Lait de Normandie... et d'ailleurs
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Souveraineté alimentaire, prix plancher et sanctuarisation de la matière première agricole : Des notions improbables dans une économie de marché

Souveraineté alimentaire, prix plancher et sanctuarisation de la matière première agricole : Des notions improbables dans une économie de marché | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Souveraineté alimentaire, prix plancher et sanctuarisation de la matière première agricole : Des notions improbables dans une économie de marché...


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Une surrèglementation qui protège les agriculteurs et les industriels ?!

Une surrèglementation qui protège les agriculteurs et les industriels ?! | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Comment l'Etat a déclenché la machine infernale de l'inflation alimentaire : Les bonnes intentions jalonnent la montée des prix de l'alimentation qui constitue un enfer pour les consommateurs.


L'inflation alimentaire s'élève à 9%sur un an, à 21% sur deux ans. La guerre en Ukraine a mis le feu aux poudres, mais c'est l'Etat qui a rempli les barils. Le gouvernement a convoqué les distributeurs et leur a intimé de déchirer les contrats des négociations 2022 dont l'encre n'était pas encore sèche…

Cedric's insight:
voir aussi France OP lait craint la destruction de valeur par les négociations commerciales https://sco.lt/90DgS8
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Les Etats généraux de l’alimentation partent en quenouille

Les Etats généraux de l’alimentation partent en quenouille | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Certains attendaient beaucoup des Etats généraux de l’alimentation, tant du côté des syndicats paysans que des nombreuses associations impliquées dans les 14 ateliers.

Mais les attentes des uns et des autres sont souvent très contradictoires en plus d’être incompatibles avec la mondialisation capitaliste et spéculative de l’agriculture que la France continue d’approuver avec Emmanuel Macron à l’Elysée.

Du coup, l’incompréhension prédomine comme en témoigne le dernier communiqué de cinq organisations de solidarité internationale qui ont quitté l’atelier 12 de vendredi dernier.

Cedric's insight:
Et aussi : Quatre ONG de solidarité claquent la porte des Etats généraux de l’alimentation
Sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/10/20/quatre-ong-de-solidarite-claquent-la-porte-des-etats-generaux-de-l-alimentation_5203870_3212.html
Les associations, soutenues par le CCFD-Terre solidaire, mettent particulièrement en cause la cohérence des politiques publiques françaises.
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Tribune JA : « Consommateurs, la balle est aussi dans votre camp ! »

Tribune JA : « Consommateurs, la balle est aussi dans votre camp ! » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Jérémy Decerle, président de Jeunes Agriculteurs (JA) explique dans une tribune  sa vision pour permettre aux agriculteurs de gagner un prix plus juste...

"L'alimentation a un prix ! Et ce n'est pas cette course effrénée au moins disant qui conduira à une redynamisation des campagnes, avec des paysans nombreux, rémunérés de façon juste. Ce n'est pas la course aux prix bas qui garantira une alimentation sûre, saine, de qualité et durable, les principaux défis à relever dans la seconde phase de ces Etats généraux de l'alimentation qui s'ouvrent aujourd'hui....

En tant que représentant des jeunes générations, je peux vous affirmer que les producteurs sont prêts à s'adapter aux attentes des consommateurs. Combien autour de moi innovent, changent leurs pratiques culturales, transforment les exploitations qu'on leur a transmises ? Mais pour envisager des modes de production différents, le secteur a besoin de sortir de la crise dans laquelle il se trouve depuis bien des années. Il a surtout besoin de retrouver la confiance, de savoir que ses efforts lui profiteront, profiteront aux consommateurs et aux citoyens et ne seront pas une nouvelle fois absorbés par des intermédiaires aux comptes opaques.

Tout le monde se dit prêt à être solidaire de l'amélioration du revenu des agriculteurs. Alors passons aux actes."


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Pour la transition alimentaire, n'attendons pas demain

Pour la transition alimentaire, n'attendons pas demain | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Plusieurs personnalités appellent le chef de l’Etat à prendre des choix audacieux pour mieux produire et mieux manger.

Et 63 propositions par ce lien : https://www.actu-environnement.com/media/pdf/news-29705-Priorites-EGA.pdf

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Guerre des chiffres : vers une flambée des prix en grandes surfaces ?

Guerre des chiffres : vers une flambée des prix en grandes surfaces  ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Serge Papin, le PDG de Système U, conteste ces chiffres, et mise sur une hausse inférieure à 1 % (voir par ailleurs).

L’Association des industriels de l’Agroalimentaire (Ania) table sur une inflation encore plus basse, de l’ordre de 0,05 %.

« Michel-Édouard Leclerc se fait un coup de com’ sur un débat national capital pour l’agriculture française », déplore Patrick Benezit qui remet aussi en cause le périmètre de calcul, et donc la valeur des estimations de l’association de consommateurs.

« L’UFC-Que choisir raisonne comme si tous les produits étaient en dessous de 15 % de marge. Mais beaucoup de produits ne seront pas concernés par la hausse du seuil, car leurs marges sont déjà bien supérieures à 15 % !

Un steak haché est vendu 6 euros le kilo à la sortie d’usine et le consommateur le paie 11 euros le kilo. Dans ce cas, la marge est du simple au double !

Et quand bien même le chiffre de l’UFC-Que choisir serait vrai, il faut relativiser. Cela reviendrait à 1,80 euro par mois par consommateur français ! »

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EGAlim - Momagri : « Créer un volet agro-alimentaire du droit de la sous-traitance ? » - TerreNet

EGAlim - Momagri : « Créer un volet agro-alimentaire du droit de la sous-traitance ? » - TerreNet | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

« Les Etats généraux de l’alimentation doivent-ils aboutir à la création d’un volet agro-alimentaire au droit de la sous-traitance ? »

Revenant sur la tension qui règne autour des Etats généraux de l’alimentation, les experts du think tank Momagri posent la question.

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Le monde agricole redoute d'être "asphyxié par une vision passéiste"

Le monde agricole redoute d'être "asphyxié par une vision passéiste" | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La première partie des états généraux étaient dédiée à la répartition de la valeur ajoutée entre les acteurs de la filière pour redonner des revenus aux agriculteurs et va être close mercredi par un discours du président français.

Le monde agricole redoute d'être "asphyxié par une vision passéiste et malthusienne" lors de la deuxième phase des Etats généraux de l'alimentation qui portera notamment sur la transition écologique, écrit la FNSEA dans un courrier à Emmanuel Macron rendu public lundi.

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#EGalim : Une série de priorités de l'atelier 5

#EGalim : Une série de priorités  de l'atelier 5 | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
- le développement souhaitable de la contractualisation pour lier l’amont et l’aval des filières (la formalisation de cette contractualisation) ;
- la définition de clauses de base au sein des filières comme critères utiles à la contractualisation (durée, volume, qualité, mécanismes de prix…) ;
- la question des prix (coût de production et prix de revient).
Se doter d’indicateurs précis qui puissent guider les opérateurs ;
- rôle de l’Observatoire français des prix et des marges en lien avec les indicateurs fournis par FranceAgriMer. Collecte et analyses des données qui pourraient être valorisées et servir de critères d’évaluation ;
- l’articulation et l’équilibre à trouver entre médiation et arbitrage ;
- l’information donnée aux professionnels et aux grand public sur la valeur.
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Etats généraux de l’alimentation ou fin du monde paysan ?

Etats généraux de l’alimentation ou fin du monde paysan ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
En théorie, la première étape des Etats généraux qui s’est terminée vendredi dernier devait déboucher sur des propositions faites au gouvernement pour « rendre les prix d’achat des produits agricoles plus rémunérateurs pour les agriculteurs » et pour « améliorer les relations commerciales et contractuelles entre les producteurs, les transformateurs et les distributeurs ».
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EGAlim - J.-M. Séronie : « Il faut permettre aux producteurs d'adapter leurs entreprises »

EGAlim - J.-M. Séronie : « Il faut permettre aux producteurs d'adapter leurs entreprises » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Constatant des écarts de performance de plus en plus grands entre exploitations, l’agroéconomiste Jean-Marie Séronie plaide pour des réformes et ajustements tous azimuts pour stabiliser le revenu des producteurs et surtout améliorer l’efficience de leurs entreprises.
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La FNSEA appelle le législateur à la rescousse contre le

La FNSEA appelle le législateur à la rescousse contre le | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

"Il faut tenir compte des coûts de production franco-français et, ensuite, en confiance, retisser et reconstruire des prix en marche avant, entre les producteurs et les industriels, puis entre les industriels et les distributeurs, et convaincre les consommateurs que payer un ou deux centimes de plus sa tranche de jambon ou son litre de lait, c'est pérenniser des exploitations", a déclaré Mme Lambert, prenant l'exemple du producteur de lait "C'est qui le patron", une voie "qu'on pourrait développer".

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Pas de révolution avec les états généraux de l’alimentation

Pas de révolution avec les états généraux de l’alimentation | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le double langage des pouvoirs publics gangrénés par l'action des lobbies de l'alimentation ne laisse pas augurer de solutions aux problèmes de l'agriculture. Emmanuel Macron qui devait inaugurer ces états-généraux sans pouvoir répondre aux cahiers de doléances, a préféré s’abstenir. C’est dire à quel niveau il estime la partie qui se joue : une mascarade.

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«La 'marche avant' dans la construction des prix alimentaires n'existe pas», fustige Philippe Goetzmann

«La 'marche avant' dans la construction des prix alimentaires n'existe pas», fustige Philippe Goetzmann | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Philippe Goetzmann, observateur avisé de l'agroalimentaire national, fustige la proposition d'instaurer un «prix plancher» aux productions agricoles. Le consultant, qui a longtemps occupé des fonctions de direction au sein du distributeur Auchan, propose plutôt d'en finir avec Egalim et égraine ses propositions pour un véritable choc de compétitivité…


« C’est une très mauvaise idée pour plusieurs raisons. La première est réglementaire : cela relèverait de l'entente, ce qui est incompatible avec le droit communautaire. Il est dangereux de laisser croire à une corporation que des «prix planchers» sont possibles alors que ce sera retoqué à Bruxelles. Le risque est de renforcer le rejet de l'Europe alors que nous avons besoin du contraire...


Croire qu'il est possible de fixer un prix uniforme pour chaque denrée est une erreur : aucune exploitation ne supporte les mêmes coûts de production. Or, fixer un prix plancher suppose une homogénéité des coûts. Au sein de certains bassins de production, les niveaux de revenus par unité de travail s'échelonnent de 1 à 30…


 Si le prix plancher permet d’associer tout le monde, vous créez des effets d’aubaine et des rentes de situation pour les acteurs les plus productifs – et, en même temps, vous privez ces derniers de la capacité à gagner des parts de marché. La moyenne n’a pas de sens. Cela pose par ailleurs des problèmes liés aux échanges alors que la filière agroalimentaire exporte et importe beaucoup…


Dans le sillage des erreurs commises par les lois Egalim, toute la discussion est fondée sur le prix. Or, le prix n’a pas de valeur en tant que tel : ce qui importe, c'est le chiffre d’affaires, soit le rapport entre les prix et les volumes. Le problème de la ferme France et de l'industrie hexagonale est la compétitivité. Si vous augmentez les prix – l'idée sous-jacente aux prix planchers – sur des filières soumises à la concurrence internationale, le principal risque est d’avoir des chutes de volumes. Ce n’est pas vraiment la solution au problème agricole. L'enjeu est plutôt d'avoir des prix qui correspondent aux marchés…


Egalim ne pouvait pas fonctionner : ces lois reposent sur deux postulats qui n'existent nulle part en économie. Le premier est celui d'une «marche avant» dans la construction du prix. Est-ce Carlos Tavares qui fixe le prix de ses Peugeot en fonction du cours du métal ? Est-ce Bernard Arnault qui fixe le prix de ses sacs Louis Vuitton en fonction du prix du cuir ? Non, ils veulent savoir quel niveau de prix leur permet d'avoir un client et si, à ce niveau de prix, ils peuvent amortir leurs coûts de production. Tout le logiciel Egalim ignore la notion de coûts – et au contraire les renchérit : quand un industriel recourt à un commissaire pour faire certifier ses comptes, cela lui coûte de l’argent. La «marche avant» n’existe pas…


Le deuxième postulat erroné est de croire que la transparence existe dans les affaires. (…) Dans les négociations commerciales, les industriels sont critiqués car ils recourent majoritairement à l'option 3 prévue par la loi Egalim [qui consiste à faire certifier leurs comptes par un tiers plutôt que de montrer leurs factures pour les achats de matière première agricole, NDLR] mais je les comprends : ils n’ont aucun intérêt à dévoiler le détail, sinon ils seront encore plus pressés sur les aspects qu’ils peuvent négocier, comme la matière première industrielle…


L’Etat doit être garant, tout le long des négociations, des meilleures conditions de concurrence possible. A l’évidence, il y a des acteurs plus concentrés que d’autres : la grande distribution, les plus grands industriels de l’agroalimentaire, contrairement au secteur agricole et au tissu des PME de l'agroalimentaire…


C’est le fait pour un distributeur, afin d’avoir le meilleur prix sur la référence la plus vendue – élément nécessaire dans la bataille des prix qu'il se livre avec ses concurrents –, de référencer disons 50 produits du fournisseur de cette référence d'appel, ce qui a un effet d’éviction sur les produits des PME et entrave la libre concurrence. L’Etat devrait s’occuper des abus de position dominante…


Pour les filières, le problème est la marge, pas le prix : nous avons les prix alimentaires les plus élevés d'Europe, nos filières agroalimentaires ne génèrent simplement pas assez de valeur ajoutée. Le seul sujet est la compétitivité et il est totalement absent des discours gouvernementaux. Ce déficit a pourtant quatre causes, dont trois incombent à l’Etat…


• La première est fiscale : l’ensemble des impôts sur la production se maintient à 4,7% du PIB en France, contre 1% en Allemagne…

• Le coût du travail est aussi plus élevé en France que chez nos voisins et il se trouve que la filière agroalimentaire, du champ à l’assiette, est une filière à haute intensité de main d’œuvre…

• Dernier point, les normes et les surtranspositions coûtent cher à nos entreprises…


Notre tissu agroalimentaire est trop émietté avec une kyrielle de PME. Nous devons générer des ETI, sources de valeur ajoutée. Cela vaut aussi pour les exploitations agricoles : il nous faut des exploitations de tailles plus importantes afin d'avoir plus de valeur ajoutée et d'amortir des investissements plus conséquents »…


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Point de vue - Le prix du lait : mythes et réalités d’un défi économique

Point de vue - Le prix du lait : mythes et réalités d’un défi économique | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le Prix du lait est-il bien réparti entre les acteurs économiques ? Avec l’inflation galopante, les agriculteurs peinent à maintenir la rentabilité de la production laitière. Alors, à qui la faute ? Quel devrait être le prix d’une bouteille de lait dans les grandes surfaces ?


La répartition de la part des différents acteurs dans le prix final du lait ne laisse presque aucune marge nette à aucun d’entre eux. À part l’État lui-même, qui extrait visiblement plus de la moitié du prix du lait à son propre profit…


 Il « suffirait » donc que le gouvernement décrète des prix planchers de 550 euros les 1000 litres à la production, et de 1000 euros à la consommation, et tout le monde serait content. Tout le monde ? Non, évidemment pas le consommateur. Et c’est faire l’impasse complète sur la notion d’élasticité-prix…


La loi Egalim doit permettre la rémunération des productions agricoles à partir de leurs coûts de production. L’idée de fixer les prix en grande surface serait absolument catastrophique si les élasticités-prix en France étaient similaires à ce qu’elles sont partout ailleurs : les agriculteurs se retrouveraient avec des milliers de litres invendus du fait de la baisse de la consommation…


L’idée de rémunérer les facteurs de production à leur coût est anti-économique : elle empêcherait toute amélioration des techniques de production. À une époque où les fermes sont un lieu d’innovation technologique majeure, l’idée est simplement le meilleur moyen de se retrouver à la traîne face au reste de la zone économique européenne à brève échéance…

Cedric's insight:

voir aussi La vérité troublante : la consolidation de l'industrie laitière américaine et son impact - 20 ans d'examen
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J.-M. Séronie : « Emmanuel Macron a mis les acteurs face à leurs responsabilités » - WebAgri

J.-M. Séronie : « Emmanuel Macron a mis les acteurs face à leurs responsabilités » - WebAgri | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

« [Emmanuel Macron] a réussi le triple exploit d’exprimer une forte ambition agricole, en posant un diagnostic sans concession, mais sans la moindre décision précise. »

Il a surtout mis tous les acteurs face à leurs responsabilités. A commencer par les producteurs, à qui il demande de changer les modèles productifs et d’être mieux organisés. »

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EGAlim : Le discours d'Emmanuel Macron ne serait-il qu'un effet de manches ? - Wikiagri.fr

EGAlim : Le discours d'Emmanuel Macron ne serait-il qu'un effet de manches ? - Wikiagri.fr | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le discours prononcé ce 11 octobre à Rungis par le Président de la République est salué par beaucoup comme redonnant de l'espoir aux agriculteurs. Attention ! Sans prêter l'oreille aux critiques éventuellement faciles mais au contraire en analysant le texte avec minutie, avec l'aide d'un avocat spécialisé pour les questions de faisabilités juridiques, il apparait que l'essentiel des annonces ne sont qu'effets de manches...

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EGAlim : Macron demande au monde agricole de faire sa révolution - Les Echos

EGAlim : Macron demande au monde agricole de faire sa révolution - Les Echos | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le gouvernement veut inverser le mode de fixation des prix alimentaires, à partir des coûts de production. Cela va de pair avec une profonde réorganisation du monde agricole.


et aussi : Des filières inadaptées à la logique de marché

sur https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/030691896064-des-filieres-inadaptees-a-la-logique-de-marche-2121288.php

Multiples, les interprofessions agricoles sont, pour les plus grandes d'entre elles, devenues des théâtres politiques.

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Serge Papin : « L'agriculture ne doit pas subventionner les marques » - Le consommateur paiera-t-il plus cher ?

Serge Papin : « L'agriculture ne doit pas subventionner les marques » - Le consommateur paiera-t-il plus cher ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Entretien avec Serge Papin, PDG de Système U :  Pourquoi chiffrez-vous la hausse à seulement 0,8 % alors que les associations de consommateurs prédisent +5 % ?

Si vous ne prenez qu'un panier composé de produits aujourd'hui à très faible marge comme la pâte à tartiner, il sera plus impacté par le mécanisme. Or les gens n'achètent pas que ces fameux produits marquetés mais aussi des produits moins connus où la marge n'est pas à zéro...

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Afficher le prix producteur/fournisseur : de l’exception au standard de demain !

Afficher le prix producteur/fournisseur : de l’exception au standard de demain ! | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les petits ruisseaux feront les grandes rivières… A l’heure où la guerre des prix fait encore débat autour de « qui paye quoi ? » et « qui est le plus gros méchant loup ? », afficher le prix producteur ou « fournisseur » réengage le dialogue autour d’un prix consommateur « juste » pour échapper (enfin) à la course au prix « le plus bas »…


et aussi : Les Français face aux Etats généraux de l’alimentation

sur https://www.humanite.fr/les-francais-face-aux-etats-generaux-de-lalimentation-643323


ou encore : États généraux de l'alimentation - Les agriculteurs suspendus aux annonces d'Emmanuel Macron

sur https://www.terre-net.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article/les-agriculteurs-suspendus-aux-annonces-d-emmanuel-macron-205-131132.html


États généraux de l’alimentation : 70 % des agriculteurs pensent qu’ils n’apporteront pas de solution sur http://www.lafranceagricole.fr/actualites/etats-generaux-de-lalimentation-70-des-agriculteurs-pensent-quils-napporteront-pas-de-solution-1,2,481006471.html

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Etats généraux de l’alimentation : à qui profite le prix ?

Etats généraux de l’alimentation : à qui profite le prix ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

A l'issue de la première partie des Etats généraux de l'alimentation, le discours d'Emmanuel Macron ce mercredi est attendu avec « gourmandise » par les acteurs de la filière et les consommateurs.

La polémique fait rage autour d'une éventuelle hausse des prix pour mieux rémunérer les agriculteurs.

Nous pouvons saluer la démarche pour commencer : il semble que la forme consultative porte ses fruits, permettant de rassembler autour de la table des protagonistes de la société civile qui se connaissent par coeur mais qui semblent se détester cordialement.

Dans le cas des Etats généraux de l'alimentation (EGA) : les agriculteurs, les industriels et la grande distribution. Les enjeux : comment mieux définir la valeur des biens alimentaires...

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Leclerc refuse d'arrêter la guerre des prix

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Michel-Edouard Leclerc rejette l'idée d'un relèvement du seuil de revente à perte des produits. Des organisations de PME et de consommateurs l'appuient.



Et aussi : Crispations aux Etats généraux de l’alimentation Sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/10/02/crispations-aux-etats-generaux-de-l-alimentation_5194857_3234.html Michel-Edouard Leclerc et l’UFC-Que choisir sont contre la revalorisation du seuil de revente à perte, le prix en dessous duquel un distributeur ne peut pas commercialiser un produit.

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EGAlim: « L’impact pour les consommateurs sera immédiat et colossal ! » selon l’UFC Que Choisir

EGAlim: « L’impact pour les consommateurs sera immédiat et colossal ! » selon l’UFC Que Choisir | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Après avoir craint que les Etats Généraux de l’Alimentation soient un simple habillage pour une augmentation généralisée des prix, l’UFC-Que Choisir rend publique son étude d’impact alarmante de la bien étrange proposition de la FNSEA de modifier le seuil de revente à perte.

L’association dévoile son constat accablant : si le bénéfice de cette proposition pour les producteurs est plus qu’incertain, l’impact pour les consommateurs sera lui immédiat et colossal !

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Etats généraux de l’alimentation - Olivier Mevel : « Le problème numéro un, ce sont les grandes surfaces ! »

Etats généraux de l’alimentation - Olivier Mevel : « Le problème numéro un, ce sont les grandes surfaces ! » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Olivier Mevel estime que les quelques aménagements réglementaires envisagés à l’issue des Etats généraux de l’alimentation ne régleront rien aux difficultés de répartition de la valeur ajoutée et donc aux difficultés des agriculteurs. Il cible les distributeurs et leurs pouvoirs « exorbitants » et dénonce au passage « l’oligarchie technocratique » qui a écarté sa candidature à l’observatoire de la formation des prix et des marges.
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France Culture - Asphyxie des prix agricoles : qui a les clés ?

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"Les Etats généraux de l’alimentation, et après ?" se demandent ceux qui ont été laminés par cette guerre de prix… Parmi lesquels producteurs de porc, et de lait.

Avec, pour une vue panoramique : avec Thierry Pouch, chef du service des études économiques de l'Assemblée Permanente des Chambres d'Agriculture à Paris et chercheur associé au laboratoire Regards de l'Université de Reims Champagne-Ardenne, Michel Le Pape, agriculteur, céréalier et président de la Coordination rurale d’Indre-et-Loire et Michel Biero, co-gérant de LIDL France, responsable des achats.

Pour un zoom avant sur le sujet : Jean-Hugues Tiriau, éleveur porcin en Ile-et-Villaine.

Et enfin, pour une vue satellite : Répartition de la valeur : l’exemple de la politique du lait aux Etats-Unis.

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