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Si, déjà en 2022, on pensait que les prix (+6,3%) avaient crevé tous les plafonds dans la grande distribution française, que dire de l’inflation record qui a sévit en 2023 à près de 13% ? Du jamais vu !
En deux ans, les prix alimentaires en GMS ont donc augmenté de plus de 20% pour les consommateurs sans aucun espoir de déflation ! Il n’est donc pas étonnant de voir les consommateurs commencer à sérieusement réduire leur volume d’achat. En 3 ans, les volumes d’achats alimentaires (PGC-FLS) en GMS se sont donc contractés de près de 6,5% ! Du jamais vu non plus en 50 ans !
Les ménages consomment-ils moins pour autant en volume ? Non mais ils achètent beaucoup moins en GMS tout en privilégiant clairement la restauration hors foyer par nécessité (le midi) et/ou par commodité le soir. Cette fragmentation des achats en faveur de la restauration commerciale rapide, principalement en soirée, et surtout en faveur du snacking et des sandwicheries au moment du déjeuner, ne va pas sans inquiéter la grande distribution qui voit ses volumes de ventes fondre comme neige au soleil depuis ! En effet, en réaction aux 20% d’inflation, la demande de produits alimentaires en GMS s’est normalement compressée…
Depuis 3 ans, la baisse continue des volumes achetés par les ménages vient donc normalement sanctionner la politique de « greedflation » menée à leur encontre, à la fois, par les distributeurs et certaines multinationales de l’agro-business. Le cycle de « greedflation » touchera à sa fin quand la baisse continue des volumes détruira mécaniquement les sur-profits et que le jeu concurrentiel mettra en orbite la préférence des consommateurs pour de nouveaux canaux de distribution telle que la livraison de solutions de repas à domicile par Uber, Deliveroo et Just Eat France…
Dans la grande distribution, la loi de la gravité tourne toujours autour des volumes achetés et l’inquiétude commence à gagner face à leur érosion…
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FCD - Conjoncture : le commerce et son environnement
Nouvelle note de conjoncture de la Fédération du Commerce et de la Distribution au 1er juin 2023
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L’inflation fait monter les prix. Industriels et commerçants s’accusent mutuellement d’en être la source en augmentant leurs marges respectives. Un renvoi de responsabilité qui ne trompe personne…
Chacun cherche à se dédouaner de sa responsabilité dans la hausse des prix. Les commerçants accusent les industriels d’avoir augmenté leurs marges, alors que les industriels de leur côté portent la même accusation. La balle change de camp à chaque passage sur les plateaux ou via les communiqués. Mais à la fin, c’est le consommateur qui paie quoiqu’il arrive…
L’exemple de cette situation est donné par Jacques Creyssel, délégué général de la Fédération du Commerce et de la Distribution, qui émet l’idée d’une responsabilité des industriels dans l’augmentation des marges faites sur les produits. Il dénonce « une attitude irresponsable sur le sujet », soupçonnant le profit des grands industriels qui « veulent profiter de la situation. Ils ont tous augmenté leur marge pour 2023 ». Chacun y va de son intérêt, comme le prouve la réponse de Christophe Piednoël, porte-parole du groupe Lactalis. Il signale des propos « totalement inacceptables »…
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« Les supermarchés ont gagné la bataille de l’imaginaire » : En se mettant systématiquement du côté du peuple, la grande distribution a su s’imposer dans l’esprit des consommateurs. Le supermarché est devenu l’un des principaux piliers de l’économie française, prenant la place de l’industrie dans la structuration des territoires…
En cet hiver marqué par le retour de l’inflation, la puissance publique, du moins en France, n’a qu’une obsession : préserver par tous les moyens ce niveau de vie des Français, afin de maintenir un minimum de cohésion sociale dans le pays…
Le pouvoir d’achat, une notion datée, fait toujours recette en France, autour de l’alliance de fait entre pouvoirs publics et grande distribution…
En France, le consommateur est roi. Nécessairement, la filière de la production à la transformation s’en ressent, malgré Egalim qui tente de sanctuariser le revenu agricole. A l’opposé, l’Allemagne défend d’abord son outil industriel et les catégories sociales les plus fragiles…
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L’inflation des produits alimentaires ne s’explique pas, ces derniers temps, par un accroissement des marges de la transformation ou de la distribution.
La contraction de l’EBE de l’industrie agroalimentaire contribuerait, à elle seule, à réduire la hausse des prix finaux à la consommation des biens alimentaires de 1,3%. L’EBE de la grande distribution connaît une légère baisse ou une stagnation. »…
Les cours des matières premières agricoles devraient rester à des niveaux élevés en 2023. La flambée actuelle des coûts de l’énergie va très probablement perdurer et pourrait s’amplifier en 2023, conduisant l’industrie agroalimentaire à augmenter ses demandes tarifaires…
Les contraintes sur l’offre liées à l’approvisionnement, à la pénurie de main d’œuvre et au financement pourraient limiter les volumes de production de produits alimentaires, créant ainsi un ajustement supplémentaire à la hausse des prix de vente à la grande distribution. »
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Accélération du discount, réductions des effectifs, ... Carrefour présentait ce mardi son « nouveau plan stratégique 2026 » visant à augmenter la compétitivité du groupe…
Propriété du groupe depuis 2007, les magasins-entrepôts Atacadão présents dans plus de 170 villes brésiliennes proposent de gros conditionnements à des prix très attractifs. Le premier magasin ouvrira ses portes dans l’Hexagone en 2023 en Île-de-France…
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Le patron de Système U s’inquiète des risques de faillite dans le secteur agro-alimentaire. Près de 12 % des produits manquent déjà en rayon, aggravant la dépendance aux importations.
Des producteurs aux distributeurs, les inquiétudes se multiplient à tous les niveaux de la chaîne alimentaire face à l’envolée des coûts de l’énergie. Les tensions ont engendré une recrudescence des ruptures de certains produits. Pour de multiples raisons, y compris celles liées à un manque de personnel, comme dans les entrepôts ou chez les transporteurs, où manquent encore aujourd’hui 40 000 chauffeurs routiers…
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Le président du groupement Les Mousquetaires, se plaint des hausses déraisonnables de tarifs demandées par certains grands industriels, et du manque de transparence des industriels laitiers…
Didier Duhaupand se dit « fier de vendre le lait plus cher qu’ailleurs. (…) Il faut s’occuper du monde agricole, les producteurs de lait en font partie ». Il rappelle avoir commencé avec sa laiterie de Saint-Père. « On a dit aux autres industriels qu’on allait vendre le litre de lait à 95 centimes dans nos rayons. On s’attendait à des rencontres tripartites mais les industriels ne sont pas venus », a-t-il déploré, reprochant aux industriels laitiers de ne pas se montrer transparents sur le prix payé au producteur laitier…
« Il faut dire au consommateur et au monde agricole ce qu’il se passe. C’est facile d’aller déverser du lait, du fumier dans nos parkings, et le monde agricole a raison de se mobiliser mais les produits agricoles sont majoritairement transformés, et les transformateurs ne veulent pas faire preuve de transparence, ne veulent pas dire le prix qu’ils payent aux producteurs.»
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[Infographie] PGC FLS : Faits marquants du 1er semestre 2022
[Infographie] PGC FLS : Faits marquants du 1er semestre 2022
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Alternative économique à la MDD standard, la marque premier prix (MPP), qui, d’une enseigne à l’autre, revendique un prix inférieur de 15 à 20 % par rapport à la marque distributeur, et environ 50 % par rapport à la marque nationale, profite de la conjoncture…
• + 18,4 % : l’évolution du CA des MDD économiques (0 % pour les classiques et - 6,4 % pour les thématiques)
• 1,9 % : la part de marché en valeur des MDD premiers prix, à + 0,3 point par rapport à la même période il y a un an e
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Les enseignes bataillent auprès des géants de l’agroalimentaire pour ne pas suivre la hausse des prix, mais il serait naïf d’y voir une défense des consommateurs…
Faut-il remercier les Carrefour, Leclerc, Auchan et consorts ? Sur les douze derniers mois, les tarifs alimentaires ont progressé de 3,2 % dans les supermarchés, notamment à la suite des hausses négociées début mars avec les industriels, producteurs de pâtes, de conserves ou de yaourts. Une progression certes notable, mais bien inférieure à celle des coûts que supportent les agriculteurs : + 23,3 % sur la même période, selon l’Insee…
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Les prix des produits dans les supermarchés ont augmenté en moyenne de 5 % pour pallier la hausse des matières premières dues au conflit en Ukraine…
Les géants de l'alimentaire semblent pour l'heure traverser la période d'inflation aiguë sans dommages sur leurs comptes. Nestlé a annoncé ce jeudi avoir augmenté ses ventes de 7,6 % au cours du premier trimestre. Les analystes attendaient 5,1 %. Son rival Danone a annoncé mercredi la croissance la plus rapide de ses ventes trimestrielles en sept ans…
Une augmentation de 5 % en moyenne des prix des produits de grande consommation a ainsi permis aux géants de l'alimentation de maintenir leurs objectifs et même de les dépasser au premier trimestre.
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Petite étude comparative de la France avec les autres pays européens en matière d’inflation…
Le taux d’inflation annuel de l’Union européenne s’est établi à 6,2% en février 2022 selon les chiffres d’Eurostat contre 5,6% en janvier. Et au sein de chaque pays européen, les taux annuels varient fortement. Au bas du tableau, la France avec Malte affiche le plus petit score à 4,2%, suivie du Portugal, de la Finlande et de la Suède (à 4,4%). L’Allemagne se situe à 5,5% d’inflation annuelle, quand l’Italie se trouve à 6,2% et l’Espagne à 7,6%. Les taux les plus élevés sont enregistrés en Lituanie (14%), en Estonie (11,6%) et en Tchéquie (10%), la Belgique arrivant juste derrière avec 9,5%...
L’inflation est due à la hausse des prix de l’énergie mais aussi des prix de l’alimentation. Et là encore si on compare l’évolution des prix des produits alimentaires au sein de l’Union européenne, la France se situe en bas du tableau avec une hausse de 2,3% en février 2022 contre 5,5% pour l’Union européenne, 5% pour l’Allemagne, l’Italie et les Pays-Bas, 5,6% pour l’Espagne et même 15,5% pour la Serbie…
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L’analyse du circuit proximité montre d’abord qu’il résiste mieux que les autres circuits en 2023. En cumul à date, les volumes y sont légèrement positifs : + 0,3 %. C’est certes modeste mais c’est mieux que les hypers, les supers, le discount et même le e-commerce. La cause est d’abord à chercher dans la modification de l’offre, via la promo, + 23% cette année, même si la proxi n’échappe pas à la rationalisation en cours – 3 %.
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Dominique Schelcher, directeur général de Système U : "Jusqu'à présent, le chiffre est de 14 à 15 % d'inflation alimentaire : mon pronostic ce matin, c'est une inflation malheureusement supplémentaire, dans les semaines et les mois qui viennent, d'environ 10 %"…
"Il y a une recherche d'effet d'aubaine" des industriels. Des négociations avec les grandes marques qui sont "difficiles", selon lui. "Parce que le sujet, c'est qu'on manque cette année de transparence dans les négociations : quand il y a un certain nombre de matières premières qui, depuis plusieurs mois, sont à la baisse, pourquoi continue-t-on à nous demander des hausses de prix ? Aujourd'hui, c'est 15 % de hausse qui nous sont demandés par les industriels."…
"Le blé est en baisse de 23 %, l'huile de 40 % sur ces derniers mois. Le beurre, le maïs, l'acier, l'aluminium, les emballages, les transports sont à la baisse. D'ailleurs les PME, avec qui nous avons plus facilement conclu nos accords, demandent moins de hausse avec les mêmes matières, les mêmes emballages que les grandes marques."…
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Depuis quelques mois, les Allemands se retrouvent devant des étagères vides pour certains produits de grandes marques dans les supermarchés Rewe et Edeka. Les deux poids lourds de la distribution ne font pas ici les frais d’une baisse de production ou d’un manque de chauffeurs de camion…
Les chips, barres chocolatées ou produits cosmétiques disparaissent des rayons en raison de désaccord autour de hausses réclamées par les producteurs, souvent des grandes multinationales, et refusées par ces réseaux. Contacté par l’Opinion, le groupe Rewe martèle n’accepter que des hausses « justifiables et appropriées »…
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« Les demandes de revalorisation qui nous parviennent des fournisseurs sont à des niveaux extrêmement élevés : entre 15 % et 25 % sur de nombreux produits ». Les industriels avaient jusqu’au 1er décembre pour soumettre leurs propositions de tarifs des produits de grande consommation à marque nationale. Et les deux parties jusqu’au 1er mars 2023 pour parvenir à un accord…
« Il y a un an, les industriels avaient demandé une hausse moyenne de 7 % et obtenu environ 3,5 % », souligne Thierry Dahan, médiateur des relations commerciales agricoles. Mais les coûts de production se sont envolés. Les prix des matières premières agricoles, des emballages, du transport, de l’énergie ont flambé. Résultat, fin novembre, le curseur de l’inflation alimentaire atteignait 12 % dans les supers et hypermarchés. Mais, pour certaines entreprises, les dernières augmentations obtenues sont encore insuffisantes pour conserver leur rentabilité…
Un surcoût certifié par un tiers entre dans le cadre de la loi EGalim 2, promulguée il y a un an. Ayant pour objectif de protéger la rémunération des agriculteurs, elle sanctuarise la part de la matière première agricole dans les tarifs, devenue non négociable, à condition d’apporter la preuve tangible de son coût…
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ME Leclerc a averti que les négociations qui auront lieu entre industriels et grande distribution vers Noël risquaient de conduire à de fortes hausses des prix…
L’inflation - à 6,2 % sur un an en octobre selon l’Insee - ne sera « pas que passagère », les Français devaient s’attendre à vivre une inflation « à deux chiffres » après les nouvelles négociations qui auront lieu aux alentours de Noël étant donné les hausses tarifaires demandées par les agro-industriels. « Il n’y a aucune demande de hausse inférieure à 2 chiffres »…
Les industriels accusent la grande distribution de refuser de payer plus cher des denrées qui coûtent plus à produire. Les distributeurs, quant à eux, estiment certaines hausses de prix injustifiées…
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Un rapport de Bercy estime que les prix des produits alimentaires ne sont pas artificiellement gonflés. Aucune des trois parties qui composent un prix de vente, agriculteurs, industriels et distributeurs, n’a augmenté sa marge au passage. Au contraire, l’enquête montre qu’une partie de l’inflation a été absorbée par l’industrie agroalimentaire et la grande distribution.
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Face à l’inflation des coûts, l’industrie agroalimentaire et la grande distribution sont engagées dans un bras de fer. Les enseignes commerciales appliqueraient des « pénalités logistiques » indues… « Les pénalités logistiques ? Une spécificité française dont on se passerait bien… » Les pénalités logistiques, prévues pour sanctionner des retards de fournisseurs dans la livraison de biens alimentaires, seraient utilisées par certains distributeurs « pour se refaire une santé financière »… Depuis la guerre en Ukraine, les coûts de production des industriels ont flambé : +29 % pour les matières premières agricoles, +26 % pour les emballages, +57 % pour l’énergie, selon l’Ania. Mais « les hausses accordées (8 % selon la FCD) sont en deçà des demandes. Le gouvernement évoque une « démarche d’étouffement des industriels par la grande distribution ». Seule la moitié des entreprises seraient parvenues à obtenir des hausses, à environ 6%, au lieu des 8 à 9% qu’elles espéraient. Si la loi Alimentation (Egalim 2) oblige les distributeurs à répercuter le coût des matières premières agricoles, elle ne « sanctuarise » pas le coût énergétique des industriels…
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La guerre en Ukraine conjuguée à l'inflation des coûts de production et à la canicule de cet été, qui s'est traduite par une sécheresse historique, désespère un peu plus encore les éleveurs…
De leur côté, les agro-industriels reprochent aux distributeurs de ne pas prendre en compte la flambée des coûts de production et de transformation (emballage, transport, énergie nécessaires...)….
Leclerc a relevé en substance que le prix de vente du lait en grandes surfaces n'avait pas nécessairement de lien avec la rémunération des producteurs. Leur revenu dépendrait davantage du prix auquel les industriels leur achètent le lait pour le conditionner...
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L'inflation modifie le comportement des consommateurs. La hausse des coûts se poursuit. Les quatre prochains mois seront décisifs pour beaucoup d'acteurs de ce secteur sous pression.
Tout en gardant les yeux fixés sur leurs clients, les dirigeants des chaînes de grandes surfaces jonglent avec une multitude de sujets pas moins urgents : hausse des salaires, crise énergétique, investissements pour le climat. Le tout forme un cocktail qui pourrait être détonnant pour le secteur.
1. Gérer l'inflation
2. Suivre les arbitrages des consommateurs
3. Vers une baisse du non alimentaire
4. Contrôler la hausse des coûts
5. Anticiper la consolidation du secteur
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L'indice des prix de vente de sortie usine (PVI) évoluent bien plus vite et fort quand les acheteurs de produits laitiers sont l'industrie agro-alimentaire, la restauration hors foyer, et les clients à l'export…
La grande distribution reste le débouché où il est le plus compliqué pour les laiteries de faire passer des hausses de tarif. L'indice des prix de vente sortie usine (PVI) a progressé de 5 % en avril par rapport à avril 2021. Cet indice va continuer de croître dans les prochains mois…
Les PVI s'apprécient bien plus auprès de l'industrie de seconde transformation (+45 %/avril 2021). La restauration hors domicile (RHD) a également revalorisé les tarifs de façon conséquente (+14 %), de même que l'export (+15 %). « Les produits d'export seraient constitués pour moitié d'ingrédients laitiers d'après nos estimations »…
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En réaction à l'inflation, les Américains ont brusquement décidé de limiter leurs dépenses portant sur des biens. Un basculement lourd de conséquences…
Wall Street inflige aux plus grands noms de l'économie réelle des punitions que l'on n'a pas vues depuis le krach de 1987. Les leaders de la distribution que sont Walmart, Target, Costco, Kohl's et Amazon ont vu leurs cours plonger en quelques heures de 15 à 25%...
Ces sociétés, qui sont aussi les plus grands employeurs privés des États-Unis, ont toutes à des degrés divers choqué leurs actionnaires en leur faisant part de changements dans le comportement des consommateurs qui sont gravement défavorables à leurs ventes…
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Sur un an, selon l’INSEE, l’inflation atteint 4,5% en mars. Selon l’institut IRI, , la hausse dans les grandes surfaces est pour l’instant d’1,5% sur un an…
Mais le phénomène devrait s’accélérer : "On pense qu’au mois d’avril, on va être à +3% (…) et on imagine qu’à l’été on pourrait être autour de +5% par rapport à l’été 2021"…
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