Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
La filiale bio de Danone s’est engagée à payer un prix du lait qui rémunère ses 48 producteurs normands sur la base minimum de 2 Smic par mois. Un exemple à suivre. Le lait collecté en Normandie (18 millions de litres) est transformé en yaourts et desserts dans les laiteries Danone du Molay-Littry (Calvados) et de Ferrières-en-Bray (Seine-Maritime)… Conclu avec l’OP lait bio Seine et Loire, l’été dernier, le contrat « équitable » de 5 ans des « Prés rient bio » couvre 100 % des coûts de production du lait, indépendamment des aléas économiques ou climatiques tout en assurant un revenu minimum. « Le prix moyen du lait est réactualisé tous les ans sur la base des coûts de production de vingt élevages. On a reçu un prix du lait à 595 € la tonne, l’an dernier, et en 2024, on dépassera les 600 €. »… En contrepartie, ils s’engagent à respecter un cahier des charges bio renforcé sur le modèle de l’agriculture régénératrice, elle-même synonyme de plus de haies (+ 50% par rapport à la moyenne des bio), de pâturage (près de 300 jours), d’un développement de l’agroforesterie et d’une pratique encouragée du sans labour.
|
Scooped by
Cedric
|
Les Prés Rient Bio annonce mettre en place un contrat nouveau genre avec 50 éleveurs normands de l’Organisation de Producteurs de Lait Bio Seine et Loire, qui leur sécurise notamment un revenu indépendamment de la conjoncture…
Ce contrat conclu pour 5 ans renouvelables offre un prix plancher qui couvre « l’intégralité des coûts de production du lait, quels que soient les aléas, tels que l’inflation ou le climat, tout en intégrant une marge de sécurité de 10% », ce qui permet de sécuriser un revenu disponible moyen minimum de 2 SMIC, quelle que soit la conjoncture et les prix du marché »…
|
Scooped by
Cedric
|
L’entreprise de yaourt, filiale de Danone, doit signer ce lundi un accord revalorisé avec ses 50 éleveurs laitiers bio en Normandie…
Les Prés Rient Bio, filiale de Danone qui commercialise la marque Les 2 Vaches, annonceront la signature d’un contrat équitable inédit dans la filière laitière bio française. L’entreprise de yaourts, créée il y a dix-sept ans, propose à ses 50 éleveurs bio partenaires en Normandie un nouvel accord revalorisé…
Il redéfinit la notion de prix plancher en couvrant l’intégralité des coûts de production du lait, quels que soient les aléas, tels que l’inflation ou le climat, tout en intégrant une marge de sécurité de 10 %. Ce contrat sur cinq ans renouvelables permet de sécuriser un revenu disponible moyen minimum de deux smic, quels que soient la conjoncture et les prix du marché…
|
Scooped by
Cedric
|
« Nous avons terminé l’année 2022 à un prix bas, autour de 430 € les 1 000 litres en prix de base et nous recommencerions 2023 à 415 € les 1 000 litres ? C’est inacceptable. Le compte n'y est vraiment pas »…
Le constat est accablant et le sujet lasse (sic) les représentants des éleveurs. Car depuis l’été dernier, ils alertent le groupe face aux difficultés climatiques et économiques auxquelles ils sont confrontés. Mais ils ne se sentent pas – ou si peu – entendus. Si la formule a été légèrement réajustée au mois d’octobre, cela ne s’est pas fait de façon pérenne…
Aujourd’hui, ils sont en train de prendre leurs dispositions pour que les producteurs qui le souhaitent puissent livrer à d’autres laiteries. Ils n’hésiteront pas non plus à aller sur le site de l’usine, ni à saisir le médiateur…
|
Scooped by
Cedric
|
Le 12 octobre 2022, l’OPSOL (Organisation de producteurs du Sud-Ouest laitier) et Danone se sont rencontrés pour réaffirmer nos engagements mutuels pour le site de Lacapelle-Marival… Dans cette perspective, Danone a confirmé son objectif de pérennisation de l’activité sur son site de production laitière de Lacapelle-Marival, avec la volonté de créer un nouveau contrat long terme prix/volume, en collaboration avec les éleveurs laitiers de l’OPSOL du Lot… Les discussions en cours doivent aboutir à la signature d’un nouveau contrat à l’horizon du 1er janvier 2023, permettant ainsi de perpétuer et consolider la relation sur le long terme entre les producteurs du Lot de l’OPSOL, fournisseurs historiques depuis prés de 30 ans et Danone…
|
Scooped by
Cedric
|
Les agriculteurs ont finalement accepté le vote d’une hausse du prix du lait de 25 euros/1000 litres. Soit 437 € au 4e trimestre ». A l’issue de négociations jugées « houleuses » par les manifestants, un accord a donc été trouvé. Résultat en demi-teinte, ils demandaient 450€. L’OP CapLait « reprendra de nouvelles négociations début 2023 » conclut le représentant syndical…
De son côté, la société Danone se félicite de cet accord et explique : « nous avons négocié hier soir avec l’Organisation de Producteurs de Haute Normandie une revalorisation du prix du lait avec un effet immédiat. Cela va permettre une progression du prix du lait supérieure à l’augmentation de l’indice des charges (16 % versus quatrième trimestre 2021). Cet effort supplémentaire marque une amélioration des revenus estimée à +30 % sur cette même période »…
|
Scooped by
Cedric
|
Opération coup de poing : Des éleveurs laitiers ont manifesté leur colère devant Danone à Ferrières-en-Bray pour un prix du lait décent. Un dernier avertissement avant un rassemblement massif…
« être vertueux, c’est commencer par payer ses producteurs »
Un rassemblement qui fait suite à la manifestation du 24 janvier 2022 pour soutenir l’organisation des producteurs Caplait dans ses négociations avec Danone. Depuis, rien n’a bougé. Les éleveurs perdent patience. « Par rapport aux autres laiteries nous avons un différentiel de 60 € /1 000 l depuis des mois »…
Et de se demander si Danone veut encore des éleveurs dans le Pays de Bray…
|
Scooped by
Cedric
|
En Normandie, c’est fait ! Dans les autres régions, les discussions étaient encore en cours au 16 mars.
Le site Danone du pays de Bray est plus exposé aux marchés export. La nouvelle formule de prix en tiendra compte.
L’OP Caplait et Danone ont trouvé un accord pour une nouvelle formule de prix du lait qui s’appliquera en 2023. Elle collera davantage à la réalité des exploitations, avec une référence au coût de production moyen de 30 élevages représentatifs de l’OP – au lieu du coût de production du quartile supérieur d’une référence de centre de gestion. De plus, la formule reflétera le mix produit de l’usine de Ferrières-en-Bray, plus orientée sur les marchés export et donc le beurre poudre.
« Nous avons aussi introduit des primes pour les exploitations qui auront réalisé leur diagnostic carbone et leur diagnostic bien-être animal », ajoute Laurent Schatz, responsable amont chez Danone…
|
Scooped by
Cedric
|
Calculer le prix du lait en partant du producteur, c’est ce qu’a proposé Emmanuel Macron aux États généraux de l’alimentation. L’OP Danone de Haute-Normandie fait partie des rares organisations à appliquer ce principe depuis deux ans.
Depuis le 1er janvier 2017, les coûts de production composent 50 % du calcul. En 2016, cela a limité la dégradation des trésoreries. Le prix moyen de base a été de 18 €/1 000 l plus élevé que s’il avait été uniquement basé sur les marchés. Cette année, il n’y aura pas ou peu de différence et l’an prochain, en figeant la valorisation beurre-poudre au niveau actuel, nous estimons que nous percevrons 10 à 12 € de moins. Si l’on veut sécuriser une partie du prix du lait, il faut accepter de ne pas profiter de toute l’envolée des marchés quand elle se présente.
Le groupe Danone a accepté de prendre en compte le coût de revient des exploitations les 25 % plus performantes. Il a épluché chaque poste de charges, y compris la rémunération du travail dont nous avons négocié le montant.
Danone suit en fait un double objectif : limiter l’impact de la volatilité des marchés et être dans la fourchette de prix du lait de ses concurrents.
Fin 2018, nous commencerons avec Danone un état des lieux. Notre accord porte à la fois sur les coûts de production et la réduction de la référence de l’OP qui est de 240 Ml. Nous devions atteindre 215 Ml l’an prochain. Cet objectif est reporté à 2020, voire 2022. En contrepartie, la cessibilité des contrats prend fin le 31 décembre et à partir du 1er janvier, les adhérents voient leur référence baisser de 1 à 5 %, selon le taux de réalisation des deux dernières années…
|
Scooped by
Cedric
|
Organisations de producteurs : Le bilan de la coopérative des producteurs de lait brayons
Président de la coopérative qui regroupe 500 producteurs, Sébastien Catoir a rappelé jeudi dernier la démarche entreprise depuis fin 2015, poursuivie en 2016, qui permet d’intégrer les coûts de production dans le prix du lait. L’accord trouvé avec la laiterie a été mis en place au milieu de l’année 2016 et entre progressivement en application. Le président a ainsi pu exposer aux adhérents l’évolution de la rémunération de leur production : « Un gain en 2016 de l’ordre de 18 € par 1 000 litres, qui depuis janvier 2017 a encore progressé d’environ 5 €, reflétant la remontée des cours... Il est indéniable que cela nous donne un coup de pouce, mais sans résoudre le problème de fond pour les agriculteurs : dégager du revenu... ».
|
Scooped by
Cedric
|
Le mardi 31 janvier, Danone a annoncé que tous les éleveurs français fournissant ses usines avaient signé un accord pour revoir le calcul des prix du lait en y intégrant les coûts de production, afin de limiter la volatilité.
« Nous nous sommes mis d’accord avec les Organisations de producteurs (OP) sur une nouvelle formule de prix, pour une part reposant sur les indicateurs de marché, qui vont continuer à évoluer dans le temps, et une deuxième partie basée sur les coûts de production » L’accord signé par Danone permet également « d’ajuster le volume de la collecte aux besoins des usines »
|
Scooped by
Cedric
|
Les accords trouvés portent sur l'évolution de la formule de prix du contrat d'approvisionnement laitier. Ils sont assortis d'une réduction des volumes contractualisés.
|
Scooped by
Cedric
|
Seules les 2 OP normandes avaient conclu un accord. Celle de Haute-normandie a négocié une baisse de 10% des volumes, appliquée à l'OP et non aux 600 producteurs... Ce mode opératoire "prix" est retenu aussi en Basse-Normandie. L'effort demandé à l'OP flirtait avec les 20%. Elle obtient une baisse de collecte de 6%...
|
|
Scooped by
Cedric
|
« Elle nous donne de la visibilité pour plusieurs mois. En moyenne sur 2023, le prix de base a été de 430,5€ ce qui donne 472€ en prix réel payé (avec les primes et les taux réels). Pour janvier et de février, le niveau de prix de base est bon : 438,40 et 445,29€ respectivement. Le prix de base va progresser encore jusqu’au mois d’avril, et après, il baissera peut-être, mais la formule limite les grosses fluctuations. »…
Le prix de Caplait est composé à 80% d’une partie « marché France » qui est fixe pendant 6 mois. Elle combine un indicateur coût de production pour 60% et, pour 40% un indicateur prix de vente industriel (PVI) de l’année précédente, « lui-même finalement dépendant des coûts de production en élevage ». Les 20% restant sont la partie « export », avec un indicateur beurre - poudre. « En attendant un indicateur publié par le Cniel, nous prenons les cotations EEX (marché à terme européen) et déduisons des coûts de transformation de 139€/t….
Open bar sur les volumes : Le contrat, ce sont aussi des volumes libérés, avec la fin des restrictions sur les volumes de lait à livrer depuis 3 ans. « Chaque éleveur qui demande du volume à produire en plus en obtient. Une commission "volume" vérifie juste que les critères de qualité du lait sont bons et que l’éleveur réalise déjà son volume. Et chacun peut dépasser son volume de référence annuel de 5%. »
|
Scooped by
Cedric
|
Le prix du lait bio de base pour l'année 2023 sera au minimum de 550 euros les 1000 litres pour les éleveurs engagés avec Les Prés Rient Bio, filiale de Danone en filière bio équitable… « Il aura mis du temps à naître, mais nous sommes satisfaits de cet accord car Les Prés Rient Bio se sont engagés sur une formule de prix intégrant à 100 % un indicateur de prix de revient, calculé sur la moyenne d’un échantillon de producteurs Danone de l’OP, avec une rémunération des exploitants à deux Smic. Le prix minimum garanti par le contrat est ce prix de revient, auquel s’ajoute 10% pour pallier les aléas climatiques et économiques. Au final, cela fera un prix de base moyen de 550 euros les mille litres minimum sur 2023. »… Cet accord concerne 53 exploitations normandes pour 18 millions de litres de lait. Les Prés Rient Bio (LPRB) souligne que ce « contrat équitable est inédit dans la filière laitière bio française » et qu'il assure la position de LPRB « en tête du classement du prix du lait bio ». Il permet en effet de couvrir l'intégralité du prix de revient moyen des fermes laitières…
|
Scooped by
Cedric
|
L’organisation de producteurs du Sud-Ouest Laitier (OP Sol) vient de signer un partenariat avec la Fromagerie des Chaumes de Jurançon (Savencia). Une solution alternative pour un avenir « plus serein »…
Souvenez-vous, fin 2021 : le groupe Danone avait annoncé sa volonté de convertir son usine de transformation laitière de Villecomtal, dans le Gers, en un site de production de boissons végétales. Du jus au lieu du lait, voilà qui laissait sur le carreau plus de 200 exploitations…
La transition des volumes collectés se fera progressivement d’ici fin 2023. Cela permettra de continuer à développer la marque Saint Albray, tout en maintenant l’ancrage régional Sud-Ouest de la fromagerie des Chaumes…
|
Scooped by
Cedric
|
Après l’annonce de la reconversion de l’usine laitière de Villecomtal en produits végétaux, le groupe Danone a finalement confirmé son réengagement sur Lacapelle-Marival et sa zone de collecte Lotoise. Ayant désormais besoin de lait, il négocie de nouveaux contrats avec ses éleveurs et ouvre même la porte à de nouveaux producteurs…
« Pour notre groupe Lotois, Danone maintient son engagement de collecte du lait. Pour les producteurs des autres départements, nous sommes en train de négocier leur reprise avec deux autres groupes laitiers. Les industriels laitiers ont aujourd’hui besoin de volumes. Notre bassin Lotois représente 20 millions de litres. L’usine de Lacapelle-Marival justifie son activité d’écrémage et de concentration du lait pour sortir un produit qui est bien valorisé. Il part sur les sites de Ferrières en Bray et à côté de Lyon. »…
«Danone a suivi la flambée des coûts de production en nous augmentant cette année le prix de l’ordre de 22 % par rapport à 2021. Nous avons également voulu améliorer la réactivité face à la volatilité des charges, nous avons donc demandé et obtenu dès juin une indexation trimestrielle du prix. Nous préparons donc de nouveaux contrats pour 2023 avec l’ambition de conforter les litrages. Les producteurs peuvent demander des augmentations de volumes et Danone ouvre même la porte à de nouveaux éleveurs qui souhaiteraient nous rejoindre. Ainsi l’horizon s’éclaircit et cela doit nous permettre d’installer des jeunes et de pérenniser ce secteur vital pour notre département… »
|
Scooped by
Cedric
|
Malgré la révision par deux fois de la formule de prix cette année en Normandie, les prix de base de Danone restent scotchés autour des 405 € à 415 € en Normandie en septembre…
La semaine dernière a été mouvementée pour les "Danone" normands. L'OP bas-normande des 3 Vallées voulait un prix de base de 460€, elle a obtenu 430€ au T4. Après 24h de manif, les hauts-normands de CapLait qui voulaient 450 ont obtenu 437€…
|
Scooped by
Cedric
|
Mais en Basse-Normandie, ça chauffe ! L’annonce du prix de base A de juin à 369,70 € ne passe pas…
La nouvelle formule de prix négociée en février pour 2023 par l’OP Caplait et Danone est finalement appliquée dès le 1er juin. Le prix de base A du lait livré en juin à l’usine de Ferrières-en-Bray (Seine-Maritime) est établi à 401,08 €/1000 l…
Il aura fallu cinq mois à Caplait, l’organisation des producteurs Danone de l’ex-Haute-Normandie, pour arriver à un prix de base accroché au marché. Les livraisons de juin seront payées à 401,08 €/1000 l de prix de base A, soit un bond de 30,83 € par rapport au prix de base de mai et de 47,69 € par rapport à celui de janvier...
|
Scooped by
Cedric
|
Danone a signé un accord de fin de contrat avec l’OP SOL. Le groupe souhaite convertir son usine de transformation laitière de Villecomtal-sur-Arros dans le Gers en un site de production de boissons végétales…
Une autre question est en suspens : à qui vendre les 80 millions de litres de lait que Danone ne leur achètera plus chaque année ? La difficulté est d'autant plus grande que ces près de 200 fermiers sont répartis sur six départements : Haute-Garonne, Gers, Landes, Lot, Pyrénées-Atlantiques et Hautes-Pyrénées…
|
Scooped by
Cedric
|
Collecte. Le groupe veut en finir avec ses 10 % d’excédents. Les OP doivent accélérer la réduction des références.... Première cible qu’autorisent les contrats : les producteurs en sous-réalisation, c’est-à-dire livrant 85 % de leur volume contractuel, ou moins en moyenne sur deux ans. Le 1er avril 2017, en Haute-Normandie, la référence de 60 producteurs est abaissée au niveau de leur sous-réalisation, « puis revalorisée de 3 %, précise l’OP. Ce sont 6 à 7 Ml de références en moins ». Dans le Sud-Est, selon l’OP (130 Ml), l’industriel veut geler 5 Ml prélevés auprès de 84 producteurs.
Pour mettre en adéquation références et laits collectés, le groupe s’attaque aussi aux sous-réalisations moins importantes...
|
Scooped by
Cedric
|
L’organisation de producteurs Danone Sud-Est a saisi le médiateur des relations commerciales agricoles le 14 novembre dernier. En cause, la volonté de l’industriel « d’accélérer la baisse des volumes collectés ».
Danone confirme sa volonté de réduire sa collecte. L’accord avec ses organisations de producteurs (OP), signé en février dernier, prévoyait une baisse annuelle des volumes livrés de 2 %. Mais pour l’usine de Saint-Just-Chaleyssin dans l’Isère, l’industriel semble vouloir accélérer le pas.
« Sur la zone, 200 millions de litres de lait sont collectés chaque année, affirme Jean-Robin Brosse, le président de l’OP Danone Sud-Est. Danone a annoncé vouloir réduire la collecte de 40 millions de litres. Cela ne correspond pas aux volumes initialement conclus au sortir des quotas, en juin 2015. »
|
Scooped by
Cedric
|
La volonté de l’industriel de réduire sa collecte a amené l’OP livrant à Danone Bailleul à créer une SAS.
Objectif : trouver de nouveaux débouchés pour permettre à ses 680 adhérents de développer leur production.
Un contrat de livraison doit ainsi être passé avec Milcobel. Près de 300 éleveurs de l’OP ont émis des demandes de volumes supplémentaires allant de 50 000 à 500 000 litres.
|
Scooped by
Cedric
|
Agriculture. Les producteurs de la coopérative de vente de produits laitiers de Gournay et Neufchâtel s’organisent pour peser dans les négociations avec Danone. Pays de Bray : les producteurs laitiers s’organisent pour peser dans les négociations avec Danone Manuel Beauval et Sébastien Catoir (deuxième et troisième à partir de la gauche) devant leurs adhérents Un climat apaisé... La coopérative de vente de produits laitiers de la région de Gournay et Neufchâtel a réuni ses adhérents, la semaine dernière, dans une ambiance bien différente de l’année précédente, lorsque les banderoles et les tracteurs de producteurs mécontents avaient accueilli les participants. La situation des producteurs laitiers de la coopérative reste cependant particulièrement préoccupante. Mais le rapport avec leur acheteur, la société Danone, semble avoir trouvé un certain équilibre avec la mise en place d’un groupe élargi de producteurs laitiers, ce qui permet de peser plus fortement sur l’industriel. Sébastien Catoir, et de Manuel Beauval, respectivement président et vice-président, sont à la manœuvre... La coopérative associe plus de 300 producteurs. Elle est la pièce maîtresse de l’organisme de producteurs laitiers de Haute-Normandie (OPLDHN) qui se met en place et regroupe l’association des Deux rives, l’association du Pays de Caux, l’association Gallia et la coopérative de Songeons.
|
Scooped by
Cedric
|
Le géant des produits laitiers Danone a annoncé mercredi avoir passé un accord avec 2.000 des 2.600 éleveurs qui approvisionnent ses cinq usines françaises pour prendre en compte leurs coûts de production dans les prix auxquels il leur achète du lait, en contrepartie d'une baisse des volumes achetés. Le groupe indique dans un communiqué que "cinq organisations de producteurs ont signé un accord, soit 2.000 éleveurs". L'objectif "est de mettre en place un filet de sécurité pour amortir les fluctuations du prix du lait et ainsi assurer, dans la durée, une meilleure visibilité aux producteurs", indique Danone. "Nous sommes sur un marché (des produits laitiers) ultra frais baissier depuis quatre ans. Notre approche est responsable. Il ne s'agit pas de baisser significativement nos volumes mais d'ajuster au plus près des besoins des usines", ajoute-t-il.
|