Lait de Normandie... et d'ailleurs
209.3K views | +20 today
Follow
Lait de Normandie... et d'ailleurs
Your new post is loading...
Your new post is loading...

Des Tags pour vos recherches

Current selected tags: 'crise de l'élevage', 'fnil'. Clear
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Lait : Pour les industriels, « il n’y a pas eu de crise »

Lait : Pour les industriels, « il n’y a pas eu de crise » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Avec cette phrase, Olivier Picot, le directeur de la Fédération nationale des industriels laitiers (Fnil), a de quoi faire grincer les dents des éleveurs.

« Il n’y a pas eu de crise », a lâché, sans prendre de pincettes, Olivier Picot, le directeur de la Fédération nationale de l’industrie laitière privée (Fnil), lors d’une conférence de presse, le 7 décembre. Il rejette le terme de « crise » au sens strict, et lui préfère celui, moins accessible, de « momentum liés à la volatilité ...

Cedric's insight:
No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

La crise laitière n’est pas prête de s’arrêter

La crise laitière n’est pas prête de s’arrêter | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Malgré la rencontre entre les ministres agricoles européens à Bruxelles le 14 mars pour essayer de sortir de la crise laitière, les fédérations françaises (FNIL, FNCL) restent sceptiques. Selon elles, l’effort doit venir de tous les pays européens et pas uniquement de la France...

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

FNIL : “L’industrie laitière est aussi en grande difficulté”

FNIL :  “L’industrie laitière est aussi en grande difficulté” | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Alors que la crise du lait s’exacerbe, qu’industriels et producteurs rivalisent de communiqués sur les niveaux de prix, Olivier Picot, président de l’industriel laitière, considère que celle-ci traverse elle-même une phase extrêmement délicate.

Cedric's insight:
"Non seulement l’industrie laitière privée - qui n’est pas le principal collecteur puisque ce sont les coopératives - paie le lait à un prix plus élevé que tous ses concurrents européens, mais en plus elle est contrainte par des contrats à cinq ans qui n’existent nulle part ailleurs dans le monde ! Les politiques qui se sont imaginés que les contrats à long terme règleraient tout sont les même que ceux qui regrettent les quotas laitiers. Dans un contexte de forte volatilité, les contrats sont mal adaptés à la compétitivité de l’industrie laitière. Elle est en grande difficulté. Nous voudrions être traités de la même manière que les autres industriels européens. Or, nous payons le lait plus cher, et nous sommes confrontés à la distribution qui nous demande des baisses de tarifs alors que le prix des produits laitiers n’a jamais été aussi élevé dans les magasins !"
No comment yet.