Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
Analyse de la création et de la répartition de la valeur dans la filière bovin lait française...
Alors que les prix des produits laitiers achetés en magasins ont connu une inflation de 27% depuis fin 2021 – en comparaison de 20% pour le reste des produits alimentaires – le nombre d’exploitations et de vaches laitières ne cesse de diminuer, avec sur l’année écoulée une baisse inégalée depuis plus de 20 ans…
Comment expliquer qu’au moment où la filière laitière crée une valeur sans précédent, le métier d’éleveur soit en pleine désaffection ?
|
Scooped by
Cedric
|
Un rapport de Bercy estime que les prix des produits alimentaires ne sont pas artificiellement gonflés. Aucune des trois parties qui composent un prix de vente, agriculteurs, industriels et distributeurs, n’a augmenté sa marge au passage. Au contraire, l’enquête montre qu’une partie de l’inflation a été absorbée par l’industrie agroalimentaire et la grande distribution.
|
Scooped by
Cedric
|
La FNSEA alerte sur « l’urgence » de conclure ces négociations avant la fin du mois de mai, « date butoir non négociable » au risque de mettre en danger toute la filière…
Distributeurs et représentants des agriculteurs ne parviennent pas à s’entendre sur les prix de l’alimentaire, en pleine inflation et guerre en Ukraine…
« Sur 60 % de notre chiffre d’affaires, on nous redemande des hausses de 8 % qu’on ne va pas accepter, je vous le dis tout de suite », a affirmé de son côté Michel-Édouard Leclerc… .
|
Scooped by
Cedric
|
Accusée par la FNSEA de mettre en danger la filière alimentaire française, la grande distribution appelle les représentants agricoles à un « retour à la raison ».
|
Scooped by
Cedric
|
Dans le secteur du bio, les voyants sont au vert ! Les français sont de plus en plus attentifs à leur alimentation et friands des produits bio ! Le premier semestre 2017 vient conforter une tendance à la hausse depuis plusieurs années.
|
Scooped by
Cedric
|
A peine nommé, le nouveau ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation Stéphane Travert, bien qu’inexpérimenté sur ces dossiers, devra mener à bien la tenue des Etats Généraux de l'Alimentation début juillet. Réconcilier agriculteurs, industriels et distributeurs :
Objectif, faire travailler ensemble tous les acteurs des filières alimentaires, producteurs, transformateurs, distributeurs et consommateurs, pour créer de la valeur et mieux la répartir entre les différents maillons. Stéphane Travert aura la lourde tâche de prendre rapidement le relais et de parvenir à réunir autour de la table l’ensemble des acteurs de la chaîne, de la fourche à la fourchette, qui semblent actuellement profondément divisés.
|
Scooped by
Cedric
|
Souhaitant s’assurer du bon déroulement des négociations en cours, Michel Sapin et Stéphane Le Foll ont réuni le comité de suivi des relations commerciales ce matin, le 9 février 2017. Le monde agricole, l’industrie agroalimentaire, et la distribution avaient rendez-vous ce matin avec Michel Sapin et Stéphane, pour faire le point sur le déroulement des négociations commerciales annuelles qui s’achèveront le 28 février.
|
Scooped by
Cedric
|
Crise du lait, crise de la viande, disparition des exploitations ... Vidéo extraite du journal de 20 h d'Antenne 2 datée du 6 octobre 2014 : Voici comment la guerre des prix entre grands distributeurs ruine les petits producteurs.
|
Scooped by
Cedric
|
A Lisieux (Calvados) jeudi 15 septembre 2016, le PdG de Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, a lancé un appel aux agriculteurs :
"Il faut créer une véritable interprofession. Nous, on sait vendre. Nous sommes la caution auprès des consommateurs que les produits sont bons. Mais pour ça, il faut arrêter de nous dézinguer dans les médias ou à travers des pratiques de contestation. Ce n’est pas en dézinguant le client, et encore moins l’intermédiaire, que l’on va valoriser les nouvelles productions agricoles."
|
Scooped by
Cedric
|
Pour surmonter la crise, certains éleveurs ont peut-être trouvé la solution : ils assurent eux-mêmes la production, la transformation et l'approvisionnement de leur lait. 14 exploitants de Vendée, Loire Atlantique, Haute-Vienne et Charente se sont lancé dans cette aventure unique en France.
|
Scooped by
Cedric
|
Le ministre de l'Agriculture, Willy Borsus (MR), souhaite réunir à la rentrée les partenaires de la concertation chaîne pour aborder le décrochage entre les prix payés aux producteurs de lait et ceux payés par les consommateurs....
|
Scooped by
Cedric
|
Le prix du lait est au plus bas : 21 centimes, c'est en moyenne ce que reçoit aujourd'hui un producteur pour un litre de lait. Soit 7 centimes de moins qu'il y a six mois, alors que, pour rentrer dans ses frais, on estime qu'un éleveur doit gagner au moins 30 centimes.
|
Scooped by
Cedric
|
La baisse des marges des agriculteurs et des éleveurs n'est pas répercutée dans les rayons des supermarchés. Mais la grande distribution ne doit pas être le seul acteur à interroger, souligne le président de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires, Philippe Chalmin. L'Usine Nouvelle fait le point en cinq graphiques et un article montrant la répartition des marges dans la filière....
|
|
Scooped by
Cedric
|
La Fondation pour la nature et l'homme s’est penchée sur la répartition de la valeur dans le secteur laitier conventionnel. Les prix des produits laitiers ont augmenté de 50% en 20 ans et ce n'est pas au profit des agriculteurs…
Selon ce rapport la bouteille de lait demi-écrémé d’un litre ne coûtait que 55 centimes d’euros hors taxes il y a 20 ans, et à l’époque près de la moitié de ce prix retombait dans la poche de l’éleveur, soit 25 centimes. Aujourd’hui elle coûte bien plus cher : 83 centimes d’euros mais elle ne rapporte plus à l’éleveur que 24 centimes…
En clair son prix a augmenté de plus de 50% mais les agriculteurs n’en ont pas vu la couleur. Et il n’en va absolument pas de même pour les distributeurs et l’industrie agroalimentaire qui sur la même période enregistrent respectivement des hausses de + 188% et + 64% de leurs marges. Les fromages plaquettes de beurre et autres produits laitiers ont subi à peu près le même sort selon la FNH…
|
Scooped by
Cedric
|
La guerre en Ukraine conjuguée à l'inflation des coûts de production et à la canicule de cet été, qui s'est traduite par une sécheresse historique, désespère un peu plus encore les éleveurs…
De leur côté, les agro-industriels reprochent aux distributeurs de ne pas prendre en compte la flambée des coûts de production et de transformation (emballage, transport, énergie nécessaires...)….
Leclerc a relevé en substance que le prix de vente du lait en grandes surfaces n'avait pas nécessairement de lien avec la rémunération des producteurs. Leur revenu dépendrait davantage du prix auquel les industriels leur achètent le lait pour le conditionner...
|
Scooped by
Cedric
|
Des producteurs locaux rencontrent régulièrement les responsables des Leclerc de Carhaix et Châteauneuf-du-Faou pour un échange de points de vue « constructif ». Ils avaient rendez-vous dans une exploitation de Locmaria-Berrien, vendredi après-midi. Cinq producteurs du Poher ont débattu avec les propriétaires des grandes surfaces Leclerc de Carhaix et Châteauneuf-du-Faou. Si le contexte actuel est tendu, ces rencontres sont organisées plusieurs fois par an. Autour de la table, un éleveur de volaille, un éleveur de porcs et trois producteurs de lait. Tous font partie du bureau cantonal de la FDSEA.
|
Scooped by
Cedric
|
Tous les acteurs de la filière se sont donnés rendez-vous, mardi, pour signer une charte d’engagement qui doit encadrer les négociations commerciales entre industriels et distribution... Le feu vert a été donné par Michel Edouard Leclerc qui a annoncé dimanche son intention d’apposer sa signature... Les signataires se disent prêts à « promouvoir une contractualisation fondée sur la construction des prix à partir de l’amont ». Une construction qui doit prendre en compte « les coûts de production des produits agricoles », mais aussi « la volatilité des marchés agricoles » tout en « assurant la répercussion à chaque maillon de la filière de la fluctuation dûment constatée des prix des produits bruts ». Sur le sujet du seuil de revente à perte, rien n’est précisé. La charte se contente de demander de « respecter strictement le cadre législatif et réglementaire en vigueur et à venir, notamment en matière de seuil de revente à perte et de promotions ».
La charte incite les acteurs à travailler plus activement au sein des interprofessions et demande aux producteurs de se regrouper au sein d’organisations structurées. Elle prévoit également la mise en place de comités de liaison entre les interprofessions et les associations de consommateurs pour favoriser les échanges.
Les signataires s’engagent enfin à veiller « à la loyauté des relations, via notamment une meilleure transparence, un climat de respect mutuel entre les négociateurs ». L’avenir très proche dira si cet engagement restera au niveau des bonnes intentions. La récente crise du beurre a prouvé que les tensions dans la filière laitière étaient toujours aussi fortes et que la transparence n’était guère au rendez-vous.
|
Scooped by
Cedric
|
Quand nous mangeons pour 100€, le paysan perçoit 6,20€... Un des axes prioritaires pourrait être le revenu paysan pour lequel on tenterait de trouver un consensus entre les syndicats agricoles, les industriels de l’agroalimentaire et les enseignes de la grande distribution. Depuis la mise en place de la Loi de modernisation économique (LME) les distributeurs disposent de gros moyens de pression pour piller leurs fournisseurs et la loi Sapin 2 n’a corrigé qu’à la marge cette situation déséquilibrée et injuste.
|
Scooped by
Cedric
|
Chaque année, le feuilleton des négociations commerciales entre laiteries et distributeurs anime le mois de février. L’enjeu est capital pour le prix du lait à la production en 2017.
La hausse permettra-t-elle de revenir au tarif de 2014, comme le veut la FNPL ?
|
Scooped by
Cedric
|
Dans le secteur agroalimentaire, la formation des prix entre l’amont agricole, l’industrie alimentaire et la grande distribution, constitue un facteur de rentabilité très important : la part des achats amont représente près de 55 % du chiffre d’affaires dans l’alimentaire contre environ 40% dans le reste de l’industrie manufacturière. Extrait de la note de conjoncture de janvier de l’Ania.
|
Scooped by
Cedric
|
Intimidations, comportements abusifs, pratiques illégales… les quatre centrales d’achat de la grande distribution profitent d’un rapport de force disproportionné dans leurs négociations avec les producteurs. La guerre des prix fait rage et les paysans se noient.
|
Scooped by
Cedric
|
Lidl France, la Laiterie Saint-Denis-de-l'Hôtel (LSDH) et l'Association des producteurs de lait du bassin centre ont signé le 1er juillet une convention d'engagement tripartite.
|
Scooped by
Cedric
|
ÉCONOMIE - Sur le prix d’un litre de lait, la plus grande part ne revient pas aux éleveurs mais aux intermédiaires.
|
Scooped by
Cedric
|
la chute du prix du lait à la ferme porte beaucoup de producteurs laitiers à pointer du doigt les supermarchés et les « guerres du lait». Cependant, la solution proposée d'augmenter le prix que nous payons pour transmettre plus de profit aux agriculteurs est erronée. Les supermarchés ont été le moteur de la baisse du coût des produits de base comme le lait depuis 2011. Mais le coupable réel sous-jacent pour la baisse des prix a été la surabondance mondiale de l'offre par rapport à la demande entraînant une baisse du prix mondial, avec seulement une compensation partielle de la baisse du taux de change australien.
La politique actuelle en Australie est de laisser les forces du marché fixer les prix plutôt que de subventionner certaines industries. La fixation des prix pour l'industrie laitière, serait un retour aux "mauvais jours" avec un risque d'une diminution de la productivité agricole....
|
Scooped by
Cedric
|
Un seul constat s’impose pour les filières alimentaires en 2015 : - 2,4 % sur les prix agricoles (après - 5,3 % en 2014), - 2 % sur les produits des industries agroalimentaires (- 2,5 % en 2 ans) et + 0,5 % sur les prix à la consommation (Insee)… L’écart est donc de plus en plus net dans les linéaires entre les prix agricoles et ceux payés par le consommateur !
|