Malgré une interprofession ouverte au commerce et à la distribution, les Suisses restent englués dans la crise...
Des OP bien trop atomisées : Ce qui manque vraiment, c’est un système de régulation des volumes avec un organisme qui fédère de manière digne les producteurs. Avoir accepté l’existence d’OPU (producteurs livrant directement aux laiteries) aux côtés des OP (OP commerciales) a constitué un facteur de division qui entretient une situation détestable. »