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Cedric
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Face à l’inflation des coûts, l’industrie agroalimentaire et la grande distribution sont engagées dans un bras de fer. Les enseignes commerciales appliqueraient des « pénalités logistiques » indues… « Les pénalités logistiques ? Une spécificité française dont on se passerait bien… » Les pénalités logistiques, prévues pour sanctionner des retards de fournisseurs dans la livraison de biens alimentaires, seraient utilisées par certains distributeurs « pour se refaire une santé financière »… Depuis la guerre en Ukraine, les coûts de production des industriels ont flambé : +29 % pour les matières premières agricoles, +26 % pour les emballages, +57 % pour l’énergie, selon l’Ania. Mais « les hausses accordées (8 % selon la FCD) sont en deçà des demandes. Le gouvernement évoque une « démarche d’étouffement des industriels par la grande distribution ». Seule la moitié des entreprises seraient parvenues à obtenir des hausses, à environ 6%, au lieu des 8 à 9% qu’elles espéraient. Si la loi Alimentation (Egalim 2) oblige les distributeurs à répercuter le coût des matières premières agricoles, elle ne « sanctuarise » pas le coût énergétique des industriels…
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Une enquête apporte des éléments précis sur les marges réalisées par les grands distributeurs sur certains produits laitiers. De quoi relancer très sérieusement le débat à propos de la concurrence et de l’opacité de ce marché…
Les marges brutes de Migros et Coop sont élevées, très élevées même, en fonction du produit et de la référence : 66% pour une tomme vaudoise, 92% pour un yogourt !
Les paysans vendent leur lait à perte, les prix payés étant inférieurs à leurs coûts de production. Et, il faut le savoir, le lait leur est rétribué en fonction de son utilisation par les transformateurs, et non de sa qualité. Résultat : les producteurs doivent multiplier les activités à côté de l’élevage de vaches laitières pour toucher des paiements directs et d’autres sources de revenus.
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Cedric
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Chaque année, le feuilleton des négociations commerciales entre laiteries et distributeurs anime le mois de février. L’enjeu est capital pour le prix du lait à la production en 2017.
La hausse permettra-t-elle de revenir au tarif de 2014, comme le veut la FNPL ?
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Cedric
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Les FDSEA de l’Ouest demandent aux laiteries de penser « prix » avant de penser « volume ». Et elles annoncent que dans les actions à venir, elles cibleront les marques et distributeurs qui ne joueront pas le jeu des négociations commerciales.
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Changement de cap pour l’agriculture biologique et l’Agence Bio en vue. Avec un taux croissance à deux chiffres depuis plusieurs années, l’agriculture biologique entre dans l’ère de la massification. Mais les filières y sont-elles prêtes ?
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la chute du prix du lait à la ferme porte beaucoup de producteurs laitiers à pointer du doigt les supermarchés et les « guerres du lait». Cependant, la solution proposée d'augmenter le prix que nous payons pour transmettre plus de profit aux agriculteurs est erronée. Les supermarchés ont été le moteur de la baisse du coût des produits de base comme le lait depuis 2011. Mais le coupable réel sous-jacent pour la baisse des prix a été la surabondance mondiale de l'offre par rapport à la demande entraînant une baisse du prix mondial, avec seulement une compensation partielle de la baisse du taux de change australien.
La politique actuelle en Australie est de laisser les forces du marché fixer les prix plutôt que de subventionner certaines industries. La fixation des prix pour l'industrie laitière, serait un retour aux "mauvais jours" avec un risque d'une diminution de la productivité agricole....
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En quoi consistent exactement ces discussions entre les producteurs et la grande distribution, lors desquelles les prix et les volumes d'achat sont âprement négociés ? Decryptage Les négociations...
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Cedric
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Pendant six mois, sur chaque litre de lait, trois centimes seront réaffectés aux producteurs. L’enseigne joue la carte tricolore dans ses approvisionnements.
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A l'issue de la rencontre entre le Premier ministre, le ministre de l'Agriculture, celui de l'Économie et les patrons de GMS à Matignon le 8 février, un terrain d'accord a été trouvé [...]...
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Rapport 2015 de l'Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires - - FranceAgriMer
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Le lait : Produit symbolique, consommation régulière, tout est réuni pour que le prix du lait soit un marqueur. A surveiller comme le lait sur le feu ! C’est probablement la raison de l’écart actuel entre l’évolution du prix à la ferme et du prix en rayon…
Que le prix payé aux producteurs soit insuffisant est entendable, que les commerçants et les laiteries en profitent est… faux. C’est même l’inverse…
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Les enseignes bataillent auprès des géants de l’agroalimentaire pour ne pas suivre la hausse des prix, mais il serait naïf d’y voir une défense des consommateurs…
Faut-il remercier les Carrefour, Leclerc, Auchan et consorts ? Sur les douze derniers mois, les tarifs alimentaires ont progressé de 3,2 % dans les supermarchés, notamment à la suite des hausses négociées début mars avec les industriels, producteurs de pâtes, de conserves ou de yaourts. Une progression certes notable, mais bien inférieure à celle des coûts que supportent les agriculteurs : + 23,3 % sur la même période, selon l’Insee…
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Jean-Philippe Girard, le président de l’Association des industries alimentaires (Ania), a affirmé le 13 février 2017, que les distributeurs demandent des baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 % dans le cadre des négociations annuelles. « c’est inquiétant. On voit le lait qui a progressé de 30 %, les oranges de 50 % et en face des acheteurs qui disent : “Écoutez, nous, ce n’est pas notre problème, on veut le même prix que l’an passé” »
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Sur les marchés mondiaux, les prix des produits laitiers repartent à la hausse de manière significative grâce à une baisse généralisée de la production. Mais la Fnil, qui représente les industriels laitiers, estime que la répercussion de la hausse des cours aux producteurs français sera difficile. Le syndicat justifie ces prochaines difficultés par les négociations commerciales qui démarrent et la guerre des prix que se livrent les distributeurs.
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Intimidations, comportements abusifs, pratiques illégales… les quatre centrales d’achat de la grande distribution profitent d’un rapport de force disproportionné dans leurs négociations avec les producteurs. La guerre des prix fait rage et les paysans se noient.
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Pour Olivier Mével, consultant en stratégie des entreprises agroalimentaires, universitaire breton, seule la remise en cause du pouvoir de marché de la grande distribution, en l’ouvrant à la concurrence étrangère, est de nature à rééquilibrer les relations commerciales.
D’année en année, les négociations commerciales entre industriels et distributeurs sont de plus en plus difficiles. Pourquoi ?
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L'accord sur le lait, qui prévoit d'octroyer un supplément direct unique aux producteurs laitiers actifs en Belgique, a été entièrement payé par les consommateurs, "les grandes surfaces ayant choisi de répercuter entièrement sur le consommateur leur contribution obligatoire au fonds destiné aux producteurs laitiers", selon un rapport de l'observatoire des prix du SPF Economie.
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La fédération nationale des industries laitières pointe elle aussi la position ambivalente des distributeurs. "Ils se targuent d'avoir maintenu les prix sur le lait de consommation à marques nationales" mais de tels engagements, calcule la Fnil, ne concernent en réalité que 2,9% de la production laitière française.
Dans le même temps, les acheteurs de la grande distribution ont selon la fédération "exigé et obtenu" des baisses de prix sur les autres produits laitiers, fromages, beurre et ultra-frais.
"Dans un yaourt, le prix du lait c’est 18%, a répondu sur France Info Jacques Creyssel, le président de la fédération du commerce et de la distribution. A côté, il y a un pot en plastique, dont le prix dépend du cours du pétrole. C’est normal qu’il y ait des discussions sur les autres produits qui rentrent dans la composition de ce que vous mangez tous les jours."
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Invités par la FNPL mercredi 17 février 2016, neuf représentants de la distribution ont signé la « charte de valeurs » proposée par le syndicat en faveur de relations commerciales plus transparentes et un partage du risque de volatilité. Les tractations se poursuivent pour faire signer les transformateurs, privés ou coopératifs, plus réticents à apposer leur signature.
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Flers. Prix du lait. "Inverser le rapport de force" La FDSEA est venue faire un point sur le déréférencement des produits d’industriels dans les grandes surfaces, en se rendant au centre Leclerc de Flers.
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