Lait de Normandie... et d'ailleurs
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IGF : Rentabilité de l'industrie agro-alimentaire, de l'agriculture et de la grande distribution

IGF : Rentabilité de l'industrie agro-alimentaire, de l'agriculture et de la grande distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L'Inspection générale des finances (IGF) a réactualisé son rapport sur la rentabilité des trois acteurs qui constituent la chaîne de consommation. Résultat : la progression de la rentabilité de l'industrie agro-alimentaire est trois fois plus élevée que celle du commerce : +27% pour l’EBE de l’agriculture, +50% pour l’industrie agro-alimentaire, +9% pour le commerce…


L’EBE de l’agriculture se situe désormais 27% au-dessus de son niveau de 2019. En trois ans, note l’IGF, « les prix de vente du secteur agricole ont progressé de 27,5% contre 20,8% observé mi-2022 »…


Au second semestre 2022, la rentabilité de l’industrie agro-alimentaire a rebondi de 50%, effaçant ainsi les pertes par rapport à 2019. Leurs prix de vente ont progressé de 17,5% en trois ans, entre 2019 et 2022, soit cinq points de plus par rapport à mi-2022. Cet écart s’explique à hauteur de trois points par la hausse du prix des intrants et à hauteur de 2,1 points par la hausse de l’EBE. Pour autant, le secteur n’a pas augmenté sa marge en 2022 : la hausse des prix s’explique à 85% par celle des matières premières…


En comparaison, le secteur du commerce voit sa rentabilité progresser de 9% par rapport à 2019. Son taux de marge serait de 0,7 point au-dessus de son niveau de 2019. Bien évidemment, ces calculs ne prennent pas en compte les retombées des négociations commerciales qui se sont achevées le 1er mars, pas plus que la baisse des prix amorcée sur un certain nombre de matières premières…

Cedric's insight:
voir aussi Insee : Taux de marge EBE/VA des IAA vs Manufacture & Commerce
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En Allemagne aussi, bras de fer entre supermarchés et grandes marques autour de hausses de prix

En Allemagne aussi, bras de fer entre supermarchés et grandes marques autour de hausses de prix | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Depuis quelques mois, les Allemands se retrouvent devant des étagères vides pour certains produits de grandes marques dans les supermarchés Rewe et Edeka. Les deux poids lourds de la distribution ne font pas ici les frais d’une baisse de production ou d’un manque de chauffeurs de camion…


Les chips, barres chocolatées ou produits cosmétiques disparaissent des rayons en raison de désaccord autour de hausses réclamées par les producteurs, souvent des grandes multinationales, et refusées par ces réseaux. Contacté par l’Opinion, le groupe Rewe martèle n’accepter que des hausses « justifiables et appropriées »…

Cedric's insight:
voir aussi Egalim 3 : la guerre des lobbies
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Pour 2023, les industriels de l’agroalimentaire demandent des hausses à deux chiffres

Pour 2023, les industriels de l’agroalimentaire demandent des hausses à deux chiffres | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

« Les demandes de revalorisation qui nous parviennent des fournisseurs sont à des niveaux extrêmement élevés : entre 15 % et 25 % sur de nombreux produits ». Les industriels avaient jusqu’au 1er décembre pour soumettre leurs propositions de tarifs des produits de grande consommation à marque nationale. Et les deux parties jusqu’au 1er mars 2023 pour parvenir à un accord…


« Il y a un an, les industriels avaient demandé une hausse moyenne de 7 % et obtenu environ 3,5 % », souligne Thierry Dahan, médiateur des relations commerciales agricoles. Mais les coûts de production se sont envolés. Les prix des matières premières agricoles, des emballages, du transport, de l’énergie ont flambé. Résultat, fin novembre, le curseur de l’inflation alimentaire atteignait 12 % dans les supers et hypermarchés. Mais, pour certaines entreprises, les dernières augmentations obtenues sont encore insuffisantes pour conserver leur rentabilité…


Un surcoût certifié par un tiers entre dans le cadre de la loi EGalim 2, promulguée il y a un an. Ayant pour objectif de protéger la rémunération des agriculteurs, elle sanctuarise la part de la matière première agricole dans les tarifs, devenue non négociable, à condition d’apporter la preuve tangible de son coût…

Cedric's insight:
voir aussi Relations commerciales : la tentation Egalim 3

Inflation : Leclerc craint un «tsunami» sur les prix en 2023 https://sco.lt/9I7JFA
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Quand la grande distribution boycotte les produits de ses fournisseurs pour les mettre sous pression

Quand la grande distribution boycotte les produits de ses fournisseurs pour les mettre sous pression | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

En pleines négociations avec les industriels de l'agroalimentaire, les géants de la grande distribution vont jusqu'à sortir de leurs rayons certains produits lorsque les fournisseurs refusent leur prix. Une pratique « contestable » qui joue sur la peur de certaines pénuries...


qu'elle pourrait finir par provoquer. Surtout, ces déréférencements se font au motif que les fournisseurs cherchent à profiter de l'inflation pour gonfler leurs marges…


« L'essentiel des augmentations demandées était bien en lien avec la hausse des coûts de production. Autrement dit, il ne semble pas y avoir de phénomène massif de « hausses suspectes ». Le rapport insiste sur le fait que, en cas de déréférencement, industriels et distributeurs sont loin d'être sur un pied d'égalité…


« Compte tenu du fait qu'un produit non-référencé prive l'industriel de millions de clients, et donc de millions d'euros (voire de dizaines de millions d'euros) de chiffre d'affaires, le rapport de force est grandement favorable à la grande distribution »…


« En France, il y a 400.000 exploitants agricoles, 17.000 transformateurs, dont 95% de PME agroalimentaire aux côtés de quelques multinationales comme Mars ou Nestlé qui représentent une infime partie de l'alimentation des Français. En revanche, du côté de la distribution, on compte seulement 7 centrales d'achat »… « Sur la chaîne de valeur de l'agroalimentaire, aucun acteur n'est en position de faiseur de prix. Tout le monde subit les hausses de prix sur l'emballage, les matières premières, les transports. Surtout, c'est une filière transparente, avec des acteurs institutionnels connus et, si une partie des marges s'évaporaient, cela se verrait »…


Le Sénat s'est précisément inquiété dans son rapport du risque de pénurie de certains produits, du fait même des relations calamiteuses entre les acteurs de la chaîne alimentaire. Les pratiques « contestables, de la part des distributeurs et des industriels, aiguisent fortement les tensions » et « menacent de déboucher sur des ruptures d'approvisionnement prochainement ». Le cas échéant, l'absence de produits dans les rayons serait subie et plus organisée par les distributeurs…

Cedric's insight:
voir aussi Intermarché accuse Danone de "profiter de la crise" pour faire des bénéfices

En pleine négociation des prix entre producteurs et distributeurs, Danone demanderait 12% d'augmentation au groupement Les Mousquetaires - Intermarché…


Négociations commerciales : Danone résiste face à Intermarché https://sco.lt/5hX5qC

Les produits Danone ne sont plus livrés chez Delhaize et Lidl https://sco.lt/8PdyMa

Négociations commerciales : À force de tensions, des risques de rupture d'approvisionnement
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Les Français ont une meilleure image de la grande distribution que de l’agroalimentaire

Les Français ont une meilleure image de la grande distribution que de l’agroalimentaire | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L’IFOP et France Commerce publient le premier sondage sur le regard des Français sur le commerce et la grande distribution, qui révèle que les Français en ont majoritairement une bonne image…

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Négociations commerciales : 17 000 entreprises de l'agro-alimentaire font face à 4 centrales d'achat qui représentent 92% de leur marché

Négociations commerciales : 17 000 entreprises de l'agro-alimentaire font face à 4 centrales d'achat qui représentent 92% de leur marché | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le mois de décembre marque le coup d'envoi des négociations commerciales annuelles entre distributeurs et industriels. Au 1er mars, ils doivent avoir trouvé un accord sur des prix d'achat qui resteront en vigueur pour un an.

Qu'en sera-t-il pour le beurre, dont les cours ont flambé au long de l'année 2017 ? Les fabricants de beurre veulent obtenir une hausse du prix d'achat. Mais « les distributeurs exigent qu'on leur verse des pénalités pour rupture de service. Dans les contrats annuels, les fournisseurs s'étaient en effet engagés sur un certain volume. »

Les nouvelles négociations commencent donc plutôt mal pour les industriels, avec un rapport de force qu'ils estiment être en leur défaveur. « 17 000 entreprises de l'agro-alimentaire font face à quatre centrales d'achat qui représentent 92% de leur marché ».

D'après les calculs de l'ANIA, la guerre des prix engagée depuis 2013 leur a coûté trois milliards et met en danger leur avenir, tout cela pour que le consommateur bénéficie en bout de chaîne d'un modeste gain de 30 centimes d'euros par semaine.

Dans l'esprit de la charte de novembre, tous les acteurs doivent s'entendre pour qu'aucun des maillons de la chaîne d'approvisionnement ne se trouve perdant, depuis l'agriculteur jusqu'au consommateur. Le tout en engageant une montée en gamme des produits, pour répondre aux nouvelles demandes. Ce qui signifie donc que les prix n'ont pas vocation à rester au niveau actuel. Les distributeurs se sont engagés à "pratiquer des prix responsables."

"La charte, on s'assoit dessus", auraient déjà déclaré certains acheteurs. "Ils ont fait du prix l'alpha et l'oméga. Cela leur réussit d'ailleurs en termes de parts de marché. Pourquoi changeraient-ils ?" Le consommateur peut s'en réjouir, la guerre des prix ne semble pas terminée. Pas plus que ses effets délétères sur la chaîne des fournisseurs.

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L’industrie agroalimentaire contre-attaque face à Michel-Edouard Leclerc

L’industrie agroalimentaire contre-attaque face à Michel-Edouard Leclerc | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Michel-Edouard Leclerc accuse l’industrie agroalimentaire de vouloir profiter des Etats Généraux de l’Alimentation pour faire passer d’importantes hausses de prix pour le consommateur. L’industrie réplique et détaille ses propositions pour toute la filière.

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Les entreprises agroalimentaires victimes de la guerre des prix

Les entreprises agroalimentaires victimes de la guerre des prix | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L'industrie agroalimentaire a le blues. La filière doit encaisser l’impact de la guerre des prix entre les enseignes. Elle a perdu des parts de marché à l’export. En l'espace de dix ans, Nestlé a fermé 8 des 32 sites qu'il possédait dans l'Hexagone. Danone ne parvient pas à endiguer le recul des ventes de produits laitiers...

« La consommation alimentaire peine à décoller » en France, constate l'Association nationale des industries alimentaires (Ania). En 2016, elle a augmenté d'à peine 0,7 %, contre 1,3 % pour l'ensemble de la consommation. Le chiffre d'affaires des produits alimentaires en grande distribution n'a progressé que de 0,6 % au cours de l'année écoulée. « C'est la croissance la plus faible observée depuis onze ans ! », souligne l'Ania.

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Négociations commerciales
: Où est la vérité ?

Chaque année, le feuilleton des négociations commerciales entre laiteries et distributeurs anime le mois de février.

L’enjeu est capital pour le prix du lait à la production en 2017.

La hausse permettra-t-elle de revenir au tarif de 2014, comme le veut la FNPL ?

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Guerre des prix : tensions dans les négociations entre grande distribution et producteurs

Guerre des prix : tensions dans les négociations entre grande distribution et producteurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Ces tractations ne portent pas que sur les prix, mais aussi sur la disposition des produits en rayon. Etre présent à hauteur d’yeux ou en tête de gondole est crucial.

Chaque année, le dernier jour du mois de février sonne la fin des négociations entre la grande distribution et ses fournisseurs, qu’ils soient petits producteurs rassemblés en coopérative ou grands groupes industriels internationaux. Ces tractations, souvent conflictuelles, doivent notamment fixer pour l’année suivante les tarifs des produits achetés par la grande distribution pour garnir ses rayons.

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Lait : les distributeurs accusent les industriels d'opacité

Lait : les distributeurs accusent les industriels d'opacité | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La tension monte entre les distributeurs et leurs fournisseurs à l'approche du terme des négociations.

Cinq jours après que Jean-Philippe Girard, président de l'Association des industries alimentaires (Ania), a dénoncé au micro de France Info les demandes de la grande distribution de baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 %, la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) a répliqué vendredi par voie de communiqué.

Au nom des enseignes qu'elle représente - les Auchan, Carrefour, Casino et autres Cora -, la FCD appelle « solennellement les industriels, notamment laitiers, à faire preuve de transparence, en appliquant, comme l'ont demandé les ministres, les dispositions de la loi dite "Sapin II", qui prévoit l'inscription, dans les conditions générales de vente, du prix de référence payé aux producteurs ». 

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La flambée des matières premières met les négociations commerciales sous tension

La flambée des matières premières met les négociations commerciales sous tension | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le 9 février dernier, les ministres Michel Sapin, ministre de l’Économie et des Finances, et Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, ont réuni les représentants de la filière alimentaire pour un nouveau comité de suivi des relations commerciales, sachant que les négociations annuelles s'achèvent le 28 février. Ils ont rappelé la nécessité que « les négociations tiennent compte, pour l’ensemble des maillons de la filière, du contexte de remontée des cours de plusieurs produits agricoles, en particulier dans les filières laitière, porcine et des produits de la mer ».

Représentant les industriels de l'agroalimentaire, l'Ania a pointé la déflation des prix des produits alimentaires. Elle a atteint -1,1 % en 2016 en moyenne et se poursuit en 2017, avec une baisse de -1,16 % en janvier. Une dynamique négative portée par les centrales d'achat de la grande distribution, qui mettent toujours autant l'accent sur les prix. La question de fond étant la déconnexion de cette pression sur les prix avec la réalité économique rencontrée par les entreprises, en particulier la forte hausse des matières premières agricoles....

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FNIL Lait : « Les négociations avec la grande distribution se passent mal »

FNIL Lait : « Les négociations avec la grande distribution se passent mal » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans leur « plaidoyer », les transformateurs laitiers privés se placent comme défenseurs des producteurs. Ils demandent une augmentation des tarifs au vu de la conjoncture.

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« En France, ce déséquilibre global du marché laitier s’est traduit en 2016 par une baisse moyenne de 1,5 % des prix de vente des produits laitiers aux consommateurs, selon l’indice Insee PVC lait, fromages et œufs », indique la Fnil.
C’est un recul plus faible que celui dont a bénéficié la distribution car « les prix de vente sortie usine des produits laitiers vendus à la grande distribution en France ont chuté en moyenne de 3,1 % (indice Insee) », d’après le communiqué.
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Négos commerciales : comment sont fixés les prix en supermarché ?

Négos commerciales : comment sont fixés les prix en supermarché ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les prix affichés en rayon sont le fruit de nombreuses tractations entre fournisseurs et distributeurs. Décryptage d'un rapport de force qui évolue au fil des législations…


Les députés valident la rupture commerciale sans préavis : Un cauchemar pour les PME…

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Voir aussi Egalim 3 : la guerre des lobbies

« Chaque loi de protection des producteurs face aux grandes enseignes fait ressurgir les mêmes ambiguïtés »
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Distribution : « Chaque loi de protection des producteurs face aux grandes enseignes fait ressurgir les mêmes ambiguïtés »

Distribution : « Chaque loi de protection des producteurs face aux grandes enseignes fait ressurgir les mêmes ambiguïtés » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Alors que les députés entendent protéger petits agriculteurs et industriels, les chaînes comme Leclerc ou Intermarché, proclamés garants des petits prix pour les consommateurs, assurent que la législation engraisse plutôt les mastodontes de la production…


Les députés entendent protéger les producteurs de lait, quand les supermarchés assurent que le texte va surtout engraisser Nestlé et Coca-Cola. Des rapports de force puissants que la loi n’empêchera pas d’exister. D’autant plus que les élus qui chantent les louanges des petits producteurs, des boulangers et des PME s’empressent dans leurs circonscriptions de favoriser l’implantation d’Intermarché et de E.Leclerc aux abords des villes, apportant emplois et prix bas…


C’est ce que le politologue Jérôme Fourquet appelle la société du supermarché. Une France où, en cinquante ans, les enseignes de grande distribution ont remplacé les usines et les églises comme lieu de socialisation et d’aménagement du territoire. Une société où le consommateur prend le pas sur le producteur. Il ne sera pas facile de revenir en arrière…

Cedric's insight:
voir aussi "Le détricotage de la loi Egalim serait un très mauvais signal"

Cette proposition de loi pourrait bouleverser les négociations commerciales

Les distributeurs interpellent les députés contre la proposition de loi Descrozaille
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Nestlé, Lactalis, Danone... Qui vend le plus en grande distribution ?

Nestlé, Lactalis, Danone... Qui vend le plus en grande distribution ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les 35 industriels qui vendent le plus en grande distribution : les chiffres de vente des principaux industriels en grandes surfaces sur les neuf premiers mois de l’année…


On voit clairement ceux qui ont subi les foudres de négociations difficiles ou les affres de crises sanitaires d’envergure, et ceux qui profitent de conditions de marché plus favorables et de stratégies mieux adaptées…

Cedric's insight:
voir aussi Prix du lait : Pourquoi de tels écarts d’un pays à l’autre, d’une entreprise à l’autre ?
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Alimentation : l'industrie contrainte de changer ses habitudes

Alimentation : l'industrie contrainte de changer ses habitudes | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

« L'industrie agro-alimentaire doit réinventer ses modèles. Produire pour 10 milliards de personnes de la qualité, du durable, du socialement responsable et de l'accessible »…


Le Covid a modifié le comportement alimentaire des trois quarts des consommateurs dans le monde. L'inflation va elle aussi induire de nouvelles attitudes. L'industrie agro-alimentaire a déjà modifié son offre…

Cedric's insight:
voir aussi Inflation : comment les enseignes de grande distribution s'adaptent

Grâce à sa stratégie de communication, Leclerc rafle une majorité des parts de marché. Mais les autres acteurs de la grande distribution redoublent d'efforts pour rester compétitifs…

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CIWF : 10 ans de progrès dans la prise en compte du bien-être animal dans l’agroalimentaire

CIWF : 10 ans de progrès dans la prise en compte du bien-être animal dans l’agroalimentaire | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le nouveau classement révèle que si les entreprises continuent d'investir dans le bien-être animal, elles tardent trop à obtenir des résultats significatifs sur le terrain…

Un outil de référence, catalyseur de progrès depuis 10 ans

Pour la dixième année consécutive, le Business Benchmark on Farm Animal Welfare (BBFAW) a analysé les engagements et la performance des leaders mondiaux de l’agroalimentaire (la grande distribution, la restauration et les producteurs / transformateurs) sur le bien-être des animaux d’élevage…

Malgré ces avancées, le score d’impact BBFAW introduit en 2021 et qui classe les entreprises de A à F sur les 10 questions relatives à leur performance, montre que la mise en œuvre des améliorations concrètes pour le bien-être animal est bien plus lente que les progrès relatifs aux politiques et à la gouvernance…

Cedric's insight:
Les entreprises françaises se maintiennent dans le classement
Treize entreprises françaises sont évaluées chaque année dans le BBFAW. Le groupe Danone reste cette année encore l’entreprise française la mieux classée, et la seule à atteindre le niveau 2. Quatre des entreprises françaises précédemment classées au niveau 3 sont redescendues cette année au niveau 4 (Groupe Casino, Elior, Groupe LDC, Sodexo). Carrefour, Auchan, et Les Mousquetaires ainsi que Compass Group se maintiennent cette année encore au niveau 3. Terrena atteint le niveau 3 et E.Leclerc monte au niveau 4. Cooperl Arc Atlantique et Lactalis conservent leur position aux niveaux 4 et 5 respectivement…
Voir aussi le Rapport 2021 du Business Benchmark on Farm Animal Welfare
et Résultats par entreprise
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« Jamais vous n’avez aussi bien mangé. Il s'agit d'un paradoxe parce qu’il n’y a jamais eu autant de peurs alimentaires. »

« Jamais vous n’avez aussi bien mangé. Il s'agit d'un paradoxe parce qu’il n’y a jamais eu autant de peurs alimentaires. » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Quand les géants de l'alimentaire se défendent…

"Jamais vous n’avez aussi bien mangé. Il s'agit d'un paradoxe parce qu’il n’y a jamais eu autant de peurs alimentaires." C’est par ces mots que Philippe Chalmin, professeur à l’université Paris-Dauphine, a ouvert la conférence "Produire et manger mieux".

Selon lui, la nourriture "était auparavant mesurée en terme de quantité, aujourd’hui en qualité". Les consommateurs sont de plus en plus soucieux de la nature des aliments qu’ils mangent et se tournent vers nouvelles formes d’alimentation…

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Grande distribution : les industriels de l'agroalimentaire contraints à une baisse des tarifs de 3 à 8%

Grande distribution : les industriels de l'agroalimentaire contraints à une baisse des tarifs de 3 à 8% | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les négociations tarifaires qui ont lieu tous les ans entre les enseignes de la grande distribution et leurs fournisseurs sont souvent compliquées.

Cette année, elles sont soldées par une baisse des tarifs de 3% à 8% des tarifs pour 70% de ses adhérents (30% ont obtenu des hausses)., rapporte Le Figaro jeudi 18 mai.

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Négociations commerciales : Cinq pistes pour rééquilibrer le rapport de force avec la grande distribution

Derrière la liesse affichée au Salon de l’Agriculture, les négociations commerciales entre les entreprises de l’agroalimentaire et la grande distribution ont pris fin mercredi 1er mars dans un climat très tendu. Comment en sortir ?

Cedric's insight:
En bref, les 5 pistes évoquées :
1- Accroître la transparence de toutes parts
2- Des produits avec plus de valeur ajoutée
3- Aller voir ailleurs…
4- Dénoncer les mauvaises pratiques
5 - Réformer la loi LME
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Négociations commerciales : Les dernières heures de discussion « extrêmement difficiles »

Négociations commerciales : Les dernières heures de discussion « extrêmement difficiles » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les négociations commerciales s’achèvent cette année encore dans une ambiance délétère.

À la veille de la clôture des négociations commerciales pour 2017, Coop de France fait état de relations « extrêmement difficiles » gangrenant encore et toujours la filière agroalimentaire.

La guerre des prix fait encore rage. « Dans un contexte de hausse des prix agricoles, nous recevons des demandes systématiques de déflation de 2 à 4 % en moyenne sur l’ensemble des filières...

Cedric's insight:
Et aussi : Des négociations commerciales « extrêmement difficiles » avec la distribution - Exaspération de la FNPL
 http://www.web-agri.fr/actualite-agricole/economie-social/article/des-negociations-commerciales-extremement-difficiles-avec-la-distribution-1142-126076.html
Les négociations entre fournisseurs et grande distribution ont encore été « extrêmement difficiles » et se sont focalisées sur les baisses de prix, a indiqué lundi Coop de France, l'organisation professionnelle de la coopération agricole, à la veille de la fin des négociations annuelles
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Négociations commerciales : l’attente d’un prix du lait rémunérateur

Négociations commerciales : l’attente d’un prix du lait rémunérateur | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Depuis un mois, transformateurs et distributeurs n’avancent pas dans les négociations pour déboucher sur un prix du lait payé au producteur plus équitable au regard des signes positifs du marché.

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Négociations commerciales : Les distributeurs demandent 2 à 8 % de baisse de tarifs

Négociations commerciales : Les distributeurs demandent 2 à 8 % de baisse de tarifs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Jean-Philippe Girard, le président de l’Association des industries alimentaires (Ania), a affirmé le 13 février 2017, que les distributeurs demandent des baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 % dans le cadre des négociations annuelles.

« c’est inquiétant. On voit le lait qui a progressé de 30 %, les oranges de 50 % et en face des acheteurs qui disent : “Écoutez, nous, ce n’est pas notre problème, on veut le même prix que l’an passé” »

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Lait : les négociations commerciales mal engagées

Lait : les négociations commerciales mal engagées | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les négociations commerciales 2017 en cours entre industriels laitiers et distributeurs, qui doivent aboutir avant fin février, semblent mal engagées entre les deux parties qui se renvoient la balle.

Cedric's insight:
De son côté, le distributeur Système U demande dans un communiqué "à ses fournisseurs/industriels de faire figurer dès maintenant dans leurs conditions générales de vente (CGV) le prix de référence du lait payé aux producteurs", comme le demande la loi Sapin 2. "La gravité de la situation et le risque à terme de voir une grande part des exploitations cesser leur activité, nécessitent aujourd'hui un engagement et des actions fortes de la part des acteurs de la filière", assure le distributeur en expliquant que "pour des raisons de calendrier d'application et de non-rétroactivité de la loi, les industriels n'ont pas mis en oeuvre cette disposition" pour les tarifs qui s'appliqueront cette année.
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