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Cedric
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La consommation globale des laits végétaux a vu sa croissance ralentir en 2022 en Suisse. L’assortiment, de plus en plus étoffé, devient un produit de consommation courante…
Cela faisait au moins cinq ans que la croissance n’avait plus été aussi faible : en 2022, les ventes totales de substituts végétaux au lait de vache ont augmenté de 2% par rapport à 2021. «Cette augmentation est très faible, comparativement à celle observée en 2021». Cette année-là, elle était de +15% et même de +28% en 2020 par rapport à 2019…
À l’international, le marché est autant dynamique que turbulent. L’un des géants, la marque suédoise Oatly, a vu son action en bourse s’effondrer notamment parce que ses prévisions de croissance très ambitieuses n’ont pas été réalisées…
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Cedric
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Une enquête apporte des éléments précis sur les marges réalisées par les grands distributeurs sur certains produits laitiers. De quoi relancer très sérieusement le débat à propos de la concurrence et de l’opacité de ce marché…
Les marges brutes de Migros et Coop sont élevées, très élevées même, en fonction du produit et de la référence : 66% pour une tomme vaudoise, 92% pour un yogourt !
Les paysans vendent leur lait à perte, les prix payés étant inférieurs à leurs coûts de production. Et, il faut le savoir, le lait leur est rétribué en fonction de son utilisation par les transformateurs, et non de sa qualité. Résultat : les producteurs doivent multiplier les activités à côté de l’élevage de vaches laitières pour toucher des paiements directs et d’autres sources de revenus.
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Année record confirmée ! La consommation de fromage par personne en Suisse a augmenté de 100 grammes en 2021. Les habitants du pays ont ainsi consommé en moyenne plus de 23 kilos de fromage par personne…
Par rapport à 2020, la part de fromage suisse a diminué de 1,9%. Le recul est surtout marqué pour la part de fromage frais (-4,3%). Ainsi, en 2021, 42,6% du fromage frais consommé en Suisse a été importé…
La tendance en faveur du fromage à pâte mi-dure, qui s'est poursuivie l'année dernière, est flagrante. La baisse de la consommation de fromage à pâte dure a été plus que compensée par l'augmentation de la consommation de fromage à pâte mi-dure (de 210 grammes par personne)…
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Cedric
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Durant les dix dernières années, les prix à la consommation des produits laitiers frais n’ont cessé de baisser. En 2017, ils se sont toutefois stabilisés. Ces baisses s’expliquent – en partie- par le recul du prix de la matière première (lait cru).
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Les Suisses consomment toujours plus de fromage. L'an dernier, chaque habitant en a mangé en moyenne 22,05 kilos, soit une augmentation de 560 grammes par rapport à 2015. La mozzarella et le séré sont particulièrement appréciés.
Les ventes de ces produits laitiers ont pris l'ascenseur au cours des dix dernières années: chaque Suisse en a acheté 1,6 kilo de plus, pour un total de 3,4 kg de mozzarella et de 2,4 kg de séré. Cela correspond à une hausse de 25%...
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La surproduction laitière a provoqué un effondrement du prix du lait non seulement sur le marché européen, mais également en Suisse. Pourtant, les paysans sont obligés de produire de manière toujours plus efficace pour pouvoir survivre.
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Cedric
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En 2015, plus de 95'500 tonnes de fromage ont été vendues dans le commerce de détail, contre environ 93'000 l'année précédente (+2,6%). Le volume des ventes a progressé tant pour les sortes suisses (+2,1%) qu'étrangères (+4,3%). Le chiffre d'affaires total est lui resté stable (+0,4%) en raison de la baisse des prix, a indiqué l'Office fédéral de l'agriculture (OFAG) jeudi dans un communiqué. Il a augmenté pour les fromages indigènes (+1,3%), alors qu'il a reculé pour les fromages étrangers (-1,2%). Les prix ont en effet subi une baisse plus forte pour ces derniers, en raison d'une surproduction laitière en Europe. Concernant les ventes de yogourt, une progression en termes de volume (+1,7%) et de chiffre d'affaires (+2,9%) a été observée. Les prix ont affiché une légère hausse, de 1,2% à 4,12 francs/kg en moyenne. En revanche, le volume des ventes a reculé pour le lait de consommation (-1,1%), le beurre (-2,3%) et la crème de consommation (-0,4%). Les chiffres d'affaires et les prix ont aussi essuyé une baisse pour ces trois produits.
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La Suisse a mal à son fromage. Au point que cette année elle pourrait importer plus de fromage qu’elle n’en exporte. Une première dans son histoire. La faute notamment aux consommateurs suisses, qui se tournent vers les produits importés moins chers…
Depuis 2007, l’UE et la Suisse échangent du fromage sans droits de douane. Ce qui accentue la pression concurrentielle sur nos fromages, qui sont plus chers que ceux fabriqués dans l’UE «en raison des coûts de production élevés et de la qualité supérieure du lait et des produits laitiers suisses». Or, avec l’inflation en Europe, les produits haut de gamme du segment, donc les Suisses, souffrent et se vendent moins. Même tendance chez nous: les Helvètes, qui souffrent également de la baisse du pouvoir d’achat, se tournent vers des produits moins chers, soit des fromages importés…
Cette tendance à se tourner vers l’étranger met en péril l’industrie fromagère suisse. En effet, «la fabrication de fromage est la véritable locomotive de l’économie laitière suisse», car la plus grande partie du lait produit dans notre pays est destinée au fromage. Si l’on en produit moins, il reste donc plus de lait à écouler. Ce qui se fait dans d’autres canaux de transformation moins rentables…
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La coopérative Migros ne vend plus de lait genevois depuis un mois, jugeant que ce lait n’est pas assez écologique.. Cette décision de retirer le produit estampillé du label GRTA (Genève Région – Terre Avenir) fâche les milieux agricoles ainsi que le Conseil d’Etat…
Différence de prix
La Migros ne commercialise dorénavant plus que des laits bénéficiant du label IP-Suisse. Elle juge qu’il a l’avantage d’être connu par la clientèle et rappelle qu’il favorise une production respectant la biodiversité et le bien-être de l’animal.
Le directeur d’Agri Genève pense pour sa part qu’il s’agit avant tout d’une décision économique, puisque le lait GRTA est payé 1 franc le litre aux producteurs, contre seulement 80 centimes pour l’IP Suisse. Il confie aussi au quotidien genevois que si l’aspect environnemental est «peut-être plus poussé chez IP Suisse», les laits GRTA sont des produits locaux qui ne parcourent pas de longues distances…
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Cedric
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Les importations représentent un tiers du fromage consommé en Suisse, s'inquiète la branche. La population reste néanmoins friande de ce produit laitier: elle en mange en moyenne plus de 21 kg par an, trois de plus qu'ailleurs en Europe.
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Les produits bio en Allemagne sont nettement moins chers qu’en Suisse. Cela n’est pas surprenant en soi. Par contre, il est intéressant de constater que la différence de prix en pourcentage avec les produits conventionnels est beaucoup plus réduite en Suisse qu’en Allemagne. En ce qui concerne les produits laitiers, la différence de prix bio en Allemagne est aussi, selon le produit, jusqu’à trois fois plus important qu’en Suisse...
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Cinq marques de yoghourts probiotiques, censés favoriser la digestion, ont reçu l’autorisation d’afficher des promesses santé sur leurs emballages. Or, ils sont sans effet, selon un test commandé par On en parle. Les produits Nestlé LC1, Emmi Aktifit, Migros Bifidus, Danone Activia et Yakult ont reçu le droit d'afficher ces promesses sur la base de preuves scientifiques fournies à l’Office fédéral de la sécurité alimentaire (OSAV).
"Contribue au confort digestif en réduisant le temps de transit et les ballonnements", assure par exemple Activia de Danone. Toutes les marques annoncent des effets bénéfiques sur la digestion, les flatulences ou encore la qualité des selles.
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Les labels attestant d’un équilibre respectueux entre l’agriculture et la biodiversité font vendre. Les clients en raffolent.... «Dans un marché qui stagne, les labels font vendre. Tous les produits labélisés progressent régulièrement et permettent de gagner des parts de marché»
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