un accord de compromis conclu par l’entreprise avec l’Autorité de la concurrence, dans lequel la société devra payer 25 millions de shekels. Tnuva admet avoir commis des violations flagrantes sur les prix à la consommation dans les années 2008-2011 : de fait, la société aurait arrangé ses prix en accord avec ses concurrents. Elle admet que les prix à la consommation ont été fixés avec les réseaux de distributions (Shufersal, Mega, etc…) dans le but d’augmenter les prix à la vente. Pourquoi est-ce problématique? Lorsque les chaînes de distribution déterminent elles-mêmes le prix à la consommation, la concurrence peut entraîner une baisse des prix, car chaque chaîne voudra attirer des acheteurs pour l’acheter. Lorsqu’une entreprise est puissante sur le marché et qu’elle fixe le prix, le distributeur ne peut plus faire jouer la concurrence en réduisant les prix des produits.
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«Des hausses de prix de 5 % à 15 % sur des milliers d'articles alimentaires… sous prétexte d'aider les agriculteurs !» Une prophétie étonnante de la part de Michel-Édouard Leclerc, président de l'enseigne fondée par son père, qui se targue de réussir à défendre le pouvoir d'achat des Français. En préambule d'une vaste campagne de pub démarrant lundi, le plus médiatique des patrons de la distribution craint sur son blog que les États généraux de l'alimentation (EGA) ne débouchent sur une flambée des prix.
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Michel-Edouard Leclerc, patron de la chaine d'hypers et supermarchés, s'est dit mercredi prêt à accepter la fixation de "prix de crise" sur certains produits comme le porc ou le lait, afin de soutenir les agriculteurs.
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Après les mouvements de colère des producteurs de lait , la distribution française a quasi-unanimement promis − notamment Leclerc, Intermarché et Système U − de contribuer à améliorer le prix qui leur est payé, notamment via les produits sous MDD.
« Quelle hypocrisie ! » a réagi la Fnil , estimant que le redressement du marché laitier n'a pas été répercuté dans les prix moyens sortie usine, en baisse pour le lait, les fromages ou les yaourts, à l'exception du beurre.
Et de rappeler que « les négociations entre industriels et distributeurs portent sur les produits laitiers transformés et non sur le lait matière première ».
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Le distributeur indépendant E. Leclerc s'est engagé vendredi à rémunérer les éleveurs fournisseurs de sa marque propre 350 euros les 1.000 litres de lait,
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Aldi a augmenté les prix pour le lait frais et le lait UHT, mais également pour le beurre. Le prix d’un litre de lait a augmenté de 3 centimes. De manière générale, des légères augmentations de prix peuvent être observées dans la distribution alimentaire allemande. En fonction de la teneur en matière grasse du lait, le prix d’un litre varie entre 63 centimes EUR et 68 centimes EUR, ce qui correspond à une augmentation de 4,6 et 5%. Les prix du lait sans lactose ainsi que du lait « Bayrische Bauernmilch », qui reflète une image plus artisanale, ont également augmenté. Le prix d’un paquet de 250g de beurre a augmenté de 8,4 % et s’élève ainsi à 1,29 EUR. De même, le prix du beurre biologique et du beurre irlandais a augmenté de 10 centimes EUR par unité. Selon la fédération de l’industrie laitière de Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Landesvereinigung der Milchwirtschaft Nordrhein-Westfalen), le beurre en vrac destiné à l’industrie agroalimentaire est plus cher que le beurre emballé destiné aux consommateurs finaux. Ce phénomène reflète la forte demande pour le beurre de la part de l’industrie agroalimentaire. La fédération de l’industrie laitière précise que de manière générale, la demande pour le beurre et le fromage est élevé sur le plan international.
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